le" douze cents du massif central" du 25 au 29 juillet 2016

Bravo Yvan pour la réalisation du 12-cent et merci pour ton compte-rendu !
Merci à tous les rédacteurs, cars c'est un réel plaisir de partager ces moments de vie rares et intenses ...
Ils prolongent nos exploits et nos rêves ...

Vivement la prochaine édition, car l'envi me gagne ... 
Deux semaines après avoir terminé l'Ours Cathare je suis déjà en manque   ...

Amicalement

Bravo Yvan !

Tu dois randonner avec un dictaphone pour avoir un CR aussi précis et détaillé !

-6 kg pour le vélo et aussi - 6 pour le cyclo ! l'affûtage parfait...

Superbe aventure Yvan, c'est ce genre de CR qui me donne encore plus envie de me lancer dans la longue distance 

admin a écrit:

J'ai enfin terminé mon cr...
http://superandonneur.fr/douze_cents_2016.htm

A bientôt

Récit passionnant et agrémenté de quelques photos évocatrices.
Un grand bravo, Yvan, pour ta prestation sportive. Y a pas à dire, 12 kg de moins sur l'ensemble vélo + bonhomme, ça aide bien sur un tel parcours ... Et puis ta forme était pratiquement au top !
Une belle revanche sur 2012 !

Merci à tous

Portocéan a écrit:

Tu dois randonner avec un dictaphone pour avoir un CR aussi précis et détaillé !

Non pas de dictaphone. Avec un fichier de gps, l'outil informatique et des photos tout est possible. Croyez moi je n'ai pas une très grande mémoire

Tous ces CRs sont riches d'enseignements. J'ajoute que le tien m'impressionne, car malgré ton potentiel, on comprend très bien que tu en as aussi bavé. Comme pour chaque épreuve d'ultra distance, au-delà des capacités physiques, il faut vraiment imprimer l'objectif mentalement. Et ce n'est pas forcément aussi évident à mettre en place qu'une préparation physique structurée.

Juillet  2012
Alain SEVERIN et moi finissons tout juste dans les délais de cette première édition.
Comme souvent les cent derniers kilomètres d’un BRM de LD me semblent interminables. Celui-ci n’échappe pas à la règle ! Mais pourquoi le revêtement est il aussi rugueux et le profil si plat? Enfin c’est l’arrivée et Pascale et Jean Pierre MARY les organisateurs peuvent vraiment faire descendre la pression.
 
