BRM 300 Bellerive/Allier 22 avril 2018

Un 300 cool! J'y go   en couché, surement mon dernier en Schlitter, snif 

https://www.strava.com/routes/12475964

veloblan a écrit:

Un 300 cool! J'y go   en couché, surement mon dernier en Schlitter, snif 

https://www.strava.com/routes/12475964

pourquoi? Le nouveau est arrivé? bon courage.

MIRABELLE a écrit:

veloblan a écrit:

Un 300 cool! J'y go   en couché, surement mon dernier en Schlitter, snif 

https://www.strava.com/routes/12475964

pourquoi? Le nouveau est arrivé? bon courage.

Et non, toujours pas de nouvelles!  

Un petit compte rendu du BRM 300 de Bellerive vite fait pake je pars en vacances 3 jours:lol!:

http://www.veloblan.com/2018/04/brm-300-de-bellerive-22-avril-2018.html

bravo veloblan

Le Garmin 1030 a autant d'autonomie que cela ?

Ils n'annoncent pourtant que 20h...sans doute en conditions optimum. 

Ben, d'après ton compte rendu, il y a bien une très bonne autonomie 😊

Tout d'abord bravo à véloblan pour ce brevet de 300. Mais c'est de la routine pour lui ...

À propos de l'autonomie d'un GPS et à titre d'information, je possède depuis bientôt 5 ans un Garmin etrex 30 que j'alimente avec 2 piles lithium 1,5 V.
Je viens de l'utiliser sur les BRM 200 et 300 de Limoges, soit environ 25 h, sans changement de piles. Et normalement, je devrais pouvoir effectuer encore un BRM 400 avec les mêmes piles puisque l'an dernier, j'ai "tenu" environ 45 h avec un seul jeu de piles (coût : 4,50 € environ). De quoi voire venir au niveau autonomie (et puis, 2 piles de rechange emportées ne pèsent que quelques dizaines de grammes).

J'ai participé à ce BRM 300 à Bellerive, le tout premier 300 pour moi après mes tous premiers 200 à Clermont-Ferrand (63) mi mars et Saint-Doulchard (18) début avril.
Parti pourtant dans les temps de Montluçon, j'ai un peu de mal à trouver la Maison des Associations à Bellerive. Du coup, j'arrive quand le gros du peloton partait. Après avoir pris possession de ma carte de route, je pars à 05h20 avec un cyclo habitant Vichy et originaire de la Nièvre (où l'on se rend).
Nous prenons le départ ensemble, puis à la sortie de Cusset mon câble de dérailleur arrière s'est rompu. Mon tempérament m'incite au quotidien à dédramatiser les choses. Il fait nuit mais j'ai deux câbles de rechange dans la sacoche de cadre, je réparerai au petit jour.
Le cyclo qui m'accompagne roule sagement à 22km/h environ, vitesse qui ne me permet pas de tourner les jambes comme je le voudrais, avec un 39/11. Au 30ème kilomètre je prends un peu d'avance et, j'espère qu'il m'en excusera s'il me lit ici, j'ai pris le parti d'accélérer pour tenter de rejoindre le peloton.
Le dénivelé n'est pas très important malgré quelques pourcentages courts, je double un cyclo et un tandem puis rattrape Pascal LACARIN (on m'a donné son nom ensuite; 10ème de PBP en 48H m'a-ton précisé) qui s'était arrêté ravitailler en eau dans un cimetière.
Peu après, je rattrape Véloblan sur son vélo couché. On échange brièvement, je suis possesseur d'un vélomobile (Quest). Je ne lui ai pas dit, mais je suis allé quelques fois sur son blog, en tombant dessus via une recherche sur le BRM de Bellerive.
Je poursuis ma route à un bon rythme (30 km/h de moyenne) et je vois que Pascal LACARIN est à 300m derrière moi, nous roulons à la même vitesse. Je l'attends, on échange quelques mots et le CP1 est là, avec le gros du peloton. Je m'empresse de pointer dans le tabac-presse puis de changer mon câble de dérailleur. Ma crainte était que la tête soit restée coincée dans la poignée, ce qui m'était arrivé l'an passé. Et une tête avec quelques mm de câble effiloché dans une manette... ce n'est pas une mince affaire, plutôt du genre à rendre dingue. La fois précédente j'avais mis pas moins de 4H pour la sortir.
Finalement la tête a dû tomber, et je parviens à installer le câble neuf à la hâte, au moins pour monter à mi-cassette. Quand on a tirer gros pendant 80km, ça change la vie !
Je reprends la route avec un peloton d'une bonne quinzaine de cyclos, seul Pascal LACARIN est reparti devant, nous ne le reverrons qu'à l'arrivée. J'ai le plaisir de discuter un peu avec Patrice DHUMES que je connais déjà de part son travail de photographie à l'ancienne (procédé au collodion), il avait fait un reportage chez les cycles Victoire (63). Très grand, il a fière allure sur sa randonneuse Victoire rouge et chrome.
Au fil des kms, le groupe se sépare et c'est à 7 que nous parvenons à La Charité/Loire pour le CP2. Après un demi commandé en chorale et un ravitaillement à la boulangerie, je prends quelques photos de boutiques. Je suis fana de typographies et de vieilles enseignes, et les BRM sont un prétexte idéal pour faire des safaris typos.
On reprend le chemin du retour à 7 après une bonne demi-heure de pause, puis à 5 un peu avant le CP3 à Bresnay et nous arrivons à 17h15 à Bellerive.

