Cap ou pas Cap - Montebourg (50) - 23/03/2019

Bonjour à tous,

Le prochain brevet à Montebourg est le BRM 300 "Cap ou pas Cap". Il aura lieu le 23 mars 2019.
Ce n'est pas parce que le BRM a un gros plat de résistance dans la Hague qu'il s'appelle comme cela, c'est parce que nous ferons les pontages sur les caps de la presqu'île du Cotentin, ce qui va permettre d'en faire le tour :

5 pointages :
- Phare de Gatteville
- Station SNSM de Goury (Cap de la Hague)
- Cap de Carteret
- Pointe d'Agon
- Pointe du Grand Vey

Accueil dès la veille (pour faire dodo), collation au départ pour ne pas partir à vide et à l'arrivée pour échanger

Toutes les infos sur le site du club (c'est ici).
Inscriptions en ligne (par là).
Limitation à 100 personnes (48 pour le moment)

Route plus propres qu'au 200km et navigation plus facile

N'hésitez pas à me solliciter
Stéphane

Cela doit être super comme brm trop loin pour moi dommage
Il manque la date de ton brm😁?

FRANCOIS DU 53 a écrit:

Cela doit être super comme brm trop loin pour moi dommage
Il manque la date de ton brm😁?

Je rajoute mais c'était dans le titre.
J'ai des inscrits de la Mayenne pour le co-voiturage
[EDIT] : non, ce sont des Bretons pour le moment

Bonsoir Stéphane.

Je souhaite m'inscrire sur le BRM 300 que tu organises. En tant que membre du club, je dois passer par Klikego ou bien tu peux valider mon inscription en direct ?

Bonne route aux pré riders!

La météo semble encore de notre côté pour l'instant...

Par contre, l'organisation ne fait jamais les choses à moitié pour les BRM de Montebourg : le 23/03, les participants de ce BRM pourront admirer les plus beaux endroits de la côte du Cotentin magnifiés par les grandes marées d'équinoxe !
Il fait vraiment les choses en grand, Popiette !

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Et que oui, et la météo ne rigole pas pour vendredi :






pour ce qui est des moyens exceptionnels mis en place, pointage secret/ravito sur la route.

Popiette a écrit:

Allez, pour vendre notre littoral (désolé aux Bretons), une petite vidéo de notre presqu'île.

Merci pour la vidéo. C'est très jolie.
Un peu comme en Bretagne...  

Pour ceux qui ne connaissent pas ce parcours ce sera un régal.
Le pointage de Goury vaudra le coup d'œil avec son coté bout du monde et sa spectaculaire descente pour le bateau de la SNSM
Par moment vous aurez l'impression d'être en Irlande avec les champs séparés par des murs de pierre.
A Carteret vous apercevez à 5km au large...l'Angleterre avec l'archipel des Ecrehou
De Portbail on aperçoit Jersey...
Dépaysement garanti

Ghibli a écrit:

Pour ceux qui ne connaissent pas ce parcours ce sera un régal.
Le pointage de Goury vaudra le coup d'œil avec son coté bout du monde et sa spectaculaire descente pour le bateau de la SNSM
Par moment vous aurez l'impression d'être en Irlande avec les champs séparés par des murs de pierre.
A Carteret vous apercevez à 5km au large...l'Angleterre avec l'archipel des Ecrehou
De Portbail on aperçoit Jersey...
Dépaysement garanti

Mais chut, vous allez finir par nous faire envahir!

Popiette a écrit:

Et que oui, et la météo ne rigole pas pour vendredi :

Et pour le 23?

Avec Egareg, nous sommes partis de mon logement dans l’agglomération Cherbourgeoise peu avant 5h. La météo annonce un temps typique du Cotentin : humide mais pas de pluie. Presque la même température le matin et l’après-midi et du vent du Sud-Ouest.

Quelques tours de roue, juste le temps de monter une côte et tout cela se confirme.
Pas encore sur le circuit qu'Egareg casse déjà sa chaîne. Durant la randonnée, la chaine ne va faire que de sauter sur un pignon, une couronne à changer donc.

