qui qu'a roulé aujourd'hui . 3

Cinq sorties cette semaine, une avec un pote un peu lent, et les autres seul. La première mardi, courte (53 km) mais vallonnée (812 m de D+), relax, donc pour compenser j'ai monté seul un dénivelé de 400 m environ sur 7 km quasi à bloc, avec même un tiers sur la plaque : résultat une sortie qui compte sur le plan musculaire, comme je l'ai remarqué (jambes un peu fatiguées) sur la suite de la sortie dans les bosses, et les même les deux jours suivants.
Ensuite, mercredi, jeudi et samedi j'ai fait trois fois la même sortie, 41 km et un col (730 m de D+), des sortes de footing en sorte. Et aujourd'hui un circuit pas trop long non plus (77 km mais 1 062 m de dénivelé), dans la grisaille et contre le vent moyen, avec une température de 11 ° au départ et 6,5 ° au plus froid à 850 m d'altitude peu avant la tombée de la nuit. Je me suis retrouvé à l'entrée de la ville à un feu rouge derrière un cycliste dont la randonneuse était chargée de sacoches (environ 50 kg à vu de nez) ; j'engage la conversation, tu vas loin ? Réponse, je viens de loin, je suis parti en juin direction la Suède (peut-être aussi la Norvège, je ne suis pas sûr) et dans cinq kilomètres je suis de retour chez moi ! Ce cycliste que je ne connais pas envisage de faire peut-être le PBP, mais comme il me dit, ce n'est pas sûr car en 2011 il avait loupé la qualification sur le 400, car il roule habituellement pour faire du tourisme et il a perdu l'habitude de rouler en temps limité.
La famille des cyclotouristes est diverse...
Depuis janvier 113 sorties, 13 766 km et 192 957 m de dénivelé.

Ce matin sortie sous la pluie avec quelques cyclos du club

Toujours un peu peur sur route mouillée, donc je prends pas trop les roues...
D'un autre côté 70km en 2h40, y'a pas trop besoin de roues

Le poignet va mieux, le Dodecaudax pourrait donc être envisagé d'ici la fin du mois... enfin je l'espère...

Pour nous aussi sortie sous la pluie. Pourtant on partait confiant du côté de Chambord mais au bout d'une petite dizaine de kilomètres, il a fallu se rendre à l'évidence, l'imper devenait obligatoire. Bilan de la matinée, 113 kms... Nous sommes rentrés bien mouillés mais heureux, c'est l'essentiel Et petite satisfaction personnelle, pour ma 1ère saison, j'ai franchi la barre des 7.000 kms

Sev a écrit:

Pour nous aussi sortie sous la pluie. Pourtant on partait confiant du côté de Chambord mais au bout d'une petite dizaine de kilomètres, il a fallu se rendre à l'évidence, l'imper devenait obligatoire. Bilan de la matinée, 113 kms... Nous sommes rentrés bien mouillés mais heureux, c'est l'essentiel Et petite satisfaction personnelle, pour ma 1ère saison, j'ai franchi la barre des 7.000 kms

7000 km la première année

Et l'année n'étant pas encore fini tu vas terminer vers les 8000.
Pour 2015 il va falloir faire mieux donc la série de BRM et plus si affinités

bruno91 a écrit:

7000 km la première année

Et l'année n'étant pas encore fini tu vas terminer vers les 8000.
Pour 2015 il va falloir faire mieux donc la série de BRM et plus si affinités

Les BRM sont plus ou moins prévus au calendrier 2015 vu qu'on en organise à Fleury Et j'ai tellement été sage cette année que le père noël va peut être bien m'amener un peu de lumière sur mon vélo Suite en 2015...

Sev a écrit:

Pour nous aussi sortie sous la pluie. Pourtant on partait confiant du côté de Chambord 

La seule fois que j'ai vu Chambord c'est cette année sur le 600km de Vichy Bellerive. Sous la pluie 
Ben c'est dommage  pour une première rencontre!
Je suis à gauche, a droite c'est mon copain Michoko de Brive.

