qui qu'a roulé aujourd'hui . 3

Oui la nuit a été très fraîche mais j'avais ce qu'il fallait en vêtements ( l'expérience , ça compte ... )
Tu dis que tu es parti avec 2 grands bidons : c'est de l'alimentation liquide ? Où trouves-tu tes mini-yop ? L'alimentation sur ces BRM  me pose toujours des problèmes , je mange beaucoup et mon sac de guidon est plein de nourriture , du consistant (sandwiches , salades de pâtes , bananes ...). Je n'arrive pas à rouler léger. Si tu as des conseils , je suis preneur... Merci

sccber a écrit:

...
J'ai donc appliqué ma méthode est je me suis retrouvé presque aux avant-postes (il y avait certainement un groupe de cadors très devant puisque les premiers arrivés ont dû tourner dans les 15 h, ce qui est plutôt pas mal sur un brevet ... mais qui comptait plus de 3 000 m de dénivelé ...).

... le repos fait parti de l'entraînement ...
405 km en 17 h 45 mn roulés (22,83 km/h de moyenne) et 20 h 05 au cardio environ.

Bonjour à tous.
Tout à fait d'accord sur le repos fait partie de l'entrainement...
Et merci pour la "définition" d'un Cador

Bonne route à tous.

Les mini-yop en pack : on les trouve partout. Je prend par commodité - proximité d'un Carrefour city - l'équivalent dans la marque du distributeur.
Mes bidons : mélange 2/3 eau + sucres (6 au Max) + 1/3 jus de pomme-cassis bio (fabrication de priximité) = mélange de types de glucose, bon marché et qui va tout aussi bien que les produits de l'effort que j'ai utilisé pendant mes années marathon, et dont j'aime bien le goût. Il m'arrive aussi d'accepter un coca (c'est bien évidemment une boisson à réserver aux jours de travail musculaire conséquent). J'en connais qui préfèrent la bière, mais les spécialistes du sport sont unanimes pour trouver ce choix contestable sur le plan diététique.
L'alimentation : beaucoup mangent trop ! 15 à 30 g de sucre (solide ou liquide) par heure de vélo en endurance permettent l'oxydation des lipides corporels (dont nous avons une réserve suffisante même si l'on est " maigre "). Le reste, vitamines, sels minéraux, protéines ne font pas de mal (sandwichs jambon, fromage, fruits secs et oléagineux (bananes, abricots, figues, dattes, etc., amandes, noisettes,...). Certains aiment bien la purée de marron...
Moi j'emporte des petits morceaux de nougat, ce week-end j'ai dû en croquer deux ou trois (ils sont vraiment petits)... Ça et un petit sandwich et demi (jambon beurre), une tartelette citron vers la fin (et non pas vers la faim, c'était que de la gourmandise), mes deux bidons initiaux et presque un troisième (eau plus une dose dite boisson de l'effort, 4 yop sur les 6 embarqués, et pis c'est tout (je n'ai jamais connu d'hypoglycémie, ni de baisse de régime). Je crois vraiment que c'est la peur plus que la nécessité qui pousse à manger beaucoup.
Après l'arrivée, il faut se ré-hydrater au maximum, dans les deux heures on peut abuser des produits sucrés (fenêtre métabolique qui favorise la récupération rapide du glycogène musculaire et hépatique). Les protéines aussi, mais dans l'idéal ne pas se jeter tout de suite sur la charcuterie... qui amène pas mal de toxines alors qu'on devrait plutôt se débarrasser des métabolites dues à l'effort (une boisson type Saint-Yorre est idéale, ou du lait écrémé si on le digère bien). Comme disait déjà Vélocio, boire avant d'avoir soif, manger de petites quantités à la fois régulièrement. Dans l'idéal l'arrêt restaurant ou pizzéria n'est pas le plus approprié pour l'effort et pour la digestion. Ce qui m'amuse c'est le comportement de ceux qui gardent leur rythme habituel (petit déjeuner, déjeuner et dîner) lorsqu'ils passent des journées à rouler. Après ils s'étonnent aussi d'avoir sommeil à l'heure où d'habitude ils sont au lit   (là je ne prétend pas avoir fait une analyse scientifique de la chose, mais qui sait ?).