Nous prenons la route de la Hague, vent pleine bille. C’est dur juste après le petit’déj, je tiens sa roue sur le plat jusque Urville puis le Tour de la Hague commence. Dans la nuit noire, nous ne profitons pas des beaux paysages (que vous ferez de jour) : Landemer, Omonville-la-Rogue, Port Racine, Goury et la baie d’Ecalgrain dont nous devinons l’écume des vagues en contre-bas.
Le jour se lève aux Treize-vents. Puis après avoir passé le bas (terrible avec mon single en 48*20), nous nous arrêtons pour remettre une salamandre en sécurité.
La descente au-dessus de Vauville, comme présagée, est bien trop dangereuse pour un brevet, la descente se fera par la vallée.
« Les Renardières » le bar de Vauville est encore fermé. Comme le Racine auparavant à St-Germain-des-Vaux. Il en sera de même le samedi du brevet car bon nombre de bar-restaurant ferme le samedi dans la Hague.
Pour sortir de Vauville, nous prenons la route sur le balcon au-dessus de la mare et qui mène au belvédère du Thôt. Ça fera des belles photos le 23 mars.

Nous continuons, les gros morceaux sont dernières nous mais il en reste de sacrés jusque Carteret. Un premier chocolat à Vasteville où nous y laissons un bidon. Siouville, Flamanville et vue plongeante sur Sciotot. L’une des plus belles plages du coin (avec l’anse du Brick).

Quelques caps à passer, des massifs dunaires à notre droite et nous escaladons le cap de Carteret, le cap nègre du Cotentin. Vue sur les îles Anglo-Normandes. Les gars de la Marine scrutent l’horizon dans le sémaphore.
Direction Portbail, on ne s’arrête pas au "Kissing" mais on prend le raccourci « Gravel » pour aller voir le lavoir de la Mère-Denis. Une fois passé Portbail, nous sommes un peu loin de la mer. Nous descendons le département en faisant une pause « Sandwich Saucisse – frites » au marché de Gouville-sur-Mer.

Nous sommes un peu lourds jusque Agon. Nous n'arrêtons pas à la plage naturiste et faisons demi-tour, à mi-route en ayant terminé avec le vent de face tout en sachant que le profil est favorable désormais.
Pause-café à Monthuçon, presque au point le plus haut du parcours. Traversée des marais qui ne sont déjà plus inondés mais nous voyons deux cigognes. Nouvel arrêt boulangerie-café à Carentan. Je prends un Paris-Brest, année 2019 oblige.

Nous essayons un nouveau raccourci gravel pour prendre l’écluse de la Barquette. Haut lieu d’une certaine nuit du 5 au 6 juin 1944. La route est en plus mauvais état pour y accéder que le chemin pour en repartir. C’est validé !
Pour rejoindre les Veys, le pic de glycémie du Paris-Brest se fait sentir. Des frissons, les jambes molles et un coup de chaud. Comme à chaque pointage, nous cherchons une question et Egareg me donne une barre céréale/chocolat pour faire passer la compote que j’ai pris en urgence. Ça va mieux, nous passons à Utah-Beach, monument Leclerc et nous remontons vers le Nord.

Direction le Val de Saire. Ça pédale tout seul, Barfleur à l’heure bleue mais un compact ne vaut pas un réflex. La nuit est tombée sur le phare de Gatteville, le plus haut d’Europe continentale. Tout va bien, nous filons sur Cherbourg. Une route très connue des cyclos du coin.
Un dernier arrêt dans un troquet « Le rô de la Mé » à 21h et à 15km du but, juste pour le plaisir.

Nous rentrons tranquillement à la maison, 17h après être parti.

BRM 200 et 300 validés. Ça passe toujours aussi bien avec le single.
Je vais modifier un peu la trace et la mettre en ligne au plus vite. Les raccourcis seront proposés mais cela fera toujours plus que 300km.

Rendez-vous donc le 23 mars à Montebourg pour le BRM 300.
66 inscrits pour le moment.
Les infos sont ici :

Apres des pneus en fin de vie, maintenant la roue libre. Décidément Egareg mène son matériel au bout du bon usage. Espérons lui un changement de toutes les pièces d’usure d’ici PBP!

