Une question au suject de la feuille de route

jean-louis a écrit:

N3, pour ton GPS, je te suggère de poser la question dans le fil GPS de Matériel et technique. celui aux 462 msg.
(Et le lire d'ailleurs, tu auras peut-être la réponse).

Et puis ça fait longtemps que ce fil n'a pas été alimenté...

Merci d'éclairer ma lanterne, j'avais cherché, mais pas trouvé
@+

Certes un GPS peut tomber, sauf si l'on a pris la précaution de passer la dragonne autour du cintre.

Quant à la carte... dépliée sous un déluge breton (BRM 400 de Carhaix en 2007) elle n'a pas fait long feu...

Le nombre (et le poids) de cartes pour faire Brest-Strasbourg, Strasbourg-Perpignan, Perpignan-Brest (3135 Km) ?*



*réponse : 1 micro-SDHC 4Go, 1 gramme

Merci chacun pour me rappeler de quelque chose... je n'ai pas de carte pour tous mes 300 brevet, seulement une petite partie de cela. Je dois acheter celui!

Je pense que pour plus de sécurité il faut avoir l'itinéraire de l'organisateur et le GPS; Une carte Michelin (ou autre) pour le cas ou le GPS tombe en panne et un accès à internet via son téléphone sur lequel on a chargé l'itinéraire sur Mappy et sur oppenrunner.
Avec ça, cela devrait aller encore que....On peut aussi faire le trajet en voiture le week-end d'avant pour bien se le mémoriserr et mettre des flèches aux endroits les plus compliqués.

Enfin ce que j'en dit .....

nanard a écrit:

....On peut aussi faire le trajet en voiture le week-end d'avant pour bien se le mémoriserr et mettre des flèches aux endroits les plus compliqués.

Enfin ce que j'en dit .....

faut déjà être "sévèrement burné" pour envisager un truc pareil (quoique Richelieu... )

nanard a écrit:

Je pense que pour plus de sécurité il faut avoir l'itinéraire de l'organisateur et le GPS; Une carte Michelin (ou autre) pour le cas ou le GPS tombe en panne et un accès à internet via son téléphone sur lequel on a chargé l'itinéraire sur Mappy et sur oppenrunner.
Avec ça, cela devrait aller encore que....On peut aussi faire le trajet en voiture le week-end d'avant pour bien se le mémoriserr et mettre des flèches aux endroits les plus compliqués.

Enfin ce que j'en dit .....

Il ne manque plus que l'hélicoptère, au cas où !

Roland a écrit:

Certes un GPS peut tomber, sauf si l'on a pris la précaution de passer la dragonne autour du cintre.

Quant à la carte... dépliée sous un déluge breton (BRM 400 de Carhaix en 2007) elle n'a pas fait long feu...

Le nombre (et le poids) de cartes pour faire Brest-Strasbourg, Strasbourg-Perpignan, Perpignan-Brest (3135 Km) ?*



*réponse : 1 micro-SDHC 4Go, 1 gramme

Réponse simpliste s'il en est (j'assume), mais quand même, comment ont fait nos prédécesseurs lorsque le GPS n'était disponible .
Ils n'avaient pas de photocopieuse non plus.
Emporter l'intégralité d'une carte Michelin c'est quand même une solution de luxe, mais combien encombrante lorsqu'il s'agit de passer au pliage, bon amusement .
Comme je l'ai expliqué dans un post, déterminer l'itinéraire sur la carte, le photocopier de façon à avoir l'itinéraire dans la plus grande dimension de la feuille A4.
Tracer l'itinéraire au stabilos sur ces photocopies et autres mentions utiles. Repères Km, restos, hôtels, contrôles...
Découper cet itinéraire ( la bande utile). Reporter ces bandes au minimum 3 parfois 4 sur une feuille A4. Il y a moyen de rouler au moins la demi-journée rien qu'avec cette feuille.
Lorsque vous avez deux feuilles terminées, les placer dos à dos, plastifier le tout, découper les bords et séparer les deux feuilles. Vous avez deux cartes plastifiées simple face. Une feuille plastifiée placée dans la poche plastique de la sacoche, déluge breton ou averse alpestre, ce qui tombe n'est pas encore du genre exocet pour percer le tout.
Dernièrement j'ai effectué un brevet 200 en circuit en Zélande(plus compliquer à photocopier qu'une diagonale en principe proche de la ligne droite), le tout figurait au 1/200000 sur une feuille de 22.5 cm x 20,5 cm
Pour une triple diagonale, il y a fort à parier que le poids papier ainsi constitué sera inférieur au poids du GPS. Si l'Etrex est pourvu d'une dragonne, la série Edge en est dépourvue
Mais bon, il en faut pour tout le monde, chacun fait son lit comme il veut se coucher.
Après avoir lu une grande partie du fil sur l'usage du GPS, je pense avoir trouvé une alternative honnête et peu coûteuse, le GSM Nokia 2710 avec Ovi-Maps 2.1, le service GPS gratuit de Nokia : à
120 €
Je l'aurai dans ma poche, poids supplémentaire nul, pas de problème d'achat, transport ou autonomie de batteries. Avec cet appareil, je suis ops immédiatement, pas de prise en main fastidieuse comme je le lis dans le fil ad hoc.
Avec ce petit GPS, en cas de "jardinnage" comme on dit en orientation, je pourrai me resituer rapidement sur la carte.
On vient peut-être de trouver le "GPS light "