Merci sccber pour tous ces conseils.

Nous ne sommes pas égaux sur le plan de l'alimentation au sens large (boisson + bouffe).

Pour ma part et pour avoir rouler une bonne partie avec Alain, j'ai du au moins vider 10 bidons de 750ml... Bon je ne sais pas si c'est normal mais c'est comme ça . Sur les 2 bidons présents sur le vélo, 1 est à l'eau claire, et 1 fois sur 2 le deuxième contient des produits "énergétiques" sucrés.

Concernant la nourriture, j'ai avalé 7 sandwich blanc de dinde/camembert (1 sandwich = 1 tranche de pain de mie Harrys coupée en 2), 1 gourde de crème de marrons et 1 barre de pâte d'amande... J'ai du boire 2 grands cafés et ai profité de la boulangerie de Saint Jean de Laosne pour m'acheter un suisse (c'est un gâteau ), 2 pains au chocolat et un friand aux saucisses...

Voilà, après Alain l'ascète, il y a aussi cricri le goinfre... Mais sincèrement moi j'avais aussi l'impression d'avoir besoin de tout ça . Après, il ne faut pas se demander non plus pourquoi avec Alain nous avons une telle différence de poids... et de masse grasse

Je me sens moins seule grasse grâce à toi Cricri Sur le 400, j'avais 6 sandwich petit pain brioché / st Morêt / Jambon + des barres isostar + 4 bananes + quelques pâtes de fruits + pipettes de gel énergétiques + mes bidons... Bah, je n'ai ramené que quelques barres et gels... Le soucis c'est qu'au départ la sacoche est bien lourde...

La difficulté avec la fatigue, le froid, le stress est de distinguer le besoin physiologique du besoin de réconfort

J'avais pris 1.7kg sur PBP 2011

Et puis on a été bien éduqué: "Faut finir ton assiette, pas de gâchis!". Alors on rentre la sacoche vide.

Mike29 a écrit:

La difficulté avec la fatigue, le froid, le stress est de distinguer le besoin physiologique du besoin de réconfort
J'avais pris 1.7kg sur PBP 2011

Personnellement, si je m'écoutais je ne consommerais rien...
Or, au bout d'un moment -> spasmes, nausées et impossible d'avaler quoique ce soit -> le cercle vicieux se referme
Donc je me force à consommer un minimum, régulièrement...

En fait le truc que j'aime le plus / qui passe le mieux c'est la soupe !
Mais se balader avec de la soupe chaude s'est pas facile...

Les bidons isothermes sont efficaces pendant 5h maxi. Au-delà ça refroidit vite.

Et puis le souci c'est que le bidon est assez rigide. Une fois vide, boire de l'eau avec est peu pratique.

Dommage car la soupe est effectivement très pratique et efficace.

Roland a écrit:

Mike29 a écrit:

La difficulté avec la fatigue, le froid, le stress est de distinguer le besoin physiologique du besoin de réconfort
J'avais pris 1.7kg sur PBP 2011

Personnellement, si je m'écoutais je ne consommerais rien...
Or, au bout d'un moment -> spasmes, nausées et impossible d'avaler quoique ce soit -> le cercle vicieux se referme
Donc je me force à consommer un minimum, régulièrement...

En fait le truc que j'aime le plus / qui passe le mieux c'est la soupe !
Mais se balader avec de la soupe chaude s'est pas facile...

Bonjour à tous;
@Roland : j'ai ta solution, un Thermos d'eau chaude.
Tu y mets de l'eau bouillante  pas la soupe !ça tient suffisamment chaud pour plus de 12H (@Mike29 : 5H c'est de la très mauvaise qualité) pour peu que la bouteille soit de bonne qualité, attention au système de fermeture source de perte de chaleur, il faut pouvoir avoir l'eau sans dévisser le bouchon... Et ta soupe tu la concoctes au fur et à mesure.
Une fois vide tu le fais remplir dans un bar & chauffage à la vapeur du perco.

