qui qu'a roulé aujourd'hui . 3

Roland a écrit:

veloblan a écrit:

Il est quand même gonflé l'abruti qui t'a dit de faire attention, c'est qui qui doit faire gaffe, l’automobiliste ou le cycliste? Il a eu de la chance de pas tomber sur moi, je lui aurais dit le reste  

Un jour un type m'a dit que c'était dangereux...

Je luis ai demandé sèchement* si sa mère ne lui avait jamais dit qu'il était dangereux de parler à un inconnu !
Comme j'avais employé un ton peu amène, et que je ne mesure que 1,93m, le type est reparti vite fait !


*Oui, en Bretagne le temps est peut-être humide mais ça n’empêche pas de parler sèchement !

Ou la 1m93? ca impressionne mais bon tu dois prendre du vent, pas bon aujourd'hui, ca soufflait

Aujourd'hui grand soleil sur la Lorraine: je chausse mes sabots cales SPD et cap au sud, 35km vent de face et quel vent!! à décorner les.....;
(d'ailleurs je suis rentré sans mes bois).
V max 15/20km/h et les 35km du retour à prés de 40km/h (ça compense).
Donc 70km presque plats, dénivelé 610m (+), moyenne anonyme avec ce vent ( en fait je la relève rarement).
Ps: ne vous offusquez pas chez moi l'humour est souvent du 3ème° ou de bas étage comme certain le pense.
Bon vent

Je crois qu'ici on ne s'offusque pas de l'humour.
Et l'humour c'est comme le vélo, on s'améliore en le pratiquant. Après, bien sûr il y a des cylindrées plus grandes que d'autres...

sccber a écrit:

J'avais ma veste fluo, deux lampes arrière, quelques bandes fluo sur mon collant de jogging et une lampe avant puissante.
Sur un brevet j'y ajoute des bandes fluo aux chevilles. J'ai aussi une troisième lampe prévue (bleue, sur la jante)...

les bandes fluo aux chevilles sont vraiment à recommander !
avec le mouvement du pédalage elles sont bien visibles et intrigantes pour les automobilistes

Oui c'est très visible quand ils sont éclairés par des phares puissants.
Cependant, pour ma part, sans être du tout tête brûlée ou irresponsable - je me considère même comme plutôt trouillard - j'utilise les mesures de sécurités idoines, mais je sais et accepte l'idée que malgré les meilleures possibles je reste à la merci d'un assassin de la route. C'est un risque statistique et le cycliste le plus visible sera toujours victime potentielle de la saloperie et la bêtise irresponsable des fous du volant. Un philosophe évoquera le destin, je dirai pour ma part la somme des hasards qu'il faut accepter si contradictoirement l'on choisi l'action, c'est-à-dire le choix de vivre. Et je ne pense pas que l'on puisse dépasser ce constat : je ne suis pas superstitieux ni religieux, je je n'emporterai pas en plus sur mon vélo en plus un grigri, une médaille d'un saint protecteur ou un khamsa (main de Fatma)...

Vers 15 h 45 je me suis décidé d'un coup à aller faire du vélo
Départ 16 h, donc beaucoup de route de nuit prévue, parce qu'il n'était pas question de roulotter une heure comme si pour les amateurs de longue distance la nuit n'était qu'une obligation et non pas un autre plaisir.
Il faisait doux (12/13° au départ, 7 ° je crois au plus bas) mais il subsistait un peu du vent d'hier.
Pas grand chose de remarquable, sinon quelques petits groupes de cyclistes qui rentraient quand moi j'étais au début de ma sortie.
J'ai un peu forcé dans les montées puis la nuit venue roulé relativement lentement dans les descentes. Sinon, plutôt la forme et de bonnes jambes, car ces temps-ci je ne roule pas énormément - pas de fatigue résiduelle - mais suffisamment, avec pas mal de dénivelé pour le travail de force.
82 km et 1 325 m de dénivelé. Je ne regarde pas la moyenne, non significative en elle-même, mais j'ai bien travaillé quant même.
Depuis le 1er 534 km seulement (dont un dodécaudax) et 8 375 m de dénivelé positif.

