BRM 200 Guipavas (29): 30 Mars 2014

Re;
il y a une dose de 2° degré dans mon CR je l"admets
@tandem breton
"
En combien de temps l'as tu fait ?"
+30 de moyenne. les coureurs ceux qui ont fait le chrono 33 de moy.
Sur les 175 km facile (toutes proportions gardées) les derniers 25 plus durs mais c'est normal parce que ma préparation n'était pas prévue pour cela et la distance doit jouer aussi (surement même)

La conso dans le bar j'aurai bien voulu, je suis entré dans le bar avec 3 Euros "prêt à" sauf que le groupe n'était visiblement pas "disposé à" et quand on a un groupe "à sa main" faut  pas non plus faire le difficile. Pour info on fini à 9 alors qu'à 25 km de l'arrivée on est 15 environ (la galère qu'ils ont du subir seuls face au vent)
En fait vers le KM150 beaucoup étaient cramés (le 200 c'est facile ! ben tient!)

"Quelle est ta pratique en générale"
euh comment dire ? sur une cyclo du style la Pierre le Bigaut (135 km j'ai tourné en 4H05, en étant devant) il y a 5 ans, ça doit répondre à la question. 
"Peut être sans le savoir [sportifs]"
Merci de me donner une excuse... me reste à dire que je ne sais pas lire mon compteur mais 45km/h c'est dur de ne pas comprendre.

sccber
"Sur un BRM 200 on trouve beaucoup de participants dont c'est la distance maximum (coursiers, cyclo-sportifs ambitieux, etc.) qu'on ne revoit jamais sur un 300"
Oui je sais...
"As-tu prévu un BRM 300 ? Je t'y engage, cela te permettrai de continuer à apprendre et à améliorer ce qui t'as paru des échecs."
Oui j'ai prévu le 300 de Milizac.

Echec le mot est fort je l'avoue, mais ce qui m'apparait surtout comme un échec  c'est l'impression d'avoir fait une cyclo sportive et donc d'avoir raté le cours "BRM"

Par contre, l'hyper bon coté des choses c'est que je suis en forme (restent quelques kilos, les pauvres savent pas qu'ils vont disparaitre), et qu'en modifiant ma préparation...

Bonne route à tous...

En lisant ta réponse je pensais : 30 km/h, c'est une moyenne de cyclo-sportive. Ne pas prendre le temps de boire un café, idem... Faire parti d'un groupe de 15 qui fini a 9 ce n'est pas un groupe, mais un peloton qui écrème par l'arrière... Tout cela me laisse aussi à penser que le profil du parcours devait favoriser des comportements de " course " et qu'un BRM plus difficile serait un peu différent (même si les plus forts sont toujours devant) ! Moi, je n'ai jamais aimé rouler dans des pelotons quand je faisait des cyclo-sportives, que du stress pour gagner du temps. Sur un BRM, sauf exception conjoncturelle, je préfère rouler dans des groupes restreins de cyclistes qui se connaissent ou qui prennent le temps de se connaitre en discutant, pour créer un groupe un peu solidaire (en fonction de contrats implicites ou explicites, révisables à tout instant pour rester libre), comme ce que je pratique en montagne (enfin, en ski hors-piste, à notre niveau, en n'abandonne jamais personne).
Par ailleurs, je trouve aussi que c'est bien que des gars se fassent plaisir à rouler vite même sur un BRM. Il en faut pour tous les goûts.
Et puis, tu es lucide puisque de toi-même tu expliques que c'est pour ça que tu considères avoir loupé quelque chose, avoir fait une cyclo-sportive au lieu d'apprendre à faire un BRM.
A part ça, c'est bien de pouvoir tourner à cette allure sans canner, c'est toujours un avantage d'avoir une bonne VO2max, quelle que soient ensuite ses ambitions sur la longue distance. A condition, de se souvenir qu'il n'y a pas de stricte corrélation entre le temps que l'on met sur 1 200 km (ou sur 600) et la VO2max, puisque alors interviennent prioritairement l'endurance et le mental, la gestion du sommeil et de l'alimentation, etc.
Bon BRM 300. Le mien aura lieu le 26 avril.

oui 1000 façons de faire un brm ,moi j'aime bien l'ambiance aux arrêts     ......sur le vélo aussi       , la moyenne après  ..... je la vois mieux pour une cyclo   ....Mais tout le monde a raison du moment qu'il y a du plaisir   ....en étant cool   ou en en chiant comme un T..c 

allez hop, à mon tour de parler de mon premier BRM.