Tout s'est bien passé durant ce BRM 300, aucune douleur dans les jambes, j'aurais simplement aimé avoir une ou deux dents de plus sur le retour accidenté. Petite fringale dans les 20 derniers kms, je manquais d'eau donc difficile d'assimiler un aliment solide. C'est un paramètre qui sera corrigé avec un bidon de plus (je n'avais que deux bidons de 0.5L).

Je ne sais pas pourquoi, je m'étais mis en tête dès le départ que ce BRM avait un dénivelé de 1400m alors qu'en vérifiant après coup à la maison, il était donné à 2300m. Par contre mon GPS n'a relevé que 1900m. Je note que chaque GPS, pour un même groupe, donne un chiffre assez différent. Quelqu'un a-t-il une explication ?

Il va falloir également que je m'organise sur les prochains BRM pour pouvoir prendre davantage de photos. Entre les boutiques anciennes, les châteaux, les paysages... difficile de les immortaliser quand on roule à bonne allure dans un groupe (28 km/h de moyenne). Entre la Loire à Nevers, La Charité/Loire et Apremont/Allier notamment, il y avait de quoi faire.

Très sympa ton CR snoop 
Tu as bien retranscrit tes sensations (on y était) et une expérience utile pour la suite de ton programme ( câble, fringale, boisson) 
Faire de longs brevets demande réflexion. Tire parti de tes mésaventures, par contre ne tire pas trop sur la bête côté moyenne horaire et tu t'en sortira bien sur les brevets plus longs (à partir de 400km, les choses sérieuses commencent) 

J'ai un peu de puissance donc ça passe bien sur le plat/faux plats. Encore un peu d'affutage pour être à l'aise dans les pourcentages les plus importants, mais les kms accumulés cet hiver de façon régulière et les premiers BRM sont encourageants.
D'ailleurs je pensais marcher de travers lundi matin, mais je n'ai pas ressenti plus de fatigue qu'un lendemain de course. Ce qui me crame en course désormais, ce sont les départs rapides et le cœur qui monte trop haut et trop rapidement.
Le moment le plus plaisant a été le départ dans la quiétude de la nuit, c'est assez grisant.

Le prochain BRM sera un 400 à Limoges le 05/05, avec un circuit vers l'est en Creuse, dans l'Allier, Cher puis Indre, des routes que je connais bien. J'ai juste peur de l'appel de l'écurie à mi-parcours, on passe à 10km de chez moi

L'appel de l'écurie c'est un vrai piège (j'en ai fait l'amère expérience à plusieurs reprises  )
Maintenant, un arrêt "technique" à mi-parcours peut d'éviter de trop te charger en vêtements, nourriture, etc. faut voir

papou a écrit:

L'appel de l'écurie c'est un vrai piège (j'en ai fait l'amère expérience à plusieurs reprises  )

Ah bon ? Quand, par exemple ?

papou a écrit:

L'appel de l'écurie c'est un vrai piège (j'en ai fait l'amère expérience à plusieurs reprises  )
Maintenant, un arrêt "technique" à mi-parcours peut d'éviter de trop te charger en vêtements, nourriture, etc. faut voir

Je trouve au contraire que c'est un vrai plus.

