Qui a roulé aujourd'hui 5

Bonjour à tous,
Sortie normale voire standardisée de milieu de semaine.
Départ vers 17H.
60 km seul. Partie ou je varie les exercices une semaine ce sera au train, une autre ce sera des séries en cote...
Puis 50 km sur circuit, en groupe question de "travailler" les réflexes peloton.
Bref pas vraiment du tourisme.

Bonne route à tous.

Parti tard aujourd'hui mardi (vers 15 h 40) pour une petite sortie à dénivelé toujours avec le pignon fixe. Météo correcte - de 9 à 4,5 degrés - avec des résidus de vent : somme toute le paradis comparé à hier (pluie et vent terrible).
J'ai refait le même parcours que mercredi dernier, et toujours de manière énergique (c'est l'avantage d'une sortie de moins de deux heures).
RAS, tout baigne, sauf que depuis trois jours j'ai mal à la gorge avec un peu de toux grasse, mais apparement sans conséquence sur la forme... Je vais faire comme d'habitude et traiter ces symptômes par le mépris
39 km avec 594 m de dénivelé à 20,18 km/h de moyenne.

Sortie mercredi en pignon fixe en direction de la Haute-Loire. Prévu un aller/retour à Bas-en-Basset, pas encore fait cet année, via Tence : menu déjà copieux, notamment car après Tence ça monte sec. Je pense passer par la plaine et Firminy à l'aller et revenir en grimpant sur les hauteurs.
Arrivé quasiment au point le plus haut (km 34) je passe devant une route très raide qui grimpe sur trois kilomètres jusqu'à Melataverne puis continue jusqu'au point le plus haut, le vieux village de Rozier-Côte-d'Aurec : je connais la route, mais exclusivement à la descente, car c'était dans ce sens un parcours apprécié par un pote... Et je me disais alors qu'à la montée cela devait faire mal, même avec mon développement en 34/28...
Naturellement je n'avais jamais osé emprunter celle-ci les quelques fois où j'étais passé en fixie, déjà heureux d'avoir réussi à passer le long raidar après Aurec.
Et là, subitement l'idée à priori un peu débile me vient de tenter le coup, au moins jusqu'au premier village... Et j'ai bien failli coincer, le vélo presque à l'arrêt, arquebouté debout sur les pédales, dans un large virage sous le village, certainement bien au-delà du 8 % ! Il va sans dire que je n'ai jamais passé un truc comme ça en fixie  
Le village, rue très pentue, et visiblement cela continue...
Un chauffeur descend de son camion, je lui demande comment est la pente plus loin, tout en sachant pertinemment que sa réponse probable ne me servira que de prétexte pour continuer : effectivement, pour lui cela devient pas trop difficile, passé les premiers 500 m que l'on aperçoit de profil...
Haha, facile pour un camion : près de  7 % le plus souvent, parfois sans doute un peu plus, et rarement moins de 6, avec près du sommet de nouveau du vent dans la tronche. Bref, presque un chemin de croix   Mais bon, j'ai atteint le village.
Ensuite, quelques kilomètres vallonnés puis la grande descente que je passe en montée de temps en temps en fixie, et de nouveau le Pertuiset et le pont sur la Loire. Dans la descente je décide que grimper ça suffit et que je vais reprendre la route de la plaine (en plat montant toutefois).
Et naturellement comme un taré au dernier moment j'enquille  le premier raidar à gauche qui sera suivi par quelques kilomètres de montée régulière. Plus loin je choisi encore une petite route à dénivelé pour échapper à la facilité  
75 km avec 1 134 m de dénivelé à 20,27 km/h de moyenne.


L'Eglise de Rozier, début XIIème siècle.

C'est bien de ne pas avoir abandonné   Mais attention de ne point trop en faire en fixe quand même 

Nico a écrit:

C'est bien de ne pas avoir abandonné   Mais attention de ne point trop en faire en fixe quand même 

Pourquoi ? C'est un excellent entraînement il me semble... Quel serait d'après toi les inconvénients ?