Ce n'était pas la première sortie de l'année, mais la première depuis cet été et surtout le galop d'essai de mon nouveau mulet.

Première fois que j'utilise des pédales automatiques. J'avais essayé de trouver le bon réglage à la maison, en suivant des indications trouvées sur Internet, mais au bout de quelques centaines de mètres j'ai senti que ma cheville droite n'était pas du tout d'accord avec ce réglage. Deux arrêts plus tard, grâce au tournevis que j'avais glissé dans la sacoche en prévision, tout était rentré dans l'ordre. Au passage, une petite remontée de la tige de selle de 8mm arrangeait ma posture.

Au bout d'une trentaine de kilomètres, je décide de faire demi-tour, car les enfants seront rentrées de l'école avant moi. Nouvel arrêt pour changer l’assiette de la selle, qui me ramenait trop en avant. Deux crans d'inclinaison pour remonter le bec et c'est reparti.

Deux cyclo en carbone passent alors que je suis sur le point de repartir. Ils mènent un bon train de 35km/h environ, en se relayant, mais je m'efforce de les suivre, puis de les rejoindre. Quand je fais la jonction, ils prennent à gauche et moi tout droit, mais ce n'est pas grave, ils m'ont servi de lièvres sur une dizaines de kilomètres et je serai moins en retard que prévu.

Je ralenti l'allure, me contentant d'un 28km/h au petit compteur, récupéré avec plein d'autres trucs recyclés sur mon mulet. J'attaquais le calcul mental de ma cadence (sachant que ma roue déroule un peu plus de 2m et que mon braquet 50/21 donne un ratio d'un peu moins de 2,5, qu'elle est ma cadence à 28km/h ?), quand ma roue avant prend la tangente et que je me retrouve le nez dans la boue du caniveau.

Je me suis pris la roue dans ça :

C'est une cochonnerie de rail d'une voie dont je ne sais pas si elle sert encore à autre chose qu'à mettre les cyclistes par terre. Dans l'autre sens, montant, je n'ai pas eu de problème, l'angle est plus prononcé. Mais dans le sens du retour à Bordeaux, l'angle est faible et il faudrait faire un écart pour franchir ce rail en toute sécurité.

Je pense que je vais porter plainte contre l'aménageur, car la plaisanterie m'a coûté un cuissard long, mes chaussures toutes neuves bien éraflées, mon haut également. Heureusement le vélo n'a rien. Et je ne suis pas le premier à me gauffrer là, car j'ai trouvé des indices de chutes (un multi-outils, un morceau de feu arrière et un morceau de GB).

Retour un peu plus tranquille, pour une sortie de 2h environ et la ferme intention d'investir (l'argent que je n'ai pas) dans un casque ! (Et de pendre par les bijoux de famille le c... qui a laissé ces rails avec un angle pareil sans signaler le danger)

Ce genre d'accident m'est arrivé il y a une petite vingtaine d'année, quand j'étais étudiant, lors d'un entrainement de nuit.

La voie était utilisée, le casque a explosé et je suis resté assommé, le copain avec qui je roulais a eu le temps de me retirer de la voie, 2 ou 3 minutes avant le passage d'un train de marchandises  

Autant dire que je me méfie de ce genre de voie maintenant, parfois la vie tient à peu ...