Lors du PBP 2016 Audax, on passait à l'aller et au retour à 2 km de chez moi. Ces 2 arrêts ont été très bénéfiques. J'y ai mangé et dormi (un peu) les 2 fois. + les vêtements et nourriture que j'avais préparé.
Et, avec la motivation, à aucun moment, je ne me suis posé la question de ne pas repartir.

J'en garde un très bon souvenir.

A bientôt.
.

snoop a écrit:

J'ai participé à ce BRM 300 à Bellerive, le tout premier 300 pour moi après mes tous premiers 200 à Clermont-Ferrand (63) mi mars et Saint-Doulchard (18) début avril.
Parti pourtant dans les temps de Montluçon, j'ai un peu de mal à trouver la Maison des Associations à Bellerive. Du coup, j'arrive quand le gros du peloton partait. Après avoir pris possession de ma carte de route, je pars à 05h20 avec un cyclo habitant Vichy et originaire de la Nièvre (où l'on se rend).
Nous prenons le départ ensemble, puis à la sortie de Cusset mon câble de dérailleur arrière s'est rompu. Mon tempérament m'incite au quotidien à dédramatiser les choses. Il fait nuit mais j'ai deux câbles de rechange dans la sacoche de cadre, je réparerai au petit jour.
Le cyclo qui m'accompagne roule sagement à 22km/h environ, vitesse qui ne me permet pas de tourner les jambes comme je le voudrais, avec un 39/11. Au 30ème kilomètre je prends un peu d'avance et, j'espère qu'il m'en excusera s'il me lit ici, j'ai pris le parti d'accélérer pour tenter de rejoindre le peloton.
Le dénivelé n'est pas très important malgré quelques pourcentages courts, je double un cyclo et un tandem puis rattrape Pascal LACARIN (on m'a donné son nom ensuite; 10ème de PBP en 48H m'a-ton précisé) qui s'était arrêté ravitailler en eau dans un cimetière.
Peu après, je rattrape Véloblan sur son vélo couché. On échange brièvement, je suis possesseur d'un vélomobile (Quest). Je ne lui ai pas dit, mais je suis allé quelques fois sur son blog, en tombant dessus via une recherche sur le BRM de Bellerive.
Je poursuis ma route à un bon rythme (30 km/h de moyenne) et je vois que Pascal LACARIN est à 300m derrière moi, nous roulons à la même vitesse. Je l'attends, on échange quelques mots et le CP1 est là, avec le gros du peloton. Je m'empresse de pointer dans le tabac-presse puis de changer mon câble de dérailleur. Ma crainte était que la tête soit restée coincée dans la poignée, ce qui m'était arrivé l'an passé. Et une tête avec quelques mm de câble effiloché dans une manette... ce n'est pas une mince affaire, plutôt du genre à rendre dingue. La fois précédente j'avais mis pas moins de 4H pour la sortir.
Finalement la tête a dû tomber, et je parviens à installer le câble neuf à la hâte, au moins pour monter à mi-cassette. Quand on a tirer gros pendant 80km, ça change la vie !
Je reprends la route avec un peloton d'une bonne quinzaine de cyclos, seul Pascal LACARIN est reparti devant, nous ne le reverrons qu'à l'arrivée. J'ai le plaisir de discuter un peu avec Patrice DHUMES que je connais déjà de part son travail de photographie à l'ancienne (procédé au collodion), il avait fait un reportage chez les cycles Victoire (63). Très grand, il a fière allure sur sa randonneuse Victoire rouge et chrome.
Au fil des kms, le groupe se sépare et c'est à 7 que nous parvenons à La Charité/Loire pour le CP2. Après un demi commandé en chorale et un ravitaillement à la boulangerie, je prends quelques photos de boutiques. Je suis fana de typographies et de vieilles enseignes, et les BRM sont un prétexte idéal pour faire des safaris typos.
On reprend le chemin du retour à 7 après une bonne demi-heure de pause, puis à 5 un peu avant le CP3 à Bresnay et nous arrivons à 17h15 à Bellerive.

