Restauration à l'arrivée !

Je suis vraiment en colère ! Après l'arrivée j'étais vraiment sur un petit nuage, j'en suis vite redescendu quant j'ai vu les tarifs pratiqués pour manger ! 4€ un sandwich, 12 € un plat, mais de qui se moque t-on ? C'est carrément du foutage de gueule. La prochaine fois j'aurais de quoi manger dans les saccohes !

Votre sentiment ?

Je n'ai pas déjeuné en arrivant. Les pommes de terre sarladaises avaient pourtant l'air bien appétissantes.. Pour moi, le fond du problème est le suivant: la restauration peut-elle-être tenue par des bénévoles (et alors tout le résultat d'exploitation passe dans le budget du club, ou bien un voyage pour les élèves de l'évole privée, ou bien à une action humanitaire), ou bien faut-il faire appel à un professionnel (qui gère tout, mais fait très légitimement payer les frais de personnel, majorations heures sup et nuit comprises, donc avec des coûts de prestation plus en rapport avec ce que tu évoques). Un autre problème est celui du coût de la mise en place des infrastructures, très faible si les installations de cuisine, réfrigération et stockage existent sur place (lycées...) et bien plus coûteux s'il faut apporter sur place matériel, congélateurs, groupes électrogènes... ce qui était le cas à SQY Je ne connais pas précisément la situation de SQY sur le plan du "mix" professionnel/bénévole, mais j'imagine bien volontiers que la priorité de l'organisateur a dû être donnée à l'accueil des participands, à la gestion du départ et de l'arrivée, sur une grande amplitude horaire. Je ne suis pas choqué si la restauration a été confiée à un pro. Et si ce n'est pas le cas, on peut être certain que le "bénéfice" a servi une bonne cause.

Je suis déçu aussi de la restauration a l'arrivée avoir droit juste a une cannette après 1200 km je trouve cela gros je pense qu'ils pourraient au moins offrir un plateau repas

Bonjour,

Je trouve effectivement ce poste particulièrement médiocre. Je note qu'en 2007, j'avais déjà réagi à la mauvaise qualité de cette prestation à l'arrivée.

- Prix prohibitifs
- Serveurs débordés (la nuit, ce sont les seconds couteaux), la famille qui gère vient dans la journée et se moque pas mal des avis des clients.
- Service des boissons en fumant
- Normes de sécurité alimentaires défaillantes (les plats restent à l'air libre pendant des heures)
- Tente d'accueil = service des courants d'air

Même les dates de péremption des fourchettes en plastique étaient dépassées.

Piètre image de l'organisateur, alors que cette année, sur les accueils, j'avais trouvé une nette amélioration du rapport qualité - prix.
J'espère que les organisateurs sauront cette fois prendre ce problème à bras le corps !!

D'accord, une seule boisson gratuite à l'arrivée, c'était un peu pingre, et la restauration finale chère et peu copieuse pour des cyclistes finissant un périple de plusieurs jours, surtout pour ceux qui comme moi étaient en autonomie quasi totale : un plat de pâte et viande en sauce à 7 € sur le trajet - et quelques renvois acides sur le vélo - et deux cafés ; le reste tiré du sac : bananes sèchées, pâtes d'amande, barres de céréales, dosettes de maltodextrines, jus de pommes cassis bio, sucres en morceau, mozarella fraiche et deux conserves thon + céréales + légumes.
Par contre, il fallait rester pour le podium final après lequel on nous a offert un buffet pantagruélique : saucisson, deux sortes de salades composées - riz ou pomme de terre, viande rouge et blanche, terrine, fromage, tarte aux fruits rouges, vin rouge, etc. Il restait de presque tout à la fin - sauf gâteau et vin !
Merci l'ACP.

J'avoue, le buffet était vraiment digne de l'ACP ! J'avais vu l'année dernière en photo le pot offert par l'ACP pour l'homologation du 300.000ème brevet de 300km (ou 100.000ème ? j'ai peur de me tromper)
Enfin, peu importe, comme tu dis , vraiment pantagruélique !

C'est sûr que le pot de l'amitié était le top du top

Buffet au top en effet sauf que l'on avait pas penser a prendre le dessert en meme temps que la viande et au final nous n'en avons pas eu ce qui est un comble quand vous connaissez la gourmandise de Magaly

Marc

Pareil pour la restauration à l'arrivée les prix étaient excessifs pour des plats ... pas bons. Peu de personnes ont finis leur assiette .

Pendant le brevet et surtout à l'arrivée c'est le bonheur : temps inespéré, super forme les dernières heures, et bien sûr on baigne dans les endorphines... Un premier copain arrivé un quart d'heure avant moi, le deuxième cuit à Brest, qui s'accroche et qui finira dans les délais, que l'on ira chercher à un kilomètre de l'arrivée, ce qui permettra une heure de bonheur à encourager ceux qui en finissent - en français et en anglais - bref à ce moment, et dans la semaine qui suit il ne me vient aucune critique à l'esprit. Aujourd'hui je sais quelques défauts, notamment les sous-traitants peu dans l'esprit, mais si je peux dans quatre ans je re-signe, et j'incite tous les copains à tenter l'aventure. Le PBP ça reste magique !

Sur la photo de Jean-Louis, le gars du milieu c'est Paul, de Portsmouth, j'avais fait mon tout premier 200 (en Angleterre à l'époque) avec lui et un autre pote... que de souvenirs...

en fait, Claire, tu n'as que des copains de beuverie ?!

marcus a écrit:

en fait, Claire, tu n'as que des copains de beuverie ?!

Honni soit qui mal y bu

tout ça me scotch

Parce que y avait restauration a l'arrivée? j'ai rien vu, une douche et barka