BRM 600 GUIPAVAS

Hello, je suis inscrit sur le BRM 600 de Guipavas qui aura lieu le 18/19 juin. Y a t il des "forumeurs" également inscrit?

Salut
Pas encore inscrit, mais je devrais y être.

Super Carril ! on se tient au courant alors

Inscription faite.
Je me suis inscrit pour le 400 de Guipavas du 21 mai. J'ai profité de l'enveloppe pour y glisser l'inscription au 600. Voilà, il n'y a plus qu'à se préparer au roulage de nuit. Et étudier le parcours du 600 que je ne connais pas. 
A+

salut carril, super !
Bon courage pour le 400.
Moi le 21, je fais avec quelques potes, Concarneau/Les sables d'olonne, 300 kms.
Je t'invite à consulter le site du club de Guipavas. Le trajet y figure ainsi que la trace Gpx pour un éventuel GPS.
Bonne prépa à toi.

Salut Carril. Suite à un imprévu pro, je dois annuler guipavas et me rabattre sur celui de Carhaix le 4 Juin.
Bonne route

Après quelques jours de récupération, voici mon CR


Depuis que j'ai récupéré du BRM400 je suis très motivé pour me tester sur un 600. Mais depuis hier j'ai un doute à cause des prévisions météo. Il est prévu des températures de 38 à 40°C sur la partie orientale de parcours le samedi et une grosse chute de température et de l'orage le dimanche. J'envisage de renoncer, surtout à cause des grosses températures, mais finalement j'y vais en me disant que si ça devient trop dur au cours de la première journée je peux faire demi-tour.
Nous sommes 45 à nous élancer de Guipavas. Ça démarre plus doucement que sur les autres brevets. Nous arrivons à Landerneau tous ensemble et traversons la ville sans problème. A la sortie, dès le début de la montée, je prends mon rythme et laisse partir le groupe, je ne suis pas le seul. En montant vers le Queff je me retrouve avec un gars qui me propose de faire route commune. Nous roulons ensemble jusqu’à la route d’Huelgoat. Ensuite je roule seul jusqu’à Carhaix où j’arrive avec un peu de retard sur l’heure prévue à cause d’une crevaison juste avant de revenir sur la D764. A Carhaix, je pointe dans une boulangerie-salon de thé. J'y prends un café, un croissant et une tarte aux pommes. Il est 9h44. En sortant de la ville, malgré mes repérages, je m'engage sur la mauvaise route avant de me raviser. Un peu plus loin un groupe de trois revient sur moi et je roule avec eux. La route a été refaite sur deux longues portions où il y a beaucoup de gravillons. Je n’aime pas du tout mais en restant sur les traces des voitures, ça va. Après Maël-Carhaix j'ai du mal à suivre l'allure et je laisse partir mes compagnons. Je me retrouve alors avec un ancien qui s'était joint à nous peu de temps avant et qui n'a pu suivre non plus. Je discute avec lui et j'apprends que c'est un habitué des longues distances. Après St-Lubin, nous arrivons sur une grande route qui mène à Corlay.  Il y a beaucoup de circulation et mon compagnon reste à distance de moi et dans la longue montée vers St-Nicolas-du-Pélem je vois qu'il ne suit pas, je continue. J’arrive à Corlay à 11h49, je mange un peu avant de repartir à midi. Depuis le départ il faisait doux avec un ciel voilé, mais après Corlay le ciel s'éclaircit et le soleil commence à réchauffer l'atmosphère. La température monte progressivement et à Loudéac je sens que la chaleur est là. Je m'y arrête pour refaire le plein des bidons et repars assez vite. A l'entrée de La Chèze je vois une aire de pique-nique bien ombragée mais je ne m'y arrête pas. A la sortie de la ville je le regrette car j'ai besoin de faire une pause à l'abri du soleil. Je trouve plus loin un bois au bord de la route, je mange un peu et m'allonge ensuite dans l'herbe, j'y reste environ 45'. Je fais mon pointage suivant dans un bar de la Trinité Porhoët à 15h19. J'apprends qu'il fait 34°C et que la température autour de Rennes est de 37°C. Je devrais faire demi-tour au vu de la météo qui est conforme à ce qui était prévu mais je me dis que la température aura baissé quand j'arriverai en Ille-et-Villaine et je continue. La température va rester autour de 34°C jusqu’à Tinténiac où j’arrive à 18h45. Je fais une pause dans un restaurant où je prends un petit repas. L'accueil est agréable et je suis servi assez rapidement, je me permets même une petite bière locale. Je repars vers 19h30 avec une température tombée de plusieurs degrés en peu de temps. En partant vers le sud j'ai maintenant le vent favorable mais pour autant je ne vais pas très vite, je sens que j'ai moins de forces depuis un moment. Je passe les premiers villages sans problème. A Monfort-sur-Meu je loupe la trace et file vers le sud de la ville. Je perds un peu de temps et fais 1,5 km de plus mais je