Suivi des participants...

André V a écrit:

AU TOTAL au compteur:
617+628 = 1245 km (1235 en ôtant les 10 km hors piste)
21h13 + 26h50 = 48h03 sur le vélo
5843+5888 = 11731 m de D+ (Altimètre barométrique)


Une chose dont personne ne se plaint mais qui m'a beaucoup gêné et m'a paru dangereuse: la puissance des éclairages devient insupportable lorsqu'on croise des files continues de cyclos sur de petites routes en mauvais état et sans lignes blanches. Je crois qu'il faudra un jour (ou plutôt une nuit !) mettre une limite à cette puissance ou imposer un mode "feu de croisement".

bonjour,
voici mes relevés au GPS (pas d'erreur de parcours ni détour)
1235 km (semble cohérent avec andré v avec qui j'ai roulé à l'aller...)
D+10520 m (je crois que le GPS minore un peu lors de successions de petites cotes)
+1 avec andre V pour les PHARES éblouissants quand on se croise, pour ma part entre Carhaix et loudeac en 2eme nuit c'était insupportable, mon groupe devait quasiment s'arreter, on ne voyait plus les bords des routes, tres étroites et sans bandes blanches...
pas le bon endroit pour se croiser...
faut-il mettre en place un contrôle technique avant l'epreuve pour limitation d'éclairage !...à défaut de bon sens des utilisateurs...
ou bien parcours retour séparé du parcours aller...jusqu'à ...tintégniac...?
meme les voitures doivent etre aveuglés par ces phares !
quel serait l'avis d'un motard de la gendarmerie ?...

bon 1000 du sud pour ceux qui y vont, je fais l'impasse cette année...

" les PHARES éblouissants quand on se croise"


une chance il ne pleuvait pas, parce qu'avec la pluie c'est 10 fois plus handicapant ...comme en 2007

Gilbert a écrit:

ccber a écrit:

À roue de vélo : arriver bien délabré ce n'est pas se détruire, c'est aller près de ses limites - par définition pas au delà - et c'est même souvent devenir plus fort par sur-compensation (c'est le principe de l'entraînement).

Sauf que le PBP n'est pas a proprement parlé un entrainement, c'est l'aboutissement d'un entrainement BIEN mené. Je suis d'accord sur le phénomène de sur-compensation que tu évoques mais je serai chagriné que certains pensent qu'il faille finir chaque séance d'entraînement en étant délabré pour pouvoir progresser. On doit de mon point de vue ressentir plutôt un certain bien être à la fin d'une séance d'entraînement bien menée (même difficile) il est clair qu'un entraînement quel qu'il soit qui se termine sur les rotules est un entrainement de trop . Mais j'imagine qu'on ne met pas le curseur au même endroit concernant l'expression "arriver bien délabré", il me semble au contraire que quand on en est là c'est qu'on a dépassé les bornes profitables à la progression.
Concernant le footing de récupération ou décrassage du lendemain de compétition que tu remets en cause je serai curieux d'avoir une explication plus rationnelle que le qualificatif de mythe.
Amicalement, Gilbert.