Plus sérieusement un parcours exigeant dans sa première partie qui laissera les jambes lourdes si l’on y prend pas garde.
Les pre riders ont eu une bonne fenêtre météo car ce dimanche j’ai chassé quelquefois suite aux coups de vent.
Les cafés fermés le samedi un avant de la traversée hyper rurale en quelques sorte!

pascalb a écrit:

Apres des pneus en fin de vie, maintenant la roue libre. Décidément Egareg mène son matériel au bout du bon usage. Espérons lui un changement de toutes les pièces d’usure d’ici PBP!

C'est comme ça qu'on apprend ! Et c'est l'un des intérêts des BRM qualificatifs : éprouver le matériel avant le jour J.

La chaîne avait été changée en septembre, mais peut-être mal rivetée (même si elle a tenu environ 1000km). Elle ne semble pas encore trop allongée. Je vais la garder en secours.

La cassette vient de l'ancienne roue arrière, que je viens de remplacer. J'aurais dû en profiter pour prendre une cassette neuve également sachant que c'est du consommable.

Pas contre, aucun souci de crevaison, pas de problème d'éclairage, de recharge du téléphone. Le moyeu dynamo et le phare sont validés : ça va me permettre de m'alléger en batteries.

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Egareg a écrit:

pascalb a écrit:

Apres des pneus en fin de vie, maintenant la roue libre. Décidément Egareg mène son matériel au bout du bon usage. Espérons lui un changement de toutes les pièces d’usure d’ici PBP!

C'est comme ça qu'on apprend ! Et c'est l'un des intérêts des BRM qualificatifs : éprouver le matériel avant le jour J.

La chaîne avait été changée en septembre, mais peut-être mal rivetée (même si elle a tenu environ 1000km). Elle ne semble pas encore trop allongée. Je vais la garder en secours.

La cassette vient de l'ancienne roue arrière, que je viens de remplacer. J'aurais dû en profiter pour prendre une cassette neuve également sachant que c'est du consommable.

Pas contre, aucun souci de crevaison, pas de problème d'éclairage, de recharge du téléphone. Le moyeu dynamo et le phare sont validés : ça va me permettre de m'alléger en batteries.

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Et nous avons bouclé un 300km le 1er mars sans "finir mal". C'est de bon augure 

Egareg a écrit:

pascalb a écrit:

Apres des pneus en fin de vie, maintenant la roue libre. Décidément Egareg mène son matériel au bout du bon usage. Espérons lui un changement de toutes les pièces d’usure d’ici PBP!

C'est comme ça qu'on apprend ! Et c'est l'un des intérêts des BRM qualificatifs : éprouver le matériel avant le jour J.

La chaîne avait été changée en septembre, mais peut-être mal rivetée (même si elle a tenu environ 1000km). Elle ne semble pas encore trop allongée. Je vais la garder en secours.

La cassette vient de l'ancienne roue arrière, que je viens de remplacer. J'aurais dû en profiter pour prendre une cassette neuve également sachant que c'est du consommable.

Pas contre, aucun souci de crevaison, pas de problème d'éclairage, de recharge du téléphone. Le moyeu dynamo et le phare sont validés : ça va me permettre de m'alléger en batteries.

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Les anciens préconisaient : nouvelle RL, nouvelle chaine.
Au delà de quelques milliers de km , on remplace la chaine.Du coup, j'ai acquis l'outillage ad hoc pour mesure l'allongement.
L'an passé sur le MDS, un anglais a dû se détourner du parcours pour remplacer sa chaine. Le vélociste lui a mis un 8V sur une  RL 9V!

C'est ce que je compte faire : nouvelle cassette, nouvelle chaîne.
J'ai l'outil pour mesurer l'allongement de la chaîne et Stéphane a pris la mesure après le 300 : la chaîne est encore utilisable. Mais je ne la mettrai pas sur une cassette neuve.

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Petit compte-rendu illustré de cette balade autour du Cotentin. 



Ne pouvant être disponible pour la date officielle du 23 mars, Popiette m'a proposé de l'accompagner sur sa sortie de reconnaissance du BRM 300 "Cap ou pas Cap". 

