BRM 400 Ménigoute (79) 4/05/19

Pour la troisième étape du 400 km au départ de Ménigoute toutes les infos se trouvent ici :
http://superandonneur.fr/brm_2019.htm

A bientôt

De retour de vacances, j'ai préparé les 13 premiers cartons. J'en ai encore, n'hésitez pas

En plus la météo semble être favorable cette fois ci 

serge. a écrit:

En plus la météo semble être favorable cette fois ci 

Ouais ça semble pas mal... à confirmer en cours de semaine

valeurs GPS : 2,4° de moyenne sur l'ensemble du brevet avec un mini à -3 °
Vent latéral puis dans le dos après le 1er contrôle
Un bon groupe solidaire de 8 s'est alors formé. 
On est resté soudé pour se tenir chaud une partie de la nuit.

A Nontron kms 238 le groupe s'est scindé à la recherche d'eau. 
à 5 on est allé au contrôle distant de 11 kms. On a pu y remplir nos bidons, on a attendu sans voir arriver le reste du groupe.

On a continué notre route dans la froidure. 

A La Rochefoucaud (7h) arrêt Boulangerie Café..  les 2 cyclos de Saumur ne nous ont pas vu nous arrêter.
On a appelé mais nos cordes vocales gelées n'ont pas été permis d'alerter nos compagnons.
Le vent s'est levé pour terminer le BRM et comme d'habitude, on l'avait dans le PIF ! 

A 13H46 on glissait notre carnet de route rue des polys à Ménigoute.

la tête des manifestants de l'acte 25 des gilets jaunes à la boulangerie de La Rochefoucaud (mes compagnons de route...)  
 

22 partants, 20 homologués. Le 400 c'est bien passé malgré la nuit "fraîche" qui n'a pas empêché que je sois cramé à l'arrivée    Désolé pour ceux qui sont arrivés en début d'après midi, je n'ai pas pu vous accueillir je dormais
CR à venir...

Un sacré 400 avec des bosse et où il a fait très froid  . Depuis ce  matin j 'ai des fourmillement au niveau des orteils.
J 'avais souvenir de ce brevet fait en 2014 dans l 'autre sens. Léane étais venu nous apporter des chocolats . C'étais y a 5 ans et je devais avoir plus la forme que cette année.
A l'époque nous avions mis 2 heures de moins  pour boucler le parcours en compagnie d'Yvan ( a l’époque il roulé avec sa bétaillère   )   et autres habitués.
Cette année j 'ai accompagné Patrice qui se prépare pour son 1 er PBP. Dans la nuit on a était rejoint par un groupe accompagné de Louic et on sait lâché pour faire le point d 'eau.
Au petit matin, Patrice a ressenti le besoin de dormir. Un petit dodo de 1 h sur du carrelage dans un toilette public . Température du local 9 °, c 'était mieux que le - 1 de dehors.
 A 7 heures j 'avais la forme. Et à partir de Melle une douleur assez vive au genou droit m 'inquiéta.( En 2015 j 'avais du abandonner mon deuxième PBP a cause d 'un genou gauche)
Ce matin je suis un peu plus rassuré.
Affaire a suivre