Tout s'est bien passé durant ce BRM 300, aucune douleur dans les jambes, j'aurais simplement aimé avoir une ou deux dents de plus sur le retour accidenté. Petite fringale dans les 20 derniers kms, je manquais d'eau donc difficile d'assimiler un aliment solide. C'est un paramètre qui sera corrigé avec un bidon de plus (je n'avais que deux bidons de 0.5L).

Je ne sais pas pourquoi, je m'étais mis en tête dès le départ que ce BRM avait un dénivelé de 1400m alors qu'en vérifiant après coup à la maison, il était donné à 2300m. Par contre mon GPS n'a relevé que 1900m. Je note que chaque GPS, pour un même groupe, donne un chiffre assez différent. Quelqu'un a-t-il une explication ?

Il va falloir également que je m'organise sur les prochains BRM pour pouvoir prendre davantage de photos. Entre les boutiques anciennes, les châteaux, les paysages... difficile de les immortaliser quand on roule à bonne allure dans un groupe (28 km/h de moyenne). Entre la Loire à Nevers, La Charité/Loire et Apremont/Allier notamment, il y avait de quoi faire.

Je suis celui avec qui tu es parti. Pour moi je n'avais aucune expérience et je tenais à assurer. 
Je voulais simplement le faire à mon rythme et j'y suis arrivé sans souffrir de quoi que ce soit.

Snoop a écrit : "  je note que chaque GPS, pour un même groupe, donne un chiffre assez différent. Quelqu'un a-t-il une explication ? "
Je crois en avoir une : ces GPS ne sont pas des instruments de précision 
Pendant mon dernier 300 à un moment mon GPS Garmin indiquait au mètre près la même altitude que mon compteur Sigma : c'était assez troublant. Heureusement tout est rentré dans l'ordre quelques heures plus tard où j'ai constaté une dérive d'une dizaine de mètres 

breizh22 a écrit:

Le Garmin 1030 a autant d'autonomie que cela ?

Ils n'annoncent pourtant que 20h...sans doute en conditions optimum. 

Ben, d'après ton compte rendu, il y a bien une très bonne autonomie 😊

J'en suis le premier étonné mais j'ai quasi tout désactivé ce qui ne me sert a rien

lmvv heu une formalité patafé hein je suis actuellement en Ardèche avec Sergio la mobylette, j'ai pas débranché depuis la semaine dernière, vivement la retraite demain en rentrant arrêt vers Jaujac pour monter la croix de Bauzon, un col que j'adore

Jipe4 a écrit:

Je suis celui avec qui tu es parti. Pour moi je n'avais aucune expérience et je tenais à assurer. 
Je voulais simplement le faire à mon rythme et j'y suis arrivé sans souffrir de quoi que ce soit.

Je n'ai aucune expérience non plus en longue distance, je n'avais fait qu'une ou deux fois 200km avant de commencer les brevets cette année, et ça datait d'il y a 15 ans.
Bravo pour ce brevet. A bientôt.

sccber a écrit:

Snoop a écrit : "  je note que chaque GPS, pour un même groupe, donne un chiffre assez différent. Quelqu'un a-t-il une explication ? "
Je crois en avoir une : ces GPS ne sont pas des instruments de précision 
Pendant mon dernier 300 à un moment mon GPS Garmin indiquait au mètre près la même altitude que mon compteur Sigma : c'était assez troublant. Heureusement tout est rentré dans l'ordre quelques heures plus tard où j'ai constaté une dérive d'une dizaine de mètres 

J'ai arrêté systématiquement le GPS à chaque arrêt, même petit, et parfois je ne l'ai redémarré que quelques centaines de mètres après être reparti. C'est pour l'instant une petite manie que j'ai, pour avoir une idée de la moyenne en roulant, en faisant abstraction des pauses.
Mais ça n'explique pas une telle différence de dénivelé par rapport à la trace, même si celle-ci est perfectible. J'ai pu lire que le dénivelé était très différent entre une trace totale et l'addition de tronçons, que ce soit sur Openrunner ou un autre site.