25 juillet  2016
Départ déporté à VEIGNE pour cette seconde (deuxième) édition grâce à l’accueil du club local et au maire. 
Si le nombre d’inscrits fond à l’approche de la date de départ, la  motivation des 51 (pour 49 en 2012) partants n’est pas moins évidente. 
Séance photo de Pascale MARY pour immortaliser tous les participants, qui n’est pas sans me rappeler celle du service militaire avec carton en main.
Ne pouvant supporter les sandales, Marcel LECOEUR a découpé le bout de ses chaussures traditionnelles pour avoir les orteils à l’air libre. Repas « pasta » pris en commun en deux services selon l’horaire de départ permet d’avoir des nouvelles de certains. Et de constater que les machines semblent plus être faites pour une sortie dominicale que pour un 1200 bornes en autonomie.
Outre les recommandations d’usage formulées par  JP MARY, la mémoire de Richard ELLIS fait l’objet d’une minute de silence. Peu des participants le connaissent, même si le milieu des randonneurs est restreint. J’ai rencontré ce chaleureux randonneur anglais à  plusieurs reprises dans des randonnées  de même gabarit  (dont le 1000 du SUD cher à Sophie  MATTER sa géniale créatrice), et son éternel sourire manquera.
Ma meilleure façon de lui  rendre hommage sera de réussir cette deuxième édition.
Je pars dans le premier des trois pelotons distincts. « Privilège » des inscrits de la première heure.  Le vent favorable nous permet (dans un groupe de six qui semble pouvoir aller de concert au bout de la nuit) de rallier LE BLANC à bonne allure. Très bonne initiative que de nous faire partir une heure plus tôt qu’en 2012. Chacun semble ne pas trop vouloir repartir rapidement, je bats le rappel.
Peu après, les  six catalans nous enrhument. Ils ne portent quasiment rien sur leurs montures. Plus tard dans la nuit, Stéphane GIBON et deux de ses compagnons de route  de nous  rejoindre, Christian MATARD et moi,  pour la photo du deuxième contrôle. Bref arrêt à la station service, mais pas pour faire le plein plutôt pour vider ce que vous savez. BOURGANEUF est donc traversée de nuit.
Stéphane GIBON a l’oeil car le contrôle se tient sur un parking en contrebas de la route.
Cette année, outre Pascale et Jean Pierre dans leur van, un couple avec un immense camping car exercera la lourde tâche de nous contrôler et ravitailler. Même si le réglementé indique une complète autonomie pour les participants papa poule Jean Pierre cocoone toujours ses riders.
La matinée  de mardi se déroule sous un manteau de brume. Ce qui n’et pas pour déplaire aussi à Didier HUME qui nous rejoint pour une halte petit déjeuner à  MAURIAC. 
Nicolas EIBNER un habitué en VC nous rejoint avant LE FALJOUX  mais semble un peu à la peine dans ce toboggan. 
Le Pas de PEYROL n’a pas changé son final. La plupart d’entre nous auront fait l’honneur du pied sauf Didier HUME qui m’en informa le lendemain. Il aura fait mieux qu’en 2012.
Pascale et Jean Pierre MARY nous contrôlent et ravitaillent au sommet. 
Au bout de la descente arrêt ravitaillement dans la même supérette qu’en 2012  il faut passer la nuit le mieux rassasié possible (je parle là de denrée nourricière pas de dénivellation). Regroupement dans la traversée d’AURILLAC et ARPAJON SUR CERE. Ainsi, Luc DUMONT SAINT PRIEST, Gilles ESSELIN seront très temporairement avec nous. 
Bien vite, les rampes post aurillacoises remettront les binômes en place pour une nouvelle nuit quasi sans sommeil pour espérer finir dans les temps.
Avant d’entamer un nouveau raidard au sortir d’un petit village, j’aperçois un vélo sur le côté. Ni une  ni deux, je m’arrête pensant m’arrêter pour remplir les bidons et repartir. Mais Christian MATARD ne m’a pas vu ni entendu, il file son train. Luc  DUMONT  et   Didier HUME sont attablés dans le petit jardin d’une maison de retraités. Je ne comprend pas dans un premier temps et me contente d’avaler vite fait un pot de gâteau de riz.  Didier, me dit qu’il leur est préparé à manger! Je demande si je peux me joindre à eux. Réponse affirmative de la dame qui fait cuire des nouilles alors que son mari sort force pâté de lièvre et pain de campagne. Luc se fera fort de finir le plat de pâtes, beau coup de fourchette et de pédales que ce gars là ! Ce n’est qu’après un fromage de brebis bio mais de bonne densité et d’un café que nos hôtes nous laisseront repartir. Surement, un sacré souvenir pour nous trois.
 
