St Méen le 29 Mai 2010

Bonjour à tous,
je me suis présenté ici, puisque je suis nouveau sur ce forum!
J'étais donc à ce BRM de "Sainmain", et c'était dur!
Ma préparation était plus que limite, avec un seul brevet de 150 en mars et quelques 130/140 en solo en avril. Depuis je me suis surtout remis au vtt, sans oublier des sorties avec le club de Chartres de Bretagne quand je suis libre. Et j'ai aussi eu la bonne idée d'attraper un virus la semaine dernière qui me fait cracher tout vert...
Bref, je me retrouve à 17h15 aux inscriptions, prêt à en découdre avec moi même. Je ne connais personne, je vois un vélo avec un autocollant velovert -> copain! J'échange quelques mots avec ce jeunot de Cherbourg en études à Lorient, il a tout juste 23 ans! Il me dit qu'il roulera cool avec ceux de Montauban, et qu'ils ont fait un 25 de moyenne au dernier brevet, très bien pour moi, surtout si ca force pas dans les côtes!

Je m'installe gentiment dans un groupe qui semble rouler à mon allure, je fais connaissance avec un heureux possesseur d'un Kona Kapu, qui me connait via Internet. Sa boite m'intéresse, j'en prends note même si je n'ai pas réussi à me souvenir du nom...

Et c'est déjà Malestroit! Je vais dans le centre pour pointer vite fait et régler ma sacoche qui cache mon phare. Je n'ai monté la fixation que dans l'après midi, après un problème dans la semaine avec la fixation Ortlieb (mors de câble explosé...).
Je repars dans un tout petit groupe en faisant connaissance d'un Islandais, bien connu ici apparemment! Un regroupement se fait au fil des kilomètres, la nuit tombe ainsi que la pluie.

A Guéméné on trouve un bistrot aviné, bien suffisant pour faire tamponner. Ils nous offrent de l'eau fraîche embouteillée, pas de surprise au moins! En repartant la nuit est noire et les lumières deviennent indispensables. Malgré celles ci, une personne (avec un grand Bianchi replica Liquigas), signale un haricot mais se prends le suivant en le confondant avec un marquage au sol... J'étais juste derrière lui et sa chute ne présageait rien de bon... Le corps a tapé avant de retomber de l'autre côté sur la tête. Le voisin a porté secours et on s'est rendu compte qu'on avait même pas le numéro de l'orga avec nous... Après quelques minutes il semble aller bien, il repart comme si de rien n'était, je lui demande souvent si ça va, apparemment oui sinon quelques égratignures. Il arrivera au final avant midi je pense!

Le terrain se fait de plus en plus valloné avec même un col après Gourin! A Chateauneuf il est 3h, tout est fermé, on poste une carte mais la pause n'est pas bien longue quand même.
Le froid s'est installé, lié à l'humidité et au vent dans les descentes. Le groupe est très silencieux dans la nuit, tout le monde est concentré et semble attendre la douceur de l'aube, où les montées seront plus faciles, le temps clément et le zef dans le dos. En attendant, c'est les monts d'arrées, avec ses belles montées dans lesquelles je me sens pousser des ailes en suivant les premiers du groupe! Je sens que je le paierais, mais je continue ce que j'ai commencé, tester mes limites! Je comptais tenir jusqu'à Chateauneuf pour le vent, si c'est Loudéac tant mieux! Mais je suis prévenu, cette portion est redoutée par tous, je ne sais pas quoi exactement à quoi m'attendre mais je sens que je vais passer un mauvais moment!

On commence à sentir les bonnes odeurs de pain à cuire, et arrivé à Hoelgoat nous frappons au salon de thé de la place, et quel accueil! Tampon, robinet, et caisse des viennoiseries de la veille! On reste un bon moment, je me lâche un peu avec un pain au choc, un mini pain aux raisins et une brioche suisse...

On repart et là je sens que ça ne va plus. J'ai trop mangé et le coeur ne suit plus. Dans le moindre faux plat je m'arrache en danseuse, heureusement que ca ne roule plus bien vite! Je tiens avec la promesse d'un petit dèj avec un double expresso, pour me requinquer et repartir avec un petit groupe plus tranquille.
Mais nous allons bien trop vite et il est encore bien avant 7h lorsque nous passons à Carhaix. J'attends fébrilement Corlay à 7h10, rien d'ouvert! Dans l'espoir j'ai du omettre de bien boire et manger, et on attaque la partie la plus difficile. Je suis le groupe tant bien que mal.