et si tu perd ta carte plastifiée imagines, de nuit, un coup de vent malheureux et v'la ta belle carte qui va se nicher dans un coin inaccessible ou invisible. Faut pourtant poursuivre ? tu fais quoi ?
on peut toujours trouver une situation inextricable qui vient foutre par terre notre belle organisation
c'est selon, chacun choisit et suit la méthode qu'il préfère
bien sûr on peut toujours tomber en panne de matériel.
Regardes, il y a belle lurette qu'il n'y a plus de manivelle pour démarrer ta voiture. Si t'es en panne de batterie ou de démarreur, tu pousses (si c'est pas une automatique) ou t'appelle le garagiste.
Ainsi va le progrès...
Mon grand-père s'il voyait mon vélo, il me prendrait pour un fou...(qui a dit qu'il n'aurait pas tord ) entre le cardio, le GPS, le driver et ses accus pour les phares AV, la sacoche et le computeur qui commande le dérailleur électrique, y a pu de place sur le guidon.
Et tout fonctionne en plus, tu te rend compte...

@ N3 :
1) Si tu es content de ta solution, je suis très heureux pour toi ! (Sincèrement et sans ironie).

2) Le temps que tu aies fini tes travaux manuels j'ai terminé mes diagonales

3) J'ai aussi un i-Phone (qui fait GPS) c'est TRES bien mais sur le vélo je préfère mon Garmin GPSMap 60CSX;

4) L'argument comment il faisaient avant... c'est comme Paris et la bouteille : tu as des jantes en bois, des bandages pleins ? Quoi, tu as un pédalier !!! Mais comment ils faisaient avant ?
Vas-y à cheval !

5) La panne. On a dit la même chose à l'époque mais l'allumage électronique tombe moins souvent en panne que la bobine + rupteurs + ...
Tu règles encore l'avance à l'allumage avec une manette sur le volant de ta voiture ? Pourtant sur la Renault de 1924 de mon oncle si. Ah, à l'époque on savait reconnaitre à l'oreille un allumage mal réglé mon bon monsieur.

6) Lorsque nos prédécesseurs n'avaient pas de GPS, ils y avait surtout un réseau de routes avec des panneaux et des bornes kilométriques et beaucoup moins de circulation. Des stations services avec des pompistes etc...
Aujourd'hui on indique systématiquement les voies express, les panneaux n'indiquent plus le kilométrage ni même la numérotation des routes secondaires...

Je suis étonné que veuilles t'acheter un téléphone mobile avec internet et GPS. Comment ils faisaient avant ? (avant le mobile ?, le téléphone ?, internet ?, la photocopieuse ?).

Tu as une machine à laver (le linge) ?

nanard a écrit:

On peut aussi faire le trajet en voiture le week-end d'avant pour bien se le mémoriser et mettre des flèches aux endroits les plus compliqués.

Enfin ce que j'en dit .....

hum, hum, nanard, tu déconnes j'imagine ?

(parce que sinon, d'un côté environnemental, c'est moyen...)

notre ami belge s'est prit une levée de bouclier (si, si ,ça a existé, avant les pare-chocs ) en règle

Heureusement sur pbp tout le monde s'accorde pour reconnaitre que je n'ai besoin ni de carte, ni de compteur, ni de GPS ... mais je respecte le travail des organisateurs en prenant leur feuille de route bien protégée au fond de ma sacoche.

un truc: si vous prenez un appareil photo qui dispose d'un zoom de l'affichage, vous photographiez les parties successives de cartes qui couvrent l'itinéraire et en cas de besoin vous affichez et zoomez la zone qui vous intéresse (si vous savez encore où vous êtes à ce moment là ! )

C'est un privilège des anciens d'avoir appris à l'école primaire le détail des départements, cours d'eau et montagnes.

Depuis que le gps "guide" les autos plus personne n'est capable de vous indiquer la bonne route !