Nous ferons quelques entorses au parcours final, mais le total arrive à 311 km et c'est le jeu du repérage. 



Nous partirons en effet de chez Popiette pour rallier directement Cherbourg. En partant à 5h, nous passerons donc avec un peu d'avance par rapport aux participants qui partiront de Montebourg : en sortant de Cherbourg, nous avons une quinzaine de kilomètres au compteur au lieu de 75. Comme en plus le soleil se lèvera plus tôt et se couchera plus tard, les paysages seront sûrement plus visibles. 



Dès le début, les ennuis commencent : je m'arrête en plein élan dans une courte montée en regardant un serpent argenté s'allonger sur le bitume... Ma chaîne veut faire la grève ! Elle a 1000 km seulement et un maillon rapide fourni par Popiette nous autorise à repartir. Faire une pause de 8 minutes au bout de 10 minutes de pédalage, ce n'est pas très rentable pour la moyenne ! 
La chaîne me laissera tranquille pendant le reste de la balade, à part un tic-tic à chaque tour de chaîne, mais le vent dans le nez, on n'entend rien. 


Le vent, justement, nous rappelle sa présence lorsqu'on aborde la piste cyclable qui longe la rade de Cherbourg : sur le plat, il se fait présent. Mais lorsque l'on aborde les premières montées après Urville-Nacqueville, on retrouve un peu d'abri. On passera sans s'arrêter au niveau du point de vue de Landemer : de nuit, on voit moins loin. Mais de jour, ça vaut vraiment le coup d'œil. 



Photo prise le lendemain matin à Landemer : 






Cette route des caps que l'on va suivre assez longtemps, je l'avais déjà testée à vélo entre la Hague et Urville. Cette fois-ci, je l'emprunte dans l'autre sens : les montées où j'avais peiné se changent en descentes rapides, mais les descentes deviennent symétriquement des montées... C'est loin d'être plat ! 

On descend vers Omonville et on remonte à Port Racine pour redescendre gentiment vers Goury et le phare qui nous fait face. 

Des pêcheurs s'activent déjà sur la cale alors que le ciel est encore noir. 





Le soleil ne commencera à blanchir le ciel que lorsqu'on atteindra les treize-vents, nous laissant ainsi profiter du panorama qui s'étend à nos pieds avec la longue plage de Vauville. 

On plonge ensuite dans le vallon en alternant coup d'œil sur le paysage, coup d'œil sur la route en gardant les mains sur les freins. La route s'écarte de la mer et commence à monter dans une ambiance de presque montagne : un ruisseau qui court au milieu de prés délimités par des murets en pierres sèches. 

Comme dans toutes les montées, Popiette caracole en tête sur son mono-vitesse. Il aura la patience de m'attendre à chaque fois et ici, il a trouvé un prétexte naturaliste : photographier une salamandre et la remettre en sécurité à côté de la route. La pause permet de terminer la rude montée. 





8h30, nous nous arrêtons à Vasteville pour un chocolat chaud et remplissage des bidons... Je ne devais pas être encore suffisamment réveillé puisque j'ai oublié un bidon et m'en suis aperçu lorsqu'on était déjà trop loin pour faire demi-tour. 

Après cette pause, nous redescendons vers la côte : Siouville, Diélette, Flamanville. Et nous piquons quasiment plein sud vers le second pointage : le phare de Carteret, qui se mérite également : une belle rue en pente permet de sortir du bourg. Popiette est donc déjà arrivé quand je pose mon vélo le long du muret. 

Jolie vue sur la plage de Carteret en repartant du phare. 



On profite de faire un petit détour pour commencer le teasing du BRM 600 avec la Mère Denis. 




Passé Portbail, on enchaîne une vingtaine de kilomètres sur la D650. C'est probablement la partie la moins agréable du parcours car c'est assez monotone... 
Heureusement, nous arrivons à Gouville où Popiette plante les freins dès que son regard exercé a repéré le marché avec le grilleur de saucisses. D'autant plus qu'il est 12h30 et nous commençons à déguster nos sandwiches chauds pendant que la file des habitués s'allonge. 