Petite sortie dominicale, seul, car arrivé trop tard pour rejoindre mon club

Assez froid mais pas de pluie, donc pas encore de test de mon beau Gore Tex tout neuf

84Km en 3h10 avec 648m de D+

J'ai profité d'être seul pour travailler les passages de bosses

hbr78 a écrit:

Petite sortie dominicale, seul, car arrivé trop tard pour rejoindre mon club

Assez froid mais pas de pluie, donc pas encore de test de mon beau Gore Tex tout neuf

84Km en 3h10 avec 648m de D+

J'ai profité d'être seul pour travailler les passages de bosses

J'avais entendu que la pluie sur les cotes de la manche allait arriver en région parisienne et j'ai finalement tout fait au soleil
Travail des bosses aussi car 104km et 1160 m de Dn. Pas très souvent que je fasse un tel dénivelé dans le coin

81km dans le loir et cher -2 degres ce matin dénivellé j'en parle pas mais du soleil a chier, des cyclos qui lèvent pas leur nez pour dire bonjour(c'est la région qui veut ça) mais sinon content de moi pdt que mon coach reste les fesses au chaud devant la cheminée...

allez , samedi, j'ai repris mon bon vieux tracé : petit galibier, et ste beaume.. Me rappelait plus. Ste beaume 8000 m avec une pente entre 5 et 7 %.. me suis bien chauffé les cuisses.. retour par auriol, la destrousse et la bouilladisse avec une petite motte à 8 % pour m'achever.72 km pour 1052 de D+

mike13 a écrit:

allez , samedi, j'ai repris mon bon vieux tracé : petit galibier, et ste beaume.. Me rappelait plus. Ste beaume 8000 m avec une pente entre 5 et 7 %.. me suis bien chauffé les cuisses.. retour par auriol, la destrousse et la bouilladisse avec une petite motte à 8 % pour m'achever.72 km pour 1052 de D+

En te lisant, j'ai envie de redescendre vers chez toi (mon fils habite près d'Aix en P.). Voici un de mes circuits quand je veux "faire de la bosse": Meyreuil, Mimet, Le Terme, descente sur Allauch pour remonter au Terme, La Destrousse, Roquevaire, Gémenos, L'Espigoulier, Pic de Bertagne (c'est praticable en vélo-route mais, en théorie, c'est interdit), Plan d'Aups, St Zacharie, Le Petit Galibier, Trets, Peypin, Belcodène (près de), remontée sur Cadolive et retour par Mimet. Je trouve ces routes certes difficiles mais superbes tant du point de vue cycliste que du point de vue touristique.
J'espère pouvoir descendre dans le "13" pour faire l'un des BRM du CSPA (le 400 du 2 mai ?)

c'est le même parcours en ce qui concerne la ste beaume et le pas de la couelle. les termes, c'est mon circuit court en semaine. la bouilladisse vers le jayet, a gauche à l'entrée de peybier descente vers la cyclable qui va jusqu'a la barque retour par le même chemin, à la zone de la pomme à droite vers les termes, descente jusqu'au rond point et retour par les termes.

Quand tu descends, laisse moi un message, qu'on fasse un bout de route..

mike13 a écrit:

Quand tu descends, laisse moi un message, qu'on fasse un bout de route..

Pas de problème; je te tiens au courant.
Et roules bien en attendant.

je risque de refaire la même samedi prochain, je penserai à toi..

Petit résumé de mon 24ème circuit "Dédé Caudax" (cest pour taquiner mon pote Dédé).

