BRM 600 Ménigoute (79) 25/05/19

Allez c'est parti pour un peu de lecture:

      Samedi 25, 04h30, me voici une nouvelle fois au célèbre abribus de Ménigoute. Yvan me rend le carton du 400 validé en début du mois et me donne celui jour.
       Parmi les 18 participants, je salue vite fait Ted rencontré sur des Dodécaudax Tourangeaux, qui va passer presque devant sa porte en fin de journée, mais aussi  Fred, qui malade sur le 400 avait dû s’arrêter vers St Junien.
      A 05h00 pile Yvan lâche les troupes. Comme toujours ça part vite devant, et comme d’habitude, je pars tranquille en queue de peloton.
      Nous sommes 5 à l’arrière, Serge un habitué de la longue distance, son ami Patrice, qui comme moi tente de valider son inscription à son premier Paris Brest Paris, Fred rouleur aguerri lui aussi, et Patrice un parisien, autre habitué avec plusieurs PBP à son actif.
      Dès les premiers kilomètres Serge propose d’organiser la progression « en roulant à la borne ». Jeune cyclo habitué à rouler seul la plupart du temps, je ne connais pas ce mode de relai, mais  je me rends compte que c’est diablement efficace de faire de la patinette en suivant les autres quand on passé son tour devant. On tournera comme çà à 4 jusqu’au milieu de la nuit, Patrice étant un poil court.
      Contrairement aux premiers BRM de cette année, nous avons un temps clément. Il fait 12° et vent assez faible venant de la gauche.
      Le premier contrôle à Mirebeau (86) au km 43, est atteint à 06h55. Un pain au chocolat fera mon bonheur pour cet arrêt bref.
      Nous remettons en route direction le prochain arrêt. Les relais passent bien et le terrain n’est pas très difficile.
      Le temps d’une photo du château de Chinon bien éclairé par le soleil levant, passer dans les vignobles du Chinonais, devant la moins glamour centrale Nucléaire d’Avoine, franchir la Loire et nous voilà déjà à Bourgueil (37) au km 108.  
      Il est 10h00 pile. Un grand chocolat chaud et un croissant feront l’affaire pour cet arrêt de 10 minutes.
      C’est reparti direction Arnage en banlieue Mancelle, connu grâce au circuit des 24 heures du Mans.
     L’allure est toujours bonne, le soleil nous accompagne, le vent assez faible vient de la gauche comme prévu. Tout va bien jusqu’à km 130, ou j’entends un bruit à l’arrière. C’est le support de sacoche de tige de selle de Serge qui vient de rendre l’âme.
     Après recherche quelques mètre en arrière nous retrouvons le petit ressort sur le goudron, mais le système de verrouillage est cassé. Pas possible de réparer, donc séance Mac Gywer nécessaire.
     Patrice y va de quelques tours de ruban d’électricien pour maintenir ce ressort en place. Sauf que la sacoche repose sur le pneu. J’ai toujours une sangle en secours au cas où. 2 tours de celle-ci entre le support et la selle, ça devrait le faire pour les 470 kms restants. Autant le dire tout de suite ça l’a fait. !!!!
    Il est un peu plus de midi, nous sommes à le Lude (72). Serge et Patrice proposent de manger. Pas de soucis, une pause au soleil en terrasse avec un bon sandwich Jambon Emmental et une boisson de ce brave John Pemberton feront l’affaire.
    35 minutes plus tard c’est reparti, Arnage au km 192, n’est qu’à 36 kms. Nous y arrivons à 14h30. Serge et Patrice valident en boulangerie, Fred et moi dans un  bar pour nouvelle boisson américaine à bulles. Un peu de pommade et en route. Comme pour nos autres arrêts, nous sommes rejoints par Patrice qui est un poil moins vite mais très régulier.
    2/3photos du circuit des 24h00, et direction Vendôme. Le profil devient nettement plus marqué mais rien de bien terrible non plus. Les relais passent  bien entre les 4, et la moyenne de 23 km/h est stable, bien suffisant pour cette distance.
    Pour les habitués du Dodécaudax de nuit organisé par JPM en décembre, nous passons à quelques centaines de mètre de la réputée « auberge du Solstice ».
    A 18h20, au km 271, nous pointons au Leader Price de Vendôme (41), pour y faire quelques achats pour la soirée et la nuit. Ce sera un stop de 40 minutes. Pas grave on est facile dans les délais. Les 300 grammes de Taboulé, une banane et un coca n’iront pas plus loin que la devanture.
   En ville, petite photo de la belle Tour restaurée, puis direction Selommes et Mer. Nous franchissons la Loire à Muide sur Loire, puis virons sur la gauche pour emprunter la longue, très longue et monotone D951 vers Olivet avec son revêtement improbable et des sauts de goudron tous les 10 mètres. Un calvaire pour le fessier.