Popiette changera-t-il prochainement de monture ? 

Une fois rassasiés, nous reprenons la route, toujours cap au sud vers la pointe d'Agon, notre troisième pointage. 



La mer est basse et on pourrait presque traverser à pied, mais cela ne nous servirait pas à grand'chose puisqu'à partir d'Agon, nous piquons tout droit à travers les terres vers Monthuchon et Carentan. 




Nous nous arrêterons d'ailleurs dans un café qui fait l'angle de la route à Monthuchon, quasiment le point culminant du parcours. 
La descente est rafraîchissante, mais la route est très agréable. 
En arrivant près des marais, nous rencontrerons 2 cigognes : arrêt photo obligatoire ! 

Ensuite, la route continue vers Carentan et Popiette choisit d'explorer une variante pour mieux profiter du centre ville : nous passerons donc pas l'écluse de la Barquette. Avant cela, nous nous accordons encore une autre pause ravitaillement : du salé à emporter dans nos sacoches et du sucré pour tout de suite, accompagné de deux grands chocolats chauds. C'est la même boulangerie que lors de notre dodécaudax de janvier ; j'y avais apprécié le Paris-Brest, cette fois-ci c'est Popiette qui s'y colle. 


L'écluse de la Barquette, juste après Carentan. 




De là, la route est vraiment plate et vide. Aucun relief, on se sent presque perdu au milieu de nulle part. 
Mais la cale du Grand Vey se découvre enfin dans un virage de la route. Nous n'avons pas les yeux assez perçants pour repérer les phoques qui peuplent cette baie. 

Nous restons toujours sur le plat en longeant la plage (Utah Beach, Quinéville, Morsalines, Quettehou, Barfleur). Le soir tombe peu à peu et j'allume mon phare avant d'arriver au port de Barfleur. 

Toutes les lumières sont allumées lorsqu'on arrive. 






Il nous reste ensuite notre dernier pointage avant de rentrer faire dodo : le phare de Gatteville. 

Mais ce n'est pas le plus dur. Le plus pénible pour moi auront été ces montées dans les derniers 25 kilomètres : Fermanville et la toute dernière pour arriver jusqu'à la maison de Popiette. Et puis le vent, qui, à partir de Gatteville, n'était plus du tout un allié. 

Heureusement, nous faisons une dernière pause dans un café. 



Au final, nous avons enchaîné 311 km en quasiment 17h (16h54 pour être précis). J'ai clairement ralenti Popiette qui finissait toutes les montées devant moi. Merci à lui d'avoir été aussi patient. 



Une bonne nuit de sommeil, une grasse mat' même et je suis reparti pour une balade vers la Hague chez mon cousin avec plus de vent, mais plus de soleil aussi. 



Maintenant que les 200 et 300 sont faits, quand est-ce qu'on fait le 400 ? 

Merci pour le petit reportage Egareg. Je vais t'embaucher pour les autres "brevets"

Sinon, j'ai modifié les traces GPS et la feuille de route.
Changement feuille de route :
* On passe par les "Treize Vents" depuis Herqueville mais la descente depuis la "Rue de Beaumont" se fait par la route venant de Beaumont et non pas les "Pierres Pouquelées". Comme présagé, cette route est trop dangereuse en descente
* Dans Vauville, on passe par la route à mi-hauteur entre la Lande et la Mare.
* On prends la route venant du bourg pour monter au "Cap de Carteret" et on descend par la "corniche".
* Pour revenir de la "Pointe d'Agon" vers "La rue d'Agon", on prends une route plus facile à trouver
* On traverse Carentan pour aller chercher des commerces


Il y a deux traces GPS disponibles.
* Celle qui reprend la feuille de route (et un raccourci de 200m à Siouville-Hague)
* Celle avec deux variantes chemin/gravel sur 200m pour aller voir le lavoir de la Mère-Denis et passer sur l'écluse de la Barquette (haut lieu des marais et aussi du D-Day).

Le site web est à jour et il est toujours ici.
Ce matin, 87 inscrits sur les 99 places (ce qui est beaucoup pour venir au jusqu'au bout de notre presqu'île)