J'espère que tu vas vraiment porter plainte : c'est un vrai scandale ! Chez moi il y a le tram parallèle à la route (quand il n'est pas en site protégé) et il m'est arrivé une fois de me prendre une gamelle avec mon vélo route en coinçant la roue dans le rail, habitué que j'étais à rouler en ville avec un VTT. Maintenant pour franchir ces machins je tends le bras et j'essaie de prendre les rails avec l'angle le plus grand possible.
Bon j'ai roulé aujourd'hui, malgré que je n'étais pas libre avant 15h 20 et que la météo m’annonçait une heure de pluie à partir de 16 h. Je me suis préparé en vitesse et à 15h 30 j'étais en train de rouler : ça mouillassait déjà, puis sur les premiers kilomètre de mon col une petite pluie s'est installée. Donc arrêt pour passer le coupe-vent imperméable, et en avant. La température au départ n'était que de 9 ° et elle est descendue régulièrement : au col à 1 200 m il ne faisait que 3,3° et la nuit commençait à descendre. Donc maillot jaune réglementaire, ma lumière arrière et ma frontale (l'autre lampe je l'ai laissée dans la sacoche)... Pendant que je m'équipais la pluie soudain est tombée plus fort... Elle s'est finalement quasi arrêtée arrivé en bas en ville. J'ai descendu assez prudemment, d'autant qu'à un endroit j'avais vu à l'aller que l'on avait mis du sable sur ce que j'ai supposé être une grosse fuite de mazout. Malgré ces conditions (dans les villages à la descente j'ai bien remarqué que les piétons me suivaient des yeux - admiratifs, goguenards ou simplement surpris, je ne sais pas - et les voitures qui me doublaient à la descente étaient remarquablement prudentes à mon égard), malgré ces conditions disais-je, ce fut une bonne sortie malgré un très léger mal aux doigts. J'ai remarqué aussi que mes chaussettes étaient mouillées malgré une paire de sur-chausses fines supposées étanches recouverte d'une autre paire plus épaisse en néoprène.
40,75 km et 751 m de dénivelé. Mais le dessous des semelles était sèche, ce qui est un progrès avec naguère depuis que j'ai amélioré l'étanchéité au niveau des cales (système cale intégré type SPD Shimano, des Time pour moi).

Hier, sorti prévue, je me prépare et au final je remets mon compteur sur le vélo... Enfin, je cherche à le remettre, car dans la pénombre je force un peu pour l'installer sur son support par rotation (compteur Sigma) et je m'aperçois que je l'ai installé à l'envers (tête en bas), et plus moyen de le retirer... J'essaie la douceur, j'insiste, j'essaie de le soulever tout en le faisant tourner, et je finis par prendre une pince, j'essaie doucement, un peu plus fort... et bien évidemment ce que je craignais arrive : je casse le support.
Du coup téléphone aux vélocistes locaux... pas en stock ! Seul Decamachin indique une disponibilité sur leur site internet, mais le magasin est loin et puis leur prix n'est pas gentil : différents sites marchands proposent l'article à moins cher, même en tenant compte du port. Finalement je prend commande (port à 1 €). Comme je suis sur l'ordi je commence à relever mon courrier, et de fil en aiguille je me démotive... Je n'irai pas rouler ce jour, pourtant le soleil brille un peu. Tant pis, j'en ai profité pour faire une série de choses que je repousse sans cesse.
Aujourd'hui donc, j'ai prévu de rouler en sortant du kiné. La séance prend plus de temps que prévue (un peu plus de travail personnel), puis je poste un courrier dans une administration (le tout à pieds), passe à la Poste pour récupérer un colis (pas arrivé)... Je n'irai donc pas trop loin trop longtemps car il est déjà 15 h. En fait je prévois deux cols quant même, mais dès les premiers kilomètres je me retrouve avec les muscles (quadri et mollets) douloureux, à tel point que je m’arrêterai trois fois, une fois dans une partie pas si terrible que cela où je peine avec mon 34/30 je vérifie même si mes roues ne sont pas bloquées par des freins mal réglés : mais non, tout baigne du côté mécanique.
Comme je suis parti sans mon compteur, il se peut que je sois monté un peu trop fort sur le début et qu'ensuite je l'ai payé. En tous cas cela fait des lustres que cela ne m'étais pas arrivé, avec de telles douleurs musculaires et une FC pas si haute que cela (mais avec mon entraînement mon cœur n'ai jamais le facteur limitant)... Je n'ai pas vraiment compris, j'étais reposé car cela faisait deux jours que je n'avais pas roulé... Alors sagement, arrivé au sommet je suis redescendu pour ne pas m'infliger une punition supplémentaire.
Il n'a pas fait trop froid, surtout avec le soleil, il y avait même encore des vaches dehors à 850 m d'altitude : faut dire que leur pré était d'un vert éclatant ! L'année passée à la même époque il y avait trente centimètres de neige... Enfin l'essentiel c'est que la neige soit tombée dans les Alpes, et un hiver sans ski de fond ne me gênerais pas, cela serait utile à la préparation du PBP (comme en 2011 où il avait très peu neigé).
Demain pas de vélo, notamment parce que c'est l'Assemblée Générale de mon club de ski et que je dois m'occuper de pas mal de choses... Je verrai samedi l'état du bonhomme...
41 km et 730 de dénivelé (comme d'hab.) FC moyenne 137, FC max 160 (mardi sur le même trajet 123 et 153, plus rapide effectivement même si la moyenne de mardi est minorée par une descente prudente de nuit sur route mouillée sans trop pédaler).