" notre ami belge s'est prit ..."

nos amis français ont il me semble de leur côté "pris la mouche" !

zapilon a écrit:

" notre ami belge s'est prit ..."

nos amis français ont il me semble de leur côté "pris la mouche" !

Pas de problème, j'assume, il y en a qui sont champions pour couper les cheveux en quatre.
Un GSM -GPS, ce serait pour m'en servir au cas où. J'ai roulé mon dernier BRM en compagnie d'un des deux belges de Paris-Pékin..., c'est la solution qu'il envisage. En juillet, il doit terminer une double diagonale (chez vous) pour avoir les 18 diagonales dans les deux sens Chapeau André.
Je roule en BRM depuis 2007. Un tour de France, en 2004, un aller simple vers St Jacques-de-Compostelle en 2006.
A part une petite ville du côté de Montpellier, où j'ai eu bien du mal à trouver la sortie, (pas de GPS en 2004), une petite gourance, due à la fatigue à l'approche de Dreux, confondu avec Evreux sur la carte. Moins de 4 Km après, je devais couper et non longer une voie ferrée . Tilt! Dès que la réalité ne colle plus à la carte, STOP Demi-tour, ou je corrige le tir.
Là, diagonale sur la gauche et retour sur l'itinéraire.
Dans certaines villes, Niort entre-autres, ou vous suivez les indications pour les voitures, via une rocade, ou vous vous enfoncez dans la ville. Là, les locaux sont sensés connaître les directions, à vous, l'étranger, de composer pour trouver la sortie, ça fait partie du deal. C'est l'aptitude à lire la carte, on l'a ou pas. C'est une satisfaction qui se mérite.
Personnellement, je pratique la C.O. depuis 1972, la carte c'est mon dada.
Hésitant (en voiture) dans une ville en Suède ou en Bourgogne, il y a toujours bien un abri-bus, et là, en général, il y a une carte, mais faut savoir la lire...
Quant au GSM-GPS, c'est en gestation . Question: celà est-il bien nécessaire? La dépense est-elle justifiée, alors que franchement, je prends mon pied lorsque je m'en tire seul avec ma carte. Si je me goure, un seul responsable : bibi.
Je ne conteste aucunement votre choix, je le respecte, mais, je suis à l'aise avec ma carte.
Chez nos amis orienteurs britanniques, la devise est
" Give me a map, and I'm magic"
J'essaye de l'être le plus souvent possible, personne n'est parfait, comme ça m'amuse, pourquoi s'en priver, je suis acteur et public en même temps
Vous avec votre GPS, moi, avec mes cartes, mais que le vélo est merveilleux, la vie est belle
@+

Personnellement moi même l'année dernière sur les brevets j'avais adopté la technique suivante.
Dans la semaine précédent le brevet je retrace le parcours sur openRunner pour bien me le mettre en tête et notamment dans les grosses villes pour voir de quelle côté se trouve la route à la sortie.
Parallèlement je fais des photocopies de cartes et je trace le parcours au stabilo toujours pour me le mettre en tête.
Et à chaque fois que j'ai eu du mal à trouver la route sur openrunner ou sur la carte papier je me suis paumé sur le terrain
Mais avec la carte on peut repérer où on est (en général ce n'est pas trop loin de la route prévue) et viser un village suivant sur le parcours.

Par contre la technique n'a pas trop marché sur le BRM 400 de râches l'année dernière ou sur les 2 passages en belgique on s'est paumé. la feuille de route indiquait bien des numéros de route mais sur le terrain aucune route n'était numérotée et sur le groupe de 7 personne n'avait de GPS.

Chacun fait ce qu'il lui plait.
J'ai parcouru des dizaines de milliers de milles nautiques sans GPS. Je connais tous les moyens de navigation en commençant par le sextant... n'empêche qu'aujourd'hui j'utilise en GPS tout en m'en méfiant évidemment.

Sur mon vélo je fais pareil. J'ai un GPS + un road-book déroulant de ma fabrication.

" un road-book déroulant de ma fabrication."

synchro roue avant ?

zapilon a écrit:

" un road-book déroulant de ma fabrication."

synchro roue avant ?

comme un GPS quoi!

C'est bien ta tablette road-book, tu pourrais même y déposer un peu de bouffe, avec un petit rebord autour, comme dans les bateaux, pour éviter que ça ne tombe.
Hop, suffirait de "picorer" en roulant.
Ne pas trop pencher dans les virages, par contre.

jean-louis a écrit:

C'est bien ta tablette road-book, tu pourrais même y déposer un peu de bouffe, avec un petit rebord autour, comme dans les bateaux, pour éviter que ça ne tombe.
Hop, suffirait de "picorer" en roulant.
Ne pas trop pencher dans les virages, par contre.

