Qui qu'a roulé aujourd'hui . 1

À l'hôtel à Carpentras. Rando en demi-teinte malheureusement : mon pote Gilles a commencé à se plaindre assez tôt, d'une douleur à l'omoplate droit, douleur de plus en plus handicapante envahissant peu à peu tout le côté. Vitesse de plus en plus réduite et de surcroît casse de son dérailleur avant, comme moi il y a trois semaines lors de mon BRM 200.
Arrivée vers midi (!), départ vers 13 h sous une petite pluie, qui a duré peu ou prou jusqu'à maintenant. Gilles vient de se rendre compte qu'il ne pourrait pas endurer la position couchée tant la douleur est violente, et ne sait pas quoi faire : hôpital, ou quoi... Demain, heureusement pour lui, il y a une place pour lui et son vélo dans le car de retour de son club.
Et moi, j'ai décidé malgré tout de rentrer sur mon vélo, via la N86 et le col de la République, plus ou moins j'imagine sur un des traçés possibles de Vélocio lui même.
305 km, à suivre.

Roland a écrit:

VC44 a écrit:

Roland : prépare une ligne pour moi sur ton tableau car tu ne tardera pas à avoir de mes nouvelles.   

OK, je suis prêt !  

Et bien... c'est fait !  

Bienvenue VC44 dans les rangs des Dodécaudaxiens !  

Plus que 11 mois à tenir...  

Oui Roland tu as raison !
Le plus beau (dur) reste à venir.
Si tout va bien la suite début mai au départ de Loctudy sur un 200 que j'ai trouvé sur le site de la FFCT (véloenfrance).
Ce sera la presqu'île de Crozon que je connais bien où la Cornouaille que je connais un peu moins.
Pour l'instant ce qui m'inquiète c'est une douleur au genou suite à une nouvelle chute pas très grave intervenue jeudi dernier.
Je vais ralentir un peu cette semaine.

enfin un autre Dodécaudaxiens dans le cinquième département Breton

Une petite sortie ce matin, à 2 seulement, car le départ à 7h30 n'a pas fait beaucoup d'adeptes   

72Km et 2h35, au rythme des averses et maintenant préparatifs des 8 ans de la plus grande de mes filles !

breizh44 a écrit:

enfin un autre Dodécaudaxiens dans le cinquième département Breton

On va bien finir par se trouver une date pour en faire un ensemble non   

J'ai profité du mauvais et de l'annulation d'une balade familiale pour faire 120 km dans les Yvelines. Ça vend moins de rêves que certaines balades présentées ici, mais y'a de quoi s'amuser avec des variantes rigolotes. De beaux raidillons (17-18%), un peu de chemin facile, un tout petit peu de chemin très casse gueule (km 75). J'ai découvert que Grand Marnier était distillé à Neauphle-le-Château.

Vive la randonneuse !
http://www.openrunner.com/index.php?id=3212161

Retour aujourd'hui en solitaire de la concentration pascale, après une bonne nuit de sommeil à l'hôtel à Carpentras. La pluie annoncée a failli ne pas être au rendez-vous, mais heureusement pour la crédibilité des trois (!) applications présentes sur mon téléphone j'ai subi une première averse assez forte à 30 km de l'arrivée, puis de nouveau une courte mais très forte et très froide averse de 10 mn à 1 200 m d'altitude. J'ai donc descendu le col d'arrivée les pieds, les mains, la tête et les jambes trempées, le reste étant mouillé de transpiration, et j'ai donc eu assez froid car j'étais partis sans être couvert comme en hiver. Et pendant un moment, en Ardèche j'ai eu trop chaud, car le soleil avait fait une petite apparition, et je n'avais pas assez de place pour ranger mon surplus de vêtement, ayant choisi de ne pas prendre mon sac à dos que j'utilise à cet effet sur les longs parcours. Pour le reste, j'ai décidé de tirer au plus court : N7 puis D86 avec les vignobles des côtes du Rhône du Nord (après ceux du Sud dimanche : Cairanne, Vacquéras, Gigondas, etc.) dont ceux de Saint-Joseph

231 km en 10 h 01 mn (1 697 m de dénivelé).
Total du week-end 535 km.