Troisième et quatrième sorties ce week-end.
Hier un parcours vallonné de 81 km avec 1 245 m de dénivelé, moyenne aux alentours de 23 km/h (je ne sais pas pourquoi, quand j'ai regardé mon compteur à la maison, les données jour étaient effacées (et l'horloge fautive !). J'ai d'ailleurs eu le même problème aujourd'hui, j'ai vu en entrant en ville que mon compteur s'était mis en mode " réglage " et toutes mes données jours étaient effacées et certaines données annuelles indiquaient des nombres aberrants : j'espère que ce n'est qu'un problème de piles... pas sûr toutefois, comme j'avais bloqué celui-ci (et cassé le support) il est possible que j'ai maintenant des faux contacts en ayant endommagé le plastique du compteur A vérifier.
Il faisait chaud (de 18 ° au minimum 12 ° vers la nuit à 800 m d'altitude !), j'ai un peu forcé et fini vite.
Aujourd'hui j'avais décidé de faire des cols. Je sors, c'est presque la fournaise (pour la saison), 20 ° et surtout le vent du sud  souffle très fort, avec des rafales : tant pis, je vais souffrir (mes cols montent vers le sud), je verrais si je maintiens mon programme ou si je l’allège...
Et bien j'ai souffert ! Souffert du vent bien sûr, mais aussi de la chaleur, malgré que je montais la veste et le maillot ouvert. Arrivé au col à 1 200 m j'ai décidé de descendre à gauche sur le barrage de la Rive pour remonter par la partie la plus difficile (un peu plus de 10 km pour 680 m de dénivelé, avec trois ou quatre kilomètres encore plus raides (8 % je crois) : c'est sur cette montée qu'il y a déjà longtemps j'avais vu Marco Pantani survolté lors d'un contre-la-montre du Tour de France. Et bien, sur les grosses rampes, vent de face j'ai beaucoup souffert (6 à 7 km/h par moments !). Mais on fini toujours par arriver en haut (13 ° du jamais vu à 17 h 45), j'ai mis le vêtement de sécurité, fermé quant même mes vêtements, gardé mes gants d'été, mis mes lumières et je suis redescendu.
Donc compteur qui déconne, mais sûr 62 km (je connais le parcours par cœur) et peut-être 2 h 45 mn sur le vélo. Dénivelé environ 1 450 m.
J'espère égoïstement que le froid et la neige vont revenir en montagne, comme un hiver normal, notre club de ski a besoin de remplir ses cars à destination des Alpes pour sa survie - jeune club sans trésor de guerre, on navigue à vue (un car à moitié rempli nous coûte un déficit de 500 € et annuler une sortie fera fuir nos adhérents). Je préfère rouler dans le froid et skier.
Je suis à 13 991 km cette saison (j'aimerai symboliquement arriver à 15 000) et 197 134 m de dénivelé (là aussi je me suis fixé la barrière des 200 km !). Il reste 7 semaines, cela devrai le faire, sauf si comme l'année passée jour pour jour il ne tombe pas 30 à 40 cm de neige en ville.

Ouf, Dodecaudax sauvé

J'avais un peu peur avec mon poignet qui n'est pas encore remis à 100% de la chute fin octobre, mais en profitant de ce beau dimanche j'ai pu le faire.