 Je viens de finir mon deuxième cycle des  DDCX en cette fin d’am. Mais qu’elle fut pénible cette sortie. En effet fort des prévisions météo favorables (pas de pluie ; t° 0 et un peu plus), je démarre à 6h en direction de Mûr. Tout va bien ; Caurel TVB ; Bon Repos TVB ; Gouarec TVB ; sortie de Gouarec sur les hauteurs, quand je vais sur le rond point qui doit me diriger sur Plouguernevel RIEN NE VA PLUS, C’EST UNE PATINOIRE !!! ; j’évite de justesse la chute. Du coup plus question de monter sur le vélo, je reste à côté pour me regarder pédaler !!!!....jusqu’à Plouguernével où un « bistrotier » plutôt sympa m’ouvre sa porte un peu avant l’heure réglementaire (9h). Je passe là 1h1/2 à lire le journal ; boire 2 cafés ; manger mon 1er sandwich ; accorder la guitare pendue au mur à laquelle pour une fois il ne manque pas de cordes ; quelques petits morceaux ensuite pour montrer à mon désormais ami cafetier que je ne fais pas que les accorder (les guitares). Mon hôte n’est pas pressé de me lâcher et a tendance à me déconseiller de partir vu que deux voitures surprises par le verglas viennent de traverser le rond-point les roues bloquées. Bon je fini par prendre congé mais l’aubergiste avait raison, je remonte sur ma bécane mais juste sur le trottoir pendant 100m. Je vais jusqu’à Rostrenen à pieds en prenant soin de me ranger au maximum quand les voitures me doublaient. Je peux vous dire qu’on traverse là un vrai moment de solitude, on imagine les conversations dans les voitures de ceux qui vont au boulot et qui « EUX » ont une bonne raison d’être là….Ils ont dû se foutre de ma gueule (je m’en fout un peu car en homme « pévoyant » hum !, j’avais ma cagoule. Alors si vous avez un copain qui a vu un mec du côté de Rostrenen etc… vous ne me connaissez pas ! Bref j’arrive à Rostrenen « à pince » et là, ça va un peu mieux malgré plusieurs « marches » encore jusqu’à Plouray. A plouray, je décide d’aller saluer ma mère en faisant un petit détour par rapport à mon circuit initial. Il est midi, je suis devant un bol de café « grand-mère » et je déguste quelques bonnes crêpes. Résultat des courses j’ai 60 kms au compteur et j’ai march-roulé 6h. Pas question de caler et d’arrêter là, les conditions deviennent plutôt agréables (soleil à volonté). Je file donc jusqu’au petit port de Doëlan (2^ème sandwich) via Le Faouët et Quimperlé. A la sortie du Pouldu un cyclo me double, on se salue, je m’accroche un peu mais à la première côte le gars coince et je reviens à sa hauteur, j’engage une conversation sympathique avec ce vélociste de Riec Sur Belon qui profite de son lundi a.m. pour faire sa petite sortie. Il est à mil lieues des questions de longue distance, mais respect bien entendu. Nous nous quittons à Quimperlé. Je remonte sur Kleguérec par la voie classique : Arzano ; Plouay ; Inguiniel (où par mesure de prudence j’allume mes feux) ; Guéméné Sur Scorff ; et enfin Kleg. Il est 18h 30. De grâce ne me parlez pas de moyenne ! de toute façon cette notion m’agace un peu…..Et, de toute façon, elle n’est pas bonne ! Salut ! Gilbert.

BRAVO Gilbert !

Content que tu t'en sois bien tiré.
Ce serait dommage de foutre sa santé et sa saison en l'air pour cause de chute.

Ton récit est le nième exemple, s'il en était encore besoin, que la difficulté du Dodécaudax ne réside pas dans le délai accordé mais dans l'obligation à y aller en toutes saisons...