Je retrouve  Christian MATARD, et roulons à nouveau de concert jusqu’à ESPALION. Un petit banc nous servira de couchage pour une heure de mauvais repos. Quel inconfort que de se tordre le buste pour trouver appui sur l’accoudoir!  Nous reprenons vaille que vaille la route. SEVERAC LE CHATEAU se profile. LAPANOUSE DE VERAC est atteinte. Un restaurant routier (L’IMPREVU) est déjà ouvert, il est à peine quatre heures passées. Arrêt bien apprécié, qu’on en juge : petit déjeuner au chaud et luxe suprême douche possible. De quoi éliminer la sueur de ces trente premières heures de route. Christian  MATARD et moi y succombons avec délice. Quel mélange que les routiers sortant de leur camion et nous randonneurs de peu. Regroupement de quelques autres participants dont Stéphane GIBON.
Le jour est bien levé alors que nous franchissons le col de SAINT ROME DE DOLAN à  909 m avant de plonger dans les gorges du Tarn et LES VIGNES. La vue est toujours aussi impressionnante. Séance déshabillage au sortir de LES VIGNES. Christian MATARD sans doute ému par tant de beautés naturelles ne peut déclipser à temps et chute. Heureusement quasi à l’arrêt. Mon vélo en profite pour s’enrouler autour d’un poteau de signalisation, ce qui le marquera un peu plus. La petite commune de SAINT PIERRE DES TRIPIERS et ses terrasses sont toujours aussi belles. MEYRUIES  et sa supérette comme en 2012 permet de refaire les niveaux. Christian MATARD tient à ce que nous profitions du soleil pour avaler rapidement nos salades composées, yaourts et autres fruits.  Il est bientôt l’heure de manger pour la plupart des vacanciers, mais pas celle de cesser de rouler pour des randonneurs que le manque de sommeil et la chaleur commencent à éprouver (en tout c’est mon cas). Une fois encore, je ne peux que laisser s’éloigner Christian MATARD dans la montée vers le mont AIGOUAL. Curieusement, je serais au sommet avant lui. Le panneau du col de PARJURET l’a trompé. Il fait grand vent et nous ne nous attardons donc pas. Tout comme Pascale et Jean Pierre MARY qui se caillent aussi. Je poursuis avec Christian MATARD.
La descente vers FLORAC via CABRILLAC puis ROUSSES est bien secouante (pas moins qu’il y a quatre ans). FLORAC sera aussi un lieu de ravitaillement. Marcel LECOEUR et son compagnon de route de RENNES nous rejoignent. Marcel file à la  poste pour envoyer son change. Je profite des toilettes publiques, celles du café sont  HS.
Pont de MONVERT : nouveau contrôle via Pascale et Jean Pierre MARY. Une heure d’arrêt au total pour que Christian MATARD et moi  refassions les niveaux en solides et liquides. Cette fois, il accepte que nous mangions à l’ombre. Durant la montée du col de  FINIELS, les deux VC nous enrhument.  Nicolas EIBNER  m’affirmera plus tard avoir été au maximum possible pour suivre Kim. Un  BACCHETTA monte aussi bien qu’un META! Petit aparté pour les potentiels lecteurs du forum des rubans jaunes! Le vent au sommet oblige à se vêtir et à profiter de l’ouverture tardive  (20 heures) de la supérette du  BLEYMARD. Les deux VC profitent du restaurant tout proche. La montée suivante toute  en espalier vers le col de la  Pierre Plantée m’y  laissera tout autant. Christian MATARD  reste avec moi malgré ses meilleures qualités de grimpeur et nous laissons filer Marcel LECOEUR et le rennais. Objectif : tenir jusqu’à SAINT CHELY D’APCHER. Que les descentes sont fraiches, malgré m’être vêtu de toute ma garde robe. Mais comme pour le mille du sud, si j’ai froid c’est que je vais vite, on se réconforte comme on peut.