Départ vers 5h30 pour aller rouler autour de Longchamp (une crevaison avec 3 trous dans la meme roue, à cause d'abrutis qui ont jeté des bouteilles sur la piste cyclable ) soit 60Km et ensuite le brevet de Boulogne (86Km)

Comme il manquait des kilometres j'ai refais un tour dans la Chevreuse pour arriver au 200Km
8h de route et 40 minutes de pause (reparation, depart brevet, trouver de l'eau,...)

Rendez vous à Tours pour la prochaine manche

j'ai ressorti un bouquin qu'on m'avait offert il y a quelques temps:

http://www.amazon.fr/Fondamentaux-Cyclisme-Programmer-Gerer-Entrainement/dp/2851807501/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1417100375&sr=8-2&keywords=vaast+cyclisme

il propose des plan d'entrainement pour augmenter sa capacité d'endurance aérobie. me voilà donc cet après midi à fractionner sous le soleil breton !

http://connect.garmin.com/modern/activity/640739713

La mise au point de mon mulet continue.
Le sale temps et un peu de scrupule à aller faire du vélo plutôt que d'essayer de gagner ma vie m'ont retenu à la maison le WE et les premiers jours de la semaines.
Cependant, hier je n'avais pas de RDV avant 15h, donc j'ai décidé de faire une petite sortie dans l'entre deux mers.

Pour améliorer la stabilité du vélo, j'ai monté l'écarteur à l'envers, ce qui a descendu la sacoche de 5 ou 6 cm.
J'ai effectivement moins de shimmy.
J'ai roulé jusqu'à 55km/h (pas en montée !) sans me sentir en danger.

Autre progression de mon équipement, j'ai téléchargé mercredi soir sur mon vieux smartphone le logiciel oruxmap et un fond de carte du Sud-Est Bordelais. Après quelques essais infructueux, j'ai réussi à tracer un parcours sur openrunner et à le transférer sur oruxmap.

Donc hier, après avoir envoyé les gosses au collège et sorti mon pain au levain du four, vers 9h30 je suis parti en direction de Créon, mais sans prendre la piste cyclable qui mène à Sauveterre. Ne disposant pas d'un support de Smartphone, j'ai mis celui-ci dans la poche arrière de ma veste. Je l'avais d'abord mis dans la sacoche, mais les vibrations et les à-coups l'ont fait s'éteindre plusieurs fois (c'est un vieux Samsung qui est tombé de nombreuses fois et qui a la fâcheuse tendance à s'éteindre si il est secoué !).

Donc obligation de m'arrêter de temps en temps pour chercher ma route.
Avant et après Créon, la départementale que j'avais placée sur mon tracé était trop fréquentée pour circuler en toute sérénité, surtout avec le brouillard qui ne s'est pas dissipé avant 11h.
J'ai donc coupé par une autre route à un moment, gagnant un ou deux kilomètre mais surtout de la tranquillité.

Une fois sur les petites routes, entre les vignes et les bois, c'était très sympa. J'avais un peu mal aux pattes dans les côtes, mais j'étais satisfait d'avoir mis un 39 dents devant et terminé ma RL par 24 et 28.
D'ailleurs, je pense que je vais essayer un 25-30, puisque j'ai les pignons.
J'ai bien senti que je manquais de puissance pour les côtes et qu'il va me falloir travailler ça !
Cela étant, dès que ça ne montait plus, j'étais souvent sur le 50 dents, au milieu de ma RL (donc 19 dents), tournant les jambes à 80-90trm (je n'ai pas de compteur de fréquence, mais je me suis fait un tableau de correspondance vitesse/braquet).

À un moment, je me suis trompé de chemin. Quand je m'en suis rendu compte, j'étais dans une longue montée et je n'avais que la possibilité de faire demi tour, c'est à dire perdre ce gain d'altitude, ou trouver un moyen de reprendre ma trace par une autre voie. J'ai du coup un peu "jardiné".

Au final, j'ai fait 80km au lieu des 75 prévus. Mais malgré mes arrêts-navigation répétés et mes difficultés dans les côtes, j'ai mis 3h30 (en comptant les entrée et sortie de Bordeaux). Ce qui nous donne pile poil l'allure de 22,5km/h.