Respect comme on dit ! Beaucoup de verglas, c'est à cause de l'humidité dûe à une proximité océanne ?
Je persiste par ailleurs à penser que mon choix raisonné de partir tard en acceptant les heures de nuit en final me permet de minimiser les risques liés au froid du petit matin, surtout les journées ensoleillées. Partir à 6 h en hiver, quelle drôle d'idée (mais je suis célibataire et retraité et je fais ce que je veux)

sccber a écrit:

 Partir à 6 h en hiver, quelle drôle d'idée

"Errare humanum est............perseverare diabolicum"  Tu as raison mieux vaut partir plus tard et rouler le soir.

Gilbert a écrit:

sccber a écrit:

 Partir à 6 h en hiver, quelle drôle d'idée

"Errare humanum est............perseverare diabolicum"  Tu as raison mieux vaut partir plus tard et rouler le soir.

C'est ce que j'avais fait en décembre : parti à midi ! (j'aime pas me lever tôt mais j'aime bien le soir)

BRAVO Gilbert !   FELICITATIONS


BIENVENUE PARMI LES FELES DU DEDECAUDAX ( salut Dédé !!)


Pour faire du vélo l'hiver, faut savoir se lever tard.

Je crois qu'une dépression traverse notre beau pays et que ça risque de glisser aussi en plaine

Déjà que ça ne faisait pas très longtemps que je m'étais mis à rouler régulièrement, voilà que je me suis arrêté plus d'un mois !
Les vacances scolaires des enfants et les fêtes m'avaient tenu à la maison la dernière quinzaine de décembre, et le jour de l'an je me suis retrouvé à quatre pattes dans la salle de bain hurlant au secours, pris d'une violente douleur dans le bas du dos (j'ai une Spondylarthrite ankylosante).
J'ai mis plus d'une semaine à m'en remettre et je n'ai pas osé reprendre le vélo tout de suite.

Mais bon... PBP c'est cette année, donc un débutant comme moi ne peut pas se permettre de lâcher l'affaire.
Et puis j'ai eu deux personnages de mon prochain film au téléphone hier (un double vainqueur du tour et son mécano de l'époque), ainsi qu'un ancien médecin du tour, et cela m'a remis des fourmis dans les jambes. D'autant que pour le film, je dois monter à Pra Loup, et si possible pas comme une feignasse !

Adonc, cet aprem, je mets des barres de céréales dans la sacoche, je redonne un p'tit coup de pompe aux pneus et me voilà parti, par une température de... 3°C. Pour rejoindre la Garonne et la traverser, pas de problème, ça descend. La longer quelques kilomètres, facile. Mais à la première côte (à peine 4% et 2km) je vois ce que ça fait de s'arrêter 5 semaines ! Bon, j'ai continué à mon rythme, sans forcer, et j'ai bouclé 69,5km (D+450m) en 3h et 1min.
Bizarrement, alors que j'y suis allé vraiment calmement (je ne pouvais pas faire autrement), ça fait une moyenne de 23km/h, comme d'hab (sauf que d'hab, je m'arrête tout le temps pour chercher ma route, la retrouver, alors que là j'étais en terrain connu et que je ne me suis même pas arrêté pisser).

À l'arrivée, il faisait un petit degré.
Et j'ai vraiment souffert du froid la dernière heure. Il va me falloir investir dans des sur-chaussures et des gants plus épais.
Je vais essayer de faire un petit 100 jeudi, ils annoncent 7° !