La fraîcheur ne m’empêchera cependant pas de piquer du nez et en pleine descente de surcroît.  Quand l’inconscience me (nous ?) rend comme de primitifs êtres tendus vers la proie sans souci pour un tout autre risque pourtant tout proche. Un abri bus servira de refuge pour 90  minutes de repos. Une première : je gonfle un matelas, l’âge venant le confort prime sur le gain de poids. Non, Stéphane GIBON, ce n’est point un « agglo » que ma sacoche contient. Peu avant le réveil par téléphone (allusion à  SCHMOLL pour les anciens), les tremblements  me réveillent. Situation que je ne connais que trop. Avant que de repartir, je hèle un randonneur. Qui s’avérera être britannique. Espérant rouler à trois, il s’arrête en fait dormir trouvant finalement notre abri bus accueillant.  Si d’ordinaire (doux euphémisme), je refais cette randonnée, je tâcherais de poursuivre jusqu’à LOUBARESSE car ainsi, je m’éviterais les descentes de nuit mais surtout la fraîcheur des vallées du Lot et de la TRUYERE pour repartir. Marcel LECOUER et son rennais  d’infortune (?) se restaurent. Compte tenu de l’avance sur le timing 2012, point de petit déjeuner à  l’hôtel L’ETAPE de SAINT FLOUR. Par contre, belle montée pour rejoindre la route vers ALLANCHE. Comme quoi nous ne sommes jamais bien éloignés les uns des autres, les deux VC passent devant nous  (petite erreur de navigation nous concernant).  Petit arrêt repos souhaité par Christian MATARD que nous effectuerons à NEUSSARGUES MOISSAC devant la poste. Il faut admettre que depuis la nuit dernière, je sors d’un rêve soit en parlant à Christian MATARD qui n’y comprend goutte, soit je suis persuadé rouler de concert, alors que 150 mètres nous séparent. Saint Christophe doit continuer à veiller sur moi sans aucun doute. 
ALLANCHE, sa boulangerie, son café ouvert avant 7  heures outre le pointage du carnet de route, fait notre bonheur. Nous y retrouvons Marcel LECOEUR et son collègue rennais. Un habitué fait remplir son verre de rosé. Roulant désormais à nouveau seul, je traverse MONTGRELEIX lieu d’un repas fabuleux pris avec Alain SÉVERIN en 2012. Cette fois, trop tôt pour manger. Je poursuis donc vers le col de la CHAMOUNE.
BESSE EN CHANDESSE se découvre dans le fond de la vallée. Arrêt supérette alors que Marcel LECOEUR et le rennais sortent d’un restaurant estomac rempli. 
Malgré tout, je ne monterais pas à la Croix SAINT ROBERT, le ventre vide, une omelette montagnarde (avec force pommes de terre et jambon de montagne) me calera bien. Trop en fait, car la montée ne suffira pas à  ma bonne digestion.
Au sommet, je retrouve Raymond SALOMON, nous entamons la descente ensemble sans auparavant avoir pu échappé à la photo souvenir par JP. Piètre  descendeur, je le laisse filer.
LA BOURBOULE, ses rues cahoteuses ne me laissera pas un souvenir impérissable. 
LAQUEUILLE GARE me cueille, je suis littéralement planté sur le bitume. Marcel LECOEUR et son rennais me laissent sur place, je leur fais alors part de mon doute de rejoindre VEIGNE à temps. Dans HERMENT, je retrouve Christian MATARD qui vient de faire un arrêt dodo. Peu avant,  arrêt dans BRIFFONS profitant d’un marchand ambulant, je ne peux cependant pas avaler le taboulé. Ne me reste que le  yaourt liquide que trouve à son gré  mon estomac. Pas bien engagé le gars à cet instant. GIAT – qu’Alan SÉVERIN et moi avions trouvé bien reconstituant le menu  sur le pouce du restaurant- est traversé sans perdre une seconde. Christian MATARD  roule en tête et il me faut le suivre coûte que coûte. Dans  CROCQ, je ne les ai pas encore. Dans la descente qui suit la VILLETELLE, un cri me surprend. Quoi un contrôle secret alors que je file pleine balle, flûte alors!
Philippe MERLIN repart avec nous. Mais Christian  MATARD doit faire demi tour. En grande discussion avec les propriétaires du grand camping car, il en  a oublié son sac à dos ! Superbe descente que ce ruban qui nous mène à AUBUSSON et quel plaisir! Philippe MERLIN et moi trouvons le centre ville, mais en cette période de vacances, la pizzeria ne peut nous prendre la commande avant une heure de temps. Tant pis, nous nous rabattons sur le croque monsieur tout proche. En fin de repas, Christian MATARD nous rejoint, nous repartirons donc à trois pour la nuit. Avant la ROCHETTE, Nicolas EIBNER nous rejoint, mais nous laisse vite sur place. Pas de nouvelle de Kim, l’autre VCiste. Semble t’il,  il a sous estimé la difficulté de tenir le rythme.
 