400 Kms de Ménigoute 2019
 
     Samedi 04 mai, 15h30, j’arrive au célèbre abribus qui a vu tant de départs. Il y a 22 engagés pour ce BRM qui s’annonce venteux et pluvieux à souhait surtout sur les premières heures.
     Je récupère mon carton de route près d’Yvan et salue Thierry de Poitiers habitué s’il en est, ainsi que Fred de Saint Junien, chez qui nous devons passer dans quelques heures vers le km 130.
     A 16h00, pile Yvan donne le départ, et file à l’avant avec son groupe habituel de « mobylettes ».  Fred et moi  fermons la marche avec à vue un groupe de 8/10 que nous n’intégrerons pas. 400 kms c’est long on a le temps de se revoir !!!
      Si la pluie prévue ne s’invite qu’assez peu, le vent fort lui est bien présent en latéral gauche ou ¾ face. On sait que se sera comme çà jusqu’à Gencay au km 45 il faut faire avec. Nous effectuons le premier pointage à 17h55, avec à la clé  un petit noir pris vite fait en 05 minutes au café de l’Hôtel de ville. Ceux du groupe devant nous repartent juste.
      Eole devient notre ami et la moyenne remonte vu que le profil est plat.
      Après Sommière du Clain nous sommes rejoints par Alain B qui lui voyage vraiment léger. Il reste avec nous quelques minutes. On échange un peu sur des connaissances communes dans son club. Il nous explique être parti avec 45 minutes de retard, mais cela ne semble pas le gêner plus que çà. On ne le sent pas inquiet sur le fait qu’il puisse rattraper le groupe des mobylettes dont il est un des éléments moteurs  habituellement.
     A Charroux, km 74, nous faisons un bref stop pour un cliché devant la tour Charlemagne. Fred me dit « qu’il est moyen », qu’il a des maux de ventre et pas trop de jambes. Le vent étant toujours favorable on lève un peu le pied pour voir si ça passe. Mais au km 80 il est obligé de stopper pour vomir. On remet en route tranquille mais avant Confolens, nouvel arrêt. Même motif, même punition.
    On échange un peu sur le fait que cela risque de ne pas être simple de faire un 400 le ventre vide, qu’il va bien falloir mettre « du charbon dans la chaudière ». On décide alors de faire un nouveau Stop dans un bar de Confolens au km 102, où il veut prendre 2 Coca pour se recharger en sucre. A 20h40, Nous y retrouvons Serge (je crois) et son compagnon de route qui mangent un peu.
    Au bout de 15 minutes nous repartons. Le groupe de 08/10 est arrêté dans une pizzeria sur la gauche en sortie de ville.
    Le relief change. Non pas que ce soit très difficile, mais ça devient de la tôle ondulée. Il commence à faire frais, mon compteur indique juste au-dessus de zéro. Fred n’est toujours pas au mieux , on temporise dans les bosses pour économiser ses quelques forces. Lesterps passé, en route pour le second contrôle de Brigueuil au km 120
    Nous effectuons le pointage au panneau de sortie à 22h03. L’arrêt est bref, à peine 05 minutes.
    Direction maintenant Saint Junien au km 129. Dans les propos de Fred je comprends qu’il a décidé d’arrêter là l’aventure, dans la mesure où il demeure à 05kms. Je pense que c’est prudent, une distance pareille sans force, c’est quasi impossible.
    C’est ce qui se passe en centre-ville. Il me donne une bouteille de red bull pour la nuit avant que nos routes ne se séparent en n’oubliant pas de me préciser que le terrain ne va pas être facile jusqu’à Thiviers prochain contrôle au programme au km 193. Quelques mots d’encouragement réciproques et c’est parti pour les 273 kms restants en solo.
   Ca commence par une belle descente, c’est cool. Mais dès la sortie se présente la côte du Malucha. En fait c'est comme un mur. Vite fait tout à gauche car ça pique sur 200 ou 300 mètres. Open Runner la donne a 8%, pour moi c’est beaucoup plus. (Yvan annonce 16% et Fred m'avait dit 18%) Mais avec un bon quintal à monter, les côtes paraissent de suite plus dures !!!.  Je pense que tout le monde a dû la sentir celle-là.
   Ensuite en effet toute la traversée du Parc Régional du Périgord Limousin se mérite.  On est en prise tout le temps avec ces bosses qui s’enchainent. La route est encore longue, donc je passe en mode gestion, tout en souplesse dès que ça monte.
   Je m’étais fait un planning sur lequel nous devions arriver a à Thiviers à 01h55. Pas trop mal vu, car je pointe au panneau d’entrée de ville à 01h40. Je rentre dans la ville et je fais une pause de 10 minutes devant un bar désaffecté. Je mange vite fait 2 petits riz au lait et une banane. Un peu de pommade et c’est reparti.