Les douleurs musculaires après une épreuve d'envergure ne viennent pas de l'accumulation d'acide lactique comme on l'a dit très souvent, mais de micro-déchirures du muscle. On comprend bien que continuer à tirer dessus n'est pas la meilleure façon de réparer la musculature. Il en est de même des étirements post effort de plus en plus remis en cause. Certes après un décrassage on pourra avoir l'impression d'un mieux, mais celui-ci est dû à la chaleur et ne correspond pas à une suppression des micro-déchirures. C'est pourquoi le repos est la meilleure médecine. Bien sûr on peut pondérer si les douleurs sont très faibles voire inexistantes : mais pourquoi vouloir s'imposer un travail musculaire supplémentaire ?
L'entraînement est basé sur le stress - pas celui des journaleux qui écrivent à longueur d'année sur le stress maladie du siècle, etc. Je parle de celui des physiologistes, auquel le corps répond en augmentant sa force. S'entraîner s'est forcer son corps à répondre toujours plus efficacement à ce qu'on lui fait subir et toute la difficulté est de ne pas dépasser ses facultés d'adaptation (sinon on tombe dans le catastrophique surentraînement). Alors si l'on finit une séance sans fatigue c'est que l'on s'est mal entraîné parce qu'on a pas produit de stress.
En ce qui concerne la surcompensation après une épreuve où l'on a forcé (sur course relativement courte et intense ou une randonnée très longue et exigeante comme l'est le PBP on a fourni un travail important) les spécialistes ont remarqué qu'il arrive fréquemment qu'une deuxième épreuve peu de temps après la première pouvait donner des résultats encore meilleurs, preuve d'une amélioration. Bien sûr ce n'est pas automatique, tant les facteurs sont nombreux et différents, il peut aussi y avoir risque de début de sur-entraînement si l'on a dépassé ses facultés de récupération et de progression.
Personnellement ayant quasiment décidé de participer au 1 000 du Sud - et ne pouvant décaler sa date - j'espère un tel phénomène et je ne remonterai pas sur le vélo avant (ou alors 20 km relax la veille du départ). Si j'ai perdu mon pari je le verrai assez vite je pense... Donc, je ne confond pas un entraînement et un brevet, mais le corps vit les deux de la même façon. Certes la moins bonne façon de progresser - progresser ne veut pas dire obligatoirement aller plus vite, cela veut dire aussi moins souffrir à allure égale - c'est de faire des compétitions tellement rapprochées qu'on ne peut rien faire d'autre... Et quand je dit compétition je pense par exemple aussi bien à une cyclosportive qu'à un BRM rapide (mes BRM sont plutôt lents), mais encore un PBP où l'on essaie de bien faire...
Tout ça écrit dans la foulée, ce n'est pas un article pesé et réfléchis, mais je crois qu'il expose assez justement ma façon de penser.

PBP 2015 validé !  Mon quatrième sur 5 participations.
Nous sommes partis à 6 du club de Royan et 5 à l'arrivée.
L'expérience compte beaucoup.
Sur le retour le passage Mammers- Mortagne à été difficile mais le repos à Mortagne m'a permis de me refaire.
je suis arrivé ss la pluie à 9H30 à St Quentin le dernier délai était 14H

sccber a écrit:

De plus que l'on puisse " participer à une fête " en roulant à l'économie me paraît presque contradictoire tant l'esprit festif dans l'histoire a toujours été lié à l'excès, la catharsis voire la débauche (voire la fête des fous au Moyen-âge, le festival de Rio ou de Venise, etc. ).

Alors là... il fallait oser sccbr !

Si s'arrêter plus que prévu aux stands officiels, non officiels, sur les places de villages traversés, tailler une bavette avec des spectateurs, taper la main des gosses qui n'attendent que cela... c'est risquer la fête orgiaque...

C'était je crois la notion de fête chez rouedevélo...

Bon... c'est vrai, c'est pas terrible pour la moyenne...

Pour les fêtes du moyen âge je n'ai pas connu, le carnaval de Rio... pas encore, mais celui de Venise... oui. Je t'assure que c'est bon enfant... bien plus soft que les carnavals du nord (Dunkerque Binche) où les grands défouloirs de Bayonne et Dax...

De dangereux fêtards ...

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Sinon... bravo pour ton PBP !

sccber a écrit:

Les douleurs musculaires après une épreuve d'envergure ne viennent pas de l'accumulation d'acide lactique comme on l'a dit très souvent, mais de micro-déchirures du muscle.

Oui, tout à fait, les micro lésions, c'est ça qui fait mal, et pas l'acide lactique qui est très peu présent sur de la très longue distance (alors que les douleurs...). Phénomène encore plus marqué en course à pied car efforts eccentriques (étirement des quadris à chaque réception du pied...). En vélo on a moins de séquelles (pouvez en croire ma petite expérience). Sur le repos total en revanche les avis divergent, une activité physique légère (typiquement : sport alternatif comme natation, ou entraînement mais vraiment ballade, l'occasion de faire 50 bornes le dimanche matin avec les cyclos du groupe B qu'on ne voit jamais) permet de faire fonctionner la machine, le sang circule, tout le bonhomme se remet en marche, et on se répare plus vite que sur du "repos total" qui n'est à mon avis intéressant que pendant une journée ou deux, et dans les cas pathologiques type fracture.