Troisième nuit. Christian MATARD  compte s’arrêter, Philippe MERLIN déclarant pouvoir tenir sans dormir, je poursuis donc avec lui, qui peut être plus sage, effectuera deux arrêts dans la nuit. Il faut dire que nous n’avançons absolument pas. Même pas 10 km/h au GPS. Est ce que cela a un sens de poursuivre ainsi? Partant du principe qui n’avance pas, recule, nous poursuivons. Nouvelle rencontre avec Gilles ESSELIN toujours seul (un effet de son patronyme ?). AIGURANDE, sa place, sa rue principale en travaux et son cimetière en sortie.
Quel souvenir n’est ce pas Alain SÉVERIN? 
Au petit matin, Christian MATARD et Philippe MERLIN me semblent  un peu traîner et je tâche de relancer, mais ils ne suivent pas.  Encore une fois, bien lancé je dois faire demi tour. JP qui a veillé  toute la nuit pointe et ravitaille. 
SAINT GAUTHIER franchi, un long ruban plat, permet à Nicolas EIBNER de montrer la capacité de relance d’un VC à deux rouleurs.
MEZIERES EN BRENNE m’a semblé moins pénible à atteindre, même si la piètre qualité du revêtement met à  mal mes appuis. Regroupement au café, Nicolas EIBNER, Raymond SALOMON, Gilles ESSELIN  entre autres, chacun sent que le bout  proche est tenu par le bon. 
Un camarade de TOURS de Christian MATARD est venu l’accompagner. Il me rappelle notre rencontre lors d’un 400 effectué de concert en  NORMANDIE. Ces deux là ont des fourmis dans les jambes et carburent à plein. Philippe MERLIN m’attend bien que je lui pressente la même envie d’enrouler. Raymond SALOMON nous rejoint, et il agrémente  les kilomètres de chanson. Passé  CHATILLON SUR INDRE, le final est ressenti comme interminable pour ma part. 
Dans  CORMERY, Philippe MERLIN  et Raymond SALOMON divergent sur le cap à suivre. Sur de moi, je tâche de les mettre d’accord. Finalement, trois petites nouvelles hésitations plus tard, nous sommes à l’approche de COURTY. Peu avant VEIGNE, nous croisons Luc DUMONT SAINT PRIEST (le dénicheur de repas en rase campagne !)  qui  file prendre le train, sans toutefois omettre de nous souhaiter bon retour.
Raymond SALOMON tient à ce que nous arrivions sur une même ligne, comme la patrouille de France dit il. Merci à lui, car il a maintenu le rythme sur les 50 derniers.
Nous hésiterons à rentrer dans le gymnase en vélo. JP est vanné mais ravi de voir son ratio des finisseurs augmenter d’un coup  de trois unités. 30 sur 51 (pour 19 sur 49 en 2012). Chaque unité compte. Yvan LUCCHINI, Didier HUME et Stéphane GIBON sont arrivés dans la nuit. Mais quels cernes pour les deux premiers. Stéphane GIBON lui a dormi à l’hôtel  chaque nuit ce, six heures. Preuve de sacrées capacités sans doute liées à son jeune âge.  Nicolas EIBNER est une nouvelle fois le premier VCiste à accomplir le parcours dans le délai. Le fixie a du abandonner pédale cassée. Pascal BRIDE a  du renoncer pour gérer un problème personnel.
 
