Bordeaux Paris 2022

Bonjour à tous

Bordeaux Paris renaîtrait de ses cendres en Mai 2022.

J'étais intéressé en 2016. Peut-être là aussi ?

qu'en pensez vous ?

Selon quelle formule ? allure libre ? audax ? cyclosportif ?

Normalement, Bordeaux-Paris audax devrait avoir lieu en 2022 ainsi que Paris-Brest-Paris audax puisqu'ils devaient avoir lieu en 2020 (je comptais les faire) et qu'ils ont été reportés 2 fois à cause de la pandémie (en 2021, puis en 2022).

Quant au Bordeaux-Paris Randonneur (à allure libre) autrefois organisé tous les 2 ans par les T.C.G. (Touristes et Cyclotouristes de Guyenne) de 1976 à 2010, s'il était proposé, ce ne serait plus par ce club UFOLEP qui a disparu. Alors, le relais serait-il repris par d'autres ???

Il y a eu un Bordeaux-Paris "commercial", organisé en 2012 et en 2014 par une entreprise commerciale, mais il n'a tenu que 2 ans.

En 2022, d'autre part, il y aura une grosse concurrence avec normalement les BRM préqualificatifs pour PBP 2023 et d'autres organisations reportées comme Londres-Édimbourg-Londres, ...
Affaire à suivre.

lmvv a écrit:: Selon quelle formule ? allure libre ? audax ? cyclosportif ?

Normalement, Bordeaux-Paris audax devrait avoir lieu en 2022 ainsi que Paris-Brest-Paris audax puisqu'ils devaient avoir lieu en 2020 (je comptais les faire) et qu'ils ont été reportés 2 fois à cause de la pandémie (en 2021, puis en 2022).

(...)

Il y a eu un Bordeaux-Paris "commercial", organisé en 2012 et en 2014 par une entreprise commerciale, mais il n'a tenu que 2 ans.

Oui, à priori, c'est le même organisateur qu'en 2012 et 2014, qui compte sur les compteurs GPS pour ne pas avoir à baliser la route...

PBP Audax : j'étais également inscrit.
+ intéressé par Bx- Paris Audax : c'est plus sympa en audax.
.

Les inscriptions sont ouvertes pour l’édition 2022 (21 et 22 mai 2022).

Je me suis inscrit, voilà plus qu’à pédaler.

C'est vrai que c'est une belle occasion de se plonger dans le mythe que fut cette épreuve.
Mais bon, 190 euros pour la seule inscription, en ajoutant les frais de retour et d'hébergement, çà fait réfléchir.

Je préfère un brevet de 600 à 5€ pour les mêmes prestations cheers

Je pense plutôt comme toi. Et la retraite apprend à être plus attentif à ce qu'il faut parfois débourser. Crying or Very sad

190 Euros pour les 200 premiers inscrits,
après tu passes à 230 Euros

Et quand tu cherches ce que comprend ton inscription . . . ?
pas le fléchage en tout cas Laughing

Bah, c'est de l'Ultra ! Very Happy

Ah Bordeaux-Paris, une épreuve que j'ai adorée... J'ai effectué les 18 premiers Bordeaux-Paris Randonneurs organisés par les Touristes et Cyclotouristes de Guyenne (UFOLEP) de 1976 à 2008 et ma femme en a fait 13. En 2010, je n'ai pas pu participer car le Tour Cyclo de la FFCT faisait étape à Angers juste ce week-end là ; et comme, à l'époque, j'étais président de mon club, on m'a fait comprendre que ma place était à Angers et non entre Bordeaux et Paris. En 2012 et 2014, je n'ai pas souhaité participer, vu le prix de l'engagement très élevé imposé par un nouvel organisateur, une société commerciale.
Avec les TCG, en 2008, on payait 70 € d'engagement, ce qui était correct sachant que le fléchage au sol à la peinture était parfait, que l'on avait un ravitaillement à volonté à mi-parcours et à l'arrivée, que l'engagement incluait aussi un petit trophée pour tous, que des boissons étaient offertes. Déjà, à l'époque, pas mal de cyclosportives étaient à 100 ou 120 € pour peu de prestations.
Le prix d'une épreuve que l'on veut vraiment faire et que l'on a jamais faite peut être prohibitif ; beaucoup se disent : "Ils sont salauds de prendre autant", mais finalement ils franchissent le pas quand même...