   Alors que la feuille d’Yvan prévoit 3323 de dénivelé+ sur l’ensemble du parcours, je constate que le dénivelé+ est déjà de 2399 mètres  pour 193 kms. Ah oui pas mal !!!. Comme d’habitude on va en remettre un peu au bout !!!. Je suis à 09h02 roulées, et 55 minutes d’arrêt. Ca me va.
   Dès la sortie de Thiviers, la route est un bonheur. Non seulement elle est de super qualité mais en plus elle est plate, voire en légère descente. Il est 02h00, il n’y a pas de vent. Je suis euphorique, les jambes tournent bien, les kms défilent. Par contre quel froid. Malgré mes gants d’hiver j’ai le bout des doigts gelés. La pile de mon compteur étant faible, il se coupe et se met en mode transport. J’apprendrais plus tard par d’autres concurrents qu’il y avait -2 voir -3.
   Après le km 220, on vire à gauche pour monter un beau talus qui permet de rejoindre Nontron dans la vallée voisine. Le goudron est plus que moyen. Je ne vois pas le bout de cette bosse en pleine forêt, mais ça passe.
   Je pointe au panneau d’entrée  de Javerlhac au km 249 à 04h25. Pas d’arrêt si ce n’est le temps de la photo.
   C’est bien beau tout çà, mais je suis seul et le groupe de 10 derrière ne m’a toujours pas rejoint. En fait ça me donne le moral. Pour fêter ça, en roulant je bois le « F’Red Bull » Il me faut du temps car il est hyper froid. C’est une première. Ce n’est pas mauvais à cette heure-là. 
   Dans Saint Germain de Montbron km 262, je vois un collègue arrêté. Il n’a plus sa trace GPS. Il relance et c’est parti. En route il m'apprend qu’il est parti avec le groupe d‘Yvan, mais qu’il a sauté dans la bosse en sortie de Charroux au km 74, que depuis il roule seul.  Il a un peu de mal à suivre, il se dit « cramé ». Je temporise un peu car j’ai repéré sur google map une boulangerie qui ouvre à 06h00 à La Rochefoucault au km 280. De quoi se retaper un peu après cette nuit. Le jour se lève, le toit des voitures est bien blanc.
     On y arrive à 06h05. Nous sommes les premiers clients. Pour moi ce sera grand chocolat chaud, 2 croissants et 1 pain au chocolat. Le plein des bidons et c’est repartis à 06h25. Le groupe n’est toujours pas en vue.
      Pas facile de retourner au froid, mais ça passe. Au bout de quelques kms, Denis me dit de filer et qu’il va gérer pour rentrer. Il reste 110 kms, ça va le faire.
     A compter de Saint Angeau, la route redevient de la tôle ondulée, et ce sera ainsi jusqu’à l’arrivée. Les jambes ne sont encore pas trop mal, et je les économise en moulinant dès que ça monte un peu. Par contre le vent commence à se lever et il est bien plus fort que les prévisions de 15/20 km/h de la veille. On doit être plus proche des 30. Et bien sûr pleine face.
     A 08h10 je suis à Verteuil, où je fais un petit stop pour faire des photos du château qui surplombe la ville.
     A 09h00, au km 329, je pointe à la boulangerie de Villefagnan. 05 minutes d’arrêt et un pain au chocolat plus tard, c’est reparti. J’ai hâte d’arriver.
     16 kms de ligne droite bosselée pour atteindre Chef Boutonne km 345, c’est hyper long surtout avec ce vent. Au cours d’un arrêt technique, je vois passer Denis. Il semble de nouveau bien. En fait, je ne pourrais plus le suivre à partir de cet instant. C’est moi qui aie le coup de moins bien. Pas grave.
      Le soleil revenu, mon compteur s’allume de  nouveau. Bon il manque 120 kms quand même. Fainéant, tu auras droit à une pile neuve quand même !!!.
    Encore 16 kms de ligne droite en tôle ondulée pour atteindre Melle km 361. Denis est toujours devant, je l’ai à vue au grès des bosses. Je fais un arrêt pour manger mes 2 derniers petits riz au lait.
     A Melle, Denis fait un stop pour attendre un collègue qui doit venir à sa rencontre et faire route à 2 pour la fin. Moi je file.
    Encore 20 kms pour arriver à la Mothe Saint Heray km 381. Je me dis que la dénivelé+ doit bien avoir grimpé depuis Thiviers!!
    Allez courage, plus que 3 bosses, celle de La Mothe, celle de Pamproux direction Fontperron que je ne connaissais pas mais qui fait un peu mal, et enfin celle de Ménigoute. Il m’aura fallu 01h15 pour faire ces 22 derniers kms.
     Je suis accueilli par Yvan et lui remet ma carte de route à 13h10, bien content d’en terminer. J’ai la surprise d’apprendre que je suis le premier à arriver après son groupe qui en a fini …………………..à 08h53. Une fois de plus un BRM pas facile. 
    Voilà 3ème manche de qualification pour Paris Brest Paris est faite. Le 600 c’est le 25 et je compte bien en être.
     Bilan : 403 kms, dénivelé+ 4200 mètres à mon GPS, en 19h34 roulées, 01h46 d’arrêt, moyenne roulée 20,60 km/h. 