Petite sortie aujourd'hui avec deux " anciens " et j'ai joué un peu à la mouche de coche dans les montées, tellement ces 550 km effectués ce week-end m'ont mis la pèche.
55 km et 887 m de dénivelé. J'ai atteins les 3 800 km tout rond (et 51 978 m de D+) depuis le début de l'année. Demain jeudi (aujourd'hui en fait) je vais faire une sortie tranquille un peu plus longue, et samedi BRM 300 à Feurs.

Aujourd'hui 14 h grosse flemme, je décide de me reposer. 15 h, je pose mon bouquin et décide de partir : à 14 h je devais ne pas avoir suffisamment digéré   
Bon petit parcours du coup, mais je décide de faire cinq cols   Je m'explique :
premier col 700 m de dénivelé environ (5 premiers kilomètres pour sortir de la ville, moyenne dénivelé 2 % - c'est rarement tout plat dans la région - puis 15 km à 4 % de moyenne, profil irrégulier, montée facile et col à 1200 m environ), deuxième col 12 km plus loin à la même altitude pour environ 250 m de D+ (profil moitié descendant, moitié montant grosso-modo) puis 3ème col 29 m plus haut   (et 4 ou 500 m plus loin), puis retour au col précédent (en D- donc) puis de nouveau 250 m de D+ et il n'y a plus qu'à descendre, avec quant même pas mal de plats descendant ou j'appuie sur les pédales, aujourd'hui en 50/12 à plus de 50 km/h, gêné par des automobilistes qui s'obstinent à freiner dans des virages qu'on pourrait passer à 110 km/h (je vous jure ces vieux !).
Bon ça va, demain il pleut et samedi je dois faire mon BRM 300. Si tout se passe bien, j'envisage la semaine suivante le 400 de Grenoble.
65 km et 1 249 m de D+

Hier BRM 300 de Feurs. Départ à 6 h 15, assez frais, surtout que ça monte tout de suite.
Nous sommes partis à trois, rythme légèrement soutenu, mais trop vite arrêts de temps en temps pour attendre le troisième qui est à la peine. Il en sera ainsi jusqu'à 13 h où le temps qui était pas mal tourne au pire plus tôt que prévu, le ciel s'étant obscurci et chargé de nuages, une petite pluie commence à tomber, puis peu à peu se transforme en bonne grosse pluie froide, parfois avec quelques simili grêlons.
De plus le troisième larron ne suit plus du tout, d'autant plus que quelques dizaines de km plus tôt alors qu'il trainait à l'arrière, il nous avait doublé pour suivre pendant une vingtaine de minutes  sans sagesse aucune dans un début de montée de col des cyclistes " furieux " de son club, partis bien après nous : il oublie toujours le prix à payer dans ces cas là, malgré mes remarques répétées depuis des années.  
Alors nous sommes partis à deux comme le troisième nous le proposait depuis longtemps, plutôt que de l'attendre sans cesse sous la pluie froide, encore qu'il fût difficile de rouler très vite, vu mes lunettes pleines de pluie, et la route glissante dans les descentes... Vers 17 h la pluie a cessé, mais vers 19 h au moment d'aborder la dernière vrai difficulté du circuit, une montée de 500 m de dénivelé au milieu des sapins dans une région particulièrement froide et quasi inhabitée, la pluie s'est remise de la partie, sur un mode moins soutenu, jusque quasi les dernières dizaines de km.
Arrivée vers 22 h 30. Soupe chaude, pain saucisson et fromage, chocolat, jus de fruit ou rosé... Bel accueil du club organisateur. Je suis resté à discuter pour attendre le dernier de notre trio, qui est arrivé vers minuit (deux heures avant le délai), ayant échappé en partie à toute la flotte que nous avions reçu !
314 km en 16 h 15 (14 h 29 vélo - avec 3 contrôles dans un un café, un arrêt casse-croûte et les attentes du troisième larron - soit 21,59 km/h de moyenne vélo) et 3 176 m de D+.
Satisfaisant, compte tenu que j'ai limité ma vitesse à celle du groupe, la plupart du temps. Je préfère rouler sur brevet en petit comité en tenant compte (dans la mesure du possible) de la vitesse du plus faible, que rouler nez dans le guidon en peloton, à la manière d'une cyclo-sportive. A ce propos, par exemple le gros groupe des membres du club organisateur ont dû boucler leur 300 à la moyenne de 27,5 km/h vélo, malgré le dénivelé, mais ce sont de très bon rouleurs, je ne pense pas que j'aurai pu les suivre tout le parcours, si jamais j'avais eu ce genre d'envie.
Je suis en forme, cela se confirme, je vais donc très probablement participer samedi prochain au 400 de Grenoble - joli parcours assez montagneux, 3 700 m de D+ prévu par Jean Philippe. Et je ferai aussi le 400 de Feurs qui aura lieu le 17 mai.
Cette semaine - inclus mon retour lundi de Saumane - 665 km de vélo.
Depuis janvier 4 179 km, 40 sorties, et 56 404 m de D+

