Traversée de France n°3 - Sur les routes blanches

Bonjour,

Je vais réserver deux emplacements de camping à l'arrivée et y mettre des tentes, comme cela vous pourrez vous reposer tranquillement après une petite baignade à 14-15°.

Concernant d'éventuelle sacoche, je descends et remonte en train, je ne peux pas faire le postier moi-même.
Envoyez donc d'éventuels colis chez moi.

Hier soir, une nouvelle inscrite. Nous voilà 88, mauvais chiffres, à faire passer à 89 !

Popiette a écrit:

Hier soir, une nouvelle inscrite. Nous voilà 88, mauvais chiffres, à faire passer à 89 !

Ben 88 c'est les Vosges, c'est donc un excellent chiffre.
Mais bon, c'est vrai que 89 ou plus c'est encore mieux 

Popiette a écrit:

Hier soir, une nouvelle inscrite. Nous voilà 88, mauvais chiffres, à faire passer à 89 !

Bonjour,
Année de ta naissance?

87 ! C'est un jeune Popiette !

Popiette a écrit:

Bonjour,

Je vais réserver deux emplacements de camping à l'arrivée et y mettre des tentes, comme cela vous pourrez vous reposer tranquillement après une petite baignade à 14-15°.

Concernant d'éventuelle sacoche, je descends et remonte en train, je ne peux pas faire le postier moi-même.
Envoyez donc d'éventuels colis chez moi.

Bonjour 
Décidément quel souci de l’accueil. Nul doute qu’un dodo après force bière et huîtres sera apprécié !

Je ne sais pas si le mois de juin* est propice à la dégustation des huitres mais ça peut-être une idée ... en tout cas, la remorque frigorifique est réservée.

[*] : avant, il ne fallait manger les huitres que les mois en "R", c'est à dire de septembre à avril car laiteuse en dehors de cette période ... avec les huîtres triploïdes, c'est un temps révolu.

Bonsoir,
Les fruits de mer ne sont pas ma tasse de thé. Leur absence me laissera donc indifférent.

Bon je sait pas ce qui m'a pris mais je me suis inscrit. 
Pas totalement sur de tenir jusqu'à Cherbourg, mais la première partie doit être vraiment sympa !
L'extra brut doit quand-même faire très mal aux jambes le premier jour, mais les paysages doivent être divins !

Bonsoir,

C'est donc toi le 93ème ;-)
Le début de parcours est vraiment raide sur l'extra-brut mais le début du Brut est bien aussi, c'est moins varié mais il y a de nombreuses clues à voir et le col du Pinpinier est vraiment beau.

Je suis dans le train afin de partir reconnaître le parcours de 2023... ca va cailler demain sur le plateau de Langres.

Bonne soirée
Stéphane

Oui c'est pas le Bon moment tt de suite...
Je voulais descendre de Paris (pour rentrer sur Vichy) hier et Aujourd'hui. Finalement j'ai pris le train.

Bon courage !

Popiette a écrit:

Bonsoir,

C'est donc toi le 93ème ;-)
Le début de parcours est vraiment raide sur l'extra-brut mais le début du Brut est bien aussi, c'est moins varié mais il y a de nombreuses clues à voir et le col du Pinpinier est vraiment beau.

Je suis dans le train afin de partir reconnaître le parcours de 2023... ca va cailler demain sur le plateau de Langres.

Bonne soirée
Stéphane

Bonjour,
Mais quelle clairvoyance que de nous lancer dans la reconnaissance de la VIA PODENSIS en ce début avril tout en ayant préparé aux petits oignons les "routes blanches"!!!
Du coup, je rajoute une couche dans la sacoche pour le week end prochain.

Yop !
Reçu les docs de route. Merci !
Bon, je croise les doigts pour début juin.
Petite douleur depuis hier au genou gauche rahh.

Bonsoir,
J-14. Certains ont reçu le carnet de route. Surement toujours aussi richement illustré et commenté.
Encore un peu de patience me concernant.