NICKEL    je me suis franchement bien amusé malgré la longueur.
j'ai retrouvé 3 collègues du club sur place et nous partons ensemble. Sur le début du parcours avant le pont de plougastel je fais la connaissance de RVLO22 qui a reconnu le ruban blanc à l'arrière de mon casque. Nous discutons quelques minutes mais les copains sont partis devant alors je les rejoins.

Les premières bosses de plougastel, daoulas, etc.. font le tri dans les participants et les groupes de niveau se forment.
Nous nous retrouvons à une douzaine et la fusion commence à prendre entre nous.

Une pause pipi est organisée vers sizun, c'est l'occasion de voir la cohésion du groupe et ça marche, tout le monde s'arrête en meme temps et repart ensemble.

Les relais tournants s'organisent et on ne va quasiment pas arreter de la journée.

Une petit erreur de parcours du côté de Taulé nous offre une belle bosse pas du tout au programme   , pas grave.

notre petit groupe va aller comme ça jusqu'au bout et on finira tous ensemble.

au final une moyenne de 28 km/h. ce rythme m'a beaucoup plu. j'aurais pu continuer encore quelques km sans problèmes.

hâte au 300 maintenant  

Bon, je prends quelques instants pour donner mes impressions sur mon premier BRM. Ma fois, je suis plutôt content de cette première participation. Il est vrai aussi qu'on a plutôt été verni côté météo, ça aurait été certainement beaucoup moins drôle sous une pluie battante et un fort vent de face !
Départ groupé à 8h jusqu'à la sortie du pont de Plougastel, quelques bosses dans la première partie du parcours, ce qui a provoqué les premières cassures. C'est dans la bosse entre Daoulas et Irvillac que les groupes se sont vraiment formés. A partir de là, je me suis retrouvé dans un groupe d'une dizaine de cyclos qui sont restés ensemble jusqu'au bout, même si on a perdu quelques éléments (quelques plus costaux sont partis devant du côté de Keremma, et d'autres ont craqué un peu plus loin).
Dans l'ensemble, je n'ai pas ressenti de difficultés particulières pour suivre l'allure du groupe, même si ça roulait assez fort par moment mais le terrain n'était pas trop difficile heureusement.
Au final, j'arrive "en bon état" après avoir passé un peu plus de 7h sur le vélo. Les arrêts aux contrôles n'ont pas été très longs, juste le temps de faire tamponner la carte et de se restaurer très rapidement (arrivée à 15h30 à Guipavas) !  Enfin, je pense que c'est le prix à payer si on ne veut pas repartir tout seul ...
Au bilan de la journée, je dirais que l'essai a été transformé, et que tout ça me pousse à continuer l'aventure des BRM.
Alors, à bientôt sur le 300 de Milizac si tout va bien.

A la lecture des CR des 3 derniers nouveaux Rubans Blancs du 29 , je peux dire : ils sont costauds les gars.

Félicitations à vous .

Marc

concernant les arrêts pour le pointage, c'est vrai qu'il y en a qui ne jouent pas le jeu.
lors du dernier pointage à ploudalmézeau nous sommes entrés dans un bar et le patron a soupiré suffisamment fort pour qu'on l'entende en disant "put... ils font ch.. ces cyclistes !!".  

nous l'avons tout de suite rassuré en lui expliquant qu'on allait consommer qqchose.

il s'est alors déridé et nous a raconté la raison de sa colère c'est à dire le passage des premiers qui se poussaient entre eux à savoir celui qui aurait le tampon en premier et qui "exigeait, ce coup de tampon sans rien en retour pas même un merci ou un sourire   

je découvre mais je ne pense pas qu'un 200 soit représentatif de la philosophie BRM car on y trouve de nombreux coursiers qui viennent faire une course longue. On ne reverra très certainement aucun d'entre eux sur les 300 et +

En tout cas, moi ça ma plu  

christophelp a écrit:

...

je découvre mais je ne pense pas qu'un 200 soit représentatif de la philosophie BRM car on y trouve de nombreux coursiers qui viennent faire une course longue. On ne reverra très certainement aucun d'entre eux sur les 300 et +

Je ne disais rien mais...

1) Je pense que tu as tout compris...