Oui c'est très bon comme entrainement, mais lorsque l'on pousse trop, à trop forcer on peut se créer des problèmes tendineux et ou des déchirures musculaire.
C'est cela que je veux dire.

Bon, après je dis ça, mais je suis du genre à bien aller aux limites aussi 

Nico a écrit:

Oui c'est très bon comme entrainement, mais lorsque l'on pousse trop, à trop forcer on peut se créer des problèmes tendineux et ou des déchirures musculaire.
C'est cela que je veux dire.

Bon, après je dis ça, mais je suis du genre à bien aller aux limites aussi 

D'accord, je te suis, mais cela fait quant même plus de trente ans que je pratique intensément des sports d'endurance et de glisse, et je me blesse plutôt moins souvent au fur et à mesure du temps
Actuellement je prend beaucoup de plaisir avec ce type de vélo basique, et si j'essaie de progresser, c'est que je sens que je suis loin de mes limites et surtout cela reste modeste : la relative facilité offerte les vélos modernes ne devrait pas faire oublier ce que nos ancêtres arrivaient déjà à faire avec les bécanes des années 1920/1930, des étapes de 600 km sur le Tour de France à Pâques en Provence de Vélocio...

sccber a écrit:

Nico a écrit:

Oui c'est très bon comme entrainement, mais lorsque l'on pousse trop, à trop forcer on peut se créer des problèmes tendineux et ou des déchirures musculaire.
C'est cela que je veux dire.

Bon, après je dis ça, mais je suis du genre à bien aller aux limites aussi 

D'accord, je te suis, mais cela fait quant même plus de trente ans que je pratique intensément des sports d'endurance et de glisse, et je me blesse plutôt moins souvent au fur et à mesure du temps
Actuellement je prend beaucoup de plaisir avec ce type de vélo basique, et si j'essaie de progresser, c'est que je sens que je suis loin de mes limites et surtout cela reste modeste : la relative facilité offerte les vélos modernes ne devrait pas faire oublier ce que nos ancêtres arrivaient déjà à faire avec les bécanes des années 1920/1930, des étapes de 600 km sur le Tour de France à Pâques en Provence de Vélocio...