Avec mes deux premières petites sorties la semaine passée, ça me fait 180km en 10jours, plus peut-être 100 en ville avec mon porteur.

Je pense que je vais retourner dans l'entre deux explorer les petites routes et perfectionner mon usage du GPS.
L'idée, c'est à la fois de profiter de la variété des profils et aussi de définir des parcours types, sur lesquels je pourrai mesurer la progression de mes temps.

Pas mal !
Pour le sac de guidon, le plus pénible pour moi c'est à l'arrêt au feu, la roue tourne, j'ai été obligé de prendre l'habitude de la caler. Sinon, même chargée pas de soucis. On s'habitue - je ne lâche jamais le guidon - et en faisant un essai sur mon mulet avec une nouvelle roue, je n'avais exceptionnellement pas pris le sac, et j'ai trouvé l'avant instable ! Je me suis donc habitué à l'inertie d'un guidon plus lourd.
Attention à ton vieux smartphone, dans la poche dorsale il risque de ne pas apprécier la transpiration !

Une sortie aujourd'hui, et c'est seulement la deuxième de la semaine, ayant eu diverses obligations.
Grisaille, le vent est tombé, par contre la température commence à chuter (10 ° au départ, 7 ° minimum) avant une grosse baisse prévue à partir de lundi : donc mon dodécaudax de décembre sera un peu plus difficile.
Rien de particulier sur cette sortie, pas trop de voitures et encore quelques cyclistes (mais pas de club, des solitaires ou des couples). Je suis parti à 15 h, toujours dans l'optique ( ) de rouler de nuit sur la moitié de la sortie, une fois de plus en n'utilisant à l'avant que ma frontale, mise au maximum - pas de problème d'autonomie - surtout sur de petites routes piégeuses, en parties descendantes et avec peu de traces réfléchissantes. L'avantage de ma frontale (même si théoriquement je ne suis pas en conformité avec le Code de la Route, les frontales n'existant pas lors du dernier changement concernant les lumières du cycliste) est quelle est très puissante et qu'il me suffit de légèrement tourner et baisser la tête pour ne pas éblouir l'automobiliste qui vient en face ou qui me double, et qu'il suffit au contraire de le regarder droit dans les yeux pour qu'il se mette en code. L'autre jour avec ma frontale je me suis retrouvé à l'entrée de la ville avec deux motards de la Gendarmerie et ils ne m'ont pas accordé d'attention particulière. Par contre, en ville il y a encore des cyclistes sans lumière... mais cela fait longtemps que je n'en ai pas vu hors agglomération non éclairés et sans veste de sécurité. D'un autre côté, les cyclistes qui roulent volontairement de nuit sont quasi inexistants... Dans mon coin je dois passer pour un extra-terrestre, vu la réaction que je saisi du coin de l’œil quand je traverse les villages... Tout à l'heure même j'ai eu l'impression en descente que la voiture derrière moi qui ne doublait pas restait pour m'éclairer : cela arrive, je pense que ce sont peut-être des cyclistes ; ainsi je me souviens d'avoir fait les vingt derniers kilomètres du Défi des Fondus de l'Ubaye il y a trois ou quatre ans, en compagnie d'un autre cycliste, éclairés par une voiture qui ne nous avait quittés qu'à l'arrivée de Bercelonnette. On s'était dits "  sympa ", ensuite à l'arrivée on avait compris que cela était une attention de l'organisation car quelques dizaines de minutes avant nous un couple avait été envoyé à l'hôpital (pas trop grave mais deux vélos explosés) par un chauffard qui avait pris la fuite...
90 km, 1 424 m de D+ et 21,27 km/h de moyenne, ce qui n'est pas si mal compte-tenu du fait que j'ai roulé près de deux heures de nuit, et que de ce fait je n'ai pas été très rapide dans les descentes. J'utilise toujours mon mulet, je n'ai pas encore commencé le remontage de mon carbone. Comme je l'ai dit, cela ne sera pas rapide, puisque je vais changer toute les gaines (pas encore achetées), graisser si faire se peut tous les roulements, rentrer les gaines dans le guidon (bien ch... comme opération), etc. De toute façon mon premier BRM (déjà inscrit) aura lieu au départ de Grenoble le 22 février (un 200 bien sûr qui devrait être mon 24ème dodécaudax).
J'arrive à 199 298 m de Dénivelé, donc je devrai dépasser les 200 km cette saison, ce que Brigitte (du Team Mont Ventoux) appelle doubler la Kármán line (elle-même l'a triplé cette saison).