2) Le 200 ce n'est pas "de la longue distance"...
- pour certains c'est une "cyclosportive longue distance" (et font en sorte que nous sommes mal vus d'un nombre grandissant de cafetiers dans certains coins)...

- pour d'autres ce n'est que la toute première marche d'accès aux longues distances et ils en profitent pour commencer à acquérir l'expérience dont ils auront forcément besoin un jour ou l'autre s'ils persévèrent...


Il n'y a rien d'étonnant à boucler un brevet de 200 lorsqu'on a plusieurs milliers de kilomètres depuis le début de l'année. C'est le contraire qui serait étonnant.


Des costauds ? Assurément.
Mais sur ce forum on a vu passer plus d'un très costauds, terminant les brevets à plus de 30 de moyenne, qui... ne sont jamais arrivés à Brest lors de PBP...

christophelp a écrit:

concernant les arrêts pour le pointage, c'est vrai qu'il y en a qui ne jouent pas le jeu.

Ben nous on joue tellement le jeu qu'on en oublierait de pointer le carton ; même qui a des cafetiers qui sont contents de nous voir partir  

Roland a écrit:

Citation :

pour d'autres ce n'est que la toute première marche d'accès aux longues distances et ils en profitent pour commencer à acquérir l'expérience dont ils auront forcément besoin un jour ou l'autre s'ils persévèrent...

c'est totalement mon cas  

Bonjour à tous;

@ christophelp
Contrôle à Berrien avec le sourire de la cafetier
Contrôle à St Pol … sans plus
Ton arrêt à Ploudalmézeau, j’ose pas trop imaginer.
Vu les deux premiers arrêts je n’ai pas pris mes 3Euros, je savais que c’était pas la peine.
Nous avons été reçu « fraichement » et ce n’est certainement pas de la faute du cafetier.
Il avait déjà compris la situation.
Voir 15 cyclistes arriver, demander un tampon passe encore mais celui qui a eu la bonne idée de demander de l’eau… a été « douché » et a fait le plein dans les toilettes publiques.
Alors les suivants… dont toi.
Un autre participant m’a raconté le même type d’accueil pour les mêmes causes, a consommer et eu les mêmes commentaires.

@ roland
«  Le 200 ce n'est pas "de la longue distance" »
C’est certain que sur une telle distance il est possible de faire « vite » et que la limite cyclo-sportive et randonnée n’est pas claire, ce qui doit expliquer la participation de certains cyclo-sportifs.
Passant les premiers, ils ne rencontrent pas encore des cafetiers exaspérés, les suivants quant à eux payent l’addition.

«…ce n'est que la toute première marche… Mais sur ce forum on a vu passer plus d'un très costauds, terminant les brevets à plus de 30 de moyenne, qui... ne sont jamais arrivés à Brest lors de PBP... »
Première marche sans aucun doute, pour ma part je ne savais pas du tout ou je mettais les roues.
D’ailleurs seules adaptations : bidons plus grands pour ne pas refaire le plein, plus de ravitaillement dans les poches, et une deuxième chambre à air.
Et comme ça a été mode cyclo-sportive j’ai raté la leçon BRM.

« On ne reverra très certainement aucun d'entre eux sur les 300 et + »
Donc sur 300 je vais me trouver avec double objectif :
La distance, passer de 200 à 300 c’est une évolution ou un autre monde ?
Passer en mode/rythme BRM.

Ensuite … le PBP.
Pour certains c’est l’objectif dans 16 mois.
Je ne suis pas convaincu qu’un fort pourcentage des participants au 200 ait cet objectif.
Pour moi ce n’en est pas un, que ça le devienne je verrai.
Actuellement j’ai fait la moitié de mon programme
La seconde moitié sera le 300 de Milizac.
Quelle que soit la conclusion du 300 j’aurai les idées plus claires
Continuer ou pas ?
Continuer je me poserai les questions suivantes concernant
le matériel : faudra-t-il acheter un nouveau vélo ?
Le temps passé à la préparation : actuellement ~12H/semaine
L’envie
Le physique : bien joli de pédaler même à vitesse « réduite » le corps doit tenir.

Cette année est l’occasion de faire une préparation complète « à blanc », de prendre conscience de tous les aspects et « de faire comme si »
Je regarde le programme des BRM, et programmer le 400 entre Milizac (19/04) et le 600 de Brest (31/05), c’est plus compliqué en terme de récupération


Bonne route à tous.

le cam jean-pierre a écrit:

christophelp a écrit:

concernant les arrêts pour le pointage, c'est vrai qu'il y en a qui ne jouent pas le jeu.

