BRM 1000 Ménigoute (79) le 29/06/2017

Bravo à ces guerriers du 1000.

Il faut être fort par ces conditions!

Toute mon admiration.
David

ps: excellent Roland et Pierrot29!!!

C'est là qu'on voit que le milieu de la LD c'est des gens sympas, faire le poireau des heures pour offrir le café, c'est super, remarque comme me dit mon épouse, ils passeraient prés de chez nous nous serions heureux de faire de même!
Lundi, je pars dans le Cézallier encourager une jeune cyclo partie de Bretagne avec tout son barda, elle est très chargée, en espérant la trouver du coté de la Godivelle   

 https://lesstradanautes.com/2017/06/30/en-decelerance-%C2%A7-6-j35-a-j45-de-la-canicule-au-deluge/

J'ai rédigé un article sur le passage du 1000 de Ménigoute à La Forest-Landerneau.

Avec photos et un diaporama en fin d'article (patienter pour le chargement des photos).

Super le reportage   merci

  bien vu Roland et  Pierrot et un grand bravo aux courageux cyclos 

Roland a écrit:

J'ai rédigé un article sur le passage du 1000 de Ménigoute à La Forest-Landerneau.

Avec photos et un diaporama en fin d'article (patienter pour le chargement des photos).

Super

abandon pour moi ,douleur au genou j'ai fait 968 km
yvan trouvant le brevet trop facile il l'a pimenté d une météo autonnale

breizh44 a écrit:

abandon pour moi ,douleur au genou j'ai fait 968 km
yvan trouvant le brevet trop facile il l'a pimenté d une météo autonale

Ah merde, si proche de l'arrivée

Un brevet très humide jusqu'à la fin de la première nuit pour moi ! Heureusement qu'il y avait des bosses pour se réchauffer Le bilan perso est très bon : physiquement et psychologiquement ça tient bon ce qui me rassure pour TriRnéna qui sera bien plus compliqué

Je remercie Roland et Pierre pour le contrôle/ravito qui m'a fait du bien   ! Dommage pour la flotte (je venais de me prendre des seaux d'eau à Landerneau ). J'ai aussi vu Vincent à l'Hôpital Camfrout et Jean-Marie avant Questembert. C'est un bon réconfort dans la solitude des longs brevets...

Les 3 parisiens sont arrivée ce matin. Michel à abandonné à 50 bornes de l'arrivée (je suis très déçu pour lui), je lui laisse le soin de vous raconter sa mésaventure. Je viens de voir le message de Breizh, là aussi très déçu si proche de but...

Voilà la saison Ménigoutaise est terminée, un bon cru cette année

Souvenir de Bretagne

bravo yvan quel randonneur
dommage pour breizh 44, si près du but
on attends vos récits avec impatiente bonne récupération a tous

Putain Yvan t'as fait de l'aquabike    
non je blague bien sur   je vous félicite tous car pour affronter la flotte de bout en bout il faut un sacré moral 
Pas de soucis pour le TriRhéna Yvan, t'es fin prêt vu ce que tu viens de faire

admin a écrit:

sympa le selfie 

bravo Yvan pour ton périple


phil35

Vous n'avez vraiment pas eu de chance. Les pires conditions au pire moment !
A croire que les nuages et la pluie vous ont ont suivis d'un bout à l'autre car sur Lorient (votre partie Bretagne Sud entre Quimperlé-Hennebont-Pluvigner), les pluies ont été faibles,voire quasi-nulles.
Par contre, le fond de l'air était plutôt frais.
Ce matin, pas de problème !

Félicitations aux 7, qu'ils aient fini ou pas.
Nul doute qu'il faut un caractère (et pas que... ) bien trempé pour rouler dans de telles conditions.

Pour moi, le grand jour c'est jeudi prochain avec, au programme, le 1000 du CSPA Aix en Provence.

André V a écrit:

Félicitations aux 7, qu'ils aient fini ou pas.
Nul doute qu'il faut un caractère (et pas que... ) bien trempé pour rouler dans de telles conditions.
...