Après Uzel, je passe le petit plateau et laisse filer le groupe dans une montée que je trouve très difficile. Je suis scotché à 8/9 km/h, je me dis que je ne suis pas arrivé à ce train avec les 100km qui restent! Je m'assoie un peu dans l'herbe, j'ai du mal à comprendre ce qu'il m'arrive. J'ai ignoré tous les signaux que mon corps a pu faire, en me disant que je pédalerais avec la tête sans oublier de manger et boire, et que je suis jeune et en bonne santé. Il semblerait que cela ne fonctionne qu'un moment! Je me suis posé dans l'herbe pour "réfléchir" un peu, mais je n'ai ressenti qu'un manque de sommeil et des courbatures. Je demanderais bien un avis médical à mon docteur mais il va me prendre pour un cinglé Je suis reparti, aussi lentement qu'avant cette pause existentielle...

Jusqu'à Loudéac c'est difficile, je double une autre personne mal en point, mais elle a une excuse : plus du double de mon âge! Je me sens pas terrible, mais je sais que le bel arrêt n'est pas loin, encore un effort!
Il est déjà 8h30 à Loudéac, je retrouve l'Islandais et tout un tas de têtes connues. Le petit jeune est déjà reparti avec son groupe, je me suis pris facile 30mn en 30km! Enfin je m'en fiche, je sais que c'est déjà gagné, j'ai très largement le temps de rentrer dans les délais... Après quelques cafés, coca, collations et autre carreaux de chocolat, je repars requinqué avec mes deux nouveaux alliés de Pipriac, l'un cuit comme moi et l'autre notre locomotive. Le temps passe vite même si chaque faux plat se fait "tranquillement". L'arrivée sur Saint Vran n'est d'ailleurs pas un cadeau, mais quel réconfort d'avoir trouvé des camarades pour boire un coup! On reste encore un bon quart d'heure et on repart vers midi.

Mon vélo sent l'écurie et s'enflamme à 45 le vent dans le dos... Je me fais rappeler à l'ordre et nous terminons calmement sur la plaque! On arrive entre midi et demi et une heure, le sentiment de la tâche achevée!
Mon GPS indique plus de 4000m de D+, ouch!

Je regrette un peu d'être parti comme une balle, la convivialité trainant souvent plus vers la fin que le début. Cela reste tout de même une bonne expérience, qui est passée très vite avec la nuit. Je crois que je vais signer pour le prochain 600...
Cela me fait un bon entrainement pour un 24h vtt solo que je fais dans 2 semaines, je suis loin d'être surentrainé!

happy birthday PHIL35

Oups, pour moi ce 400 restera finalement une "bonne" expérience.

Dès le départ je n'avais pas de force, j'avais du laisser mes jambes à la maison...
Je laisse partir le groupe au bout de 6 km et quand je dis je laisse partir le groupe, c'est bien parce que je ne pouvais pas suivre...
Tout seul pendant plusieurs km, puis je ratrappe (difficilement) un participant. Puis un autre de Chartres de Bretagne (André Brenelliere), il va rester avec moi jusqu'au matin, mais bon D... qu'il roule fort. J'ai beau lui dire qu'il va trop vite et trop fort (comme dans la chanson du meunier) rien n'y fait.
Et quand je dis qu'il va rouler avec moi, oui mais 20 ou 30 m devant, cela ne protège pas vraiment du vent.
Après, je rejoins un autre ami Diagonaliste, Daniel Ménager, grand baroudeur, il prépare des 24h roller... Il fait juste les BRM pour s'entraîner à passer une nuit sans dormir (quand je dis que je suis entouré de doux dingues)
Puis, sur le retour, finalement, je vais retrouver Fonzy (et brièvement Phil 35, une vraie flèche). Un arrêt vers Corlay je prends un CAFE (moi qui n'en prend jamais), et après je retrouve enfin mes jambes...
Finalement avec Fonzy, que je remercie de m'avoir attendu au début de la journée, nous arrivons à 14h40, la moitié des participants reste à venir.
Cela m'est déjà arrivé d'être mal pendant une partie d'un brevet, l'expérience et le mental dans ce cas aident énormement. Il faut serrer les dents et attendre que cela passe.
Jean Louis, si tu veux te joindre à notre groupe pour le 600, tu prépares ton carnet de chants et hop ça roule... toujours....

