Diagonale Dunkerque Perpignan a 3

Je n'ai pas dit que les autres ronflent (quoique ......)

Bravo à vous trois pour votre réussite.

Vincentime

un petit compte rendu avec photos et traces sur mon blog

Bravo, Marcel!
C'est bien, Marcel!
Tu as une diagonale de plus que moi au compteur, Marcel!

Salut Dino ( j'ai enfin retrouvé à qui tu ressembles, ça faisait longtemps que tu me faisais penser à quelqu'un )

Ce qu'il y a d'un peu, comment dire, "déroutant", c'est qu'on a l'impression, à vous voir, qu'une diagonale est fastoche, c'est presque reposant de voir les photos.

Mais pourquoi donc cette impression ?

Suite à ma première diagonale que je viens de boucler
je voudrais savoir ce que vous pensez pour le choix d'un itinéraire vaut il mieux privilégier les grosses bosses ou choisir le profil le moins dur
car sur cette diagonale j'ai trouvé les étapes dites plates aussi dure que celles avec du profil
pour ma part j'ai préféré monter sur plusieurs KM au moin on en profite en descente
alors que les petites bosses sont plus usantes je trouve .
qu'en pense les diagonalistes chevronnés ?

" les petites bosses sont plus usantes "
+1
Mon analyse:

Dans une montée longue l'organisme à le temps de s'adapter et de se mettre en régime de croisière (rythme cardiaque, respiration), en général suit une descente longue où tout peut revenir au repos

Quand le profil de la route est toboggan le rythme cardiaque et la respiration n'ont pas le temps de s'adapter et ensuite la descente ne durant que quelques minutes au maximum, il faut se remettre en action avant d'avoir retrouvé un minimum de stabilisation de l'organisme. Sans compter que l'espoir de passer la bosse sans rétrograder amène à faire un effort supplémentaire qu'on ne fait pas en débutant une montée connue comme longue

Pourtant ici on dit le plat pays ! tu as compris Marcel pourquoi je ne vous ai cotoyés que jusqu'à St Omer.

Entièrement d'accord avec l'analyse de Zapilon
Je n'ai pas l'expérience de diagonales mais sur une rando d'une journée, j'ai pratiqué pas mal de cyclomontagnardes et j'ai toujours mieux supporté cet enchaînement de cols que des parcours "toboggan" qu'on peut trouver en Bretagne, en basse Normandie, dans le Gers, dans l'Aveyron etc.
Sur les toboggan on est souvent en sur régime, on refuse de changer de braquet pour une malheureuse côte. Si en plus on suit un groupe qui roule un peu plus fort que soi, c'est mortel...
En montagne, le col (rien que le nom), vous en impose...oulà, ça va être dur, soyons modeste ! Et là on joue petit bras...
Personnellement, je m'oblige toujours à un arrêt (pipi gâteau vêtement etc.)avant de gravir un col. Cela évite de l'attaquer en surégime.

En montagne, le col (rien que le nom), vous en impose...oulà, ça va être dur, soyons modeste ! Et là on joue petit bras...
Personnellement, je m'oblige toujours à un arrêt (pipi gâteau vêtement etc.)avant de gravir un col. Cela évite de l'attaquer en surégime.[/quote]


encore ?! et que manges-tu ? des pattes de tigre ?

Pour ceux et celles que cela intéresse un compte rendu d'Alex sur le site AFB : http://velorizontale.free.fr/

Agréable compte rendu...bravo.
Et beaucoup de rencontres d'adeptes du vélo couché (saristes ou pas saristes ?). On voit là le résultat d'un forum actif.

"un compte rendu d'Alex " .... par ly masse ? la transcription des confidences faites à l'arrivée en soirée ?

Dans tous les cas très agréable à lire ce CR

Avant de tenter un jour cette grande aventure, je lis régulièrement, avec gourmandise les comptes rendus de diagonales, celui-ci est particulièrement savoureux. Un grand merci et encore bravo.