trouve la route de Pléran-le-Grand. A la sortie de la ville une côte longue et bien pentue me casse un peu plus les jambes. Après Pléran la météo vire à l'orage, comme prévu, j'entends quelques gros coups de tonnerre. La pluie ne tarde pas, je prends une première petite averse au Thélin, juste avant de rentrer dans le Morbihan. En sortant de La Gacilly, je me retrouve avec un groupe de trois qui reprend la route après s'être arrêté manger. Nous arrivons à Redon à 23h30. Nous pointons dans un bar et faisons une bonne pause. Nous discutons des stratégies des uns et des autres. Comme moi ils n'avaient rien prévu. Finalement un des trois reste dormir à l'hôtel et nous repartons à trois sur la route, mon idée étant de m'arrêter dormir un peu plus loin. Je ne roule pas longtemps avec eux puisqu'à Peillac je décide de stopper pour manger et essayer de dormir. Je trouve des toilettes où je peux rentrer le vélo à l'abri et fermer la porte. Je reste environ 1 heure et demie sans vraiment dormir. Je reprends la route vers 2h en m'équipant pour affronter la pluie et la fraîcheur de la nuit. Pour l'instant ce ne sont que des petites pluies ponctuelles. La traversée du Morbihan est compliquée. Malgré ma pause de Peillac, la fatigue est bien présente. Dans les rues de St-Jean-Brévelay j'ai beaucoup de mal à trouver la bonne direction et ça m'agace un peu. Dans le village suivant, Bignan, je me trompe carrément de route en sortant du bourg. Je vois bien que je ne suis pas sur la bonne route mais je continue quand même. Comprenant plus loin que je vais vers Moréac au lieu de Locminé, je m'arrête pour regarder la carte. Finalement je peux continuer et revenir sur la trace à Remungol. Je continue donc sur ma lancée mais à Moréac je tourne un moment avant de trouver la route. Je commence à éprouver une grosse lassitude avec tous ces contretemps et la fatigue, je ne pense qu'à une chose, rentrer. Mais après consultation de la carte j’ai encore une trentaine de kilomètres à faire avant de pouvoir changer de direction. Le parcours est vallonné et je souffre. A l'entrée de Guern je m'arrête sous des arbres pour me protéger d'un gros grain. La météo devient de plus en plus pourrie et le vent s'en mêle, même si pour l'instant il est plutôt de côté. A Guémené-sur-Scorff je rentre dans le centre-ville. Je regarde les options possibles. Rester sur le parcours, il me reste 157 km à faire. Rentrer, je gagne une trentaine de km. C'est peu et le bon sens aurait voulu que je continue, mais la tête ne veut plus, je rentre. Après avoir demandé la route de Rostrenen, j'arrive dans une rue barrée par un grand arbre couché par une grosse rafale de vent et empêchant tout passage. Je n'ai pas l'envie de remonter en ville chercher une autre route, je passe à pied en portant le vélo à travers les branches. Je prends la D3. La route est bien vallonnée et la météo ne s'arrange pas. Je suis trempé et je commence à avoir froid. Après Rostrenen je m'engage sur la N164 et au moment de tourner vers Maël-Carhaix la route est barrée. Je continue en direction de Carhaix. Devant le ciel est noir et ça va péter. Ça ne loupe pas, je prends un grain énorme et je ne vois plus grand chose quand un semi-remorque me double dans un nuage d'eau. Heureusement j'arrive à hauteur d'une station-service et je m'arrête là. Je comprends alors que je suis sur l'autoroute. Il faut sortir de là, je pars dans les petites routes derrière la station au feeling. Mais je suis perdu et je finis par sortir le téléphone pour trouver la route de Carhaix. En sortant de Carhaix je suis rassuré, je ne peux plus me perdre. Mais j'avais oublié combien la route pour rejoindre le Roc Trévézel est vallonnée. J'en ai marre de ces bosses et la pluie redouble. Plusieurs fois je m'arrête sous des arbres pour m'abriter. Je suis trempé et frigorifié avec une température tombée à 12°C. Dans les descentes quand je ne pédale pas je grelotte et le vélo tremble avec moi. A Sizun je fais une pause car je n'en peux plus et les yeux ont envie de se fermer depuis un moment. Je vais dans les toilettes, j'enlève tous mes vêtements trempés et je mets une nouvelle tenue, restée bien sèche dans ma nouvelle sacoche de selle que je testais sur ce brevet. J'essaie de dormir un peu mais c'est bruyant et je ne reste pas longtemps. Le reste du parcours est difficile, j'ai mal partout et je passe mon temps à changer de position sur le vélo. Dans la côte de St Divy je suis repris par deux gars qui font aussi le brevet. Je n'en reviens pas de voir leur allure par rapport à la mienne. J'arrive à Guipavas à 16h41 et j'apprends qu'il reste environ 25 sur la route.

