Pays de Caux et Côte d'Albâtre

Et toujours à l'abri dans la forêt de Montgeon...et toujours pas de soleil...seul le vert de la mousse se remarque...

Comme quoi, contrairement à Pierre, Michel qui roule... amasse la mousse !

Sur la photo "bordure moussue", est-ce l'entrée depuis Fontaine la Mallet ?
Aurais-tu mis pied à terre au milieu de la montée !!

zapilon a écrit:

Sur la photo "bordure moussue", est-ce l'entrée depuis Fontaine la Mallet ?
Aurais-tu mis pied à terre au milieu de la montée !!

Non ! tu rigoles Jean !...
Oh que oui ! peu à peu, je teste les diverses entrées de Montgeon...et celle là m'a surpris ! n'ayant pas bien choisi mon braquet, je me suis retrouvé debout sur les pédales et sans adhérence à l'arrière...conclusion, je suis monté tranquilous à pied. Mais le plus surpris a été le jogger du coin, quand il m'a vu à quatre pattes entrain de photographier la bordure...

Et en dehors de la photo, je prends de plus en plus de plaisir à rouler dans cette forêt...on rencontre des cyclos...ce qui me permet de rouler un peu plus vite qu'en solo. Un bon refuge quand le temps sur le pays de Caux n'y est pas. Aujourd'hui, c'était le brouillard...

" je prends de plus en plus de plaisir à rouler dans cette forêt "

Le bois de boulogne du Havre !!

zapilon a écrit:

Le bois de boulogne du Havre !!

parole de connaisseur ?

papou a écrit:

zapilon a écrit:

Le bois de boulogne du Havre !!

parole de connaisseur ?

La comparaison est osée ! à première vue...dans la journée, ce n'est pas le cas. La nuit ? pas encore expérimenté.

Lors des premiers Levallois Honfleur, le parcours empruntait le bois de Boulogne. Et à 7h du mat, les pros du lieu n'avaient pas encore débrayé. Imaginez les commentaires de certains cyclos un peu voyeurs...et pas très respectueux.

Deuxième poumon vert du Havre, le Parc de Rouelles.
Vous le longerez systématiquement lors de vos départ et retour des BRM havrais...

Tout sur ce parc :
http://www.parcsetjardins.fr/haute_normandie/seine_maritime/le_parc_de_rouelles-548.html

Et deux souvenirs de ce matin....

Hier, un aller retour sur Fécamp, ancien port morutier et cité des terre Neuvas. Aujourd'hui, ville encore connue pour sa liqueur la Bénédictine...
Enfin le soleil sur la Haute Normandie.

L'estacade du port...



Vieux gréement sous le soleil...



Graphisme cocorico

Deux lieux, deux décors, deux ambiances...

Samedi en fin d'après midi près de Bréauté




Ce matin en forêt de Montgeon

Il devient difficile de trouver des mots originaux pour te féliciter, trop beau

+1

(il faudra que je m'y mette un jour...quand j'aurai raccroché )

Merci pour ces photos... On s'y croirait ! et en plus avec du

Pour moi, l'occasion de rajeunir (havrais dans les années 80) puis valeriquais au debut de ce millenaire).
En s'inspirant de CDG ou de NORMANDIE BENT (vidéo) , on ressentirait mieux le vent de certaines sorties!

pascalb a écrit:

Pour moi, l'occasion de rajeunir (havrais dans les années 80) puis valeriquais au debut de ce millenaire).

Quel quartier au Havre ?

En s'inspirant de CDG ou de NORMANDIE BENT (vidéo) , on ressentirait mieux le vent de certaines sorties!

Houlà ! pas facile ça en photo ...

Portocéan a écrit:

pascalb a écrit:

Pour moi, l'occasion de rajeunir (havrais dans les années 80) puis valeriquais au debut de ce millenaire).

Quel quartier au Havre ?