Beau résumé, merci, je n'ai pas encore de 400, normalement samedi à Clermont si météo pas trop pourrie   Heureusement que ce n'est pas aujourd'hui, ca souffle vraiment fort 

J’ai vécu un brm assez particulier.
Un empêchement de dernière minute me fait louper le départ à 16h0.
J’appelle Yvan qui me dit qu’il n’y a pas de problème, je peux passer prendre mon carton après le départ, merci à lui et à sa fille. Je vais pouvoir faire mon 400, ouf !
Je m’élance donc vers  16h45 de  Ménigoute, moi qui voulait intégrer de l’entrainement solo dans mes sorties, c’est maintenant !
Le temps est menaçant, 2-3 gouttes mais rien de méchant, par contre beaucoup de vent pour l’instant de côté puis rapidement favorable après Vivonne (km33).
Je ne sais pas trop comment gérer cette affaire, rouler fort pour revenir vite sur des groupes au risque de me cramer ou gérer un 400 en solo ?
Je gère au cardio, ne pas se mettre dans le rouge. Les kilomètres défilent, je ne roule pas vraiment seul le vent est mon équipier, 31 de moyenne sur les deux premières heures.
Etrangement je rattrape assez vite des concurrents, 2 à la sortie de Gencay au km45, 2 autres ensuite (dont Michel et son Victoire bleu, j’adore la couleur de son vélo) puis un gros groupe d’une dizaine avant Charroux. Désolé je ne connais pas grand monde dans le milieu mais j’échange quelques mots à chaque fois. Sympa en fait de voir tout le monde en action.
Je n’ai pas trop révisé le parcours, je ne sais pas combien il y a de participants, je comptais sur Yvan et le groupe de devant pour avoir les infos et gérer, dommage.
J’arrive dans le sud Vienne et le profil se complique, cela devient vallonné mais j’aime ça et les jambes sont bonnes, les routes sont belles.
Avant saint Junien (km120) et surtout la nuit et le froid je me ferais bien une pause pour manger chaud, au téléphone je demande à mon fils de me trouver quelque chose. Ce sera une pizza même si je dois faire un détour de 4km, pizza coca sur un parking de centre commerciale. Pas très pittoresque, pas du tout diététique mais tellement bon.
Après le brevet et grâce à l’option flybis de Strava je verrai que le groupe de tête quittait Saint Junien quand j’y rentrais, j’aurais pu les reprendre assez rapidement sans cette pause mais je ne le savais pas à cet instant sur le vélo.
A la sortie de Saint Junien, un mur nous attend pour sortir de la vallée, la pizza et moi on est bien planté sur le 34x25 et je me demande si on ne va pas mettre pied à terre mais ça passe.
La nuit est là, la température descend encore mais la route est belle, j’ai repris des forces je roule bien, je rattrape un conçurent qui n’a pas l’air au mieux, il me dit avoir roulé avec ceux de devant pendant 75km, ils sont 6 devant.
Il fait vraiment froid, avant Javerlhac (km249) une grande descente le long d’une rivière me glace les mains, j’ai vraiment froid aux doigts malgré les gants d’hiver et les sous gants, c’est difficile à gérer si je roule fort pour me réchauffer, je roule aussi plus vite et le vent me refroidit.  Je m’arrête pour mettre mes doigts dans la bouche et sous les aisselles (dans cet ordre…. ) mais rien n’y fait vraiment.
Le moral est moyen et si j’avais trouvé un hôtel à cet endroit sur la route je me serais arrêté me réchauffer.
Dans Javerlhac assez loin au bout d’une grande ligne droite je vois des feux arrières scintiller, ce ne peut être que le groupe d’Yvan, le moral remonte. Je m’arrête pour pointer et me ravitailler mais avec le froid au doigt pas facile de prendre la photo.
Je roule fort pour rentrer mais la route est peu vallonnée et sinueuse je ne les vois plus, je sais qu’il y a des bons rouleurs devant et qu’ils sont 6 ce n’est jamais facile de rentrer, patience.
Je chasse mais c’est long, en fait je vais mettre une heure pour rentrer. A tel point que je pensais avoir rêvé ou avoir eu des hallucinations avec la fatigue et le froid, mais non c’était bien eux. Après une poursuite de 270km je rattrape le groupe de tête, bien content d’avoir de la compagnie et de l’abri pour la suite.
Mon but est de rester avec eux jusqu’à la fin, mais la suite n’est pas facile, toujours le froid, des bosses et la fatigue impactent les éléments du groupe. Nous sommes 7 mais certains vont décrocher, nous finirons à 4.
Le vent se lève avec le matin, il est défavorable. La tôle ondulée, les méchantes bosses de l La Mothe-Saint-Héray et Pamproux font mal, heureusement nous finirons sous le soleil et le beau temps à Ménigoute.
Donc un 400 particulier avec mon départ décalé, la températures hivernales et un parcours exigeant.
Au final une bonne expérience et une bonne façon de tester le bonhomme et le matériel.
ps: les contis 5000 neufs en 25, tubeless devant tt derrière sont des pneus incroyables. Confort rendement, je conseille.