Jipe4 a écrit:: Les inscriptions sont ouvertes pour l’édition 2022 (21 et 22 mai 2022).

Je me suis inscrit, voilà plus qu’à pédaler.

Intéressant certes, mais on s'inscrit où? Je ne trouve aucun lien. Embarassed

Bitumator ! Nombre de messages : 165 Date d'inscription : 16/10/2020

J'aime bien l'idée d'une épreuve qui relie deux villes.
Je trouve ça beaucoup plus motivant de pédaler avec un objectif constamment devant soi plutôt qu'un départ/arrivée au même endroit, comme la plupart des brm, certes plus commode pour l'organisation/logistique de chacun, mais ou je trouve difficile quand la fatigue pointe de ne pas se dire "qu'est-ce que je fous là ? pourquoi je fais pas demi-tour tout de suite"...

Mais je suis également un peu refroidi par le tarif. Tout ça pour de la frime en fin de compte.

pharmaton29 a écrit:

Jipe4 a écrit:: Les inscriptions sont ouvertes pour l’édition 2022 (21 et 22 mai 2022).

Je me suis inscrit, voilà plus qu’à pédaler.

Intéressant certes, mais on s'inscrit où? Je ne trouve aucun lien. Embarassed

J’ai fait mon inscription sur le net à partir de la page Bordeaux Paris sur FB.

Quelqu'un a-t-il des nouvelles de Bordeaux-Paris 2022 qui devait se dérouler les 21 et 22 mai ?

lmvv a écrit:: Quelqu'un a-t-il des nouvelles de Bordeaux-Paris 2022 qui devait se dérouler les 21 et 22 mai ?

Oui, j'ai suivi un peu, l'hécatombe à cause de la chaleur!
https://solusport.solustop.com/bordeauxparis2022/carto?fbclid=IwAR2ZWxshXdUT7cTcBrcenyBr9wtle_UbgYtH4BAcaty_3-0DEBPHVxsee9I

Un cyclo du forum y était, je le laisse raconter.

Merci Michel de ce lien. Comme Jean-Claude, mais avec seulement trois éditions, j’ai quelques souvenirs de Bordeaux-Paris qui était une bien belle épreuve cyclo.

Par curiosité j’ai examiné les résultats de la dernière édition : sur 492 participants, 47 sont dans la base de données de Paris-Brest, ce qui est très peu. Rien à voir avec autrefois. En voici quelques-uns : Dominique BRIAND, Thierry GONOT, Jean-Claude ROULLEAU, Paul GALEA, Jean-Paul POMMIER, Jean-Pierre RIVET, Catherine WACHEL…

Les autres semblent nouveaux dans le monde de la longue distance. A noter que les trois premiers Ludovic LE GUILLY, Jean-Marc BIDEAU et Loïc HERBRETEAU sont des anciens pros. La roue tourne…

Hello Alain, pour le lien, c'est Jean Pierre qui me l'a passé, je n'ai qu'un BP à mon actif, y a bien longtemps, mais de bons souvenirs des ravitos et du fléchage, je me souviens avoir mangé un bifteck frites à Orléans dans la nuit Very Happy

pour ensuite m'endormir sur le vélo et allé au fossé Very Happy

Plus rien à voir, Jean Pierre Rivet nous en dira plus, il est dans le train qu'il le ramène à son domicile.
Merci pour ta mémoire cheers

Pour moi, mes Bordeaux-Paris Randonneurs sont de très bons souvenirs. Je les ai tous faits entre 1976 et 2008 (18 dont 13 avec Nicole, à vélo solo ou à tandem). Bien sûr, cela a été assez dur parfois, mais sans plus ; jamais la galère malgré parfois de fortes chaleurs. Mon seul regret a été de ne pouvoir effectuer le dernier qui a existé en 2010. J'étais président de mon club à l'époque et nous recevions ce week-end là à Angers une étape du Tour Cyclo de la FFCT ; on m'a fait comprendre au club que ma place était à Angers et non entre la Garonne et la Seine sur mon vélo, mais j'ai souvent pensé à mes collègues cyclos sur B.P.R. ce jour-là...