C'est le cas de le dire !

Bravo à tous en effet !
Breizh44 et Michel 86 doivent "avoir les boules" d'avoir dû lâcher l'affaire si près du but.
Quant au selfie, on hésite entre le dessous des pieds d'Yvan et le sol lunaire ... Mais quand l'animal va redescendre de l'astre, il va faire mal !
Le Trirhéna ne sera pas un problème ...

lmvv a écrit:

Le Trirhéna ne sera pas un problème ...

Heu... On en reparlera

Comme Yvan a dit plus haut qu'il me laissait raconter mon aventure, je m'y colle:
Jeudi 29 juin, nous nous retrouvons à 6 pour ce 1000 de Ménigoute qui vu la météo prévue s’annonce pour le moins difficile.
Yvan qui organise et participe à tous ses BRM, David, Pierre et Chérif du club de Sceaux en région parisienne ainsi que 24h00 (sur le forum) en vélo couché.
En fait nous sommes 07 car Jean Marie en vélo couché également (Breizh44 sur le forum) est parti en décalé de chez lui et a déjà validé son passage à Ménigoute il y a quelques heures.
C’est sous la pluie et le vent soutenu qu’Yvan donne le départ à 10h00 pile en souhaitant bonne route à tous. Comme pour le 600 il disparait rapidement de notre vue, « pour s’assurer que la route est bien dégagée pour notre passage »
C’est mon premier 1000 et je ne sais pas trop comment le gérer. J’accompagne les parisien sur les 20 premiers kilomètres, mais comme ça roule 1 ou 2 km/h trop vite pour moi je décroche et me met à mon rythme. J’ai fait tous les premiers BRM  seuls pour m’endurcir niveau mental, donc ça devrait le faire.
La pluie cesse au bout d’une heure et demie mais le vent latéral est bien présent.
Premier contrôle à Martigné Briand au km 106,5  à 14h20, où je rejoins les 3 de Sceaux. Achat d’une boite de taboulé dans laquelle je pioche quelques cuillères et me voilà en route pour la suite.
Le vent assez fort  soit en latéral ou ¾ face est assez pénalisant, et le terrain un peu vallonné  nous fait traverser la région des vins d’Anjou et du Layon
Second contrôle à ChâteauBriant au Km 209,5 à 19h50. Je commande mon habituel coca mais le patron me répond qu’il n’a que du Breizh cola. C’est pareil, on ne va pas se fâcher avec les bretons dès le dépt 44. Après un appel à madame pour la rassurer, discuter un peu avec des clients et mettre les habits pour la nuit je repars à 20h30.
Le vent toujours aussi fort est devenu plus défavorable vu le changement de cap. La nuit tombe, les kilomètres défilent. Bien sûr la pluie revient de plus en plus souvent. A Bain de Bretagne, des seaux s’abattent, je ne vois plus grand-chose au travers des lunettes et il me faut deviner la route qui ne réussit pas à évacuer toute cette flotte. Heureusement ça ne durera pas trop longtemps. Mon compteur semble ne pas avoir supporté et se met à me donner des chiffres bizarres, genre 78km/h alors que je me traîne à environ 17/18.  Bref à partir du km250 je ferai sans car il se met en mode transport.
C’est donc bien trempé que j’arrive au contrôle 03 à Ploërmel Km 301,5 à 01h20. Pointage par photo à l’entrée de la ville, direction le centre-ville où je termine mon taboulé. La fatigue commence à se faire sentir. Je cherche un coin abrité et je ne trouve qu’une terrasse de pizzéria recouverte de pelouse en plastique. Comme je ne veux pas mouiller mon duvet je m’allonge comme ça par terre, mais au bout de 10 minutes je lève le camp car j’ai trop froid et je sais que je ne trouverai pas le sommeil. Il est 02h00 je remonte sur le vélo, Tant pis on verra bien plus loin.
La route commence à être de plus en plus cabossée et ce fichu vent n’arrange pas les choses. Après Josselin on passe sur de petites routes de campagne qui de nuit ne sont pas aisées et les jambes ne répondent plus trop.
Après Rohan, kms 335, j’entends des voix derrière moi. Je suis rattrapé par les 3 de Sceaux qui viennent de faire une pause « dodo ». Je ne peux pas suivre, donc je continu en mode gestion. Mes bidons sont vides et je ne trouve pas le cimetière pourtant repéré à St Guérand. Je vois devant moi Breizh 44 mais n’ait pas la force de le rejoindre.
A Cléguerec Km 363, le moral n’est pas au mieux, mais ça tient et je trouve enfin de l’eau. Petite pause de 20 minutes pour manger un peu et pommader.  