En s'inspirant de CDG ou de NORMANDIE BENT (vidéo) , on ressentirait mieux le vent de certaines sorties!

Houlà ! pas facile ça en photo ...

En bout du bd de GRAVILLE à l'opposé du pont V, lieu de mon premier job ( les deux cheminées).
Je roulais à l'époque avec l'UCH. C'est aussi chez un marchand de cycle havrais que j'ai acquis ma première randonneuse.

Aller Jean-Louis, bientôt le vélo dans les champs de lavande

jean-louis a écrit:

Merci de m'avoir lu, c'était passionnant, non ?
Non ?

Si si.
Donc plus jeune vous mettiez la main au panier de la maraichère...

jean-louis a écrit:

Voilà t-y pas que ces évocations font remonter de vieux souvenirs, olfactifs surtout.
Du temps où j'étais grand, svelte et à peu-près habile de mes mains pour (de temps en temps, rarement à vrai dire) "mettre au panier" la baballe orange, et même que ça rapportait two points à ma valeureuse équipe de bras-cassés de basketteurs qui allaient jouer à la Saint-Thomas dans cette bonne ville du Havre au-début des années 70 dans une salle bétonnée qui servait ordinairement de marché aux légumes du côté d'un grand boulevard derrière le port et qu'on débarrassait le dimanche pour permettre à cette belle jeunesse de s'ébattre.
D'où les souvenirs olfactifs, puisque l'odeur de nos dessous de marcels se mélangeait plus ou moins harmonieusement à celles, fortes et prégnantes, des choux, cucurbitacées et autres merveilles maraichères.
Et, dans les choux, généralement, nos fols espoirs de victoire se retrouvaient...

C'était au temps des patronages.

Cet édifice doit toujours exister ? Je crois me souvenir qu'il avait un toit de forme arrondie. Il devait se trouver vers le Bd Winston Churchill, dans ce coin-là.

Merci de m'avoir lu, c'était passionnant, non ?
Non ?

Jean Louis tu es donc à l'origine du club actuel de Pro A
Voir Historique...
http://club.quomodo.com/stblehavre/le_club/historique

Pour ton lieu de rendez-vous avec ta maraichère...je vais me renseigner.

jean-louis a écrit:

À Papou, maintenant.... [/font]

Ne me tend pas l'asperge la perche ça pourrait me tenter

jean-louis a écrit:

Voilà t-y pas que ces évocations font remonter de vieux souvenirs, olfactifs surtout.
Du temps où j'étais grand, svelte et à peu-près habile de mes mains pour (de temps en temps, rarement à vrai dire) "mettre au panier" la baballe orange, et même que ça rapportait two points à ma valeureuse équipe de bras-cassés de basketteurs qui allaient jouer à la Saint-Thomas dans cette bonne ville du Havre au-début des années 70 dans une salle bétonnée qui servait ordinairement de marché aux légumes du côté d'un grand boulevard derrière le port et qu'on débarrassait le dimanche pour permettre à cette belle jeunesse de s'ébattre.
D'où les souvenirs olfactifs, puisque l'odeur de nos dessous de marcels se mélangeait plus ou moins harmonieusement à celles, fortes et prégnantes, des choux, cucurbitacées et autres merveilles maraichères.
Et, dans les choux, généralement, nos fols espoirs de victoire se retrouvaient...

C'était au temps des patronages.

Cet édifice doit toujours exister ? Je crois me souvenir qu'il avait un toit de forme arrondie. Il devait se trouver vers le Bd Winston Churchill, dans ce coin-là.

Merci de m'avoir lu, c'était passionnant, non ?
Non ?

Mieux vaut le lire que le dire. Une phrase de quatre lignes cela frise la mobilisation de la deuxième voie métabolique ou alors PROUST.

Après une dizaine de jours sans rouler, reprise ce matin...
Un pays de Caux pas très photogénique (soleil voilé, pas encore de végétation), restait au retour le parc de Rouelles.
Là, les saules pleureurs éclatent...