Oué mes tes ancêtres ne faisaient plus de vélo à 70 ans   Y z'étaient morts 

Sortie du jour en pignon fixe un peu loupée : je suis parti avec l'intention de faire environ 75 km sur mon parcours vallonée fétiche, où bien sûr il y a deux coup de cul, mais pas trop long, et où je peux tourner les jambes sans trop de difficultés.
Après une vingtaine de kilomètres, à la sortie de Saint-Galmier j'ai crevé de la roue avant : j'ai tout de suite pensé que j'allais galérer car par soucis d'économie j'ai installé il a quelques mois un pneu tubeless à mi-vie, que je n'arrivai plus à faire claquer (je n'avais pas encore acheté un compresseur) avec naturellement une chambre à air. Déjà un pneu tubeless tient beaucoup plus fortement à la roue et j'ai passé un peu de temps à réussir à sortir la chambre. Ensuite j'ai installé non sans mal une de mes deux chambres de réserve. Je me suis ensuite aperçu que la valve était trop courte (le cercle est un peu haut avec un profil ovale) et sûrement d'un diamètre un chouïa trop grand : impossible à gonfler
Je ne m'énerve pas, je redémonte tout (toujours aussi difficile), j'installe l'autre chambre, je remonte : j'oubliais c'est tellement difficile que j'ai cassé deux démonte-pneu (je sais c'est pas des remonte-pneu ), je gonfle... et ça le fait pas vraiment, j'ai pincé. Que faire ?
Deux gars passent, je leur demande où je peux trouver un vélociste (pour acheter un pneu) et ils me répondent que le plus proche est à 10 km (il y en a deux, je suis passé devant). Mais l'un d'eux me propose de m'en prêter un, mais dit-il il est un peu large avec des dessins. J'imagine un vieux pneu usagé de biclou, mais baste à la guerre comme à la guerre cela fera l'affaire. Il m'indique le chemin pour le rejoindre chez lui, 500 m en pente raide... Heureusement que j'ai des cales intégrées. J'arrive à la maison, mon sympathique sauveur m'emmène dans son atelier. Le pneu est neuf, et surprise c'est un pneu Michelin de cyclo-cross pour terrain boueux en 30 de large...
Troisième démontage du pneu, vérification que le pneu passe la fourche, remontage, gonflage... Je met la roue en place, et... le garde-boue bloque le pneu... Démontage du garde-boue - heureusement l'atelier a tous les outils possibles - mais le boulon restant touche toujours. Ensuite, celui-ci enlevé c'est la vis restée sur la pièce spéciale prise dans l'axe du frein qui gène... Démontage du frein, remontage définitif de la roue, coinçage du garde-boue dans le sac de guidon... je réitère mes remerciements au gars - qui du coup à oublié un rendez-vous - et je rentre chez moi...sauf que je m'aperçois que maintenant c'est le sac de guidon qui frotte
Bon, je suis rentré en appuyant d'une main mon sac vers le haut : je me suis même payé le luxe malgré tout de doubler en montée un jeune cycliste (il m'a redoublé dans la descente et ensuite il a forcé comme un malade pour pas que je le reprenne sur le plat montant)
Demain mécanique pour remettre le vélo en service, puis préparation de ma sortie de ski samedi (on remet Val Thorens comme destination).
43 km avec 395 m de dénivelé à 21,07 km/h de moyenne.

Premier 200 de l'année hier, avec le club pour un repérage/validation du BRM prévu le 22 avril prochain.
Je suis arrivé à vélo et en retard de 5min... et les copains étaient partis !
Donc, grâce au tracé GPS chargé dans mon téléphone j'ai pu les rattraper avant la sortie de l'agglo et avant surtout qu'ils ne roulent vraiment.
En retard, je le suis aussi dans ma reprise, du coup j'étais un peu court et en retard j'étais encore en haut des bosses !
Mais bon, celui-là est validé et pas trop mal ce matin, donc il me faut continuer et surtout manger de la bosse !

@ sccber

Alors c'est que tu te connais bien et c'est du tout bon 

Nico a écrit:

@ sccber

Alors c'est que tu te connais bien et c'est du tout bon 

Oui, n'empêche que tu as raison, apprendre à se connaître est la condition sine qua none, car pour ne pas se blesser il ne suffit pas de chercher à imiter quelqu'un d'autre, et cela sans tenir compte des niveaux respectifs. Ne pas se dire, il le fait je peux le faire car je suis plus jeune ou plus rapide (ou impossible, il ne réussit pas donc moi non plus qui suis plus vieux ou plus lent)  :  les physiologistes le savent, il n'y a pas de corrélation entre le niveau de performance et la solidité du sportif (en bref on peut être de haut niveau et fragile ou l'inverse, avec toutes les positions intermédiaires possibles).
Pour les coureurs à pieds, essayez de pratiquer à l'entraînement les fractionnés tels que le faisait Émile Zatopek : blessure ou sur-entraînement rapide, lui seul résistait à ce travail de bourrin (exemple là d'un sportif de haut niveau hyper costaud)...

La météo très océanique du début de semaine avait contrarié mon programme habituel.
Ce matin, le temps est encore couvert mais annoncé sans pluie. J'ai préparé mes affaires hier soir avec la préméditation de m'envoyer au moins 150km aujourd'hui, 200 si affinités.
Pas de parcours préparé. Je m'éloigne de 100 bornes de la maison. Après quoi, je rentre.
       Je choisis de partir en direction de l'Eure, car le relief sera moins exigeant pour un 1er 200 de l'année.
       A part 2 arrêts-pipi et un arrêt bistrot pour boire un orangina et faire le plein en eau, j'ai bien roulé le reste du temps. 202,2km en 7h19, moy. 27,6 grâce à un modeste 1540m D+.
      Place au BRM200 de Flins le 19/03.