Bonjour.
Compte-rendu de ma participation raccourcie à la traversée de France :
https://raphaelenvelo.blogspot.com/2022/06/nicecherbourg-transforme-en-nicevichy.html

Génial ton résumé, j'ai bien rigolé, tu retiendras que tu as fait une belle balade sans tricher, le principal était de faire du vélo   et pas sympas les contrôleurs de la SNCF.
Tu as du remonter les gorges du Bés, un super lieu que j'adore 

A pieds, le sentier des espagnols, c'est magnifique. 
 PS : mais du coup, les chemins du causse de sauveterre, je doit être le seul à en avoir profité. j'ai bien aimé, même si à la fin je me suis demandé pourquoi je m'étais infligé autant de chemins.

rara63 a écrit:

A pieds, le sentier des espagnols, c'est magnifique. 
 PS : mais du coup, les chemins du causse de sauveterre, je doit être le seul à en avoir profité. j'ai bien aimé, même si à la fin je me suis demandé pourquoi je m'étais infligé autant de chemins.

D'autres sont passés sur le Causse, j'ai vu des photos sur Facebook

En deux mots vite fait, pour tous ceux et celles (selles ?) qui se demandaient mais où est donc passé Pat-Man et sa poisse légendaire  , vous avez bien fait d’attendre, car elle me colle toujours au cul… c’est le cas de le dire ! Après une Réconciliation qui s’est très bien passée l’année dernière, je récidive avec les longs parcours de Stéphane et voici - en bon cas d'école - sur les Routes Blanches ou comment une avalanche de petites choses peuvent venir à bout d'un bonhomme obstiné :
 
Déjà, Brut ou Extra-Brut ? Un peu plus de trajet pour beaucoup plus de temps, au diable l’avarice et les quelques bosses supplémentaires : c’est parti pour la version longue. Toujours sans GPS  - par choix mais peu importe - mais déjà à la base, bonnes galères prévues pour parfois trouver son chemin sur ce type de parcours. C'est le jeu. Et là déjà, ces deux paramètres ensemble, je n’aurais peut-être pas dû ! Pourtant les jambes tournent bien, à mon rythme - assez lent - pour ne pas affoler mon cœur rafistolé. Pas de problème et l’excédent de kilomètres est largement avalé dans la journée... Sauf que de vives douleurs me font comprendre - trop tard - que j’étais trop en arrière de selle en grimpant. Position habituelle pourtant, je n’ai jamais assez de recul, les fémurs sans doute trop longs - bref on s’en fout - mais j’ai le même souci sur tous mes vélos. Je savais les rivets de la Cambium plus féroces que ceux - même larges - en cuivre de mes autres « vraies » Brooks, mais la flemme de changer de selle en me disant que la douzaine de kilos perdus depuis la chirurgie cardiaque aura rendu la selle plus confortable, et l’inverse aussi - si la selle pouvait parler - à en avoir moins sur le dos ! Je n’aurais peut-être pas dû tirer cette conclusion rapide, car en fait le bonhomme est maintenant lui aussi moins rembourré, y compris des ischions ! Bref, deux petites plaies me poinçonnent l’arrière-train, et là je me dis qu’il va falloir bien négocier pour la suite. J’éloigne donc mon postérieur des rivets, direction pédalage en bec de selle  . Pour les 1700km restant, pas de miracle, les centaines de kilomètres s’égrènent et les problèmes aussi, liés à une posture pourrie : mal de dos, de genoux, retour des engourdissements des carpiens – opérés sans grand succès depuis belle lurette - et la main gauche, sans aucune force, s’électrise. Bon, faut faire avec. Les premiers jours restent malgré tout supportables avec un minimum de pugnacité. Après avoir négocié en début de soirée mon casse-dalle avec une famille de blaireaux - des vrais, à rayures et à l’odeur, quoi que les faux peuvent aussi - au pied du Col du Pré de la Dame, j’y monte. Arrêt quelques heures en pleine nuit, pénard sur mon matelas gonflable dans le haut de la montée vers le Mas de la Barque   . J’ai vraiment été le seul à remarquer au détour d'une épingle le petit refuge - la Baraque du Truc, si, si, c’est son nom ! - dissimulé derrière un arbre et un talus ? 
 
Au matin du mardi, en haut, face à ce qui tient davantage d’un long champ de cailloux que d’un chemin, première crevaison. En fait, trois pincements d’un coup, le temps de m’arrêter ! À la quatrième, crevaison donc, je comprends que le flanc du pneu avant est éventré. Et merde, des slick VTT quand même ! Faisable en pneus route, le chemin   ? Facile le passage, vraiment ? Mon cul, ouais ! Sur le coup - mais ça m’est passé - Stéphane j’ai eu des envies de meurtre  . Je patche, je bricole, je me démerde, je repars… pas très fier ! Pas d’autre crevaison pourtant. Pourvu que ça n'explose pas en pleine descente de col  . Très belle journée point de vue paysage, et au soir le décor est grandiose en arrivant à Nasbinals juste à la tombée du jour.
 
