Séverine a presque tout dit sur ces 24 heures qui ont été finalement trop courtes, sauf un détail. Pour l’avoir vu pédaler au 1000 de 2015 et aux 24 Heures, j’ai constaté de sérieux progrès dans la fluidité du coup de pédale. Elle est bien coachée, a un meilleur vélo, mais surtout, en moins d’une année, elle a appris le chouette métier de randonneuse. Et tout cela sans s’astreindre comme un quelconque Stakhanov de l’entraînement à travailler ceci ou cela, simplement en se faisant plaisir. Bravo !