Après celle de lundi une nouvelle fois une sortie sous la pluie.

116 Km,27.5 Km/h, à 3 sur la fin, les autres ayant préféré rentrer face à la pluie...

Pas trop de km cette semaine, bien qu'en vacances : les travaux et les enfants ont été la priorité

Demain, c'est la reprise du boulot avec en plus 7 jours d'astreinte 24/24. Ce sera donc dur pour le vélo   

Une petite sortie (81 km) aujourd'hui (mardi) pour profiter d'une fenêtre météo correcte. Roulé à très bonne allure sur un parcours qui sans comporter de cols est plein de collines à escalader. Les jambes sont extra, les genoux beaucoup moins, mais j'ai l'habitude... Pendant que je roulais, je me disais : " quel bonheur le vélo "   
Je ferai peut-être un petite sortie (42 km et un col) jeudi s'il ne pleut pas trop fort, puis ce sera le BRM 400 de Grenoble.
81,60 km, 1 214 m de dénivelé, 24,88 km/h de moyenne.

sccber a écrit:

Pendant que je roulais, je me disais : " quel bonheur le vélo "   
.

Tiens c'est drôle ça me fait penser à ma sortie de mercredi dernier où pour la première fois je me suis un peu dit exactement l'inverse. Mais plutôt je me suis dit longuement à moi-même "t'as vraiment des idées cons des fois"  

Sans le penser trop sérieusement, disons avec un peu d'affection aussi car les plans un peu galère m'amusent bien.

Je commence à reprendre le rythme et mercredi dernier j'avais une sorte d'entretien dans un petit bled à un peu moins de 30 bornes de Montélimar. Pas un truc trop formel non plus, mais enfin voilà c'est pas l'intérêt.

Le plus simple et moins cher était évidemment que je prenne le TER avec mon vélo jusqu'à montélimar et puis de rouler les 30 bornes aller puis 30 retour puis rentrer chez moi. En plus le long du Rhône bien plat donc c'est cool.
Mais le problème c'était que pour rentrer mon rendez-vous étant à 17h30 tout ce que je pouvais prendre pour le retour c'était un TER arrivant à Marseille à 23h et là bien obligé de repédaler un peu moins de 60 bornes jusque chez moi, à côté de Toulon.

Je trouvais ça plutôt marrant et c'était l'occasion de faire enfin une sortie de nuit.

Eh bien même si le dénivelé n'est pas si important j'ai trouvé ce dernier parcours vraiment horrible:
http://www.openrunner.com/index.php?id=3455165

Faut remettre évidemment dans le contexte, je suis un peu fatigué de la journée, j'ai mangé juste un sandwich à déjeuner et pareil au dîner avec quand même des granolas, mais ça reste pas énorme, et de surcroit j'ai presque plus d'eau et dans mon train le robinet marche pas... Je suis en pantalon de ville normal et j'ai un sac à dos type eastpack truc pas fait du tout pour ça qui est bien rempli de quelques affaires et évidemment mon gros U.... et donc il fait nuit.