    Il est 20h45, il faut penser à s’équiper « en mode nuit », et comme tout le monde à faim nous faisons un nouvel arrêt de 40 minutes au bar restaurant  « Le Rhinocéros » de Saint Laurent. Ça me permet de constater que le riz au lait que je pensais avoir acheté n’était autre que de la crème Mont Blanc. C’est beaucoup moins consistant, mais bon ça fera l’affaire avec 2 petits sandwichs et une nouvelle boisson à bulles !!!
   Après quelques gouttes de pluie, Olivet (45), km 352 est atteint à 23h00. Photo du panneau et en route pour le prochain contrôle à Bourré (41).
   Ça roule toujours plutôt bien sur ces interminables lignes droites en forêt, même si la fatigue commence à se faire sentir. Je suis bien. Fred, qui est levé depuis 01h00, est un petit peu à la peine, mais il suit quand même. A 15/20 Kms du contrôle on laisse filer Serge et Patrice pour y arriver un poil moins vite. A 03h35 nous sommes sur place à Bourré au km 439.
    Je suis surpris de voir qu’il y a 4 ou 5 vélos dans la cour. Pour moi les 12 devant devaient être loin. Pas du tout, ceux-là sont arrivés seulement 01h10 avant nous et sont couchés dans l’appartement de Taoufik pour un somme de 45 minutes.
    Ça fait du bien de revoir Taoufik, de manger un peu de salé et boire un café. Comme les précédents se lèvent pour reprendre la route, nous appliquons le principe de « la banette chaude » en vigueur dans la marine, et prenons leur place dans les duvets pour une bonne sieste de 01h30.
    En nous réveillant à 05h45, Taoufik nous apprend qu’Yvan est arrivé  à Ménigoute à 05h35. 24h35 pour faire 605 kms arrêts compris. Chapeau !!!, Ted viendrait lui de pointer à Descartes. Nous, Il nous reste 165 kms, mais ce qui compte c’est que chacun y trouve son compte et réalise ses objectifs.
    Le temps de grignoter un peu et de s’équiper, le départ se fait à 06h30, soit 03 heures d’arrêt. Le jour se lève, et Touafik prend son vélo pour aller au-devant de Patrice qui s’est annoncé à Cour Cheverny au km 412.
   L’unanimité des participants s’est faite pour dire  un grand MERCI à  Taoufik, d’avoir passé la nuit à nous  accueillir, pour cette collation, et le couchage pour certains d’entre nous.
   Une photo du pont de Montrichard sous le soleil levant et nous attaquons par une bosse d’un bon km. Pour avoir fait des Dodécaudax dans le coin je sais que le terrain du jour va être beaucoup moins facile jusqu’à Descartes. Serge et Patrice font un stop pour « débâcher ».  
   Aved Fred on continue tranquille, les deux devant nous reprendre. C’est ce qu’ils font dans une bosse après Montrésor, mais on n’a pas trop les jambes pour les suivre, pas grave.  On les verra ensuite arrêtés à la boulangerie de Verneuil sur Indre.
   Nous arrivons au contrôle de Descartes (37), kms 514 à 10h30. C’est jour de marché, et nous trouvons une table au soleil, en en terrasse pour un grand chocolat chaud et un croissant. Un vrai bonheur !!!.  Serge et Patrice arrivent alors que nous allons repartir.
   Le soleil est bien présent et  je redoute un peu la bosse de Buxeuil direction Dangé Saint Romain. En fait elle est longue mais elle passe bien. A Dangé, j’ai une petite pensée pour un ex collègue, qui comme ce n’est plus la période des champignons,  doit être à la pêche dans le coin. Toc Toc tu te reconnaitras.
    Je connais le reste du parcours par cœur. Alors que l’on fait une pause boisson en forêt de Châtellerault Serge et Patrice cherchent eux aussi à boire. Ils trouveront leur bonheur à Marigny Brizay où nous les voyons au passage.
   Passé Neuville de Poitou, c’est tout droit pour les 35 derniers kms. Mais bien entendu le vent s’est levé et on l’a pleine poire.
   Les forces manquent un peu,  je trouve le temps bien long et perd un peu mon calme. Fred sait me remotiver et monte la dernière bosse avec un peu d’avance pour faire une photo de moi au passage du panneau Ménigoute. Ouf c’est fini.
   A 15h50, 10 minutes avant que Serge et Patrice n’arrivent à leur tour, puis dans la foulée Loïc de la Tremblade et Nicolas, nous remettons nos cartes de route à un Yvan…frais et dispo, et pour cause ça fait plus de 10 heures qu’il est arrivé !!!!!,
    Au moment de notre départ à tous,  il en restait encore deux sur la route, Patrice arrivé à 20h15 et Gérard à 20h32.
 Bilan : 605 kms, temps total 34h50, pauses 07h25, temps roulé 27h25, moyenne roulée 22,07, dénivelé 3570.
    Si tout va bien, j’irai bien faire un tour dans les Landes pour le 1000 de Juin.