Le contrôle 4 A Carhaix Plouger au km 416,5 est fait à 09h15. Il fait pas trop mauvais si ce n’est ce fichu vent défavorable qui nous pourri la vie depuis le départ. Pointage dans une boulangerie avec l’habituelle boisson à bulles américaine et 2 pains au chocolat. Arrêt de 20 minutes environ, le temps d’envoyer un SMS a Roland et Pierre 29, qui offrent un ravitaillement au prochain contrôle.
Ensuite se sera Huelgoat, magnifique village avec son lac en bas. A la sortie une belle montée (pour moi) pas trop difficile mais que je trouve bien longue,  habitué que je suis aux plaines à maïs autours de Poitiers.
C’est un peu plus loin que je rejoins Breizh 44 arrêté sur le bord de la route. Il me dit avoir des soucis de genoux et qu’il faut qu’il marche un peu. Je continu à mon rythme.
Passé Botmeur, on tourne sur la droite à 180° direction Commana. On est sur les monts d’Arrée, ce ne sont que des rochers désertiques avec une maigre végétation, ça ressemble à un terrain militaire. Là c’est un mur auquel je me heurte. Non pas dû au relief qui est pourtant pas mal depuis de nombreux kilomètres, mais au vent violent que je prends pleine face. Comme la pluie est toujours au rendez, elle pique le visage comme si c’était de la grêle. Pas le meilleur moment, mais il faut bien avancer pour se réchauffer.
A Sizun je ne peux manquer de faire une photo de l’arc de triomphe de l’église, cliché symbole au cours de Paris Brest Paris.
A 14h15 j’arrive enfin à La Forest Landerneau, contrôle 5, km 498 et la vue du fourgon de Roland fait un bien fou.
Je n’ai pas le temps d’y arriver que je vois 2 photographes se précipiter sur la route pour me prendre en photo. Quelle star !!
Je suis trempé, j’ai un peu froid, mais l’accueil de Roland et Pierre (pierrot29 sur le forum) me fait un bien fou. Le buffet est copieux et il est même possible de boire chaud à l’abri sous le haillon de la voiture de Pierre. Quel bonheur. Encore une fois un GRAND GRAND  merci à vous 2 pour ce moment convivial.
Je repars je crois vers 14h40 alors que Breizh 44 est arrivé lui aussi.
Petit arrêt sur le pont Albert Louppe pour quelques photos sous la pluie bien sûr et en route pour la suite.
J’avais informé Roland que je comptais dormir à l’hôtel à Quimperlé ce soir. Pour me  rassurer il m’avait dit « t’inquiète pas à partir de maintenant tu as le vent dans le dos et ça descend jusqu’à Ménigoute !!!!!!!. »
Si je le crois pour la première partie de ses propos,  pour la seconde je sais bien qu’il m’a gentiment menti, car c’est la pire partie niveau dénivelé du parcours qui m’attends. Il y a près de 1800 mètres sur 115 kms.
Les jambes ne sont plus trop là, et le sommeil commence à se faire sentir. Le moral en prend un coup mais il faut tenir et je serre les dents. Dire que j’ai apprécié ces kms serait mentir, notamment cette montée de Cloitre Pleyben dont je me demandais si elle finissait un jour. Pourquoi celle-là plus qu’une autre ?
C’est à 22h02 que j’arrive au Contrôle 6 de Quimperlé après 615 kms sans sommeil depuis le départ la veille au matin. Je valide par photo et je rejoins l’hôtel à 22h30, en haut d’une bosse bien sûr.
La peau des pieds et toute ramollie vu qu’elle baigne dans la flotte depuis hier matin. Une bonne douche, un peu à manger et à 23h00 « dodo ». Un vrai lit quel bonheur. Vu les délais pour le prochain contrôle, je programme un réveil  05h00 mais à 04h30 je ne dors plus. Donc debout. Toilette, petit déjeuner, un peu d’huile sur la chaîne et à 05h00 ça repart.
Il fait doux, le vent a baissé d’intensité et est toujours favorable. A Pont Scorf le bas j’ai une petite pensée pour JPM qui fait son tour de France US métro et Oliv’, car j’ai vu il y a quelques jours une photo d’eux faite à cet endroit.
Le profil s’adoucit et devient seulement vallonné. J’arrive au contrôle 7 de Questembert à 10h30 au kms 715. Pointage dans une boulangerie avec 2 pains au chocolat puis pause au bar durant 20 minutes pour chocolat chaud et appel à mon copain Christian (christ Kl sur le forum) qui lutte contre une saloperie choppée à l’hôpital et qui attends de mes nouvelles depuis la veille. Sur la route ça va mais je sens que je ne suis pas dans une grande forme.