dit moi Roule Toujours, c'est parceque les filles n'étaient pas là que tu chantais moins

phil35

Gaby a écrit:

Bonjour à tous,
je me suis présenté ici, puisque je suis nouveau sur ce forum!
J'étais donc à ce BRM de "Sainmain", et c'était dur!
Ma préparation était plus que limite, avec un seul brevet de 150 en mars et quelques 130/140 en solo en avril. Depuis je me suis surtout remis au vtt, sans oublier des sorties avec le club de Chartres de Bretagne quand je suis libre. Et j'ai aussi eu la bonne idée d'attraper un virus la semaine dernière qui me fait cracher tout vert...
Bref, je me retrouve à 17h15 aux inscriptions, prêt à en découdre avec moi même. Je ne connais personne, je vois un vélo avec un autocollant velovert -> copain! J'échange quelques mots avec ce jeunot de Cherbourg en études à Lorient, il a tout juste 23 ans! Il me dit qu'il roulera cool avec ceux de Montauban, et qu'ils ont fait un 25 de moyenne au dernier brevet, très bien pour moi, surtout si ca force pas dans les côtes!

Je m'installe gentiment dans un groupe qui semble rouler à mon allure, je fais connaissance avec un heureux possesseur d'un Kona Kapu, qui me connait via Internet. Sa boite m'intéresse, j'en prends note même si je n'ai pas réussi à me souvenir du nom...

Et c'est déjà Malestroit! Je vais dans le centre pour pointer vite fait et régler ma sacoche qui cache mon phare. Je n'ai monté la fixation que dans l'après midi, après un problème dans la semaine avec la fixation Ortlieb (mors de câble explosé...).
Je repars dans un tout petit groupe en faisant connaissance d'un Islandais, bien connu ici apparemment! Un regroupement se fait au fil des kilomètres, la nuit tombe ainsi que la pluie.

A Guéméné on trouve un bistrot aviné, bien suffisant pour faire tamponner. Ils nous offrent de l'eau fraîche embouteillée, pas de surprise au moins! En repartant la nuit est noire et les lumières deviennent indispensables. Malgré celles ci, une personne (avec un grand Bianchi replica Liquigas), signale un haricot mais se prends le suivant en le confondant avec un marquage au sol... J'étais juste derrière lui et sa chute ne présageait rien de bon... Le corps a tapé avant de retomber de l'autre côté sur la tête. Le voisin a porté secours et on s'est rendu compte qu'on avait même pas le numéro de l'orga avec nous... Après quelques minutes il semble aller bien, il repart comme si de rien n'était, je lui demande souvent si ça va, apparemment oui sinon quelques égratignures. Il arrivera au final avant midi je pense!

Le terrain se fait de plus en plus valloné avec même un col après Gourin! A Chateauneuf il est 3h, tout est fermé, on poste une carte mais la pause n'est pas bien longue quand même.
Le froid s'est installé, lié à l'humidité et au vent dans les descentes. Le groupe est très silencieux dans la nuit, tout le monde est concentré et semble attendre la douceur de l'aube, où les montées seront plus faciles, le temps clément et le zef dans le dos. En attendant, c'est les monts d'arrées, avec ses belles montées dans lesquelles je me sens pousser des ailes en suivant les premiers du groupe! Je sens que je le paierais, mais je continue ce que j'ai commencé, tester mes limites! Je comptais tenir jusqu'à Chateauneuf pour le vent, si c'est Loudéac tant mieux! Mais je suis prévenu, cette portion est redoutée par tous, je ne sais pas quoi exactement à quoi m'attendre mais je sens que je vais passer un mauvais moment!

On commence à sentir les bonnes odeurs de pain à cuire, et arrivé à Hoelgoat nous frappons au salon de thé de la place, et quel accueil! Tampon, robinet, et caisse des viennoiseries de la veille! On reste un bon moment, je me lâche un peu avec un pain au choc, un mini pain aux raisins et une brioche suisse...

On repart et là je sens que ça ne va plus. J'ai trop mangé et le coeur ne suit plus. Dans le moindre faux plat je m'arrache en danseuse, heureusement que ca ne roule plus bien vite! Je tiens avec la promesse d'un petit dèj avec un double expresso, pour me requinquer et repartir avec un petit groupe plus tranquille.
Mais nous allons bien trop vite et il est encore bien avant 7h lorsque nous passons à Carhaix. J'attends fébrilement Corlay à 7h10, rien d'ouvert! Dans l'espoir j'ai du omettre de bien boire et manger, et on attaque la partie la plus difficile. Je suis le groupe tant bien que mal.