Pour remplir dans un bar j'ai jamais essayé mais les 12H d'eau chaude résultat garanti après de nombreux tests.
Et ça marche aussi pour les plats lyophilisés !

Bonne route à tous

Paddy a écrit:

Bonjour à tous;
@Roland : j'ai ta solution, un Thermos d'eau chaude.
Tu y mets de l'eau bouillante  pas la soupe !ça tient suffisamment chaud pour plus de 12H (@Mike29 : 5H c'est de la très mauvaise qualité) pour peu que la bouteille soit de bonne qualité, attention au système de fermeture source de perte de chaleur, il faut pouvoir avoir l'eau sans dévisser le bouchon... Et ta soupe tu la concoctes au fur et à mesure.
Une fois vide tu le fais remplir dans un bar & chauffage à la vapeur du perco.

Pour remplir dans un bar j'ai jamais essayé mais les 12H d'eau chaude résultat garanti après de nombreux tests.
Et ça marche aussi pour les plats lyophilisés !

Bonne route à tous

Sur le 300 de Cergy lors du premier contrôle alors que je faisais un arrêt boulangerie j'ai vu une participante avec un café qui sortait de la thermos.
Et elle faisait effectivement le plein d'eau chaude dans les bars

Roland a écrit:

Personnellement, si je m'écoutais je ne consommerais rien...
Or, au bout d'un moment -> spasmes, nausées et impossible d'avaler quoique ce soit -> le cercle vicieux se referme
Donc je me force à consommer un minimum, régulièrement...

tiens ça me rappelle quelqu'un..
Au moins , tu as trouvé la solution .
par temps froid , je n'ai pas ce problème mais des que la température monte, j'y ai droit
même en me goinfrant et en m'hydratant préventivement comme tu sembles le faire
j'en ai deja parlé a la rubrique santé  sans solution efficace .
j'ai maintenant de l’appréhension et me limite dans la durée (et donc de la distance) .

Merci Paddy pour la solution de la Thermos d'eau bouillante. Je pratique déjà l'hiver lorsque je pars en ascensions en raquettes.
Mais je ne l'ai jamais fait à vélo...

Quant il fait chaud, un truc qui passe bien chez moi ce sont les glaces (Magnum).
Souvent je me suis arrêté dans une petite supérette pour en acheter un boîte de quatre.
Soit je mange les quatre , soit je me contente de trois et offre le quatrième à un enfant qui passe (à condition qu'il y ait les parents avec, qu'il n'y ait pas d'histoires...)

Durant LEL, où j'avais eu un méga-problème d'estomac, j'avais apprécié le lait frais qu'ils nous proposaient aux contrôles.

Sinon c'est la soupe de vermicelles le top
(facile à avaler, ça réhydrate et apporte des sucres lents)

BRM 400 : Aix-en-Provence

Le 01 mai, 16h30, je pars (en voiture cette fois) pour être au départ du « Brevet de Randonneur Mondial » de 400 km à faire en temps limité, étape 3 sur 4 pour la qualification au PBP 2015.

17h15, inscription, collation et discussion avec les cyclos avec qui je roule depuis plusieurs brevets maintenant.

18h00, nous sommes 35 sur ce départ (un second départ a lieu le lendemain à 5h00) que j’ai choisi par rapport à mon heure probable de départ sur PBP (16h00) afin de commencer la randonnée par une nuit. Les routes sont belles et bien connues. J’ai un « bon de sortie » après La-Fare-les-Oliviers afin de prendre un peu d’avance pour voir ma femme  et mes enfants qui doivent être vers les Baïsses (hameau de ma commune). Personne aux Baïsses… ils doivent être à St-Chamas, quelques km plus loin, lieu que nous avions évoqué l’après-midi.

La pluie devient un peu plus forte… il reste 370 km….