Mercredi, la posture balourde en selle devient de plus en plus merdique à mesure que je cherche une position d’assise qui ne soit pas sur une plaie, car - malgré une bonne hygiène - elles s’agrandissent de plus en plus de chaque côté. La chaleur n’a pas aidé, et la météo calamiteuse du jour entre pluie continue et tempête, non plus. Je suis vite trempé et gelé dans un imperméable qui n'est en fait qu'une passoire inutile face aux grosses pluies. Je m’enroule dans mon sac de couchage entre deux couches de vêtements, mais ça ne change pas grand-chose. J’arrive au sommet du Pas de Peyrol, désert dans une ambiance brumeuse et crépusculaire, en avance - puisque d'après la météo, nous sommes déjà en octobre ou novembre - dans des bourrasques où j’ai bien du mal à tenir debout pour faire la photo de pointage, avant de finir par m’échouer à Salers. Pour une raison inconnue, ma batterie annexe n’a pas gardé la charge et se montre aussi totalement inutile, ça va devenir compliqué avec le téléphone également. 
 
Le lendemain, jeudi donc, départ pas trop matinal le temps que tout ait séché un minimum sur la bête, pour éviter d'être à nouveau gelé. Mais l’humidité a tout bouffé : le compteur reste figé sur le total kilométrique, aucun bouton ne fonctionne ; la roue avant couine constamment dans les grincements d’agonie des roulements, Mavic n’est plus ce que c’était ; les roulements de pédalier sont grippés, en étant neufs avant de partir ! Bref, côté matériel, ça « gratte » bien sur la route - super pour les mains - et ça demande d’appuyer plus fort sur les pédales… donc d’être davantage au contact de la selle, ça tombe bien, j'avais besoin de ça  ! Malgré tout, rien de dramatique, juste 10km de retard sur le tableau de marche. 
 
Le vendredi, tout me tape sur les nerfs, et pas juste la chaleur que j’ai toujours du mal à supporter. Les couinements suraigus continuels de la roue avant commencent à me rendre fou. Le compteur aussi. C’est un détail, mais comme je ne peux pas rester plus de 20 ou 30 secondes sans me mettre en roue libre - pour la première fois de ma vie je trouve que la Brenne n’est pas tout plate, c’est dire ! - mon avancée laborieuse m’obsède. Pour ne plus voir le total kilométrique immobile, je mets un scotch dessus, ça fait un problème de réglé. L'heure m'aide également à gérer mon alimentation, et ne pas l'avoir sur le compteur est handicapant... ceci dit, des brûlures d’estomac intenses m’empêchent de m’alimenter. La sacoche avant, maintenant délestée d’une bonne part du stock de bouffe du départ se déforme et ses coutures comment à craquer ; allez hop, et une merde de plus ! Autre détail, l’étape vers Loches est rendue laborieuse par sa longueur et mon état, le moral en prend encore un coup. Tous ces petits rien s'accumulent dans ma tête. Les dépôts - impossibles à nettoyer - de mes bidons enrichis à l’Overstim’s 640 commencent à fermenter en s’alcoolisant de façon très aigre avec la durée et la chaleur : absolument immonde à boire ! L’hydratation devient elle aussi problématique. Nouvelle crevaison sur le chemin en repartant de Chenonceaux : la routine ! La douleur de selle passe au niveau supérieur, celui de la torture. Je n’arrive plus à alterner que pédalage de plus en plus court et moments de roue libre en soulageant l’assise que du côté droit - à gauche c'est trop insupportable - résultat, le pied droit supporte trop souvent à lui seul – aggravé par les trépidations des roulements de roue pourris transmises au vélo façon marteau-piqueur - tout le poids statique du bonhomme au lieu d’un pédalage fluide, et la chaleur aidant, mes chaussettes de contention n’arrivent plus à maintenir l’œdème d’origine cardiaque lattant qui explose, et le pied se retrouve complètement comprimé dans une godasse pourtant ouverte. Là, l’évidence s’impose, comment arriver à boucler les 500km restant sans vraiment arriver à manger, sans pouvoir pédaler, et sans pouvoir ne pas pédaler, quand le passage de la moindre bosse devient un calvaire inimaginable ? 