Après Uzel, je passe le petit plateau et laisse filer le groupe dans une montée que je trouve très difficile. Je suis scotché à 8/9 km/h, je me dis que je ne suis pas arrivé à ce train avec les 100km qui restent! Je m'assoie un peu dans l'herbe, j'ai du mal à comprendre ce qu'il m'arrive. J'ai ignoré tous les signaux que mon corps a pu faire, en me disant que je pédalerais avec la tête sans oublier de manger et boire, et que je suis jeune et en bonne santé. Il semblerait que cela ne fonctionne qu'un moment! Je me suis posé dans l'herbe pour "réfléchir" un peu, mais je n'ai ressenti qu'un manque de sommeil et des courbatures. Je demanderais bien un avis médical à mon docteur mais il va me prendre pour un cinglé Je suis reparti, aussi lentement qu'avant cette pause existentielle...

Jusqu'à Loudéac c'est difficile, je double une autre personne mal en point, mais elle a une excuse : plus du double de mon âge! Je me sens pas terrible, mais je sais que le bel arrêt n'est pas loin, encore un effort!
Il est déjà 8h30 à Loudéac, je retrouve l'Islandais et tout un tas de têtes connues. Le petit jeune est déjà reparti avec son groupe, je me suis pris facile 30mn en 30km! Enfin je m'en fiche, je sais que c'est déjà gagné, j'ai très largement le temps de rentrer dans les délais... Après quelques cafés, coca, collations et autre carreaux de chocolat, je repars requinqué avec mes deux nouveaux alliés de Pipriac, l'un cuit comme moi et l'autre notre locomotive. Le temps passe vite même si chaque faux plat se fait "tranquillement". L'arrivée sur Saint Vran n'est d'ailleurs pas un cadeau, mais quel réconfort d'avoir trouvé des camarades pour boire un coup! On reste encore un bon quart d'heure et on repart vers midi.

Mon vélo sent l'écurie et s'enflamme à 45 le vent dans le dos... Je me fais rappeler à l'ordre et nous terminons calmement sur la plaque! On arrive entre midi et demi et une heure, le sentiment de la tâche achevée!
Mon GPS indique plus de 4000m de D+, ouch!

Je regrette un peu d'être parti comme une balle, la convivialité trainant souvent plus vers la fin que le début. Cela reste tout de même une bonne expérience, qui est passée très vite avec la nuit. Je crois que je vais signer pour le prochain 600...
Cela me fait un bon entrainement pour un 24h vtt solo que je fais dans 2 semaines, je suis loin d'être surentrainé!

ah ah, il me plaît bien, Gaby

Gaby a écrit:

Je m'installe gentiment dans un groupe qui semble rouler à mon allure, je fais connaissance avec un heureux possesseur d'un Kona Kapu, qui me connait via Internet.

J'ai trouvé le vélo dont tu parles Gaby !



Je t'ai envoyé un MP pour mes coordonnées.

Merci pour ce CR complet !
Franck

fonzy a écrit:

J'ai trouvé le vélo dont tu parles Gaby !

Je t'ai envoyé un MP pour mes coordonnées.

Merci pour ce CR complet !
Franck

Héhé il me dit quelque chose ce vélo Ils sont quand même bien cousins tous les deux! C'est celui là que j'avais vu pas cher (il est dans un sale état sur les photos par contre, j'avais pas vu ).
Merci pour le mp, j'avais trouvé un moyen mémotechnique lié à une bière mais cela n'a pas marché!

Gaby a écrit:

il est dans un sale état sur les photos par contre

Oui, a ce prix là j'en veux pas vu l'état. Le mien a 15 jours et était encore tout propre et vierge de pluie avant ce 400. C'est aussi parce qu'il n'est pas encore habitué à moi ( ou l'inverse ) que j'ai eu mal aux deux genoux au km 150. Faut que je règle ça avant le 600 ( Rennes Nogent Rennes ) dans 2 semaines. Tu le fais pas vu que tu roules 24 heures dans la boue n'est ce pas ?

fonzy a écrit:

Gaby a écrit:

il est dans un sale état sur les photos par contre

Oui, a ce prix là j'en veux pas vu l'état. Le mien a 15 jours et était encore tout propre et vierge de pluie avant ce 400. C'est aussi parce qu'il n'est pas encore habitué à moi ( ou l'inverse ) que j'ai eu mal aux deux genoux au km 150. Faut que je règle ça avant le 600 ( Rennes Nogent Rennes ) dans 2 semaines. Tu le fais pas vu que tu roules 24 heures dans la boue n'est ce pas ?