Je commence, je sais que le pire arrivera tout de suite avec le col de la gineste entre marseille et cassis et c'est là je trouve que la nuit était démoralisante: je ne l'avais jamais fait et si la pente n'est pas non plus énorme put*** que ça m'a semblé long!! A chaque virage je me demandais quand ça allait commencer à redescendre mais évidemment aucune visibilité, je me rendais juste compte que ça continuait encore et toujours, que j'avais pas trouvé de flotte, que j'avais mal au dos et au cul et que j'avais probablement fait seulement 15 bornes sur les 57 du trajet.  
Là je me suis dit que ça allait être long ahah, mais je pense que de jour je me serais peut-être moins focalisé sur mon intérieur si je puis dire, j'aurais pu mieux voir la route venir, plus la regarder elle plutôt que moi...

Et je crois aussi qu'au fond j'aurais préféré avoir tout le dénivelé d'un coup plutôt que des montées descentes à répétition parce qu'à chaque fois que je me retrouvais en haut je me disais "bon c'est bien mais y en a encore une derrière".

Heureusement d'ailleurs à mi parcours j'ai pu avoir un petit soulagement imprévu: au milieu de la route, le gazon d'un terre plein subissait un arrosage automatique auquel j'ai pu enfin remplir mon bidon, ça ça m'a fait bien plaisir!

Alors voilà j'ai dû arriver chez moi vers 1h30 je crois, tout de même bien content d'en avoir fini et d'avoir malgré tout économisé une nuit d'hôtel. A posteriori ça reste plutôt rigolo, le genre d'expérience un peu débile que personne d'autre ne ferait et qui me rend donc un peu content d'être le boulet qui se trouvait à minuit en pantalon, pull et sac à dos sur un vélo à grimper vers les calanques (qu'il ne risquait pas de voir)...

Bravo ! Débile d'une certaine façon, si tu y tiens, mais tellement formateur. C'est ce genre d'expérience qui rend plus fort. Tu montres un sacré caractère.
Respect   

 
tout de même, n'importe quel brevet sur plusieurs jours est autrement plus difficile que cette petite expérience malencontreuse. Par contre tu as raison c'est formateur, je retiendrai surtout le sac à dos particulièrement désagréable.

Autrement, pour être quelque peu pompeux je pourrais dire comme mon ami Guy Debord "En fait, j’ai cherché à connaître, durant ma vie, bon nombre de situations poétiques et aussi la satisfaction de quelques-uns de mes vices, annexes mais importants. "
Si je suis pas très fort en vice, créer des situations poétiques ça c'est intéressant et ça demande probablement un peu de goût de l'excès et je pense principalement la capacité à se surprendre soi-même par un peu d'incongruité disons (c'est un peu mieux que débilité).

Mais revenons au vélo, aujourd'hui fort mistral j'ai hésité mais finalement j'y suis allé, avec une sortie un peu à la sccber tiens, pas très longue mais grimpante :


J'étais évidemment toujours à traîner les 16 kilos de mon Helyett et sans pédales auto ou cale pied, c'était un peu pour voir ce que je pouvais grimper ou non avec ce vélo.
Ce qui est sûr c'est que j'ai bien fait de changer de le petit plateau de 40 par du 36. J'étais en 36*21 (je me refuse de descendre sur le dernier pignon de 24) et ma foi c'était quand même vraiment pas facile! Certaines parties avoisinent les 10%. Par contre les freins sont vraiment pas top, ils s'effritent totalement et sur cette sortie avec pas mal de descente le frein avant entre le début et la fin de la sortie s'était tellement amenuisé que je n'arrivais plus à me stopper totalement en fin de sortie!   
Le vent n'a bien sûr pas aidé, toute la fin je l'avais bien dans la face, c'était au final un peu comme si j'avais grimpé pendant toute la sortie.

Je ne m'attendais pas à lire sur ce Forum une citation de Guy Debord - que je connais par ses écrits depuis plus de quarante ans. Très bonne lecture, bien qu'il ne se soit jamais intéressé au vélo.
Attention aux patins de freins, c'est comme ça qu'on bousille une jante en une sortie, sans compter bien sûr les problèmes de sécurité.

Puis je me permettre un conseil?

Quelle drôle de concept de ne pas utiliser le dernier pignon!!
Vous n’êtes pas le seul a garder en "réserve" cet ultime recours au cas où..