Remerciements :
En premier lieu : à Pascale, Jean Pierre, le staff, le président du club de VEIGNE pour son accueil tant au départ qu’à l’arrivée, le maire de VEIGNE, 
Alain SÉVERIN dont j’ai rendu les sous gants un peu sales suite à de multiples recherches du quatrième  plateau dans  les nuits et qui n’a jamais douté que je rentre dans les délais (cela a t’il fait l’objet d’un pari entre lui et JP ?).
Christian  MATARD, Philippe MERLIN avec qui j’ai roulé une grande partie du temps.
A France INTER  qui a la bonne idée de rediffuser en fin de nuit une émission sur  Georges BRASSENS me permettant de passer chaque petit jour.  


 

 
 
Quelques chiffres :
1225 km 89 H45 dont 70 h 20 de roulage,17032 D+ (selon OPENRUNNER: 15780 m).
17, 42 de moyenne roulante.

Bravo, Pascal, pour ce récit qui nous tient en haleine jusqu'au bout (et aussi pour sa réussite bien sûr) ... Tu es la preuve vivante qu'on ne doit jamais rien lâcher dans ce type de brevet plutôt "hard".
Je constate que tu as progressé de 15 min en 4 ans. Tu es comme le bon vin, tu t'améliores en vieillissant.
Bon 1000 du Sud.
Jean-Claude

Bravo également pour avoir bouclé la boucle dans les délais impartis. Certes , çà donne envie mais çà rend lucide!

Bravo Pascal !
Peut-être manchot mais pas cul-de-jatte !

J'imagine le Mont Aigoual à grimper au milieu d'un 1200... toujours du vent là-bas.

Et cette culture musicale !

Peu avant le réveil par téléphone (allusion à  SCHMOLL pour les anciens), les tremblements  me réveillent.


Traduisons pour les jeunots du forum...



https://www.youtube.com/watch?v=VIii2ouEuT4

lmvv a écrit:

Bravo, Pascal, pour ce récit qui nous tient en haleine jusqu'au bout (et aussi pour sa réussite bien sûr) ... Tu es la preuve vivante qu'on ne doit jamais rien lâcher dans ce type de brevet plutôt "hard".
Je constate que tu as progressé de 15 min en 4 ans. Tu es comme le bon vin, tu t'améliores en vieillissant.
Bon 1000 du Sud.
Jean-Claude

A contrario, le parcours faisait tout de même 18 km de loin.
En conclusion, mon avance sur ma précédente tentative a fondu sur les cent derniers km.

bubu14 a écrit:

Bravo également pour avoir bouclé la boucle dans les délais impartis. Certes , çà donne envie mais çà rend lucide!

Pour ce qui est de donner envie, je n'en doute pas, par contre la lucidité me manque parfois pour continuer à avancer malgré les coups de barres qu'ils surviennent de jour ou de nuit.

pascalb a écrit:

Quelques chiffres :
1225 km 89 H45 dont 70 h 20 de roulage,17032 D+ (selon OPENRUNNER: 15780 m).

Merci Pascal pour ton compte-rendu. Cela me rappelle beaucoup de bons souvenirs. Ce 1200 était magnifique, moi qui ne connaissais pas le Massif Central sur cette partie, Plateau des Millevaches, St-Flour, La Bourboule, j'ai été gâté. Mais je ne pensais pas qu'il y avait autant de dénivelé
Bon repos avant le 1000 du sud, J'irai à la rencontre des participants vers Ste-Jalle.

Merci aux félicitations de Diago 41, malheureusement, je ne mets pas de visage sur vos pseudos, pour certains
          
PS : j'espère que tu n'es plus enrhumé

Quel plaisir de te lire Pascal.... Beau récit

Félicitations Pascal pour ta performance et pour ton récit qui nous fait bien ressentir que ce brevet est un très gros morceau.... mais c'est vrai que tu es un habitué de ce genre de défis !
Quand je pense que tu vas remettre ça dans quelques jours  dans le 1000 du Sud ....
admiratif !