J’ai sommeil quand j’arrive à 16h15 au contrôle 8 de Sucé sur Erdre au kms 812.
Quelques photos du petit port bien sympa devant lequel, je prends un coca et un brownies.  
A la sortie j’avise un champ de foin qui a été fauché. Il fait assez chaud, je fais un bon tas et me voilà couché pour 1 heure.
A 18h00, réveil mais dès la remise en route je sens que les jambes ne sont toujours pas trop là. Bon il reste 200 kms et j’ai 17 heures pour les faire, ça devrait passer.
Le pont de Carquefou étant fermé, il faut faire un détour de plusieurs kms, mais on est plus à ça près. A Clisson (km 860) je commence à avoir mal aux pieds. Je m’arrête pour poser des pastilles en gel. La route devient compliquée, car j’ai plus de jus. J’ai beau manger, ça ne change pas grand-chose. Je mouline de plus en plus petit.
J’arrive difficilement au contrôle 9 de Pouzauges kms 933 à 00h42. Pointage par photo et pause à côté du vélo pour récupérer. Il reste environ 80 kms, çà va bien le faire.
A 01h00 je remets en route pour un final que je sais costaud, mais il me reste 10h00 de délai. Je roule  à 14 ou 15km/h au mieux et mon gps me donne une arrivée vers 08h00. Régulièrement je fais de petits arrêts pour calmer mes douleurs aux pieds. A 2 ou 3 reprises au moment de repartir, j’ai raté le clipsage de ma chaussure gauche et mon pied a déboité le garde boue. A chaque fois nouvel arrêt pour le remettre en place.
A 3h00, alors que je suis au km 362, un peu avant L’Absie, nouvel arrêt « pied ». Au moment de repartir nouveau déboitage du garde boue. Cette fois ce n’est pas la même musique. Il est passé entre la fourche et le pneu sur plusieurs centimètres. J’ai beau tirer dessus comme je peux impossible de le sortir. Reste à démonter la roue pour libérer tout çà.
Je suis crevé, il fait froid. Je couche le vélo sur le bas-côté. Je desserre le blocage de roue, mais pourquoi j’enlève complètement l’écrou ?, je ne sais pas. Toujours est-il que je libère le garde boue une nouvelle fois. Au moment de remettre l’écrou sur la tige de serrage, il m’échappe des mains et tombe dans l’herbe sur le bord du fossé.
Où est passé « cet abruti » jamais je ne le retrouverai, bien qu’à la lueur de la frontale  j’aie désherbé 1 mètre carré à l’endroit où il est tombé. Me voilà bien, comment je fais maintenant ?, Pourquoi ne pas avoir laissé 2 ou 3 tours sur la vis ?
Appel à madame qui arrive avec mon grand à 04h40. En les attendant sur le bord de cette fichue route, j’ai froid, je grelotte de partout, je  tombe 2 fois dans le fossé. Bref je manque de lucidité, je dors debout, j’en peux plus.
Ca me fait mal au cœur, tous ces efforts pour tout arrêter comme çà à 57 kms du but, alors qu’il me reste plus de 8 heures niveau délai, mais la tête lâche et je préfère mettre le vélo dans la voiture. Moi qui me faisais une  joie de réussir ce 1000, et bien se sera pour une autre fois. Sur la route de Ménigoute pour récupérer ma voiture je m’endors immédiatement mon fils gérant le trajet.
J’ai dû rater quelque chose niveau gestion du sommeil, de la nourriture ou alors j’ai peut-être trop tiré sur la bête alors que j’étais facile dans les temps. Je me souviens de ce que m’avait dit JPM sur un dodécaudax en début d’année. Tu as 75h00, ça ne sers a rien d’aller plus vite. Il avait raison. Depuis j’ai appris que Breizh 44 avait lui aussi dû abandonner après 968 kms suite douleurs musculaires et que les 3 de Sceaux sont arrivés après l’heure prévue pour moi. Mais eux ont fini !!!!.
Je tire une très belle expérience, de ce 1000  vraiment difficile tant niveau météo exécrable que dénivelé avec qui je ne serai jamais copain vu le poids a monter à chaque bosse. Le prochain je le valide et je l’aurai cette médaille qui me manque.
Bilan : 962 kms dont 940 seul, en 50h30 « roulées », 8700 mètres de dénivellé+.
Voilà, une fois de plus, j’ai fait un peu long, mais je pense que c’est complet et que vous avez vécu mon aventure au plus près.