Ce n'est pas une réserve d'eau qui s'userait irrémédiablement en s'en servant inconsidérément comme du gaspillage ..grillant ainsi les dernieres cartouches qui nous auraient sorti de la mouise.
La réalité est à l'opposée ,en l'utilisant plus tôt dans l'effort  , on s’économise  et ainsi on retardera  de se retrouver a marcher (dans le meilleur des cas) a coté du vélo ,perclus de crampes, a regarder son pignon de 24 (ou 28) quasi neuf.

Et si je ne vous avais pas convaincu,allons au bout de du raisonnement : le petit plateau est l'arme fatale quand on est au bord de l’épuisement, tout comme la gourde d'eau et la pâte de fruit:

donc single speed et pas de ravitaillement : c'est tellement bon quand on arrête...

Je suis un brin ironique,je m'en excuse, mais j'ai du me battre contre ces mauvaises "habitudes" à l'entrainement avec des collègues  néophytes jusqu'à qu'ils s’aperçoivent du bien fondé de ma remarque.  
La réserve est dans le corps (et la tête) ,le vélo doit etre un outil réglé pour l'utilisateur sur toute la gamme de son utilisation..
Et 24dents, c'est vraiment court pour les bosses a moins d'avoir un pedalier de VTT!

@sccber: (mal)heureusement je n'ai pas l'âge suffisant pou le connaître depuis si longtemps mais je l'aime beaucoup, j'avais fait un long dossier pour un concours que j'avais intitulé "ne travaillez jamais"   (phrase que Debord avait "taggée" sur les bords de seine).  


@Armandos pour revenir sur le sujet: je suis évidemment d'accord avec toi! C'est probablement pas très malin mais disons que je justifie ça en l’occurrence de cette manière: si j'utilise ce vélo très lourd c'est pour préparer mon petit voyage cyclo camping et donc pour voir un peu ce que je peux faire avec ce vélo. Sauf que lors du voyage le vélo sera chargé de toutes mes affaires, à partir de là si je suis obligé d'aller sur le dernier pignon vélo à vide, aucune chance que j'arrive à grimper le même genre de côte avec le vélo chargé. Lors du voyage par contre je n'aurai aucun scrupule à aller sur le dernier pignon.

Après dans les faits peut-être que ça ne sert à rien.

coté chargement je connais le problème
38 kgs (velo compris) au col de L'Iseran



En préparation
 Rando velo +stand up paddle
34 kgs  a ce jour dans cette configuration, sans le matériel de bivouac (les cols des Alpes ne sont pas au programme!)


quelque soit la masse a déplacer ,il faut avoir les bons développements et s'en servir avant que les cuisses ne brulent de trop..
je ne connais pas votre niveau
 mais 36x24 en roue de 700 cela fait 3.20m pour un tour de roue.

Si vous êtes costaud ,bravo ca va dépoter en cyclocamping  mais si vous etes dans la norme (la mienne..) ,vos développements sont trop   longs pour rouler chargé

perso avec mon Metabike de 12kgs ,a vide j'ai  26/27 soit 2.05 m.
Il me manquerait une dent ou  deux derrière pour faire des cols chargés.

La "norme" que l'on vous vend dans les bouclards de quartier en compact c'est 50/34  et11/28
soit un développement mini de 2.58 m pour un vélo pesant aux alentours de 8kgs (ou moins)..
En triple pour les poilus des jambes (pour moi ,quoi) la norme 52/39/30 11/28
soit soit 2.28 m a chaque tour de pédalier.

le tout biensur avec des roues de 700 (622) et des pneus en 23 de large

Cela dépend évidemment du parcours ,pour les plages des Flandres ,vous etes ok mais si vous passez me voir...on devra soigner la récup!

Oui, je m'étais fait la réflexion (grand pignon inutilisé), et j'avais compris cela comme un entraînement à la force (grande faiblesse   de beaucoup de cyclos au Long court), d'autant que j'utilise un mulet à l'entraînement (un peu plus lourd et 8 v 50/34 et 12-26 ou 13-26 selon la roue, contre 10 v 50/34 et 11-28) : j'économise mon carbone, je travaille la force et je le réserve aux sorties jusqu'à 100 km avec du D+.
Mais la réponse de Armandos74 est excellemment complète. Je lui donne d'autant plus raison que mon 34/28 dans le raide et sur le long reste avec mon vélo léger alourdi par son chargement sacrément long même si j'ai fait avec des trucs comme les 8 595 m de D+ dans la journée sur la bicinglette... Seul le budget nécessaire ne m'a pas déjà fait acheter 11-32 et dérailleur wifli Sram Red chape longue.