Encore bravo Alain, t'es un costaud y'a pas à dire !

Voici mon CR : https://yvanlucarnetderoute.blogspot.com/p/brm-400-menigoute-2019.html

Dans l'euphorie de mon 400 d'Angers, je m'inscris sur le 400 de Ménigoute. Une semaine seulement sépare ces 2 brevets mais bon j'ai envie de voir si mes nouveaux réglages sont bons ( je me chope une tendinite au genou droit sur chaque brevet ou presque  )
Je suis assez rapidement avec 5 costauds et je sais que je vais avoir du mal à finir ce brevet avec eux ( j'ai pris soin de demander le plan à Yvan pour lui rendre mon carton après l'arrivée  )
Tout se passe bien dans le groupe, on se relaye bien, Gilles est obligé de nous attendre en permanence ( il est une jambe au dessus de nous si vous voyez ce que je veux dire  ). Dans les bosses je voie bien que je vais payer la note tôt ou tard mais je m'accroche pour rester dans le groupe, il faut dire que moi aussi je suis costaud mais du ventre uniquement   
Les contrôles se passent , on roule sur des routes que je connais, c'est agréable mais je suis de plus en plus dans le dur chaque fois qu'arrive une bosse.
Km 310 on s'arrête dans un cimetière pour faire le plein, je décide ne pas repartir avec le groupe je vais terminer en solo tant bien que mal. 
Ce sera plutôt mal d'ailleurs ces 90 derniers km vont me paraitre bien longs car vent de face et bien cramé c'est beaucoup plus dur.
J'arrive à l'abri bus à 9h55 bien content d'en avoir terminé. 402 km 3730m de dénivelé et 16h19 roulé  
Prochaine étape le 600 de Limoges, je suis déjà pressé d'y être

francis16 a écrit:

Dans l'euphorie de mon 400 d'Angers, je m'inscris sur le 400 de Ménigoute. Une semaine seulement sépare ces 2 brevets mais bon j'ai envie de voir si mes nouveaux réglages sont bons ( je me chope une tendinite au genou droit sur chaque brevet ou presque  )
Je suis assez rapidement avec 5 costauds et je sais que je vais avoir du mal à finir ce brevet avec eux ( j'ai pris soin de demander le plan à Yvan pour lui rendre mon carton après l'arrivée  )
Tout se passe bien dans le groupe, on se relaye bien, Gilles est obligé de nous attendre en permanence ( il est une jambe au dessus de nous si vous voyez ce que je veux dire  ). Dans les bosses je voie bien que je vais payer la note tôt ou tard mais je m'accroche pour rester dans le groupe, il faut dire que moi aussi je suis costaud mais du ventre uniquement   
Les contrôles se passent , on roule sur des routes que je connais, c'est agréable mais je suis de plus en plus dans le dur chaque fois qu'arrive une bosse.
Km 310 on s'arrête dans un cimetière pour faire le plein, je décide ne pas repartir avec le groupe je vais terminer en solo tant bien que mal. 
Ce sera plutôt mal d'ailleurs ces 90 derniers km vont me paraitre bien longs car vent de face et bien cramé c'est beaucoup plus dur.
J'arrive à l'abri bus à 9h55 bien content d'en avoir terminé. 402 km 3730m de dénivelé et 16h19 roulé  
Prochaine étape le 600 de Limoges, je suis déjà pressé d'y être

Bravo Francis et bon 600 à Limoges

Bravo Francis, deux d'affilés, même pas peur !