A+, et récupérez bien !

ufoot.

J'ai croise hier soir le 22/08 un rescapé au niveau de Jouars pontchartrain...vers 16h30.

Avec un corset !!!!  il était déjà accompagné par un cyclo.....

peu discuter avec le courageux ne voulant pas le limiter dans ces derniers efforts ..

Pas eu le réflexe de releve le N° de la plaque ....

Encore bravo  pour cette preuve de courage pour finir son PBP !

Thierry78 a écrit:

J'ai croise hier soir le 22/08 un rescapé au niveau de Jouars pontchartrain...vers 16h30.

Avec un corset !!!!  il était déjà accompagné par un cyclo.....

peu discuter avec le courageux ne voulant pas le limiter dans ces derniers efforts ..

Pas eu le réflexe de releve le N° de la plaque ....

Encore bravo  pour cette preuve de courage pour finir son PBP !

Bonjour à tous,
je ne suis pas du tout d'accord avec le commentaire final.
La seule chose qu'il y a a gagné dans une telle situation c'est un bon "long séjour" à la maison douleur et encore pas certain qu'il en sorte!

Tout le monde s'en fout (désolé pour le terme) du temps par contre le "comment ça s'est passé" intéresse, alors dire qu'on a fini hors délai ??? mais ça n’existe pas cette notion.
Sauf si j'ai rien compris il y a les "brevetés" et les autres...
Dont ceux qui erraient à la gare de Brest ayant trouvé grille fermée au contrôle (eh oui Paulette tu n'étais pas la seule) au moins ceux là ont eu l'intelligence de jeter l'éponge avant la raclée.

Bonne route à tous.

Portocéan a écrit:

sccber a écrit:

De plus que l'on puisse " participer à une fête " en roulant à l'économie me paraît presque contradictoire tant l'esprit festif dans l'histoire a toujours été lié à l'excès, la catharsis voire la débauche (voire la fête des fous au Moyen-âge, le festival de Rio ou de Venise, etc. ).

Alors là... il fallait oser sccber ! :

Hihi ! Je me suis un peu laissé emporter par le sujet  
Je voulais simplement souligner que l'esprit festif même sur une Rando de type PBP peut parfaitement aller avec les débauches d'énergie de certains : sans aller jusqu'à là en 2011 après Dreux, comme c'était mon premier 1 200 km et que tout allait bien au delà de mes espoirs les plus optimistes, j'ai été porté par une euphorie que je n'ai jamais retrouvé depuis, et que j'ai attaqué à tout va : c'était la fête...
J'ai aussi participé pendant des années en course à pieds au mythique semi Marvejols-Mende, une des premières épreuves ouverte à tous début des années 70 - licenciés ou non, jeunes ou vieux, hommes ou femmes - au grand dam des " culs serrés de la FFA " qui avaient tout fait pour essayer de la casser (exclusion de la fédération des créateurs, etc), et dont le slogan était - et est toujours - " la course d'accord, la fête d'abord " où comment se défoncer sans esprit de sérieux... Donc, je n'ai jamais vu de contradiction entre l'esprit festif et l'esprit sportif, entre participer à la fête du cyclotourisme et avoir envie de faire un temps. Mais bien sûr il est tout aussi légitime de participer au PBP de toutes les manières possibles...
J'avoue que personnellement j'ai dépassé l'âge où il me faudrait être raisonnable, j'ai de petits moyens physiques, de l'arthrose sévère, mais j'essaye d'aller au bout de ce que je suis capable... Le Général disait " la vieillesse est un naufrage ", disons que j'essaie de colmater les brèches et d'aller toutes voiles dehors (ça c'est pour la Bretagne).

ccber a écrit:

