le" douze cents du massif central" du 25 au 29 juillet 2016

En 2012 sur cette épreuve j'avais dormi une heure, de jour, dans un fossé à l'écart de la route : avec la canicule juste besoin de trouver de l'ombre ; puis j'avais dormi trois heures de nuit, à l'écart d'un village, dans une zone aménagée comme aire de pique-nique, avec point d'eau et poubelle... Enfin, après mon abandon j'avais rajouté un col et dormi toute la nuit en altitude dans l'herbe à vingt mètres de la route... D'une manière générale je préfère dormir de jour dans la nature : c'est plus facile de dénicher un coin potable et on n'a pas froid ; la seule précaution à prendre est de se cacher, par crainte d'être réveillé par un bon samaritain qui croit que vous avez fait une attaque (vécu cela une fois de jour, et une fois au petit jour réveillé par de gentils noctambules bourrés   ).
Tout ça pour dire que je ne prévois pas d'hôtel. Je ferai comme pour le
1 000 de Ménigoute 2015 en emportant un mini duvet en polaire mince et une couverture de survie : j'avais dormi trois heures, de nuit au km 650, derrière une haie. Bien sûr s'il ne fait pas chaud ou s'il pleut il faudra envisager un abri (ou un hôtel de passage au pire).
Mais c'est très personnel, sur un 1 200 je peux me contenter de 2 X 3 h de sommeil. Sur mes PBP j'ai dormi les deux fois 6 h à Brest en bénéficiant d'un bon plan offert par un copain. Sinon quand j'ai dormi à l'hôtel - réservé - c'était le pour suivre un pote et à chaque fois ça été un peu la galère - de son fait, à cause de coup de mou qui nous faisait arriver très en retard sur ses prévisions : j'ai peu apprécié ce stress supplémentaire mais je reconnais que c'est royal de prendre une douche et de dormir dans un lit...
Sur le Douze Cents du MC, vu ma vitesse modeste je préfère minimiser les temps où je ne roule pas. Ainsi je pense aussi faire comme d'habitude, c'est à dire me charger d'un maximum de provisions pour limiter le temps perdu à chercher de la nourriture... Là aussi il est difficile de donner des conseils, tout dépend des habitudes, exigeances et surtout niveau physique : un cador pourra faire un voyage relax avec hôtels, restaurants et finir avant moi
Et d'avantage que tout cela, ma philosophie personnelle fait que je n'envisage pas la longue distance autrement qu'un défi, avec un maximum de rusticité : autonomie, improvisation et confort minimum... Le contraire des brevets Audax en quelque sorte

sccber a écrit:

En 2012 sur cette épreuve j'avais dormi une heure, de jour, dans un fossé à l'écart de la route : avec la canicule juste besoin de trouver de l'ombre ; puis j'avais dormi trois heures de nuit, à l'écart d'un village, dans une zone aménagée comme aire de pique-nique, avec point d'eau et poubelle... Enfin, après mon abandon j'avais rajouté un col et dormi toute la nuit en altitude dans l'herbe à vingt mètres de la route... D'une manière générale je préfère dormir de jour dans la nature : c'est plus facile de dénicher un coin potable et on n'a pas froid ; la seule précaution à prendre est de se cacher, par crainte d'être réveillé par un bon samaritain qui croit que vous avez fait une attaque (vécu cela une fois de jour, et une fois au petit jour réveillé par de gentils noctambules bourrés   ).
Tout ça pour dire que je ne prévois pas d'hôtel. Je ferai comme pour le
1 000 de Ménigoute 2015 en emportant un mini duvet en polaire mince et une couverture de survie : j'avais dormi trois heures, de nuit au km 650, derrière une haie. Bien sûr s'il ne fait pas chaud ou s'il pleut il faudra envisager un abri (ou un hôtel de passage au pire).
Mais c'est très personnel, sur un 1 200 je peux me contenter de 2 X 3 h de sommeil. Sur mes PBP j'ai dormi les deux fois 6 h à Brest en bénéficiant d'un bon plan offert par un copain. Sinon quand j'ai dormi à l'hôtel - réservé - c'était le pour suivre un pote et à chaque fois ça été un peu la galère - de son fait, à cause de coup de mou qui nous faisait arriver très en retard sur ses prévisions : j'ai peu apprécié ce stress supplémentaire mais je reconnais que c'est royal de prendre une douche et de dormir dans un lit...
Sur le Douze Cents du MC, vu ma vitesse modeste je préfère minimiser les temps où je ne roule pas. Ainsi je pense aussi faire comme d'habitude, c'est à dire me charger d'un maximum de provisions pour limiter le temps perdu à chercher de la nourriture... Là aussi il est difficile de donner des conseils, tout dépend des habitudes, exigeances et surtout niveau physique : un cador pourra faire un voyage relax avec hôtels, restaurants et finir avant moi
Et d'avantage que tout cela, ma philosophie personnelle fait que je n'envisage pas la longue distance autrement qu'un défi, avec un maximum de rusticité : autonomie, improvisation et confort minimum... Le contraire des brevets Audax en quelque sorte

Je devrais emporter de quoi dormir dehors me vêtir (tant pis pour l'odeur), me laver ( toilette de chat).  Pour le ravitaillement repas AURILLAC et PONT DE MONVERT. Entre deux , un repas de troisème midi ( gros coup de chaud vécu avec diago 41) dans un super petit restaurant à l'inspiration.
Boule QUIES pour échapper au ronfleur de proximité ( non je n'ai dénoncé personne). 
Pour sûr que les conditions UAF ne sont pas au rendez vous, mais grâce à eux j'ai appris la longue distance donc je leur en serais toujours redevable.