Je rentre de Bordeaux Paris.

La chaleur a eu raison de moi. J’ai abandonné à Châteauroux. J’étais exténué.

Récit d'un abandon sur Strava
La frustration d'un premier Bordeaux Paris inachevé.
Je rêvais depuis des décennies à prendre le départ d'un Bordeaux Paris.
J'avais abandonné mon collègue Yves dans ce projet dans les années 90 et je l'ai toujours regretté.
Cette nouvelle édition m'avait convaincu, je m'étais inscrit 2 mn après l'ouverture des inscriptions sur ce nouveau site " Bordeaux Paris la légende".

Ma préparation n'avait pas été celle souhaitée mais j'avais aligné des sorties de 200, 300 et 400 km et j'étais plutôt confiant , j'ai maintenant l'expérience de Paris Brest Paris.
J'ai l'habitude de dire que ce genre d'épreuves se fait " au mental" et d'ordinaire je n'en manque pas.

Mon fils Romain va m'accompagner pour la logistique du week-end, me conduire, me soutenir. Je pense également qu'il va me ramener de Paris à la maison, en fait il va me secourir, m'écouter encore et encore raconter mes déconvenues.
Merci à toi mon Romain, tu as été une assistance 5 étoiles.

Les formalités du vendredi passées, l'info de 1000 participants circule, nous retrouvons Bernard mon collègue Bordelais pour dîner, 6 ans que l'on ne s'est pas vus, on est heureux de partager cette soirée.

Samedi, il est 3h15 et je ne dors plus, j'ai terminé ma nuit. Je reste éveillé, allongé jusqu'à 6h30, mon départ est prévu à 8h05.
Nous avons tous une convocation avec une heure de départ personnalisée par vague de 6 cyclistes.

J'arrive au sas départ à 7 h 45 et surprise, personne ne vérifie votre horaire de convocation, on part quand on veut. L'animatrice au micro explique que les vagues les moins rapides sont partis depuis 7 h00.

Dans la réalité, il y a seulement 500 partants dont au moins 400 ont déjà pris la route, les cadors et autres cyclos bien expérimentés sont déjà loin. Au micro un participant explique que son groupe n'a jamais dépassé la distance de 140km....

Je décide de ne plus attendre, il est un peu moins de 8h00 je me glisse dans une vague et c'est parti.
Mes compagnons de route sont belges dont une fille. Le rythme est bon, les premiers kilomètres défilent, les relais sont longs. Je me dis que je suis dans un bon groupe et puis avec une fille on va rouler sans accoup,

Je me rends rapidement compte que je suis le plus âgé, je prends la décision que mes relais seront plus courts.
La sortie de Bordeaux se fait en traversant des zones industrielles, le revêtement n'est pas super, j'évite quelques nids de poule.
On dépasse 3 vagues, je vois quelques cyclos occupés à réparer suite à crevaisons.
Je pense qu'ils n'ont vraiment pas de chance, si prés du départ !

On a notre vitesse de croisière, tout va bien 30 km sont avalés rapidement et puis pschitt !! sans raison apparente c'est ma roue arrière !!
Mais ce n'est pas possible, j'avais pris soin d'échanger ma chambre à air light par une plus classique avant mon BRM 400 car elle ne tenait pas la pression.
C'est avec peine que je suis contraint de m'arrêter et de laisser filer ma vague.