Les douleurs musculaires après une épreuve d'envergure ne viennent pas de l'accumulation d'acide lactique comme on l'a dit très souvent, mais de micro-déchirures du muscle. On comprend bien que continuer à tirer dessus n'est pas la meilleure façon de réparer la musculature. Il en est de même des étirements post effort de plus en plus remis en cause. Certes après un décrassage on pourra avoir l'impression d'un mieux, mais celui-ci est dû à la chaleur et ne correspond pas à une suppression des micro-déchirures. C'est pourquoi le repos est la meilleure médecine. Bien sûr on peut pondérer si les douleurs sont très faibles voire inexistantes : mais pourquoi vouloir s'imposer un travail musculaire supplémentaire ?
L'entraînement est basé sur le stress - pas celui des journaleux qui écrivent à longueur d'année sur le stress maladie du siècle, etc. Je parle de celui des physiologistes, auquel le corps répond en augmentant sa force. S'entraîner s'est forcer son corps à répondre toujours plus efficacement à ce qu'on lui fait subir et toute la difficulté est de ne pas dépasser ses facultés d'adaptation (sinon on tombe dans le catastrophique surentraînement). Alors si l'on finit une séance sans fatigue c'est que l'on s'est mal entraîné parce qu'on a pas produit de stress.
En ce qui concerne la surcompensation après une épreuve où l'on a forcé (sur course relativement courte et intense ou une randonnée très longue et exigeante comme l'est le PBP on a fourni un travail important) les spécialistes ont remarqué qu'il arrive fréquemment qu'une deuxième épreuve peu de temps après la première pouvait donner des résultats encore meilleurs, preuve d'une amélioration. Bien sûr ce n'est pas automatique, tant les facteurs sont nombreux et différents, il peut aussi y avoir risque de début de sur-entraînement si l'on a dépassé ses facultés de récupération et de progression.
Personnellement ayant quasiment décidé de participer au 1 000 du Sud - et ne pouvant décaler sa date - j'espère un tel phénomène et je ne remonterai pas sur le vélo avant (ou alors 20 km relax la veille du départ). Si j'ai perdu mon pari je le verrai assez vite je pense... Donc, je ne confond pas un entraînement et un brevet, mais le corps vit les deux de la même façon. Certes la moins bonne façon de progresser - progresser ne veut pas dire obligatoirement aller plus vite, cela veut dire aussi moins souffrir à allure égale - c'est de faire des compétitions tellement rapprochées qu'on ne peut rien faire d'autre... Et quand je dit compétition je pense par exemple aussi bien à une cyclosportive qu'à un BRM rapide (mes BRM sont plutôt lents), mais encore un PBP où l'on essaie de bien faire...
Tout ça écrit dans la foulée, ce n'est pas un article pesé et réfléchis, mais je crois qu'il expose assez justement ma façon de penser.

Merci ccber de tes explications. Gilbert.

Antonin a écrit:

On lit, on lit... mais nous apprécierons une synthèse!

Salut à tous et Antonin

Pour cette synthese , qui s'en occupe ?
si le point n'a pas encore été pris, je veux bien m'en occuper

Pour cela, envoyez moi par mail : jeanpba@free.fr
vos remarques positives ou negatives, les plus consises possibles en essayant de résumer dans le titre:
PBP / Couchage
PBP / Restauration
...

avec votre numero de dossard, nom et prenom + email

je vous mettrai  au courant de la synthese avant de la presenter à l'ACP.
Et en 2019, tout le monde au rendez vous !

Merci de vos contributions
jean-philippe battu

marcd a écrit:

Le passage sur le pont (pour moi parti le lundi matin) a été magnifique!
Soleil, spectacle des bateaux dans la rade...
marc

pour moi aussi , le pont au lever du soleil mardi matin , le pied....

Bravo a tous les participants, a ceux qui ont fini comme a ceux qui n'ont pas fini! J'ai pris connaissance des resultats ce week end, en rentrant de voyage, j'etais un peu loin pour suivre et encourager tous les potes. Felicitations a tous, et j'espere que vous garderez un bon souvenir de cette aventure malgre les moments difficiles!

OOOOOooooh

COUCOU !!

cyclochica a écrit:

Bravo a tous les participants, a ceux qui ont fini comme a ceux qui n'ont pas fini! J'ai pris connaissance des resultats ce week end, en rentrant de voyage, j'etais un peu loin pour suivre et encourager tous les potes. Felicitations a tous, et j'espere que vous garderez un bon souvenir de cette aventure malgre les moments difficiles!