Albatros a écrit:

Félicitations Pascal pour ta performance et pour ton récit qui nous fait bien ressentir que ce brevet est un très gros morceau.... mais c'est vrai que tu es un habitué de ce genre de défis !
Quand je pense que tu vas remettre ça dans quelques jours  dans le 1000 du Sud ....
admiratif !

Je suis loin d'être le seul à enchainer! 
Mais c'est la même chose chaque année, grosse interrogation : sur quoi je me lance encore? Boule au ventre avant le départ, puis un plaisir immense de pouvoir rouler en regard de la souffrance de bien d'autres!

pimprenelle a écrit:

pascalb a écrit:

Quelques chiffres :
1225 km 89 H45 dont 70 h 20 de roulage,17032 D+ (selon OPENRUNNER: 15780 m).

Merci Pascal pour ton compte-rendu. Cela me rappelle beaucoup de bons souvenirs. Ce 1200 était magnifique, moi qui ne connaissais pas le Massif Central sur cette partie, Plateau des Millevaches, St-Flour, La Bourboule, j'ai été gâté. Mais je ne pensais pas qu'il y avait autant de dénivelé
Bon repos avant le 1000 du sud, J'irai à la rencontre des participants vers Ste-Jalle.

Merci aux félicitations de Diago 41, malheureusement, je ne mets pas de visage sur vos pseudos, pour certains
          
PS : j'espère que tu n'es plus enrhumé

Nicolas, bien d'autres occasions j'espère à vivre avec toi pour me faire enrhumer le plus longtemps possible!

bonjour

Pour les candidats au Randonneurs 10 000 les n° d'homologation du Douze-Cents sont arrivés.
Vous recevrez votre carte de route dans un futur proche.
Les N° sont ici
http://douzecentslive.blogspot.fr/2016/10/les-n-dhomologation-lrm-du-douze-cents.html

jpm

pascalb a écrit:

Compte tenu de l’avance sur le timing 2012, point de petit déjeuner à  l’hôtel L’ETAPE de SAINT FLOUR.

Je viens enfin de lire ce CR. Merci Pascal.

J'ai dormi dans cet établissement à Saint-Flour

jpm a écrit:

bonjour

Pour les candidats au Randonneurs 10 000 les n° d'homologation du Douze-Cents sont arrivés.
Vous recevrez votre carte de route dans un futur proche.
Les N° sont ici
http://douzecentslive.blogspot.fr/2016/10/les-n-dhomologation-lrm-du-douze-cents.html

jpm

Super 

Bonjour,

Pour encourager les vocations à la longue distance dans mon club (CC Croissy/Seine), j'ai présenté une synthèse des différences entre PBP Audax et PBP Randonneur d'une part, et PBP Randonneur et le Douze Cents d'autre part.

[url=http://www.ccc78.com/new/files/conseils/Comparatif brevets longues distances.pdf]http://www.ccc78.com/new/files/conseils/Comparatif%20brevets%20longues%20distances.pdf[/url]

terry1 a écrit:

Bonjour,

Pour encourager les vocations à la longue distance dans mon club (CC Croissy/Seine), j'ai présenté une synthèse des différences entre PBP Audax et PBP Randonneur d'une part, et PBP Randonneur et le Douze Cents d'autre part.

La synthèse se trouve [url=http://www.ccc78.com/new/files/conseils/Comparatif brevets longues distances.pdf]http://www.ccc78.com/new/files/conseils/Comparatif%20brevets%20longues%20distances.pdf[/url]

Le lien ne marche pas : erreur 404 ! Snif...

Supprime la fin [/url] 

veloblan a écrit:

Supprime la fin [/url] 

D'accord, mais pour cela il faudrait pouvoir copier le lien, ce que refuse de faire mon smartphone ! Alors, à moins de recopier...
Finalement j'ai été plus simplement dans le site et trouvé l'article dans Conseils... je vais le lire...

sccber a écrit:

Le lien ne marche pas : erreur 404 ! Snif...

Le lien qui marche !