Oui, merci des conseils armandos.
Tu as raison mes rapports sont certainement trop longs pour rouler chargé dans des pentes difficiles. Mais si je n'irai pas faire de la vraie montagne comme vers chez toi (et pour être allé quelques fois au festival d'annecy je trouve cette ville et le coin vraiment chouettes, j'espère y repasser un de ces jours), j'aurai dans les cévennes et en ardèche quelques passages un peu ardus.
On pourrait rajouter que n'ayant pas de pédales autos je perds en plus en performance (et mes pneus sont du 32" si je me souviens bien).

C'est pour ça que comme le dit sccber, je pense que ce n'est pas inutile à l'entraînement de faire un peu de travail de force... tout en restant raisonnable: je n'ai pas de courbatures et je ne suis pas rentré cramé. Je suis pas costaud mais maigrichon ce qui n'est pas si mal pour grimper.

Mon vélo de rando a une quarantaine d'année et vu le temps que j'ai passé à le faire briller je m'y suis attaché (et je n'ai de toute façon pas les sous pour en changer). Je me dis que poser pied à terre à certains endroits n'est pas la mort, j'ai le profil de toutes mes étapes et "a priori" il n'y a que quelques passages pas trop longs durant lesquels je serai à la peine: si besoin je ne me gênerai pas pour descendre, m'arrêter 5 minutes ou marcher: pour le coup il n'y a pas la pression d'arriver avant une heure particulière, le principe du cyclo camping reste avant tout de découvrir de jolis coins en prenant son temps.

Elle a l'air bien pratique en tout cas ta petite remorque!

Comme prévu sortie courte avec un col au programme. RAS, sinon genoux pas terribles... La météo prévoyait risque d'averses à partir de 15 h (30 %), 16 h (50 %), etc. Je suis un peu joueur, je suis parti à 13 h 36 et rentré à 15 h 37 sans me mouiller. Actuellement, ça tombe des trombes depuis cinq minutes : au col j'avais envie de continuer - ce qui est bon signe - mais la sagesse - BRM 400 samedi et risque de pluie - m'a fait redescendre sans même m'arrêter.
41 km et 725 m de D+ à 21,75 km/h de moyenne.

petite sortie ce dimanche matin: 75 km mais de VTT   
Je n'étais pas monté dessus depuis octobre dernier     
ça n'a pas été de tout repos et je suis rentré avec un sacré mal de jambes   

faut dire que j'ai aussi pas mal allumé et ne me suis pas "économisé" dans les difficultés   
Dire que, pendant 8/9 ans, je n'ai fait que du VTT! et aujourd'hui je dois me faire violence pour sortir mon GT LTS. 
Ce qui me surprend le plus à chaque fois que je le reprend, c'est le confort, un vrai pullman ce vélo. Quel plaisir de rouler à donf quel que soit le terrain sous ses roues, sans arrière pensée...
C'est quand même pas mal le VTT    mais par contre plus l'habitude d'être assis sur une selle  

papou a écrit:

petite sortie ce dimanche matin: 75 km mais de VTT   
Je n'étais pas monté dessus depuis octobre dernier     
ça n'a pas été de tout repos et je suis rentré avec un sacré mal de jambes   

faut dire que j'ai aussi pas mal allumé et ne me suis pas "économisé" dans les difficultés   
Dire que, pendant 8/9 ans, je n'ai fait que du VTT! et aujourd'hui je dois me faire violence pour sortir mon GT LTS. 
Ce qui me surprend le plus à chaque fois que je le reprend, c'est le confort, un vrai pullman ce vélo. Quel plaisir de rouler à donf quel que soit le terrain sous ses roues, sans arrière pensée...
C'est quand même pas mal le VTT    mais par contre plus l'habitude d'être assis sur une selle  

Donc attention à ton fessier si tu comptes toujours faire ton 600 en VD et non en VCTD !!!

Marc