sccber a écrit:

D'un autre côté, les cyclistes qui roulent volontairement de nuit sont quasi inexistants... Dans mon coin je dois passer pour un extra-terrestre, [...] j'ai eu l'impression en descente que la voiture derrière moi qui ne doublait pas restait pour m'éclairer [....]

Question de mon épouse cette semaine : T'en croise d'autres, des cyclistes, la nuit ?! - Heu... ben non...

Mardi soir, j'ai été suivi sur plusieurs km par une voiture qui refusait de me doubler malgré mes signes "passe devant" : J'ai quand même flippé un peu... Était-ce un acte de bienveillance, un poivrot qui n'a pas voulu prendre de risque en doublant, un papy Mougeot pour qui mes 20 km/h suffisait amplement... Il a fini par changer de route.

Ceci dit, je reste un adepte du roulage de nuit : Les voitures font plus attention, se déportent plus pour dépasser (il faut juste partir après 20h, quand les travailleurs sont de retour chez eux...) rares sont les phares oubliés qui gênent (je baisse la tête pour regarder devant ma roue, allume la frontale pour déboucher la zone d'ombre proche du vélo et voir la berne, ça le fait...), et rouler dans le noir, sous un ciel étoilé, je trouve ça toujours un peu magique... (oui, j'ai déjà failli chuter en cherchant une constellation... ).

Mon premier 200 km 

profitant d'une météo très clémente samedi sur la Bretagne je suis parti vers 8h, avec pour objectif de boucler mon premier 200 km.
Deux bidons remplis de boisson de l'effort, un sac à dos light avec deux sandwich et des barres et autres gels, lumières avant et arrière "pour être vu", chasuble fluo et c'est parti !

Direction le mont saint Michel puis piquée vers le sud pour rattraper la route du PBP après Fougères. j'ai suivi cette route jusqu'à Saint Pern. Puis retour à la maison. 201 km au compteur, et un cri de joie lancé dans la campagne quand le compteur a affiché 200 !!!

Ce fut une belle journée de vélo. je suis resté assez frais. Il faut dire que j'ai vraiment roulé en dedans, freinant mes pulsions de coursier ! Il faut savoir tirer moins fort en côte, attendre patiemment. c'était vraiment très intéressant.
Vous pouvez voir le parcours ici:
http://connect.garmin.com/modern/activity/641866470

en bref:
vélo: canyon ultimate al
départ: 8h15
arrivée: 16h45
moyenne en roulant: 24.7 km/h
D+: 1507 m

querex a écrit:

Mon premier 200 km 

profitant d'une météo très clémente samedi sur la Bretagne je suis parti vers 8h, avec pour objectif de boucler mon premier 200 km.
Deux bidons remplis de boisson de l'effort, un sac à dos light avec deux sandwich et des barres et autres gels, lumières avant et arrière "pour être vu", chasuble fluo et c'est parti !

Direction le mont saint Michel puis piquée vers le sud pour rattraper la route du PBP après Fougères. j'ai suivi cette route jusqu'à Saint Pern. Puis retour à la maison. 201 km au compteur, et un cri de joie lancé dans la campagne quand le compteur a affiché 200 !!!

Ce fut une belle journée de vélo. je suis resté assez frais. Il faut dire que j'ai vraiment roulé en dedans, freinant mes pulsions de coursier ! Il faut savoir tirer moins fort en côte, attendre patiemment. c'était vraiment très intéressant.
Vous pouvez voir le parcours ici:
http://connect.garmin.com/modern/activity/641866470

en bref:
vélo: canyon ultimate al
départ: 8h15
arrivée: 16h45
moyenne en roulant: 24.7 km/h
D+: 1507 m

Félicitation alors 

presspuree a écrit:

sccber a écrit:

D'un autre côté, les cyclistes qui roulent volontairement de nuit sont quasi inexistants... Dans mon coin je dois passer pour un extra-terrestre, [...] j'ai eu l'impression en descente que la voiture derrière moi qui ne doublait pas restait pour m'éclairer [....]