Le même groupe de 7 du bon côté du panneau cette fois... on progresse !
Sauf que St CALAIS la commune la plus sportive des Pays de Loire n'était pas un point de contrôle. 
On n'avait quand même envie de faire une photo devant le panneau !

 A 15h50, 10 minutes avant que Serge et Patrice n’arrivent à leur tour, puis dans la foulée Loïc de la Tremblade et Nicolas, nous remettons nos cartes de route à un Yvan…frais et dispo, et pour cause ça fait plus de 10 heures qu’il est arrivé !!!!!, 



Yvan m'a avoué avoir mis les bouchées doubles sur ce brevet pour ne pas rater la sacro-saint sortie du dimanche matin. 
En arrivant à 5H30 dimanche matin, il a eu le temps de faire une petite toilette, de petit déjeuner et de faire sa sortie du dimanche matin ! 

loic a écrit:

 A 15h50, 10 minutes avant que Serge et Patrice n’arrivent à leur tour, puis dans la foulée Loïc de la Tremblade et Nicolas, nous remettons nos cartes de route à un Yvan…frais et dispo, et pour cause ça fait plus de 10 heures qu’il est arrivé !!!!!, 



Yvan m'a avoué avoir mis les bouchées doubles sur ce brevet pour ne pas rater la sacro-saint sortie du dimanche matin. 
En arrivant à 5H30 dimanche matin, il a eu le temps de faire une petite toilette, de petit déjeuner et de faire sa sortie du dimanche matin ! 

Non j'ai dormi faut pas abuser des bonnes choses

Hello,
 
Je n’ai pas trop l’habitude ni l’envie des CR pour de multiples raisons. Bleu byte en LD je laisse ce soin aux spécialistes de la plume -  clavier ! Je me garde cet activité nécessaire et imposée au bouclage des diagonales mais ce BRM a eu quelques saveurs particulières !
Second 600 pour moi après celui de l’UCT Tours l’an passé et son A/R au Mont St Michel sur lequel l’heure de retour minimum imposait un arrêt conséquent de plusieurs heures !
 
« Coïncidence » ma nièce résidant à St loup, agglo d’Avranches et km320 du parcours m’ont permis un arrêt douche, repas, sieste de 2h bien réparateur. « Coïncidence « renouvelée « puisque le tracé de Ménigoute passe au km319 sur ma commune de St Laurent-Nouan à 150m du « home sweet home ».
 
Ce BRM était également support de retrouvailles avec Marc (PONTIF) désormais affublé du sobriquet « LA MACHINE » ! qui est le seul cyclo ayant partagé quelques kilomètres avec moi sur ma diagonale Brest Perpignan l’an passé (1 cent tout de même lui ayant octroyé pour l’occasion une sortie de 250km !)
 
Accord commun certes de rouler ensemble mais également le faire one shot sans dormir !
 
Chambre d’hôtes à Bourdeverre Sanxay gérée par Marc et retrouvaille à 21h30 ce vendredi soir après une journée de taf – vélotaf ponctuée d’une réunion CODEP calendrier 2020 expéditive pour moi. Petit déjeuner gargantuesque à 3h30 du matin par notre hôte anglophone ! habitué de ces pratiques très matinales.
 
3h30 et enfin je découvre le banc  abribus des éreintés BRmistes de Ménigoute! Bonjour à tous. Nous ne sommes que 18 et c’est parti.
 
3 mobylettes Régis, Yvan et Gilles prennent le large très rapidement. Nous nous retrouvons avec Marc dans un groupe de 9 dont Serge, Patrice, Loïc et Nicolas. Roulage groupé très agréable jusqu’à Bourgueil et le premier pointage. Nos compagnons prolongent la pause. Nous repartons tranquillement devant avant de retrouver le groupe à la faveur d’une pause physiologique + adaptation de la tenue.
 
Au second pointage d’Arnage, nous laissons nos compagnons attablés à la Brasserie après avoir opté pour une formule à la boulangerie.
Le vent va nous être de ¾ favorable jusqu’à Mer. Nous passons sous un bras du circuit automobile Manceaux. Les terrains herbeux ont encore le  souvenir du week-end mot GP précédent puis traversons la ligne droite des Hunaudières.
 