J'ai passé une belle journée en montagne ( Cézallier)mais j'ai mal aux pattes, 126km et 2422 m de dénivelé

Montgreleix: ça me rappelle des "pseudo-souvenirs".
J'aurais du y passer lors du 1200 du Massif Central de juillet dernier...
Malheureusement, j'ai abandonné avant...

Pour moi aujourd'hui: 1ère sortie en court.
Quel plaisir de se débarrasser de collant long, gants d'hiver, couvre-chaussure...
Vive le printemps.

Au compteur: 104 km et 1295 m de D+ seulement. N'est pas Cézallier qui veut !

Comme tu dis André V, j'étais aussi heureux de me débarrasser de tout l'équipement d'hiver (sauf le maillot de corps à manche longue).

Je t'envie veloblan, tu as un cadre magnifique pour rouler et faire des photos.

Je me réveille à 14h00 (travailleur de nuit oblige) et la un superbe soleil me tend les bras avec 19°. Ooohhhh! Alors la, je me fais pas prier.
Je m'équipe vite fait et hop! Je suis partie.

Magnifique temps avec un léger vent, mais agréable. Cette sortie en revanche sera du brut en prenant toutes les bosses possible que je peux mettre sur le parcours, ainsi que la montée à la sortie de Mennecy. 42km à 30,4 km/h de moyenne.

Juste le temps de faire une petite photo vite fait, mais mon portable n'étant vraiment pas bon pour la photo , je suis au regret de ne pas vous la présenter cette fois.

Comme vous, j'en ai profité ce jour, 20° une première j'ai enfilé le cuissard court, ca fait du bien 
Ma balade d'hier 
http://urlz.fr/4WIy

Très joli CR 

Nico a écrit:

Très joli CR 

Merci Nico 

aujourd'hui, le club avait rendez vous pour une rando au sud de l'agglo orléanaise : le traditionnel rallye des bourgeons ; je suis parti de la maison à 5h, fait un tour de 64 km avant de rejoindre le point de départ, choisi le grand parcours de 105 km puis retour à la maison pur un total 182 km dans la matinée...
bon tonus avec une moyenne de 27km/h

veloblan a écrit:

Comme vous, j'en ai profité ce jour, 20° une première j'ai enfilé le cuissard court, ca fait du bien 
Ma balade d'hier 
http://urlz.fr/4WIy

          Il faudra vraiment qu'un jour je trouve l'occasion pour que tu me fasses découvrir ce coin que je ne connais que vers le Sancy et le Puy-de-Dôme. Je descends souvent dans la Loire. Donc c'est sur ma route.

bubu14 a écrit:

veloblan a écrit:

Comme vous, j'en ai profité ce jour, 20° une première j'ai enfilé le cuissard court, ca fait du bien 
Ma balade d'hier 
http://urlz.fr/4WIy

          Il faudra vraiment qu'un jour je trouve l'occasion pour que tu me fasses découvrir ce coin que je ne connais que vers le Sancy et le Puy-de-Dôme. Je descends souvent dans la Loire. Donc c'est sur ma route.