Question de mon épouse cette semaine : T'en croise d'autres, des cyclistes, la nuit ?! - Heu... ben non...

Mardi soir, j'ai été suivi sur plusieurs km par une voiture qui refusait de me doubler malgré mes signes "passe devant" : J'ai quand même flippé un peu... Était-ce un acte de bienveillance, un poivrot qui n'a pas voulu prendre de risque en doublant, un papy Mougeot pour qui mes 20 km/h suffisait amplement... Il a fini par changer de route.

Ceci dit, je reste un adepte du roulage de nuit : Les voitures font plus attention, se déportent plus pour dépasser (il faut juste partir après 20h, quand les travailleurs sont de retour chez eux...) rares sont les phares oubliés qui gênent (je baisse la tête pour regarder devant ma roue, allume la frontale pour déboucher la zone d'ombre proche du vélo et voir la berne, ça le fait...), et rouler dans le noir, sous un ciel étoilé, je trouve ça toujours un peu magique... (oui, j'ai déjà failli chuter en cherchant une constellation... ).

J aime bien roulé de nuit surtout a cette époque.
Moins de vent, plus chaud que le matin .
Le gens font plus attention.
Ca habitue aussi a ne pas voir le dénivelé et a ce fixer sur ses sensations.
En plus en travaillant de matin, je peux faire une siestoune avant de partir rouler

Ce matin, départ de la maison à 10h passée, donc pas question de faire trop long.
Je suis allé m'essayer à une des cotes célèbres du coin : le petit Tourmalet.
Euh... c'est un nom un peu présomptueux à mon gout, mais on fait avec ce qu'on a !
C'est pas les Pyrénées ici.
Donc une sortie de 55km en 2h03.
Avec quelques occasions de me mettre en danseuse.

Et cet aprem, 10km aller et 10km retour avec mon vélo porteur, pour rejoindre le vélodrome et m'essayer pour la première fois à la piste, durant une vingtaine de minutes.
C'est génial !
Je sens que je vais m'offrir quelques séances d'initiation en open cet hiver...

Bonjour à tous,

Voilà 10 ans sans VTT. Mais j'ai rechuté aujourd'hui alors que je me croyais désintoxiqué 
Je dois rouler pour le Téléthon samedi prochain dans un 100km en relais. 
Mon copain Jean Pierre m'a prêté son Cannondale et hop c'est parti. 55km dans les bois c'était super.
C'est vrai que c'est cool le VTT!
David

Bon, pour la longue distance, il va falloir attendre encore un peu.
69km avec 755m de d+ à 23km/h de moyenne.
Je suis parti tard (15h45), donc j'ai du écourter au jour finissant.
Me suis encore un peu perdu, ce qui casse le rythme et la moyenne (mais on va dire que je le fais exprès pour découvrir la région ).
J'avais mis mon bô casque tout neuf.
Ce n'était pas de trop par dessus le bonnet pour tenir dans le froid et la petite pluie.
Mais bon, content, un peu fatigué, l'appétit grand ouvert, je vais bien dormir !
Et demain je vais aller taper la causette avec Poupou, qui est en séance de dédicace à Bordeaux et qui doit apparaitre dans mon film sur Thévenet l'an prochain.

Bonjour à tous;
court : 1h10
simple : un pignon fixe
physique : quelques montées en fréquence

Une séance qui en vaut bien une autre.

Bonne route à tous

J'ai fait hier mon Dodécaudax de décembre dans des conditions météo très moyennes. J'ai fait un petit compte-rendu sur celle-ci dans la rubrique Dodécaudax " 200 km mais cinq départements ".
200 km et 2715 m de dénivelé.
J'atteins 202 118 m de dénivelé et 14 294 km depuis janvier.