Besoin de l' avis d'experts ...!

Gilbert a écrit:

Pour ceux qui le veulent et qui portent avec eux un petit appareil photo numérique, vous pouvez photographier vos cartes et les consulter le cas échéant, je l'ai déja fait en plusieurs circonstances. Si vous n'avez pas tremblé en faisant les photos c'est efficace...et rassurant.

Alors ca c'est pas bête, j'aurais jamais pensé. Bravo

Gilbert a écrit:

Pour ceux qui le veulent et qui portent avec eux un petit appareil photo numérique, vous pouvez photographier vos cartes et les consulter le cas échéant, je l'ai déja fait en plusieurs circonstances. Si vous n'avez pas tremblé en faisant les photos c'est efficace...et rassurant.

Excellente idée

On peut meme optimiser avec des captures d'écran d'openrunner et/ou mappy, mis en mémoire sur le telephone mobile

Dans tous les cas je note l'idée

Je viens de faire un essai avec le tel, impec puisque on peut grossir l'image 

Gilbert a écrit:

Pour ceux qui le veulent et qui portent avec eux un petit appareil photo numérique, vous pouvez photographier vos cartes et les consulter le cas échéant, je l'ai déja fait en plusieurs circonstances. Si vous n'avez pas tremblé en faisant les photos c'est efficace...et rassurant.

Pas bête du tout. Comme quoi il y a toujours plus d'idée dans un échange!

Avec les smartphones-GPS on peut aussi charger les traces et l'utiliser uniquement si on est perdu pour retrouver sa route.

alkashi a écrit:

Avec les smartphones-GPS on peut aussi charger les traces et l'utiliser uniquement si on est perdu pour retrouver sa route.

Le tout serait alors de s'assurer que le dit smartphone est en capacité de supporter les vibrations une fois fixé sur le guidon. Ou en réduire l'usage en cas de doute uniquement.
Un photophone pour faire le trois en un?

Rohh, en cas de perdition autant s'arrêter pour ne pas se retrouver dans le fossé !

Oui, photographier la carte est une bonne idée, mais il faut une bonne résolution pour pouvoir zoomer correctement. Et là, la poids des photos grimpe vite de plusieurs centaines de kilo .... on ne va pas rouler léger...

sccber a écrit:

Je crois que ceux qui partiront avec cartes et GPS le font parce que pour eux la préparation est une partie du plaisir de la randonnée.

Très bonne analyse. Je crois que je fais partie de ceux-ci (hormis GPS). Surtout lors de sorties solitaires ou de brm sur de nouveaux territoires.Mais sur le PBP, le parcours est prédéfini et balisé.Le plaisir, je le trouverai dans le partage et la découverte de cette ambiance particulière.Ne pas trop gamberger ni se focaliser sur le parcours, telle est ma philosophie aujourd'hui.( mais elle peut évoluer ) 

Neanmoins,Gilbert, j'ai essayé ta bonne idée de photo mais mon appareil n'est pas à la hauteur pour zoomer efficacement et permettre une bonne lecture.Quant à mon tel' il est encore plus obsolète !

En tout cas, je n' suis pas mécontent que ce questionnement de novice est servi également aux experts et suscité un tel débat.

Pour cela, je vous en remercie.

kipousse a écrit:

Surtout lors de sorties solitaires ou de brm sur de nouveaux territoires. Mais sur le PBP, le parcours est prédéfini et balisé. Le plaisir, je le trouverai dans le partage et la découverte de cette ambiance particulière. Ne pas trop gamberger ni se focaliser sur le parcours, telle est ma philosophie aujourd'hui (mais elle peut évoluer). 

C'est aussi ma philosophie (et donc cela ne peut qu'être excellent ).
De toute façon, les BRM qualificatifs permettrons à beaucoup d'utiliser bien à propos cartes, photocopies ou photos des cartes, GPS : la plupart des BRM ne sont pas balisés (sans l'infrastructure d'aide du PBP aussi), et à ce compte un 400, un 600 et à fortiori un 1 000 km sont plus difficiles. La spécificité du PBP c'est cette aide et la multitude d'engagés de toutes nationalités... Quelque soit la solution - ou la non solution choisie - soyez sans crainte, l'orientation sur le PBP est vraiment à la portion congrue.

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sccber a écrit:
"Je crois que ceux qui partiront avec cartes et GPS le font parce que pour eux la préparation est une partie du plaisir de la randonnée."

Exact. Je passe un temps fou à préparer ma feuille de route. Tellement que, à la limite, je pourrais la mettre à la poubelle une fois prête car j'ai mémorisé la plupart des détails importants.
Je prépare même des feuilles de routes pour des randos, des BRM que je ne ferai même pas.
Pour 2015 par exemple, j'ai déjà préparé la feuille de route de 6 ou 7 BRM que je suis susceptibles de faire.
Avec Google-Streetview, je fais à l'avance un brevet virtuel. Il m'arrive même de m'arréter devant une photo de paysage, de bourgade, de monument en me disant: il faudra que j'y aille un jour en touriste !

Exemple: Airole (IT), Mille du sud 2015


et je me dis que lorsque la vieillesse, la maladie, l'accident... m'interdiront la longue distance, je continuerai à rouler dans ma tête.

La carte de route au fond de la sacoche, je le confesse, c'est rassurant.
Je ne veux pas,les mains dans les poches, être de ceux qu'on fesse, en assurant.
Ma conclusion: la carte papier ou numérique fait partie de la panoplie du randonneur qui se veut et se revendique autonome.

Pour éviter les panneaux, lis la trace de via en gras.