Je me laisse le temps de la nuit pour décider. Le samedi matin, retour en arrière sur Amboise, pour me rapatrier en train. Même si on gagne toujours à lire Sylvain Tesson, fin de l’aventure, de l’épopée, du naufrage. 

Salut !
Ce refuge . Il n'était pas trop dégradé ? Je n'ai pas le réflexe d'en chercher. Faut dire que ça se fait rare. Mais dans les montagnes, il en reste. La preuve.
Mais là je ne risquait pas de tomber dessus... Monté par Villefort.

Je vois que je ne suis pas le seul à trouver le chemin du mont Lozère très moyen...

Bon rétablissement. 
Les bobos au derrière, une fois que c'est vraiment en plaie... C'est le genre de truc qui m'est arrivé et que je préfère éviter dorénavant.
Il est vrai que ma peau c'est bien endurcie, à moins que ce ne soit ma selle ism ? Mais je n'en jurerai pas. 
A part un point ou je dois avoir un poil incarné ou une connerie comme ça du coté gauche. Mais la crème assos fait des miracles sur le ressenti, me demande s'ils n'y mettent pas des anesthésiants là-dedans. Les compeed m'ont bien rendu service aussi. Essayé de m'en servir sur la paume des mains, mais là, impossible de les faire tenir. resté à la crème pour les mains.

Me taper une journée de flotte, c'est aussi ce dont je n'avais pas envie avec ma crève ! Même si moi aussi je n'aime pas la chaleur.

Enfin, tu est quand même allé jusqu'à Amboise, tu est plus persévérant que moi !
Merci pour ce retour. 

Beau résumé, on peut dire que tu en as chier grave mais chapeau, t'es coriace 

Bonjour Patrick,

Très heureux d’avoir de tes nouvelles, même si elles ne sont pas aussi excellentes qu’on pourrait te le souhaiter. Je ne savais pas que tu avais eu des problèmes cardiaques. Je repense souvent à notre fameuse Flèche de Vélocio de 2016, où la voiture folle dans la nuit entre Mâcon et Villefranche avait bien failli faire un strike en commençant par toi.  Pour un poissard comme tu dis, tu avais cette nuit-là eu beaucoup de chance.

Toujours aussi courageux, mon cher Patrick. Récupère bien et vite. Il y a en France des milliers de petites routes goudronnées sans voiture, et rien n’oblige à emprunter les chemins pleins de cailloux que, pour être à la mode, on appelle gravel. Perso je les évite au maximum et tant pis si c'est démodé.

acollongues a écrit:

Bonjour Patrick,

Très heureux d’avoir de tes nouvelles, même si elles ne sont pas aussi excellentes qu’on pourrait te le souhaiter. Je ne savais pas que tu avais eu des problèmes cardiaques. Je repense souvent à notre fameuse Flèche de Vélocio de 2016, où la voiture folle dans la nuit entre Mâcon et Villefranche avait bien failli faire un strike en commençant par toi.  Pour un poissard comme tu dis, tu avais cette nuit-là eu beaucoup de chance.

Toujours aussi courageux, mon cher Patrick. Récupère bien et vite. Il y a en France des milliers de petites routes goudronnées sans voiture, et rien n’oblige à emprunter les chemins pleins de cailloux que, pour être à la mode, on appelle gravel. Perso je les évite au maximum et tant pis si c'est démodé.

Bonsoir Alain,

Un excellent moment, sinon, cette Flèche en compagnie de 3 « vieux » briscards, et pas n’importe lesquels  ! Être un grand cardiaque à l’avantage pour l’amateur de vieilles mécaniques que je suis, avec mon cœur, de pouvoir conduire mon propre vieux tacot ! En restant attentif à cette mécanique fatiguée, tout va bien. Dire que j’ai grimpé les 1200km de cols et talus sans problème… tout ça pour être terrassé 200km plus loin par des fesses en steack haché ! 

Merci de ce petit mot, sincèrement.