Saint-Chamas et son magnifique pont Romain…. Personne…. La pluie a dû les retenir sur le canapé…. Je pense donc les revoir le lendemain en fin de matinée…

Nous traversons Miramas, le groupe est quasi au complet, la cadence me convient bien, et je ne ressens aucune gêne à mon tendon d’Achille récemment tendineux.

A la sortie d’Entressein, je guide le groupe afin de tourner sur une petite route parallèle à la nationale dangereuse sous cette pluie, quand soudain, je vois quelqu’un courir vers nous… C’est ma femme qui a juste eu le temps de se garer, suivi des enfants et d’amis. En effet, depuis le départ, elle me suivait sur son téléphone via une application qui permet de me « tracer ». Je profite de cet instant, rapide mais fort en émotion, mais dois vite repartir afin de ne pas rouler tout seul sous la pluie de nuit. Un petit « chrono » de 3 km afin de rejoindre le groupe me fait monter le cardio, les jambes sont là, et le tendon tient… A suivre.

Peu avant Arles, il ne pleut plus et la route est sèche, tant mieux pour la suite. A la sortie d’Arles, Thomas (d’Aix), avec qui je commence à avoir pas mal de brevet, prend les choses en main, il roule fort le bougre sur les grands bout de droit, le groupe explose, et au contrôle de Bellegarde, nous sommes une quinzaine de cyclo à pointer (contrôle organisé par le club d’Aix avec collation + café). La nuit tombe, nous repartons à 10. Dès la première bosse avant Uzès, nous ne sommes plus que 6 (Thomas qui a la grande forme, le couple multi-PBP d’Aubenas (I&F) que je commence à bien connaitre, un jeune d’Aix qui a commencé le vélo cette année et un autre jeune de Brest….)

Une crevaison plus tard (le néo-cycliste) nous sommes déjà à Alès ou nous pointons dans une pizzeria et après la rapide explication du brevet, la patronne nous lance : « Mais pourquoi vous faites cela ? ».

Ensuite, nous re-doublons un cyclo de Vendée (un ruban Blanc – « André V ») et nous allons passer une bonne partie de la nuit à doubler puis se refaire doubler lors d’un arrêt. Il roule vite et surtout ne s’arrête jamais…. Bagnol sur Cèze, ou nous rechargeons les bidons au milieu de la nuit, avant d’être rejoint par le couple I&F qui quelques km plus tôt avait abordé une cote de façon plus calme que nous…. Sous la conduite de Thomas….

Nous roulons à 6 presque jusqu’à St-Paul-3-Chateaux ou peu avant, notre néo-cyclo montre des signes de faiblesse… nous sommes à 242 km à plus de 30 km/h de moyenne roulée, avec de la pluie et la route détrempée….

Le pointage n°3 ce fait vers 2h50 par le biais d’un DAB permettant de justifier notre lieu et heure de passage… Thomas répond machinalement à l’automate qu’il ne veut pas de justificatif… la blague … aller, mon gars retire encore 10€, avec justificatif cette fois…. Après ce pointage, nous repartons à nouveau à 6, mais pas pour bien longtemps, notre cyclo en difficulté lâche définitivement prise peu avant Vaison-la-Romaine, il va surement rouler plus à sa main et peut-être s’accrocher à un groupe plus calme.

Dans la succession de petites bosses, les jambes deviennent lourde, je paye mon arrêt de 15 jours pour cause de tendinite… d’ailleurs, je « sens » mon tendon sans pour autant avoir mal.

Malaucène, pointage par le vasistas d’une boulangerie encore fermée, mais le boulanger veut bien nous vendre des viennoiseries tout juste sortie du four…. Je ne suis pas bien, je ne peux rien avaler, j’ai mal aux jambes, j’ai froid…..

Je repars avec mes compagnons de route, mais suis convaincu de finir les 80 derniers km seul…. Je m’accroche, au mental, en attendant le levé du jour dans cette fin de nuit glaciale et brumeuse.

Nouvelle crevaison, de Thomas cette fois, qui me permet de récupérer et de m’alimenter un peu. Les km jusqu’à Cadenet et le dernier pointage sont long, heureusement, le soleil est là, ça fait du bien au corps et à la tête.