Quel plaisir de lire un nouveau message de ta part!

cyclochica a écrit:

Bravo a tous les participants, a ceux qui ont fini comme a ceux qui n'ont pas fini! J'ai pris connaissance des resultats ce week end, en rentrant de voyage, j'etais un peu loin pour suivre et encourager tous les potes. Felicitations a tous, et j'espere que vous garderez un bon souvenir de cette aventure malgre les moments difficiles!

Bon je garde un bon souvenir de toi 

Bonsoir à tous, Je retrouve ce soir un clavier après des congés et un premier PBP réussi 

Parti à 18h30, j'ai accompagné mes camarades de club Gilbert et Robi.one jusqu'à Carhaix, pour ensuite rouler seul sur le retour. Pour un premier PBP, cela s'est plutôt bien passé. Aucun problème mécanique ou physique majeur, si ce n'est des douleurs du coté des ischions. J'ai utilisé au mieux les services offerts dans les divers points de contrôle et dormi 2H a l'aller à Carhaix, et 3H au retour sur Tinteniac. Je me suis aussi arrêté 3 fois chez les particuliers qui proposaient un ravito. Je le boucle en 77h33.

Mon compte-rendu à lire sur
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/
ou en accès direct par:
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/CR%20PBP%202015.pdf

André V a écrit:

Mon compte-rendu à lire sur
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/
ou en accès direct par:
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/CR%20PBP%202015.pdf

Bon compte rendu, j'ai bien aimé ton humour!

André V a écrit:

Mon compte-rendu à lire sur
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/
ou en accès direct par:
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/CR%20PBP%202015.pdf

moi aussi j'ai visité le village de Manou avant Senonches ; ai loupé une flèche ( ou elle a disparu ? ) et ai du sortir mon GPS pour retrouver la route de Senonches...ça m'a bien énervé sur le coup en pensant avoir fait un bon détour mais au final pas trop de dégats au niveau kilométrage ; j'ai eu également peur de louper un controle secret avec cette déviation

ERIC a écrit:

André V a écrit:

Mon compte-rendu à lire sur
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/
ou en accès direct par:
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/CR%20PBP%202015.pdf

moi aussi j'ai visité le village de Manou avant Senonches ; ai loupé une flèche ( ou elle a disparu ? ) et ai du sortir mon GPS pour retrouver la route de Senonches...ça m'a bien énervé sur le coup en pensant avoir fait un bon détour mais au final pas trop de dégats au niveau kilométrage ; j'ai eu également peur de louper un controle secret avec cette déviation

Quand presque tout le monde prend la bonne route sauf moi, je me dis que le balisage était bon et que c'est moi le coupable.
Grâce à ton GPS, dans Manou, tu as sans doute pris la D140 à gauche, qui ramène à Senonches (= +2,5 km).
Moi j'ai fait demi-tour pour revenir au carrefour où je m'étais planté (=+7,5 km).

André V a écrit:

Mon compte-rendu à lire sur
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/
ou en accès direct par:
http://www.mareorthon.org/AVLD/Pages/CR%20PBP%202015.pdf

comme véloblan : bon CR et humour non seulement dans le récit mais en roulant bravo
tu as fait le 1000 du Sud, Sophie est une experte en grands parcours

KIKI-129 a écrit:

...
tu as fait le 1000 du Sud, Sophie est une experte en grands parcours

Je l'ai fait en 2013 (abandon à mi parcours, usure généralisée ...)
En 2014: réussi en 71h15
J'y retourne avec des doutes (séquelles de PBP, col d'Agnel...) mais avec envie et sérénité...
Compte-rendu à mon retour en espérant qu'il ne sera pas anticipé !

Quand j'essaie de me connecter au suivi des participants, si je tape le n° de plaque, ça marche. Par contre, si je rentre le nom dans la case prévue à cet effet, un message s'affiche du style "accès à la base de données impossible". J'espère que le souci va être réglé car j'aimerais savoir ce qu'ont fait certains amis dont je n'ai pas de nouvelles.
Antonin, ce problème est-il le fait de l'A.C.P. qui bloquerait l'accès ou bien tout simplement est-il dû à un "bug" informatique ?
Merci.

J'ai essayé avec 
เรืองชัย จูฑะพงศ์ธรรม

'Marche pô 

Alors, j'ai fait Ruangchai Juthaphongtham
Marche pô, non plus.

Mais K231, oui.