Mais non il fera beau sur Limoges! Enfin faut espérer.
Pour le 600 j'hésite entre Brest et Challans fin juin, mais j'ai une préférence pour le premier!

Popiette, il le " veau " bien

jean-louis a écrit:

Gaby, puisqu'on en est dans le avis de recherche,
le petit jeune de Lorient dont tu parles dans ton récit,
ne serait-ce pas Popiette, qui avait annoncé sur le forum furtivement sa participation ?
(J'apparais, je disparais....)

C'était le jeune en short style VTT

laguepe a écrit:

C'était le jeune en short style VTT

Oui! Il faisait une petite sieste dans le canapé quand je suis arrivé

salut gaby bien remis moi c'est chado un des deux gars de pipriac celui qui était cuit

chado a écrit:

salut gaby bien remis moi c'est chado un des deux gars de pipriac celui qui était cuit

tiens salut! J'ai essayé de faire un peu d'intensité au Boel ce soir, dur dur...
Et toi, la patate?

Il s'avère que j'e pense avoir roulé avec POPIETTE le WE précédent le 400 lors de la randonnée VAL DE SAIRE organisée par le RCC ( CHERBOURG)..

Assez efficace dans les bosses que l'on parcourt sur le bord ouest de la pointe du COTENTIN, le gars. Ce qui me fait penser qu'il utilise cet pseudo, c'est l'indication du maillot qu'il portait ce jour là.

Gaby a écrit:

chado a écrit:

salut gaby bien remis moi c'est chado un des deux gars de pipriac celui qui était cuit

tiens salut! J'ai essayé de faire un peu d'intensité au Boel ce soir, dur dur...
Et toi, la patate?

Je ramène la question à moi..... je suis plutôt dans une phase de récup des kg perdus

je cite mon CR "Nous sommes Phil35 et moi avec Fonzy, un membre du club de l'imprimerie Billon St Malo habitué des longues distances, et un gars très sympa qui après le 200 et le 300 voulait tester une nuit sur le vélo. Nous repartons ensemble."

Décidément le monde est petit

figurez-vous que ce midi au self, je vois un gars à la caisse deux places devant moi, et je me dis "c'est pas possible" et si, je vais le voir : "excuse-moi tu fais pas des randonnées longues distances ?"

- si, (il me regarde) le 400 de ST MEEN

c'est fou il m'avait juste dit qu'il se partageait entre Rennes et la région parisienne et on se retrouve, j'en suis sur le c (y'a pas de smiley pour ça)

laguepe a écrit:

figurez-vous que ce midi au self, je vois un gars à la caisse deux places devant moi, et je me dis "c'est pas possible" et si, je vais le voir : "excuse-moi tu fais pas des randonnées longues distances ?"
- si, (il me regarde) le 400 de ST MEEN
:

Et il avait toujours la frite ?

la pêche, la patate, la banane

des photos avec un peu de retard...



"les grands" Jean Louis et Laguepe


phil35

d'autres photos:



Jean Louis, Laguepe et Roule Toujours



phil35

c'est parti...











un petit souvenir "Louison"

phil35

Je ne savais pas que Louison participait aussi aux BRM...

laguepe a écrit:

jean-louis a écrit:

Gaby, puisqu'on en est dans le avis de recherche,
le petit jeune de Lorient dont tu parles dans ton récit,
ne serait-ce pas Popiette, qui avait annoncé sur le forum furtivement sa participation ?
(J'apparais, je disparais....)

C'était le jeune en short style VTT

Et hop, il réapparait. Pour la sieste, il faudra m'excuser, j'en avais un coup derrière les oreilles.

Première nuit dehors, bonne expérience. Cela a été utile pour faire le Luchon-Bayonne avec un copain.

Je réapparais brièvement, car maintenant c'est VTT jusque novembre, petit pause jusque décembre moment où il faudra penser sérieusement à mettre le bleu de chauffe pour PBP.

Bon été
Stéphane