Et bien, dur dur d'échouer comme cela...  

Mais c'est un échec qui sera suivi de réussites... tu n'auras pas toujours ces conditions météo...

Quand j'ai vu ton SMS j'étais prêt à venir t'accompagner pour que tu finisses... Mais comme tu me l'as dit au téléphone tu étais déjà chez toi ! Vraiment dommage, j'ai souvent pensé à toi durant le brevet avec toutes ces bosses que tu n'aimes pas. Tu méritais sans problème cette médaille. Tu l'auras c'est sûr. Je suis très déçu pour toi... Dis-toi que tu as fait seul plus de 900 bornes avec un dénivelé important, une météo de merde. Pour une deuxième saison de longue distance, je dis BRAVO !!

A bientôt pour de nouvelles aventures

quel épreuve chapeau bas !!

Si tu passes 960 km largement dans les temps avec des conditions pareilles, tu as largement la caisse pour un 1000 normal!

Et il ne faut pas oublier qu'on apprend beaucoup plus de ses échecs que de ses victoires.

Chapeau en tout cas. Les jambes ont peut être manqué, mais pas le moral

Je suis arrivé vendredi à Daoulas chez ma fille (en voiture, je précise) pour passer le week-end et participer au BRM des 4 cols. Il a fait toute la journée un temps à ne pas mettre un cycliste dehors. Vent soutenu, pluie incessante.
           J'ai pensé aux quelques extra-terrestres qui passaient surement non loin de là. Chapeau! Il fallait vraiment un mental inoxydable pour rouler.

Michel86, tu as été héroïque et tu dois être effectivement très déçu d'avoir dû arrêter ton 1000 si près du but et alors que tu étais encore dans les délais.
La vie du randonneur au long cours n'est pas toujours un "long fleuve tranquille" ... Mais dis-toi bien qu'il y aura beaucoup de jours meilleurs. Et là tu savoureras en assouvissant ta passion dans la facilité.
Bonne récupération et au plaisir de te revoir.
Jean-Claude

Bravo à ceux qui ont osé braver la météo et enchaîner les kilomètres ! 
Dur de ne pas arriver au bout et remplir toutes les cases de la carte... mais ça donnera plus de motivation pour la prochaine édition !