Ben nous on joue tellement le jeu qu'on en oublierait de pointer le carton ; même qui a des cafetiers qui sont contents de nous voir partir  

C'est marrant, mais je les comprends...

Sympa tous ces échanges, qui auraient d'ailleurs mérités d'être postés à la rubrique " Préparation ", toute nouvelle et donc pas encore trop visitée et remplie. Tans pis, je continue aussi ici   
Le post de Roland reprend tout ce que j'aurai eu envie de résumer à la lecture des compte-rendus du BRM 200. Mes 200, je n'ai jamais eu envie de les effectuer nez dans le guidon au sein d'un peloton, rapide mais stressant : aucun plaisir, même s'il m'est arrivé de le faire pendant ma " carrière " cyclo-sportive ; même lors de mon avant dernier BRM 200 l'année dernière à Grenoble, effectué à bonne allure (24,85 km/h et 1 644 m de D+), je n'ai roulé que dans un groupe à géométrie variable de deux à quatre la plupart du temps. D'habitude c'est même plutôt plus lent, à deux ou trois.
Je sais que si j'avais participé à ce BRM, j'aurai laissé filer tous ces cyclistes qui ne me correspondent pas dans mes envies, quitte au pire à me retrouver tout seul : c'est aussi une expérience à mon sens indispensable de rouler seul, pour apprendre à gérer cette solitude, jusqu'à en faire un plaisir : la vraie liberté est dans l'acceptation de la solitude, solitude qui permet d'autant plus d'apprécier les relations humaines de qualité (c'était mon quart d'heure de philosophie débridée, excusez-moi).
Alors bien sûr, la dame de la supérette qui nous revoie chaque année deux ou trois fois, avec le sourire, la semaine dernière nous a déclaré : " vous n'avez pas de chance cette année (il pleuvait pour la première fois depuis 15 j) " et " à bientôt ", on ne lui achète rien le plus souvent parce que c'est notre premier contrôle : mais on ne déboule pas à 15 dans son magasin. Rouler en peloton et agir de même dans un commerce, quelle façon détestable de se comporter ! Et ce comportement des premiers tels qu'ils sont rapportés ici me fait penser à celui du groupe des premiers qui avait fait polémique sur le PBP 2077 (je crois).
Quant au passage à 300 km, si l'on roule de manière raisonnable - ce qui ne veut pas dire obligatoirement promenade pépère - cela passe aussi bien que sur 200. Et je dirai même qu'il en ira de même sur 400 ! En fait je ne peut pas parler de mon expérience de néophyte, puisque mon premier BRM était directement un 400 : je ne voulais que tester mes genoux (gonarthrose). Pour moi, le premier seuil est le 400 puisque on commence à tester vraiment la route de nuit et sa résistance au manque de sommeil, plus sa gestion de l'alimentation et des allures : les gars qui peuvent rouler plein pot sur 400 km existent, mais ils ne sont pas nombreux et je n'en fait pas partie   
Le 600 est LE vrai test : je dirai que réussir à finir un 600 tranquillement s'il ne donne pas une quasi certitude que le 1 200 sera roulé dans les délais, est une vraie indication et doit donner confiance pour continuer. A mon sens, cela est beaucoup plus prédictif que par exemple en course à pieds le passage du semi (21,1 km) au marathon (42,195 km) parce que là le doublement fait passer dans une autre dimension due à l'épuisement des réserves glucidiques et au niveau de la résistance musculaire : en vélo longue distance, que ce soit 600 ou 1 200, le corps fourni les mêmes substrats nutritifs, les seuls risques supplémentaires sont dus aux douleurs et blessures occasionnés par la durée (ampoules, mal de selle, tendinites, etc. ) qui amplifie tout ce qui est lié à d'éventuelles mauvaises postures sur le vélo , plus bien évidemment l'amplification d'une adaptation limitée dans sa gestion du manque de sommeil. Autre difficulté, plus on roule longtemps, plus on risque de tomber sur des épisodes météo désagréables : le cycliste anxieux dès qu'il voit un nuage de pluie n'a pas beaucoup de chance de trouver son bonheur dans la longue distance.
Tout ce que j'ai dit sur les différentes vitesses ne sont que celles issues de ma propre expérience, et à ce titre infiniment subjectives : d'autres, avec des vécus différents, souvent plus fournis que les miens, pourraient en avoir de très différents. Mais étant un cycliste modeste, je ne crois pas que quelqu'un suivant mes conseils ferait de grosses erreurs. Il n'y a que dans ma gestion du sommeil que je sais qu'elle est peu reproductible, parce que la longue distance m'a révélé que j'avais une résistance au manque de sommeil un peu plus forte que la plupart des autres participants aux brevets, même les nombreux participants plus forts physiquement que moi.