Cadenet, dans la boulangerie, j’ai du mal à tenir debout, très mal aux jambes, les 30 derniers km vont être dur…

Après une pause café-vienoiseries de 10 minutes, nous repartons, je mène le groupe sans grande conviction pour les prochaines bosses. Mais non, les jambes sont là, je me sens à nouveau bien. Ce qui me conforte dans mon idée « ça revient toujours, il faut juste être patient dans la souffrance ».

Les 20 derniers km sont un vrai régal, je sprinte en haut des bosses, me surprend à mener de bons relais bien appuyés…

Finalement, nous arrivons tous les 5 à 9h10 (2 heures avant mes prévisions et 10 min après notre cyclo Vendéen) à une moyenne roulante de 29,5 km/h.

Etape 3 sur 4 validée, reste le BRM 600 les 23/24 mai pour valider définitivement mon inscription à PBP 2015.

Merci à mes compagnons de route.
Merci à François et son équipe, pour l’organisateur de ce beau brevet

J-2 avant le RPE.... un gros chantier...

Cyssousport a écrit:

...
Ce qui me conforte dans mon idée « ça revient toujours, il faut juste être patient dans la souffrance ».

Sympa ton compte rendu

J'ai vécu quelque chose de semblable le week end dernier où j'ai meme dû m'arrêter dormir un coup en laissant partir notre bon petit groupe...
(Le sommeil étant sûrement dû au manque de repos avec le boulot, parfois de nuit, juste avant ce BRM)
Incapable de manger, boire et ... voir les virages

Par contre, une fois remis, je m'éclatais comme un gosse dans les bosses et meme à essayer de faire la course avec les voiturettes sans permis.

Il faut gérer les moments difficiles pour attendre le retour de la forme.
Je me suis dis que ça faisait aussi partie de l'entraînement pour le PBP où on risque de vivre ce genre de choses et pas qu'une fois

Après deux jours de repos je suis parti un peu avant treize heure pour une sortie courte - j'ai rendez-vous au dentiste tout à l'heure - et je me décide pour une vraie séance d'endurance de force (rappel : puissance égale force par vitesse de pédalage : ici il ne s'agit que de travailler la force musculaire).
Donc direction un col, quinze minutes d'échauffement peinard, puis deux fois vingt minutes en choisissant un développement que je peux tenir à 50 trs/mn en forçant suffisamment (donc en jouant du dérailleur en fonction de la pente). Il faut rester sur la selle en permanence et ne pas tirer sur le guidon, le but est de renforcer les jambes. Il faut également travailler en milieu de zone au seuil (je serai à environ une FC de 150). Attention ce n'est pas monter vite, car en roulant de ma manière habituelle aux alentours de 70 trs/mn et en relançant régulièrement en danseuse j'irai plus vite en me faisant moins mal aux muscles. Entre les deux blocks j'ai ralenti et usé un peu de la moulinette. La fin de la deuxième répétition ça pique un peu et je dois me faire violence pour ne pas me mettre en danseuse. À mis parcours le vent devient très violent, mais ça ne change rien, j'adapte simplement mon développement.
Après je fini ma séance en continuant jusqu'au col en moulinant : terminer ainsi est recommandé après une séance de force. Retour, cette fois-ci j'appuie normalement - donc plutôt fort - avec des passages de relance en danseuse et des passages pratiquement sans pédaler - au-delà de 55 km/h.
41 km, 700 m de dénivelé à 21,87 km/h de moyenne (donc rien d'exceptionnel pour moi, mais gros travail musculaire quant même, avec une bonne trentaine de minutes à 85/88 % de ma FC Max.

Bonjour à tous;
deuxième sortie après le 400 du WE passé...
Et une pensée pour ceux qui vont participer au 400 de Pontivy...
Ya du vent! Et pas qu'un peu ! Vont en baver le cyvlos!

Bonne route à tous.