Ce sera avec plaisir 

Sortie du jour en pignon fixe : j'ai fait le circuit vallonné que j'avais shunté jeudi à la suite de ma crevaison. Cela m'a permis d'ailleurs de rendre le pneu de cyclo-cross prêté en dépannage (hormis le fait que j'avais été obligé de démonter mon garde-boue et soutenir mon sac de guidon il était plutôt confortable ).
Je suis parti avec encore quelques douleurs aux jambes, car samedi j'ai skié au soleil avec cinq potes de mon club à Val Thorens : beaucoup de hors-pistes dans la poudreuses et malgré - ou à cause ? - de mon gros travail antérieur de dénivelé avec le fixie j'ai connu quelques douleurs musculaires à enquiller du dénivelé et même parfois à remonter    :  ainsi, à un moment avec un autre copain, à vouloir tirer toujours plus loin pour trouver le spot pas encore tracé on a décidé sagement de revenir un peu en arrière - au prix de devoir remonter en escalier dans la neige sans fond à 3 000 m d'altitude, ce qui n'est pas de l'activité de feignant - car le passage sous la sortie restait caché (et donc pouvait se révéler piègeux)... Celà fait partie du jeu, la pente sur neige non dammée ça se mérite, mais quel bonheur que le ski tel qu'on l'a pratiqué ce jour là !
Aujourd'hui donc, température douce (15 à 17 degrés), soleil voilé mais pas mal de vent. J'ai pas mal forcé avec là aussi des moments où les jambes faisaient mal... Et à cause du vent j'ai mis, contrairement à d'habitude, moins de temps dans la seconde partie que dans la première.
76 km avec 592 m de dénivelé à 23,78 km/h de moyenne : je suis assez content de cette moyenne

Mardi, nouvelle sortie fixie, sur un parcours fait un seule fois déjà avec ce vélo (et une fois dans l'autre sens), bien qu'effectué régulièrement jadis avec des vélos 2X10 ou 2X8 vitesses.
Températures de 17 à 12 degrés, le vent a légèrement forçi, et pour la première fois les oiseaux chantent pour annoncer le printemps (enfin j'imagine ).
Parcours pas trop facile en pignon fixe (les muscles font mal) mais tout va bien.
Je devrai me reposer demain et jeudi tenter la 49ème étape de mon Dodécaudax continu (je n'ai pas encore décidé où j'irai, ni la longueur, mais ce sera de toute façon en fixie).
78 km avec 1 012 m de dénivelé à 21,08 km/h.

Hier jeudi 49ème étape de mon Dodécaudax continu.
N'ayant pas vraiment prévu d'itinéraire ni quoi que soit d'autre que d'utiliser mon vélo à pignon fixe, je suis parti tranquillement un peu après 11 h pour profiter au maximum du soleil (23 degrés atteints vers 14/15 h mais déjà 7/8 degrés la dernière heure, les nuits restant froides et les petits matins frigorifiants). Le vent ne s'est manifesté en mode mineur que sur le haut vers la fin.
J'ai donc choisi en premier le même aller-retour que le mois dernier : d'abord 38 km vallonnés - avec un gros coup de cul au 10ème et 200 m de dénivelé seulement sur l'aller, un peu plus sur le retour - puis une longue montée irrégulière se terminant par trois kilomètres bien pentus au village de Montrottier dans le Rhône. Retour à la maison pour manger un peu, boire un café, refaire un bidon et prendre un éclairage avant.
Et tranquillement, c'est une façon de parler, puisque mes 124,8 km avec 1134 m de dénivelé ont été parcourus à la moyenne de 22,46 km/h.
Ensuite j'ai innové et j'ai décidé de partir pour une vraie boucle plutôt à dénivelé : monter à Chambles et le château d'Essalois par les collines (petites routes, avec en prime un petit aller-retour supplémentaire pour ré-escalader une belle descente), puis revenir la nuit tombante par le barrage de Grangent.
Je met deux photos (made in Wikipédia, hihi),



et une prise avec mon téléphone, c'est mon côté cyclotouriste.

Ensuite descente à La Fouillouse où je rajoute aller-retour la montée de Saint-Héand et un peu au delà (2 fois dix kilomètres). Je termine par les 9 km vallonnés jusqu'à chez moi.
Deuxième boucle, 76 km à 19,87 km/h (mais avec 1 194 m de dénivelé et les descentes de nuit).
Au total un peu plus de 200 km et 2 328 m de dénivelé à 21,4 km/h de moyenne (9 h 21 mn roulées), temps total environ 10 h (j'ai fini à 21 h 13) car mon chrono a buggé.