Je change une première chambre à air, je gonfle avec une cartouche , pschitt une deuxième fois ! Je redémontre, je vérifie mon pneu, j'utilise la deuxième chambre imposée par l'organisation, je gonfle à nouveau avec une cartouche .
Je range tout, je repars, enfin presque car je fais quelques mètres et je suis sur la jante.
Les minutes tournent, les cyclos qui me dépassent m'encouragent.
Heureusement, j'ai une troisième chambre au fond du sac, celle qui a une rustine mais elle me sauve, dans l'énervement je gonfle comme je peux avec la mini pompe.
Je fini par repartir, mon pneu est sous gonflé, à chaque tour de roue je sens un balourd, sans doute la rustine.

Je roule maintenant seul avec ce vent de 3/4 de face. Je me dis que c'est mal barre, suis collé et dans le vent, il me reste 628 km...
Après quelques dizaines de kilomètres je suis rattrapé par un groupe de 12 corbeaux, cuissards et maillots noirs.
En fait 11 corbeaux et une corneille, je me joins à eux et ainsi j'évite d'être en boucle dans la tête !
L'allure reprend, je me refais une griotte, je constate que cette joyeuse équipe de croque-morts voyage léger.
Un cyclo vient me faire la causette, ce sont des Bretons, je comprends que ce club est très privé, aucun signe distinctif sur leur tenue. Ce cyclo m'explique qu'il y a là, un Directeur Sportif d'une équipe pro, un pistard champion du monde, un chef étoilé, le PDG d'une grosse boîte, la fille impose la vitesse de croisière.
J'explique mes déboires à mon cyclo bavard. Finalement ma roue arrière tient et ce groupe m'aide à me remettre dedans !

Km 80, ma joyeuse équipe tourne au fond d'un parking de supermarché et retrouve un camion blindé de matériels et victuailles.
On me donne 2 chambres et mon pneu retrouve près 4,5 bars de pression supplémentaire !
Quel bonheur, je retrouve l'espoir de continuer l'aventure.
Je laisse mes nouveaux compagnons de route se restaurer et je reprends la route pensant que je vais les retrouver dans peu de temps.

Mais les kilomètres vallonnés et surchauffés se succèdent et c'est seul que j'arrive au CP1 du km 155. Je grignote rapidement, je fais le plein des bidons et je repars vite.
A la sortie du contrôle, mon GPS ne voit plus la trace, j'aperçois une pancarte de l'épreuve, je prends cette direction, la mauvaise direction. Je pense maintenant que cette pancarte était destinée aux voitures d'assistance. Je pédale seul dans la pampa, mon GPS est perdu et moi également. Je m'arrête au sommet d'une bosse à l'ombre, que faire ?

Je téléphone au PC de la course, on m'explique qu'ils m'ont appelé 3 fois pour me prévenir. Mon téléphone était en mode silencieux. ..le mental est mis à mal, je dois retourner au CP1, seulement quelques kilomètres, là mon GPS est toujours perdu.

J'éteins et rallume plusieurs fois cet appareil de marque Allemande, mais impossible de trouver la trace qui doit me conduire à Paris. Je lâche l'affaire, pour la première fois je n'ai plus envie de lutter contre cette scoumoune, poisse et guigne réunies.
Je cherche une personne de l’organisation et lui rend ma balise.
Je pars dans cette commune de Montbron et vais me répandre sous un parasol écluser une bière en attendant l'arrivée de mon ange gardien.

Romain arrive, partage avec moi ma déception, me réconforte. Je parle beaucoup et il m'écoute.
On rentre à la maison c'est terminé.

Je préviens famille et amis de mon abandon ainsi que Bernard à Bordeaux, Julien et Roger à Paris.
Dimanche matin je distribue des kudos aux finishers que je connais. Je les envie, bravo aux 394 qui sont rentrés dans les délais et à ce cyclo de 73 ans arrivé à 22h58 dimanche soit 2 minutes avant la limite des 40 heures,

Je ne sais pas à ce jour si je reviendrai pour ce Bordeaux Paris. Avec cette formule Ultracycling qui se dispense de fléchage, il n'est pas nécessaire qu'il fasse nuit pour ce perdre. Plusieurs fois, je me suis trompé de route, alors il est important d'avoir un GPS avec cartographie qui recalcule votre route pour vous ramener sur votre trace sinon on pleure.