Bonjour,
Désolé pour l'accumulation des problèmes vécus par Patrick. De mon côté, cette traversée (quelque peu différente de la reconnaissance effectuée en juin 2020 avec Karine, Stéphane,Thierry et Richard) n'a pas aussi été facile. Un peu gourmand les trois premiers jours, la suite a été  une alternance de fatigue et de regain  (l'écoute de podcast sur l'histoire du RER sur FC a fait passé la BRENNE redoutée pourtant).
Crevaison au Logis du pin et impossible de remettre le pneu arrière sans l'aide de deux clients d'un restaurant en face. Les gorges du VERDON désormais bien connues (notamment lors des éditions du Mille du Sud). Le plateau de VALENSOLE où je croise une quarantaine de Vélosolex, certains poussés par des MOTOBECANE 40! Nouvelle crevaison peu après FORCALQUIER et une valve de ces nouvelles chambres SCH... récalcitrante. Retour à  FORCALQUIER et acquisition de 3 chambres MIC..... Une heure trente de perdue. BANON  avec en souvenir l'achat d'un fromage conservé plusieurs jours dans la sacoche en juin 2020. Mon hôtesse Rbnb du soir à VAISON a mis en route le lave linge malgré l'heure (il est 22h30). Les 28 degrés sur la terrasse ont parfait le séchage. 
Départ de nuit, car la température annoncée ne me convenant pas du tout.
Quelle bugne (de nuit en plus et toujours cet éclairage récalcitrant) du côté de RASTEAU (alternative de notre reconnaissance en 2020).Petit déjeuner à PONT SAINT ESPRIT (un dimanche à 6 heures du matin, boulangerie ouverte et café au lait au programme!). Puis AIGUEZE, mais qu'est-ce que c'est que de passer par ces hautes marches où il a fallu lancer le vélo puis prendre appui sur lui en priant pour que les chaussures ne glissent pas! Bon, une fois passé ce défi, les gorges de l'ARDECHE, assez peu de trafic hormis les deux roues motorisés bien sûr. Un troupeau de chèvres de part et d'autre de la route dont la couche de roulement a du voir je ne sais quelle course récemment car le revêtement est nickel. Ravito à VALLON PONT D'ARC. 
Désormais le 26X32 va rester en action. SAMPZON pour commencer puis la route entre AUJAC et GENOLHAC nous a réservé un sacrée bagne. Du 15%! net d'impôt!!! Reste le Pré de la Dame (en grande partie ombragée donc protégé du vent sommital). Mas de la barque : Aligot obligatoire. Article de journal local sur le comptoir relatant le passage de Jean DUJARDIN qui tourne un film reprenant les chemins noirs  de S. TESSON inspirant Stéphane pour cette troisième édition. Le plateau du petit déjeuner devant la porte de la chambre pourtant négocié avec force assurance n'est pas présent. Les 8 km de piste sont avalés au petit matin mais cette fois point de berger à l'horizon. Arrêt ravito au Pont de MONTVERT, puis ça file jusqu'à'a FLORAC où je rencontre Régis avec qui finalement je ferais peu ou prou le reste des routes blanches. Arrêt alimentation aux VANS afin de profiter d'un repas au Point SUBLIME. Je laisse Régis au RAFAL en haut du col de  TREBATUT et poursuite jusqu'à NASBINALS. L'hotelier me mènera jusqu'à une maison proche. Délicate attention sachant que je repars de bonne heure, je suis plat" à l'écart. Aligoté saucisse ( bien meilleur au passage que cela ide al veille). A retenir pour le découpage de la VIA PODENSIS prévu à partir du 24 JUIN 2023. Quelques gouttes pour rejoindre le gite. Gite qui dispose d'un lave linge mais point de chauffage. Toutes les serviettes à disposition seront avec force torsadées.
Mais qu'ai-je eu dans la tête pour ce petit aller-retour entre depuis SAINTE GENEVIEVE  et LA TERRISSE avant le barrage de SARRANS. Sans doute, l'effet des cafés /croissants de la boulangerie?
MUR EN BARREZ cela continue à monter descendre. Mais toujours assez peu de circulation. Repas à  THIEZAC car je sais ce qui m'attend, car outre la succession de bugnes avant SAINT JEAN DES PRATS le col de  PERTHUS commence costaud. Le pas de PEYROL atteint, il reste à se glisser jusqu'à SALERS. Il n'y a pas qu'à MONTELIMAR  qu'il y a du nougat! Compte tenu d l'horaire, je ferais halte à MAURIAC avec Régis qui m'a rejoint dans le col et non USSEL comme envisagé. J'annule mon Rbnb.
La suite plus tard.

Bonjour,

Merci de vos retours. J'aurais du faire comme en 2021, proposer une trace sans chemin et une trace avec chemin.
Pour 2023, il y a quelques chemins, je vais donc proposer deux traces.

A Patrick, c'est assez surprenant que le boitier de pédalier ne tienne pas les organes, même intense.

Bonne journée à vous
Stéphane