Paddy a écrit:

D’ailleurs seules adaptations : bidons plus grands pour ne pas refaire le plein

Bidons plus grands pour ne pas devoir refaire le plein AUSSI SOUVENT

Paddy a écrit:

Donc sur 300 je vais me trouver avec double objectif :
La distance, passer de 200 à 300 c’est une évolution ou un autre monde ?
Passer en mode/rythme BRM.

Je viens de regarder le compte-rendu de cri-cri 69 sur son 300 de Grenoble : jette-y un coup d’œil (plein de photos, et bien intéressant) ça de montrera une bonne façon d'effectuer un 300 : petit groupe sympatique, bonne équipe soudée, bien dans l'esprit des BRM (enfin dans l'esprit que j'attribue moi aux BRM). Et ça ne ressemble pas à une cyclo-sportive, même si la moyenne reste relativement élevée. Et le compte-rendu ne parait pas rendre différent ce BRM 300 d'un BRM 200 (qui ne soit pas effectué comme une cyclo-sportive).
http://cricri-le-cyclo.over-blog.com/2014/03/putain-2-ans-le-brm-de-ma-renaissance.html

Bonjour à tous
@sccber

"Bidons plus grands pour ne pas devoir refaire le plein AUSSI SOUVENT"
Non   non    2 bidons de 1litre d'alimentation liquide et pas besoin de refaire le plein.
A l'arrivée j'étais bien, ni faim 4 gels en plus des bidons, ni soif ni déshydraté.


Je regarde le CR de cri-cri 69...


Bonne route à tous

sccber nostradamus a écrit:

sur le PBP 2077 (je crois).

c'est cela , je pensais que c'était 2075 ou 2079.

Pour Roland :

" au secours Panoramix  y a cétautomatix qui fait que de m'embèter " 

D'accord. Ça me semble encore limite pour un 200 sauf à boire en plus dans les cafés. Je parlais surtout pour les 300 et plus, ou les 200 en août en Espagne   L'été dernier, moi qui suis un buveur raisonnable et qui ne craint pas vraiment la chaleur, je remettais à niveau TOUS mes bidons dès que je trouvais un coin possible où trouver du liquide et si possible je buvais avant de repartir...
Pour avoir monté le Ventoux en été au départ bidons quasi vides à 13 h au 400ème de ma SPHT parce que je ne pouvais plus trop perdre du temps à chercher un point d'eau, je peux te dire que l'autonomie en eau est un vrai problème. À une époque je rajoutais à mes deux bidons un camelback rempli à moitié... Mais c'est lourd la flotte (à moins de la prendre déshydratée comme mes bananes) !
L'avantage du grand bidon, c'est que sur le court on n'est pas obligé de le remplir à bloc. Mon pote que j'accompagne souvent boit presque le double de moi, car il transpire énormément (surpoids) et sa quête d'eau est parfois obsessionnelle, et on se rends compte à ce moment là que les sources d'eau potable sont de moins en moins nombreuses - à cause notamment dans les villages des nouvelles responsabilités pénales des maires qui les obligent à garantir la qualité de l'eau et donc coûtent cher en contrôles.

le cam jean-pierre a écrit:

sccber nostradamus a écrit:

sur le PBP 2077 (je crois).

c'est cela , je pensais que c'était 2075 ou 2079.

Je suis sûr que j'ai tapé 2007 ! Je vous jure ces ordinateurs, ils n'en font qu'à leur tête. Mais c'est pas une vraie erreur, j'ai écris " je crois "   
Bon, d'accord je ne me suis pas relu  
À ce propos, j'aime bien l'humoriste Norman quand il parle de l'excuse de ceux qui font des fautes d'orthographe sur Internet comme des fautes de frappe : avant on n'osait pas dire que c'était des fautes de stylo !