Défilent, enfin c’est relatif, les communes jusqu’à Vendôme. A Villiers-sur-le-loir, nous empruntons le parcours du triathlon en-cours et emmenons avec nous un concurrent hors du circuit ! il est un peu fumas ! nous passons juste derrière chez JP Mary en effet Michel. La route pour y accéder était barrée par l’organisation. Nul regret Jean-Pierre était, une fois n’est pas coutume, en cyclo virée !
 
A Vendôme, nous pointons dans un bar du centre, boisson gazeuse et fin du sandwich d’Arnage pour chacun. Il y a du monde dans cette charmante cité ! changement radical avec Vatan la semaine dernière et le criterium régional des jeunes !
 
SMS à la patronne du « home sweet home » pour l’informer de notre arrivée vers 19h. Cool j’avais ciblé une arrivée max à 20h ! 18h25 nous franchissons le seuil de la chaumière ! Mise à l’aise totale ! lentilles rouges  saumon - rougaille saucisse sans épices – gâteau à base de pâte à choux et crème pâtissière à base de praliné (vous voyez ou pas)  ! ne vendons pas le nom, par prémonition, avant les 280 derniers kilomètres du brevet )


 
Nous repartons à 20h10 ! retapés ! Place à la fameuse D951 décrite par Michel ! d’ailleurs tu as du faire le Rhino avant la zone pleine de raccords à Lailly-en-Val ! sinon il y a un problème J J Cette fameuse D951, penchant de l’ex N152 sur l’autre rive, que les cyclos locaux n’empruntent pas ! entre vitesse des voitures, zones en bords de Loire sinueuses, boites de nuits et leur population,… bref il faut que ce soit les BRM qui nous fassent déroger !
 
Arrivée à 21h10 au panneau de d’Olivet pour la photo et des gouttes d’eau ! nous enfilons la veste imperméable ! Hésitant, je suis tout de même Marc ! Heureusement car il a d’avantage plu en Sologne et nous roulons en pleine humidité ! la brume localement se forme avec la différence de température !
 
J’évite de peu une collision singulière  et « sanglière »  par la vigilance de Marc ! une petite famille était sur la bas-côté entre Ligny et Villeny. A l’entrée de Bracieux LA MACHINE a faim et souhaite se poser pour grignoter. Cela tombe très bien car avec 4 épaisseurs sur le tronc je suis à température et ai quasi sifflé les 1,75L de mes deux bidons ! La faim se fait également sentir ! pourtant le repas était il y a moins de 4h ! le cimetière est déportée de notre trace mais le suivant à Tour en Sologne est quasi dessus ! poussons !
 
Nous n’attendrons pas jusque-là car à la traversée du bourg, Marc m’alerte à hauteur d’un restaurant encore allumé à 23h30 ! « Le rendez-vous des gourmets » Je rentre pour faire remplir mes deux bidons. Accueil chaleureux ! une tablée est encore présente. Je reste au comptoir et demande une part de dessert. Gâteau au chocolat croustillant et framboises ! Un café m’est même proposé. Je n’en bois plus depuis plusieurs années mais pour passer la nuit je me réconcilie ! Devant un tel accueil j’appelle Marc, qui est sous la halle à proximité,  depuis le perron à deux reprises ! sans réponse.
 
Le patron est habitué à ce genre de rencontres. Dernièrement un groupe en pignon fixe a fait halte chez lui entre Nevers et Saumur ! CQFD ! il refuse que je règle. Je lui promets de revenir manger dans son établissement distant de 25km de mon domicile.
 
Je retrouve Marc dehors et lui explique l’épisode quelque peu gêné, le goût du chocolat mêlé au café encore en bouche ! Marc tourne au mini mars J Nous repartons dans la nuit noire en pleine Sologne. Un feu d’artifice est tiré au-dessus du château de Villesavin. Certainement un évènement du type mariage. A Cheverny je stoppe Marc pour lui montrer le château de « Moulinsard » J J
 
Nous rencontrons Taoufik peu avant Fougère sur Bièvres ! tous feux clignotants, roulant les mains lâchées ! Il nous fait traverser Pontlevoy par les petites routes annexes ! la rue principale étant en travaux. Nous prenons le fucking faut plat en bordure de forêt interminable souvenir du BRM de Mont avant de basculer sur le val du Cher, Bourrée et Montrichard. Arrivés chez lui autour de 1h30 , nous franchissons le porche pour nous attabler dans la cour pour une nouvelle séance ravito ! sandwich exquis ! verre de coca, quelques madeleines et une banane pour la route…nous repartons apprenant que tout le monde est passé à Olivet.
 
