BRM 200 Saint-Georges-lès-Baillargeaux 2017

J'ai participé avec Thierry (qui n'est pas sur le forum) au 200 ce matin. Beau et venteux.
J'ai croisé Michel86 au départ Un résumé un peu plus tard...

Un résumé vite fait
http://superandonneur.fr/brm_200_st_georges_2017.htm

çà n'a encore pas traîné!

Une coupure de de 4 semaines séparant le 300 du 400 de Ménigoute j'ai décidé de participer au 200 de Saint Georges les Baillargeaux qui n'est distant que de 15 kms de chez moi.
   Arrivé de bonne heure j'ai eu le temps de m'inscrire et de me préparer tranquille, avant de voir Yvan arrivant de Ménigoute à vélo avant de faire le brevet et bien sûr repartir par le même moyen à l'issue. Sacré moteur. Un petit selfie avec lui vite fait et Thierry arrive lui aussi en vélo.
   Inutile de dire que c'est le seul moment ou j'ai vu ces deux là, car dès le départ je les ai vu devancer le groupe très rapidement.
    En suivant le parcours officiel, par le jeu des arrêts au feu rouge, et au fait que certains on du vouloir "prendre des raccourcis" ...... qui les ont rallongés, je me suis retrouvé tout seul en sortie de la ville.  Un  groupe de 5 ou 6 dont un du club de Vouillé me dépassera avant la Torchaise mais je n'ai pu m'accrocher car ils sont 3 ou 4 km/h trop vite pour moi. Pas grave je viens de faire le 200 et le 300 tout seul, donc un de plus !!!
   A 10h28, premier pointage au bar de Lezay ou je commande un coca histoire de faire passer le premier sandwich. Au bout de quelques minutes je vois 7 ou 8 gars d'un club qui entrent dans le bar, font tamponner leur carte, filent au wc et quittent les lieux comme si de rien n'était. Bof Bof !!
   La route de Lezay à Saint Maixent est un  peu en tôle ondulée et le vent est cette fois de côté, mais la forme est pas mauvaise donc ça passe.
   C'est ensuite que ça se gâte un peu avec la côte de Saivres qui me fait mal. Le reste jusqu'à Secondigny est de la même veine. Je suis un peu à la peine et je réussi à accrocher le groupe de Mirebeau sur le 5 derniers Kilomètres. A 13h00 je valide mon contrôle à la boulangerie. Un bon croissant me fera le plus grand bien. 
  J'aurai la bonne idée d'oublier mon portable sur le comptoir de ce commerce ce qui me vaudra 100 kms aller/retour le soir après le brevet pour venir le récupérer  après géolocalisation sur le PC par mon fils. C'est génial, ce truc on voit la ville s'afficher et un rond bleu ou se trouve l'appareil avec une précision annoncée de 40 mètres.
   Je repars seul encore mais cette fois c'est vent de face et soutenu avec un terrain encore en tôle ondulé. Là c'est plus dur, mais pas d'autre solution que de gérer pour atteindre Airvault au sommet d'une belle bosse. Il est 15h00 quand je valide chez une marchande de chaussures, seul commerce ouvert à cette heure là sur la place.
   Il reste 60 kilomètres, mais toujours avec ce satané vent dans le nez et que de longues lignes droite jusqu'à Mirebeau. Ce n'est pas la partie du parcours qui m'a plu le plus vu les conditions et en étant seul d'autant plus que je ne sais pourquoi j'ai eu le feu au pieds droit, chose qui ne m'était jamais arrivé. 2 petits arrêts pour rétablir la circulation sanguine et peu avant Mirebeau je suis doublé par 4 ou 5 du club de Saint Georges.    Je ne cherche même pas a les suivre, ( je crois que je ne pourrai pas d'ailleurs) je suis large niveau temps donc je rentre à ma main . Je mange et je bois régulièrement, mais les jambes ne répondent plus trop.
   Après Thurageau j'entends comme un bruit sourd qui arrive de l'arrière. pas le temps de me retourner c'est le vélomobile qui vient de me dépasser comme un avion. Lui caréné comme il est, et vu son niveau au dessus du sol le vent ne semble pas le gêner. je ne le reverrai qu'a l'arrivée à 17h30, ou j'arrive  un peu naze et abruti par le vent. Bilan 210,00 kms, 09h00 sur le vélo, 30 minutes d'arrêt.

Bonjour

 A 10h28, premier pointage au bar de Lezay ou je commande un coca histoire de faire passer le premier sandwich. Au bout de quelques minutes je vois 7 ou 8 gars d'un club qui entrent dans le bar, font tamponner leur carte, filent au wc et quittent les lieux comme si de rien n'était. Bof Bof !!