Il paraît que d'écrire permet de surmonter la frustration.

Le 23 mai 2022
Jean Marc Begagnon
C.T.Lyon
Dossard 403

Hier soir j’étais fatigué. Aujourd’hui je vais vous raconter plus en détail.

Je rêvais de faire Bordeaux Paris. Je me suis inscrit dès l’ouverture des inscriptions. Je me suis entraîné puis le jour est arrivé.
Je suis parti de la Drôme en train pour rejoindre Bordeaux. Dans l’après-midi j’ai effectué les formalités de contrôle du vélo et j’ai recueilli ma plaque de cadre.
Samedi matin je me suis rendu au départ où j’ai vu que sans aucun contrôle les concurrents partaient à leur convenance.
Je suis parti et très rapidement je me suis retrouvé seul sur des routes au revêtement souvent très dégradé. Alors que j’avais lu que les groupes ne devaient pas être constitués de plus de six cyclistes j’ai été doublé par des groupes plus importants souvent constitués de cyclistes jeunes équipés de vélos typés compétition avec prolongateurs, jantes très hautes. Bref j’ai poursuivi. L’itinéraire n’étant pas fléché j’ai fait un peu de jardinage en cherchant à retrouver la trace. Il faut dire que le parcours avait été tracé sur un réseau très très secondaire. La chaleur s’est installée très rapidement. Des doutes se sont instillés quand plusieurs fois des panneaux indiquaient des routes barrées et des déviations, à suivre à respecter….
Les bosses courtes mais difficiles se sont succédées et avec le vent de face m’ont usé.
Tout au long du parcours j’ai remarqué que certains concurrents étaient assistés soit par des voitures soit par des véhicules de clubs. Pour les concurrents en autonomie comme moi il était difficile de trouver du ravitaillement et de l’eau.
Dans un village, après 200 kilomètres j’ai pu trouver un sandwich et un coca. La chaleur s’est estompée avec l’arrivée de la nuit.
La chaleur de la journée, mon Garmin m’indique un pic à 46 degrés, m’a épuisé. J’ai remarqué que mon rythme cardiaque avait été plus rapide que d’habitude. Avec beaucoup de mal je suis arrivé à Châteauroux à 02h00 ( mon compteur m’indique 351 kilomètres) Je n’ai pas réussi à trouver le ravitaillement du premier coup et je me suis rallongé de dix kilomètres au moins.
Là, il était tard, plus beaucoup de monde et un ravitaillement pratiquement vide.
Pas moyen de se refaire, j’ai été victime d’une hypoglycémie assez sévère. Je me suis dit qu’il m’était impossible de repartir seul dans la nuit devenue froide et que je n’aurai pas l’énergie pour passer les bosses de la vallée de Cheuvreuse.
Voilà, mon fils est venue me chercher à Châteauroux.
Franchement, je ne voudrais pas critiquer mais je pense que l’organisation n’est pas à la hauteur de l’événement. Les clubs qui organisent des BRM font beaucoup mieux.
Je me suis fourvoyé, je suis trop âgé et pas assez en forme pour participer à ce genre d’épreuve.
Je vais essayer maintenant de récupérer mes affaires qui sont dans un camion de l’organisation.
Voilà le bilan, une inscription à 200 euros, l’hôtel, le train, la housse… cela fait très cher pour 350 kilomètres.
Alors maintenant je vais essayer de me refaire.