La séance ondulations peut commencer... par la montée connue de Faveroles-sur-Cher puis bien d’autres…la nuit nous fait presque oublier les montées…enfin uniquement d’en voir le bout. Un furet nous traverse la route furtivement. J’apprécie toujours autant de rouler de nuit... tout en appréhendant fortement le levé du jour synonyme du coup de barre ! A 6h05 nous sommes sur le pont de Descartes enjambant la Creuse. Dernières cartouches à se mettre dans le bec car aucun commerce n’est ouvert. Reste 85km Nous espérons une boulangerie style pâte à pain nous imaginant dégustant un chocolat chaud J ! vains espoirs…même en traversant la partie nord-ouest de Châtellerault…
 
Les 60km restants se feront au moral ! pas une fatigue de sommeil comme redoutée mais plutôt un réservoir fond de cuve tant pour Marc que moi avec un vent ¾ dans le nez ! Yvan a eu la bonne idée de mettre tous les noms de communes intermédiaires sur la feuille de route…ça passe pas mal par tranches de 5 à 7km plutôt qu’un pavé de 50km ! même si les kilomètres sont les mêmes !
 
Ultime ravitaillement à la boulangerie de Marigny-Brizay ! La boulangère a semble-t-il l’habitude de voir des cyclo pas frais du matin mais du précédent J tournant à l’Orangina - éclair au chocolat à 8h30 du matin ! d’autant plus que le trio est forcément passé avant l’ouverture. Nous devons donc être les premiers à se présenter à elle et nous souhaite une bonne fin de périple alors que nous n'avons pas été très loquaces  .
 
Nous rattrapons le début du tracé de la veille pour arriver à Sauxay puis remonter à Ménigoute. Arrivée à 10h45 ! Accueillis par Yvan et sa fille après un SMS pour le réveiller !
 
Nous sommes satisfaits de notre BRM, le final entre pentes et vent a un peu emplafonné mon heure prévisionnelle d’arrivée ! Un grand merci à LA MACHINE alias Marc PONTIF qui a dû m’attendre à plusieurs reprises ! Tu as la caisse ! chapeau bas !
 
Bon bah pour quelqu’un qui ne voulait pas trop s’étaler c'est fait… je suis prêt pour diagonaliser et compte-renduer dans la foulée J J !

A+

Pour que Serge comprenne pourquoi nous sommes arrivés (Nicolas et moi) après lui à Ménigoute au  BRM600 en très bonne forme !
La photo ci-dessous à  8H du matin, après une nuit réparatrice, une douche salvatrice et un petit déjeuner gargantuesque à l'hôtel 'Le Bellevue" de Montrichard. Un établissement que nous recommandons avec garage pour les vélos !



Ensuite je peux t'expliquer comment on finance cette nuit à l'hôtel avec la photo ci-dessous. 
Il suffit de faire la manche comme à Arnage à la sortie de la boulangerie et ça marche très bien, j'étais moi de l'autre côté de la porte..



A Vendôme Nicolas " a fait une sieste sur le trottoir" il a récolté les quelques euros manquant !



En cours de route Nicolas qui est un gros dormeur a repris un petit acompte...



Au résultat, on est rentré "frais comme des gardons" 
La réussite  s'acquiert par l'expérience 

Le mien est fini : https://yvanlucarnetderoute.blogspot.com/p/brm-600-menigoute-2019.html

Merci pour vos comptes-rendus. Cela permet de se mettre dans le bain avant de s'y mettre à notre tour.

Yvan, tu filmes avec quel appareil ?
Est il sur ton guidon ?

breizh22 a écrit:

Merci pour vos comptes-rendus. Cela permet de se mettre dans le bain avant de s'y mettre à notre tour.

Yvan, tu filmes avec quel appareil ?
Est il sur ton guidon ?

Je filme avec une camera AEE (version chinoise de la Gopro) et oui elle est fixée sur le guidon.

ultra rapide,
maintenant les gars ont peur de prendre ta roue au départ. faire un 600 en 24h30 avec les arrêts + vidéo. Tu es au dessus du lot Yvan.
merci pour ce CR

jeje87 a écrit:

ultra rapide,
maintenant les gars ont peur de prendre ta roue au départ. faire un 600 en 24h30 avec les arrêts + vidéo. Tu es au dessus du lot Yvan.
merci pour ce CR

Merci Jérôme. Non non, je ne suis au-dessus de rien du tout, y'a juste à appuyer sur un bouton pour la vidéo