Mais non ,faites moi confiance 

Comme Paddy, deuxième sortie après mon 400 (et avant mon 600 ce week-end) : la météo prédisait de la pluie possible à partir de 17 h. Comme je n'aime pas vraiment me lever tôt sans nécessité - je suis un noctambule indécrottable - je ne suis parti malgré tout qu'à 14 h en me disant que la pluie n'arrête pas le pélerin, etc.
Premier col (de la République) je décide un autre exercice après mon travail de force d'hier : grimper en danseuse dès le début du col (c'est là que la pente est la plus forte) et tenir jusqu'à une aire de chaînage qui est aussi l'entrée dans le Parc Naturel Régional du Pilat... soit presque quatre kilomètres et un quart d'heure sans remettre le cul sur la selle : pas si facile, essayez vous verrez ! But de l'exercice, pouvoir tenir les relances en danseuse en étant le plus économe possible.
Après j'ai roulé normalement, mais de façon légèrement tonique. Au col je suis redescendu de l'autre côté (au sud), je suis remonté immédiatement par la même route sur trois kilomètres et demi et j'ai pris à droite une route tranquille d'une douzaine de kilomètres menant au col de la Croix de Chaubouret. J'étais à environ 1 300 m de dénivelé et le temps commençait à laisser prévoir de la pluie. Mais comme je me sentais bien, j'ai décidé d'aller sur deux autres cols, le Grateau et l'Oeillon, 24 km aller/retour et assez peu de dénivelé car partant des environs de 1 200 m le Grateau est à la même altitude et la route se contente de monter et descendre plusieurs fois, puis arrivé au Grateau l'Oeillon se trouve 40 m plus haut et 500 m plus loin (les chasseurs de cols sont contents).
Retour de même (ça monte et ça descend jusqu'à Chaubouret), puis descente en pédalant fort, y compris en ville où je suis monté sur un boulevard en léger plat montant à 43 km/h (ça doit être mon record sur le mulet).
89 km et 1 869 m de D+ à 21,13 km/h de moyenne.
Ah oui, la pluie s'est mise à tomber cinq minutes après mon arrivée à la maison

Petite sortie ce matin avant la pluie et le repas de famille

89Km en un peu plus de 3h avec un copain du club

Histoire de tourner un peu les jambes avant le 400 de Fleury les Aubray, chez Sev'

sccber a écrit:

Ah oui, la pluie s'est mise à tomber cinq minutes après mon arrivée à la maison

si (ce qui me surprendrait), physiquement t'est pas encore "top prêt"
côté météo c'est bon

papou a écrit:

sccber a écrit:

Ah oui, la pluie s'est mise à tomber cinq minutes après mon arrivée à la maison

si (ce qui me surprendrait), physiquement t'est pas encore "top prêt"
côté météo c'est bon

On va dire que je commence à me sentir en super-forme, sauf naturellement ma gonarthrose qui ne peut pas s'améliorer (et dont l'aggravation est inévitable, quoique un chirurgien orthopédiste m'ai dit il y a peu qu'il ne fallait pas m'arrêter parce que j'avais trouvé une sorte d'équilibre).
Pour la météo j'ai connu sur mon avant-dernier 400 plus d'une dizaine d'heures de pluie continue, alors je me sens prêt à un nouveau PBP façon 2007...
Et le pour le 600 de Grenoble de demain la météo s'améliore : ce n'est même pas sûr que je parte avec une veste thermique même si du côté de St Bonnet le Froid (la bien nommée) le vent du nord risque de mordre

sccber a écrit:

Citation :

Et le pour le 600 de Grenoble de demain la météo s'améliore :

t'es sûr  

Bonjour à tous;
Sortie club ce matin...
Cool dans un sens, le 400 n'est pas très loin et le 600 pas si loin donc on y va calme. 130 km à 30 de moyenne.
Roulé avec un de nos petits camarades doubleur de BRM ... qui avait du mal à récupérer  des 2X400, ce qui ne m'incite vraiment pas à faire plus qu'un "minimum" de BRM.

Bonne route à tous.