Au moins 200 euros d'engagement (voire 230 pour les retardataires peut-être ? ), c'est vraiment la GROSSE ARNAQUE. Et si en plus, l'organisation était à la hauteur... Mais là, c'est complètement nul ; même les ravitos ne sont pas pourvus pour tous !
Quand on sait que pour 5 €, la plupart des organisateurs de BRMs fournissent un parcours et une infrastructure qui tiennent la route, des traces "Openrunner" hyper fiables voire des fléchages en ville au départ et à l'arrivée (comme par exemple nous le faisons à Angers), un café-quatre quarts au départ et un sandwich-boisson à l'arrivée. Et le pire, c'est que l'on arrive même à toujours se faire un petit "bénéf"... Et puis les cyclos ne sont pas livrés à eux-mêmes comme ici...
Même leur règlement bizarre n'est déjà pas respecté au départ avec cette histoire de 6 cyclistes par groupe...
Avec en plus la chaleur qui a décimé les troupes...
Oui, vraiment, il faut FUIR DE GENRE D'ÉPREUVE qui n'a d'organisation que le nom et qui est juste bonne à dégoûter les gens !
C'est HONTEUX !
Jean-Claude

Bonjour à toutes et à tous,
Intéressants les deux témoignages
par contre la remarque quant au ryhtme du groupe qund il y a une fille/femme dans le groupe, je trouve ça limite sexiste.
Des dames qui dament le pion à des pseudos champions j'en connais.

Ensuite je trouve qu'il y a une porosité entre les épreuves et tout se mélange.
Un BRM par exemple "normalement" ne nécessite pas de GPS on roule sur de belles routes bien indiquées.
Il y a la feuille de route plus ou moins claire certes mais ça passe.
A l'opposé les épreuves n'exigeant que le passage aux CP, la navigation faisant alors partie de l'épreuve elle-même.
La séparation est claire, et le GPS n'est qu'une aide.

Mais si sous couvert de "tout le monde a un GPS" l'itinéraire est obligatoire et tortueux ça devient compliqué.
Et bien sur si le GPS ne fonctionne pas ... (T'avais qu'à avoir un en secours!)

Et puis l'assistance ou pas, déjà que sur le PBP ça mine certains...
Pas facile de quitter un groupe pour aller se ravitailler alors que le groupe en question n'a qu'à tendre la main.

La porosité est me semble-t-il encore pire pour les épreuves gravel ou la limite technique n'est vraiment pas claire.
C'est du gravel, du VTT ou du portage de vélo ?

Et pour terminer la réflexion d'Axel Carion (Biking Man) quant aux organisations, en substance il disait que certaines organisations c'était du style
"Top départ, on se retrouve à l'arrivée" sans aucun service / organisation /sécurité tout au long de l'épreuve.
Et tout ça pour une somme... bien éloignée d'un BRM...

Bonne route à toutes et à tous.

@veloblan

Il n'y avait pas de trace GPS classique utilisable sans guidage ?
Sur mon Dakota 20 je n'utilise quasiment que ce mode, je fais mes tracés sur BRouter, je les verifie sur Openrunner avec le fond top25 IGN et je n'affiche que la trace sur l'écran sans guidage.

Tu as eu beaucoup de poisse et sans fléchage ça met un coup au moral Sad

.

alkashi, je te signale que ce n'est pas le récit de "véloblan", mais que c'est celui de Jean-Marc BEGAGNON que véloblan a dû récupérer sur Strava.
Il y a des choses vraiment incompréhensibles sur ce Bordeaux-Paris de pacotille. N'importe quel organisateur un minimum sérieux ne proposerait pas ça !

lmvv a écrit:: alkashi, je te signale que ce n'est pas le récit de "véloblan", mais que c'est celui de Jean-Marc BEGAGNON que véloblan a dû récupérer sur Strava.
Il y a des choses vraiment incompréhensibles sur ce Bordeaux-Paris de pacotille. N'importe quel organisateur un minimum sérieux ne proposerait pas ça !

Oups merci, bon je laisse quand même mon post ça ne mange pas de main.

Je suis bien d'accord avec tes remarques.

"On vous fait payer cher, quasi rien en organisation et on prend le fric."

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