Bilan: J'ai choisis de ne pas prendre de chambre d'hôtel à Redon avec l'idée de voir comment je réagissais sur une nuit après avoir roulé toute la journée. J'ai préféré aussi rouler seul car j'aurai pu intégrer des groupes si je l'avais voulu. Les deux choix se sont révélés mauvais. La météo ne m'a pas non plus aidé avec un temps caniculaire le samedi et l'hiver le dimanche. Par ailleurs je ne me suis pas assez alimenté et à la fin je n'avais plus de forces. Mais là aussi la météo a joué un rôle. Trempé jusqu'aux os le dimanche, il m'était difficile de m'arrêter manger quelque part.
Autre point, le timing. J'avais imaginé un retour à Guipavas en début d'après-midi. L'objectif était trop ambitieux et voyant que ne le réaliserais pas ça m'a perturbé mentalement.
Un brevet très dur mais une expérience enrichissante quand même.

A oui, c'était galère, perso je partirais pas sans GPS, le top, pas d'arrêt pour consulter la carte, j'ai connu sortir la carte la nuit sous la flotte, plus jamais.
Le 600, j'ai toujours fait un arrêt à l'hôtel, trop bien de partir à 7h du matin en forme et propre et la journée pour faire 200 km 

Tu as été bien courageux de ne pas bâcher, bravo

veloblan a écrit:

A oui, c'était galère, perso je partirais pas sans GPS, le top, pas d'arrêt pour consulter la carte, j'ai connu sortir la carte la nuit sous la flotte, plus jamais.
Le 600, j'ai toujours fait un arrêt à l'hôtel, trop bien de partir à 7h du matin en forme et propre et la journée pour faire 200 km 

Tu as été bien courageux de ne pas bâcher, bravo

Merci Véloblan pour l'encouragement.
Par contre, je ne l'ai pas précisé dans mon CR, mon brevet n'est pas validé car je n'ai pas fait le parcours en entier. Je suis bien rentré à Guipavas mais à Guémené-sur-Scorff j'ai pris la décision de rentrer au plus court par Rostrenen au lieu de continuer jusqu'à Coray dans le Sud-Finistère. Au final, je rentre avec 584 km au compteur.
Sinon, quand je parle de carte, ce sont des photos du guide Michelin que j'avais dans mon téléphone. Et une fois j'ai utilisé Maps car j'étais perdu.