Vu ce que je mange, la "tablette" serait un peu petite...

Roland a écrit:

@ N3 :
1) Si tu es content de ta solution, je suis très heureux pour toi ! (Sincèrement et sans ironie).

2) Le temps que tu aies fini tes travaux manuels j'ai terminé mes diagonales

3) J'ai aussi un i-Phone (qui fait GPS) c'est TRES bien mais sur le vélo je préfère mon Garmin GPSMap 60CSX;

4) L'argument comment il faisaient avant... c'est comme Paris et la bouteille : tu as des jantes en bois, des bandages pleins ? Quoi, tu as un pédalier !!! Mais comment ils faisaient avant ?
Vas-y à cheval !

5) La panne. On a dit la même chose à l'époque mais l'allumage électronique tombe moins souvent en panne que la bobine + rupteurs + ...
Tu règles encore l'avance à l'allumage avec une manette sur le volant de ta voiture ? Pourtant sur la Renault de 1924 de mon oncle si. Ah, à l'époque on savait reconnaitre à l'oreille un allumage mal réglé mon bon monsieur.

6) Lorsque nos prédécesseurs n'avaient pas de GPS, ils y avait surtout un réseau de routes avec des panneaux et des bornes kilométriques et beaucoup moins de circulation. Des stations services avec des pompistes etc...
Aujourd'hui on indique systématiquement les voies express, les panneaux n'indiquent plus le kilométrage ni même la numérotation des routes secondaires...

Je suis étonné que veuilles t'acheter un téléphone mobile avec internet et GPS. Comment ils faisaient avant ? (avant le mobile ?, le téléphone ?, internet ?, la photocopieuse ?).

Tu as une machine à laver (le linge) ?

Roland

1) Certainement, que je suis content de ma solution, elle a fait ses preuves.

2) Travaux manuels!???, détrompes toi, lorsque j' assemble les cartes, je suis déjà en randonnée, ou déjà en vacances, c'est un réel plaisir pour moi. Navré pour toi si tu travailles sur ton GPS.

3,4,5, PM

6) D'accord, les indications ne sont plus ce qu'elles étaient, rien ne sert de pleurer, il faut passer.
Je persite sur l'utilité de la carte, à condition de savoir s'en servir.
Si la route troune à gauche ou à droite, traverse une rivère, une zone forestière, toutes ces choses sont vérifiables facilement sur la carte. L'environnement DOIT coller avec la carte, si non t'es foutu. Contrôler çà, c'est pas sorcier tout de même, pas besoin d'avoir fait math sup.

Comme je l'ai dis dans un post précédent, je ne suis pas contre le progrès, le smartphone Nokia est épuisé, celà ne me gêne pas d'attendre 8 à 12 semaines. De toute façon, point de vue autonomie, celà ne devrait servir qu'en cas de dépannage, donc quelques secondes.
J'ai plus de satisfactions à tracer mon chemin, qu'à me laisser piloter par un bidule. Mais la nature humaine évolue.

Pour terminer, durant ma période d'athlétisme, j'ai été surnommé Mister Gadjet. J'ai pensé à le prendre comme pseudo ici, mais jugé celà un peu trop prétentieux.

Cool Aroul

Roland a écrit:

Chacun fait ce qu'il lui plait.
J'ai parcouru des dizaines de milliers de milles nautiques sans GPS. Je connais tous les moyens de navigation en commençant par le sextant... n'empêche qu'aujourd'hui j'utilise en GPS tout en m'en méfiant évidemment.

Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre...

C'est beau la navigation à l'estime, mais je me rappelle aussi de mon père gonfler l'annexe pour aller demander ou on était ... et de son cousin raconter qu'il a vu Goulphar (Belle ile) sur l'horizon alors qu'il pensait être dans le milieu du golfe de Gascogne à la hauteur de Bordeaux

La navigation est pleine d'histoires comme ça. Certaines nettement plus dramatiques d'ailleurs. Ah, l'histoire de la longitude...

Pour revenir sur terre. En 2007, brevet de 600, on devait traverser Vannes (un village breton ) pour aller pointer dans un bled minuscule de l'autre côté. J'avais bien préparé mon parcours pour la traversée de Vannes dès l'approche (évidemment par une petite départementale).
En arrivant : route bloquée, infranchissable, déviation ! Déviation vers la voie express
Dans Vannes, j'ai demandé à trois personnes = trois directions radicalement différentes ! Le plus sûr de lui m'a envoyé... sur la voie express !!!