Difficile de trouver plus sans gène, quelle image ces gaziers donnent des cyclos

Tout à fait d'accord, Michel ! Cela rejoint une discussion que nous avons tenue il y a quelque temps sur un autre post.
Après cela, il ne faut pas s'étonner du regard méfiant de certains commerçants envers les cyclos

veloblan a écrit:

Bonjour

 A 10h28, premier pointage au bar de Lezay ou je commande un coca histoire de faire passer le premier sandwich. Au bout de quelques minutes je vois 7 ou 8 gars d'un club qui entrent dans le bar, font tamponner leur carte, filent au wc et quittent les lieux comme si de rien n'était. Bof Bof !!



Difficile de trouver plus sans gène, quelle image ces gaziers donnent des cyclos

J'espère qu'ils ont tirés la chasse d'eau

Michel86 a écrit:

Une coupure de de 4 semaines séparant le 300 du 400 de Ménigoute j'ai décidé de participer au 200 de Saint Georges les Baillargeaux qui n'est distant que de 15 kms de chez moi.
   Arrivé de bonne heure j'ai eu le temps de m'inscrire et de me préparer tranquille, avant de voir Yvan arrivant de Ménigoute à vélo avant de faire le brevet et bien sûr repartir par le même moyen à l'issue. Sacré moteur. Un petit selfie avec lui vite fait et Thierry arrive lui aussi en vélo.
   Inutile de dire que c'est le seul moment ou j'ai vu ces deux là, car dès le départ je les ai vu devancer le groupe très rapidement.
    En suivant le parcours officiel, par le jeu des arrêts au feu rouge, et au fait que certains on du vouloir "prendre des raccourcis" ...... qui les ont rallongés, je me suis retrouvé tout seul en sortie de la ville.  Un  groupe de 5 ou 6 dont un du club de Vouillé me dépassera avant la Torchaise mais je n'ai pu m'accrocher car ils sont 3 ou 4 km/h trop vite pour moi. Pas grave je viens de faire le 200 et le 300 tout seul, donc un de plus !!!
   A 10h28, premier pointage au bar de Lezay ou je commande un coca histoire de faire passer le premier sandwich. Au bout de quelques minutes je vois 7 ou 8 gars d'un club qui entrent dans le bar, font tamponner leur carte, filent au wc et quittent les lieux comme si de rien n'était. Bof Bof !!
   La route de Lezay à Saint Maixent est un  peu en tôle ondulée et le vent est cette fois de côté, mais la forme est pas mauvaise donc ça passe.
   C'est ensuite que ça se gâte un peu avec la côte de Saivres qui me fait mal. Le reste jusqu'à Secondigny est de la même veine. Je suis un peu à la peine et je réussi à accrocher le groupe de Mirebeau sur le 5 derniers Kilomètres. A 13h00 je valide mon contrôle à la boulangerie. Un bon croissant me fera le plus grand bien. 
  J'aurai la bonne idée d'oublier mon portable sur le comptoir de ce commerce ce qui me vaudra 100 kms aller/retour le soir après le brevet pour venir le récupérer  après géolocalisation sur le PC par mon fils. C'est génial, ce truc on voit la ville s'afficher et un rond bleu ou se trouve l'appareil avec une précision annoncée de 40 mètres.
   Je repars seul encore mais cette fois c'est vent de face et soutenu avec un terrain encore en tôle ondulé. Là c'est plus dur, mais pas d'autre solution que de gérer pour atteindre Airvault au sommet d'une belle bosse. Il est 15h00 quand je valide chez une marchande de chaussures, seul commerce ouvert à cette heure là sur la place.
   Il reste 60 kilomètres, mais toujours avec ce satané vent dans le nez et que de longues lignes droite jusqu'à Mirebeau. Ce n'est pas la partie du parcours qui m'a plu le plus vu les conditions et en étant seul d'autant plus que je ne sais pourquoi j'ai eu le feu au pieds droit, chose qui ne m'était jamais arrivé. 2 petits arrêts pour rétablir la circulation sanguine et peu avant Mirebeau je suis doublé par 4 ou 5 du club de Saint Georges.    Je ne cherche même pas a les suivre, ( je crois que je ne pourrai pas d'ailleurs) je suis large niveau temps donc je rentre à ma main . Je mange et je bois régulièrement, mais les jambes ne répondent plus trop.
   Après Thurageau j'entends comme un bruit sourd qui arrive de l'arrière. pas le temps de me retourner c'est le vélomobile qui vient de me dépasser comme un avion. Lui caréné comme il est, et vu son niveau au dessus du sol le vent ne semble pas le gêner. je ne le reverrai qu'a l'arrivée à 17h30, ou j'arrive  un peu naze et abruti par le vent. Bilan 210,00 kms, 09h00 sur le vélo, 30 minutes d'arrêt.

Bravo Michel, prêt pour le 400 ?