Oui, la flotte, ça va bien un moment... Par dessus la fatigue, ça fait vite un combo détonnant.
Et puis c'est vrai que le profil de ce 600 à l'air assez casse-pattes !

C'est bien noté dans le CR que tu as coupé tt droit à la fin. 

PS : on peux télécharger des zones dans maps pour les avoir hors connexion. (plus pratique que des photos)
Mais un téléphone, sous la pluie, c'est pareil, surtout maintenant avec les écrans tactiles...

Si tu envisages de poursuivre l'aventure BRM, je ne peux que te conseiller l'achat d'un GPS. J'ai le mien (un GARMIN EDGE 800) depuis 2013 et je ne regrette pas mon investissement.

Perso, en voyant le prix des GPS, qui ne font pas téléphone, comparé aux téléphones, qui font GPS... 
J'ai pris le parti de tout faire au smartphone.

Le GPS permet le chargement de la trace et de voir le profil du parcours, il fait aussi office de compteur vélo avec les infos habituelles: Vitesse moyenne, Distance restante, distance restance jusqu'au prochain contrôle, etc etc.....Il permet aussi de voir le parcours réalisé une fois le brevet terminé, c'est toujours sympa.

Citation :

Le GPS permet [...]

Un peu comme le téléphone.
J'ai même le compteur/cardio via strava si je veux, certes avec abonnement, mais combien ont ce genre d'abo de toute façon ?
Le seul truc que je crois avoir perdu avec (en même temps que) le compteur, c'est le % de pente instantané et la T°.
Et ça ne fait qu'un appareil à se soucier de la charge, à surveiller lors des pauses... sachant qu'on emporte généralement son téléphone.

Après je vois bien autour de moi que la plupart préfère avoir un compteur spécifique.

Sauf qu'avec le tel, le dénivelé est aléatoire, un GPS pour se guider et surtout bien plus lisible qu'un écran de tel, tu es averti si tu te trompes a un carrefour, un tel c'est pour téléphoner  

Ok pour la visibilité. Avant j'aurai dit aussi moins galère sous la pluie. Maintenant que même les GPS sont tactiles, je suis pas sûr...
 

Le dénivelé est aléatoire ??
Attends je reprends nos enregistrements du 400...
Moi : 406 km 4486 m+
Toi : 402 km 4397 m+
Openrunner donne 407 km et 4900 m+, on va pas chipoter, si tu veux ton gps est un poil plus précis.

edit : tiens, openrunner à dût changer son log. pour le dénivelé, avant il me semble qu'il donnait moins que ça.

rara63 a écrit:

Ok pour la visibilité. Avant j'aurai dit aussi moins galère sous la pluie. Maintenant que même les GPS sont tactiles, je suis pas sûr...
 

Le dénivelé est aléatoire ??
Attends je reprends nos enregistrements du 400...
Moi : 406 km 4486 m+
Toi : 402 km 4397 m+
Openrunner donne 407 km et 4900 m+, on va pas chipoter, si tu veux ton gps est un poil plus précis.

edit : tiens, openrunner à dût changer son log. pour le dénivelé, avant il me semble qu'il donnait moins que ça.

Oui sur le 400 mais va faire un tour dans les Alpes avec ton tel, la différence sera énorme, je peux pas donner l'explication, trop long par écrit

Bonjour à toutes et à tous,
j'ai fait 2 fois ce BRM.
La première fois au départ de Brest en 2015 la seconde au départ de Guipavas, la différence se fait vers Bécherel.
Celui de Guipavas fait une légère rallonge vers Bécherel puis récupère le circuit commun.

La 1° d'une traite en groupe jusqu'à Bécherel, puis seul une bonne partie de la fin de journée/milieu de nuit, et repris par 2 cyclistes pour finir à trois.
La 2° en groupe jusqu'à Malestroit, nuit à l’hôtel et finir seul devant mon compagnon de route qui n'a pris qu'un relais de 20 km.

