On est tous d'accord.
Je me souviens avoir monté en nocturne le col du noyer le 10 août 2011 dans le cadre de l'opération " décrochez la lune " du Comité Départemental du Tourisme des Hautes-Alpes (hyper agréable et organisation au top avec la route d'arrivée au col illuminée par des bougies - magique -) : sur la place de départ il y avait un loueur de VAE car ils étaient autorisés sur le parcours ; je me souviens que j'avais été impressionné par leur vitesse de montée, et j'avoue que leur présence - très minoritaire - ne m'avait pas gênée, bien au contraire puisqu'elle avait permis à quelques personnes incapable de monter à vélo de profiter des festivités.
Mais bien entrainé, en ville je vais bien plus vite qu'un VAE : je suis fréquemment - sauf dans les bosses bien sûr - entre 30 et 45 km/h (plat descendant) avec mon carbone. Enfin, je n'en sais rien, peut-être que moteur arrêté en peut rouler assez vite en profitant de l'inertie... Et peut-être aussi qu'au démarrage on gratte un cycliste...
Ce qui me fait peur, avec cette limitation à 25 km/h - c'est qu'en même très lent, plus lent qu'avec le solex de ma jeunesse ! - c'est que dans cette société peureuse, un jour on va décréter qu'un cycliste de devra pas dépasser cette vitesse, sauf à prendre une assurance et mettre un casque, etc. - et pourquoi nous mettre une plaque d'immatriculation pour les radars... On permettra exceptionnellement une vitesse plus grande en compétition...
Une question que je me pose : si j'achète en connaissance de cause un VAE de 500 watts, que je prend une assurance idoine, le casque de cycliste est-il conforme, ou me faut-il mettre un casque type motard ?
Le débridage des moteurs s'est toujours pratiqué. Il existe aussi de nos jour pour les motos limitées à 100 ch !