Votre gestion de l'effort dans la durée

Miss couetteS a écrit:

ATTENTION !!!! on ne se moque pas de la RAAM.... c'est trop beau sujet réservé à Roland ..... spécialiste du rameur

C'est curieux, j'ai comme une envie de tirer des couettes

Roland a écrit:

C'est curieux, j'ai comme une envie de tirer des couettes

tu veux te faire son scalp

papou a écrit:

Roland a écrit:

C'est curieux, j'ai comme une envie de tirer des couettes

tu veux te faire son scalp

çà dépend si il prend pas tous les draps


phil35

Même pas mal !!!!!!!! même pas peur !!!!!! je suis devenue grand plateau.... j'avance beaucoup plus vite qu'avec des cuisses de grenouilles

Miss couetteS a écrit:

Je suis devenue grand plateau.... j'avance beaucoup plus vite qu'avec des cuisses de grenouilles

Et un grand plateau de cuisses de grenouilles ?

Pour revenir à la question initiale :
j'ai l'habitude de rouler seul, je ne cherche donc pas à me coller à un groupe.
Je roule à mon rythme.
Je bois très régulièrement (que de l'eau).
Je ne m'arrête qu'aux contrôles.
Je ne mange que lors des contrôles, mais un peu à chaque contrôle et que des choses "normales" (en clair je ne consomme pas de "produits de l'effort").

Merci Roland, j'ai tout pareil que toi avec en plus un arrêt à 'mi-contrôle" pour manger une tranche de cake aux fruits (même valeur énergétique aux 100 g que overmachin)

bienvenue chez zapi land,

le pays merveilleux des pédaleurs bio

Réponse sur les départs en fanfare .
Sur toutes les distances longues que j'ai réalisées ( flèches vélocio, BRM , PBP 2007) je me suis attaché à toujours rouler à mon rythme ou tout du moins à rester dans des limites acceptables sur mon cardio . En fonction des sensations rien n'interdit quelques cadences plus soutenues .J'ai toujours fini les épreuves dans un excellent état de fraicheur .
Cependant cette année lors du 400 Km , suite à des conditions météo spécifiques ( vent fort et défavorable sur les 60 premiers Km ) j'ai décidé de suivre le peloton des gros bras ( ou plutôt grosses cuisses) . Le compteur n'est jamais descendu en dessous de 30 et la moyenne de 34 ( avec vent défavorable) . Même protégé dans un groupe la sanction ne s'est pas fait attendre. A la première cote sérieuse je n'ai pas insisté et j'ai laissé filer le groupe sans conséquences sur l'heure qui a suivi . Par contre ensuite j'ai éprouvé les pires difficultés à franchir les moindres bosses sans que celà soit imputable à une fringale ( sensation de lassitude et d'épuisement ). Après un arrêt repas j'ai passé la nuit à rouler correctement . Le matin fut cependant difficile . Je ne réussissais à maintenir un rythme correct que sur quelques Km , ensuite je devais effectué un temps d'arrêt de pédalage pour respirer et repartir . Moralement c'est une situation de galère .
Je réalise des tableau de marche sur la base de 24/25 Km/h pour l'aller et de 21/22 Km/h pour le retour . Je fais un peu mieux que cela mais ça permet d'avoir un peu d'avance , notamment au début, et d'influer positivement sur le moral . j'ai beaucoup de difficulté à m'alimenter en pédalant , je n'aime pas ça . Aussi je m'arrête et il faut faire attention au temps . La sensation d'un arrêt de 5/10 mn se chiffre aisément par le double . C'est la plus grande difficulté qu'il y a à gérer dans un tableau de marche que l'on soit seul ou encore pire avec un accompagnement .

En ce qui me concerne, à chaque fois que j'ai essayé de suivre un groupe roulant plus vite je l'ai payé par la suite et pendant longtemps.
Je préfère donc suivre mon rythme qui est plus lié à la fréquence du pédalage qu' à la fréquence cardiaque (ce qui doit être proche quand même).
Pour ce qui est de l'alimentation, le diabète m'oblige à m'alimenter régulièrement. J'ai toujours au moins des barres et des pâtes de fruits .
Sur les longues distances (300 km au moins), j' emporte ainsi un bidon de malto effort longue durée.
Sinon, je sais que je dois prendre mes repas et ma glycémie à des heures fixes pour garder le meilleur équilibre glycémique possible; ce que je n'avais pas fait cette année sur un 300 et bien sur sur le 600 de Noisiel.
Par contre, je suis étonné que personne n'est parlé des phases d'étirement musculaire sur les longues distances.
Pour ma part, j'essaye, sur le vélo et lors des arrêts de faire quelques mouvemants d'étirement et d'assouplissement des muscles des jambes et du dos.