Il n'y a pas à se poser de question.
Si c'est le temps est l'objectif il faut faire d'une traite, sinon une vraie nuit à l'hôtel est la solution, j'avais fait 7H de sommeil !
et ensuite j'ai fini tranquille dans les délais.

Les GPS et téléphone.
Un téléphone ne sert pas de GPS, ça ne fait pas le travail correctement, autonomie, étanchéité ... bref ça reste dans un sac bien à l’abri et ça sert à téléphoner.
Et les "oui mais moi..." on en reparlera le jour ou batterie vide sous la pluie battante vous tenterez le 112.
Donc reste le choix entre
une carte, un GPS, une feuille de route détaillée voir très détaillée et rangée à l'abri des intempéries,
ou ne pas choisir et prendre les 3 et là ça fonctionne dans tous les cas.

• la feuille de route, il suffit de la lire, j'ai mon style de notation et ça se lit ligne à ligne
  

Je suis à, je prends par la route N°, je vais à ... ou vers ...
Je suis à, je prends par la route N°, je vais à ... ou vers ...

• Le GPS avec ou sans la trace, avec trace si on suit le GPS, sans trace s'il ne sert qu'à se sortir de mauvais pas
  

• La carte, ça marche toujours
  

Ne pas oublier qu'avec la fatigue, toute lecture, réflexion, analyse de la carte etc devient de plus en plus difficile, et le début de la fin commence.


Rouler seul... éternel débat mais si l'occasion se présente c'est très souvent une bonne chose de rouler à plusieurs.

Bonne route à toutes et à tous.

Ok.
Paddy, pour le faire en une traite, tu part plus doux que dans l'optique de dormir à l'hôtel ?

Dormir sur un BRM 600 ? Pourquoi pas, mais personnellement, passer une nuit entière sur le vélo ne m'a jamais posé problème. Je dirais même que dans l'optique de PBP, c'est presque indispensable de pouvoir en être capable même si certains préféreront s'arrêter. La première fois que j'ai dormi sur un 600, ce fut en 2015 car mon fils (de 40 ans à l'époque l'avait exigé...). Cette année, je n'ai fait qu'une pause sommeil de 10 minutes sur une pelouse et tout s'est quand même bien passé. 3 jeunes cyclos de mon club avaient pris une chambre d'hôtel et y ont dormi 3 h ; je pense qu'ils l'ont un peu regretté (sans le dire...) car ils étaient dans un bon groupe de 15 (dont 2 dames) qu'ils ont perdu. Le groupe a fini frais et content en 26 h 15...

Bonjour à toutes et à tous,
@rara63 : si je roule seul je cale mon allure, toujours à très peu de choses prêt, la même vitesse moyenne qu'elle que soit la distance et un arrêt à l’hôtel ne change rien.


@Lmvv : un 600 avec arrêt est plutôt géré comme une randonnée sur plusieurs jours. Rouler - Hôtel -Rouler -Hôtel -...
Reproductible sur un 1000 et plus.

Par contre et c'est vrai qu'il faut le gérer dès le début, ce sera de l'individuel, et donc s'il y a arrêt il faut pouvoir rouler "vite" pour ne pas être hors délais.
Mais entre un 600 en 30 heures no-stop et un 600 en 37 heures avec arrêt, au final c'est validé.

Bonne route à toutes et à tous.

Pouvoir dormir sur un 600 me permet de finir en bonne forme (relative bien sûr) et de ne pas galérer niveau fatigue la semaine suivante, notamment pour le boulot.
Après sur PBP je n'ai bien evidemment dormi que la seconde nuit.

Bien sûr, Stéphane, chacun voit son affaire personnelle et le boulot pour les actifs est un élément très important à prendre en compte.

Voilà, sur le PBP en partant à 5h en 2015 je n'avais pas dormi la première nuit, j'étais allé de Mortagne à quasiment l'arrivée avec un collègue du club (P. Carpentier). En 2019 avec le vent contraire à l'aller je n'avais pas le moral de faire nuit blanche.

Je me souvient qu'en 2015 avec le soleil qui tapait le mardi aprem les cylos tombaient comme des mouches pour dormir sur le bas-côté .