Hier pluie toute la journée, pas bougé.
Aujourd'hui mardi, j'avais quelques obligations et j'ai choisi de m'y rendre avec mon mulet plutôt qu'avec mon vélo de ville, car quant même plus facile à vivre... Je pars donc avec sac à dos, dans celui-ci gros anti-vol (je devrai dire lourd plutôt que gros, parce que c'est du sérieux, genre anti-vol - sans chaîne - de moto et donc inadaptable sur le cadre du vélo qui roule), plus un gros paquet de flyers de mon club de ski que je destine à un magasin de sport...
Je vaque... et je me retrouve en final vers les 16 h à proximité du magasin où je dois déposer les dits flyers. Je suis presque en sortie de ville, et du coup je me dis - je me parle assez souvent, car je sais m'écouter - je me dis donc, et si j'en profitais pour aller au prochain village - à 9 km, route légèrement vallonée - tant que j'y suis, d'autant que les jours qui vont suivre il est annoncée pluie et neige ? Je m'écoute donc, et continue en commençant à accélérer - tant qu'à faire, autant faire de cette très courte sortie une sortie orientée qualité...
Petit problème, si j'ai pensé à mettre mes chaussures de vélo à cale encastrée, je n'ai pas de sur-chaussures, pas de casque mais une casquette assortie à la couleur de ma veste et de mon vélo   , pas de pompe et pas d'outils, et je suis habillé en habits de ville - pas de panique, pour moi ce sont ex-blouson de ski polaire gore-tex (membrane un peu déchirée toutefois), et pantalon de marche un peu chaud. J'ai bien sûr mes lumières arrières qui sont à demeure sur le vélo, et je me rappellerai le moment venu que j'ai toujours dans une poche de blouson une mini-lampe à led.
J'arrive au village, et je me dis (cf. plus haut), et pourquoi pas monter la colline à droite, jusqu'à la petite ville sise en haut : la montée fait 7 km pour un dénivelé d'environ 350 m, les premiers kilomètres ne sont pas très pentus et permettent pour qui le veut de rester sur la plaque ; cette montée sert chaque année à une épreuve chronométrée de contre-la-montre, et permet si on le désire de pratiquer de l'endurance de force (gros braquet à intensité cardiaque assez élevée)...
Et c'est parti, avec une température en haut de zéro degré... Autant dire que j'ai les pieds gelés, d'autant que la route - très large et bien roulante - est trempée, avec quelques passages boueux à cause de travaux, et je finis les pieds mouillés. J'ai même eu un petit moment entre neige et grêle, et du brouillard. J'ai allumé mon feu arrière de manière préventive, et j'allume mon lumignon en bas quand je rejoint la grande route qui rentre en ville, pour être vu car la nuit tombe, plus que pour m'éclairer... La route est souvent à deux voies dans les deux sens et la circulation est normale, car le plus gros du trafic se fait sur les voies express qui doublent cette ancienne route d'entrée en ville.
Conclusion : bien content de ma petite virée, et mon vélo qu'heureusement je n'avais pas eu l'idée de nettoyer après ma sortie précédente, est dans un état de saleté remarquable. Ma selle cuir parait un peu ternie - mais toujours aussi dure - et je vais lui refaire une beauté : un produit typé cirage que j'applique de loin en loin sur le dessus plutôt que de la graisse que j'ai appliquée il y a deux mois sur le dessous.
41 km (dont 9 km en ville) et 545 m de dénivelé.

Y a pas à dire , sccber , t'es un mordu !! Bravo !

Albatros a écrit:

Y a pas à dire , sccber , t'es un mordu !! Bravo !

Décidemment tu aimes l'hiver , le froid et les conditions difficiles - tu es notre "Nicolas VANNIER"  mais...tu ne nous en parles pas ,  où sont passés les chiens de ton  traineau (?)

fausto a écrit:

Albatros a écrit:

Y a pas à dire , sccber , t'es un mordu !! Bravo !

Décidemment tu aimes l'hiver , le froid et les conditions difficiles - tu es notre "Nicolas VANNIER"  mais...tu ne nous en parles pas ,  où sont passés les chiens de ton  traineau (?)

Dans mon coin (massif du Pilat) il y avait un gars qui entraînait un attelage et que je rencontrais en été, moi en VTT et lui avec un traîneau à roues... Gamin j'étais un fan de Jack London et James Oliver Curwood qui parlaient du Grand Nord, le Wild !
Mais comme j'habite en appartement, élever une meute !
Actuellement il neige... Un pote chanceux au téléphone vient aussi de me raconter sa journée de ski aux Arcs... Et je n'ai pas bougé de chez moi, occupé à lire un polar irlandais bien glauque...