Je ne fais pas trop de plan sur la comète concernant mon plan de route les arrêts sommeil vont surement se faire à l'improviste sur le terrain.

Et vu le programme des réjouissances cela va être dur de caser les 18h de sommeil de PBP mais comme c'est plus court cela devrait le faire

Personnellement, venant de Rouen, j'envisage une approche en voiture avec base relai au camping près du départ. Ce qui me permettra un retour relax le lendemain de la randonnée.

Effectivement, sur la randonnée, on aura pas le confort du PBP ou du LEL, ce sera un vrai BRM en autonomie. Pour ne pas transformer la monture en vélocamping, j'envisage un minimum de vétement (un rechange et l'équipement du grand soleil à la nuit froide et pluvieuse) et un minimum de nourriture pour survivre en des points de restauration sur la route. Cela fera déjà un beau chargement. Pour le sommeil, de base la couverture de survie et peut être un plus (duvet) si je trouve très petit en volume.
  Si l'occasion se trouve, et que l'avancement le permet, un hôtel à deux pendant trois heures ferait des miracles sur le repos du guerrier.

Marcel

cdlr27 a écrit:

Personnellement, venant de Rouen, j'envisage une approche en voiture avec base relai au camping près du départ. Ce qui me permettra un retour relax le lendemain de la randonnée.

Effectivement, sur la randonnée, on aura pas le confort du PBP ou du LEL, ce sera un vrai BRM en autonomie. Pour ne pas transformer la monture en vélocamping, j'envisage un minimum de vétement (un rechange et l'équipement du grand soleil à la nuit froide et pluvieuse) et un minimum de nourriture pour survivre en des points de restauration sur la route. Cela fera déjà un beau chargement. Pour le sommeil, de base la couverture de survie et peut être un plus (duvet) si je trouve très petit en volume.
  Si l'occasion se trouve, et que l'avancement le permet, un hôtel à deux pendant trois heures ferait des miracles sur le repos du guerrier.

Marcel

Content de te retrouver après LEL 2013

Je vois qu'il y aura du beau monde sur cette épreuve !

Donc voici ce que je retiens pour l'instant :

  - Je ne prévois pas d'hôtel (je suis comme Sccber, j'aime bien le côté "sauvage")
  - Par contre je fais prendre un sursac ultra light (155g)
  - De la nourriture (Gatosports, biscuits,...) pour avoir de quoi manger entre les vrais repas
  - Il faut que je prepare un peu le parcours et donc pas uniquement tout baser sur le GPS.
     J'ai lu quelques CR et la navigation semble importante...
  - Je prévois des fringues pour le froid (mais à plusieurs couches, manchettes et genouilleres et pas de veste thermique) et un cuissard de rechange
  - un savon + gant pour se laver un peu ...
  - Bien sûr le matos de base : chambres à air, rustines, patch pneu, mutioutils, antivol (miniature), pile, lampe de secours,mini pharmacie.
  - Parcours imprimé et plastifié.

Je vais devoir ajouter à ma sacoche de selle, une petite sacoche de guidon pour voir ce que ça donne.
Entre autre pour la bouffe et le petit électronique.

Toujours intéressé par vos conseils, n'hésitez pas à completer ...

Normalement je pourrai tester tout cela en Juin sur le 1000 de Ménigoute : j'ai pu poser 3 jours pour y venir et mon oncle et ma tante m'ont confirmé pouvoir m'heberger. Plus qu'à réserver le train...

J'aurai bien fait de nouveau un 1 000 au départ de Ménigoute (le parcours change chaque année), mais en 2016 il a été programmé plus tôt qu'en 2015 et tombe pendant le DFU (défi des fondus de l'Ubaye) organisé par mon club et qui me semble en plus une excellente préparation pour le Douze Cent. J'ai un pote qui envisage éventuellement de participer au 600 de Ménigoute, auquel cas je co-voiturerai certainement...
Je vais peut-être remplacer ce 1 000 par celui organisé cette année par les RAA (Randonneurs Autonomes Aquitains, club organisateur du 1200 du même nom) au départ de Bordeaux (Le Haillan) le 9 juillet : le parcours me paraît assez facile et passe par Chenonceaux
Qui en serait ?
Je résume : des BRM - 300, 400, 600 et 1 000 - pour se réhabituer à la distance (et pour le plaisir sportif et touristique), plus des cols (dont les six du DFU) me permettront j'espère de bien préparer ma revanche sur le Douze Cent, qui sera pour moi l'épreuve principale 2016. Ensuite les hasards du calendrier me feront participer au difficile BRM 600 du CCK, un beau programme montagnard (le BRM 600 /9200 m de D+ du Samedi 20 août 2016 à 5h est un parcours dans la même idée que le prochain " Brm TriRhéna 1000" du 02 Août 2017, c’est à dire un voyage sur les trois pays autour du Rhin, Allemagne, Suisse et France)


Et après - si tout va bien - un 1 000 du Sud, toujours convoité (je l'aurai un jour, je l'aurai)

hbr78 a écrit:

Toujours intéressé par vos conseils, n'hésitez pas à compléter ...

Normalement je pourrai tester tout cela en Juin sur le 1000 de Ménigoute : j'ai pu poser 3 jours pour y venir et mon oncle et ma tante m'ont confirmé pouvoir m’héberger. Plus qu'à réserver le train...

Ta liste correspond à mes besoins. C'est donc parfait à mon goût.

J'attache une grande importance à la carte. C'est du 1/100.000ème avec les distances, pointages, commerces, heure de pointage limite ... ... ...
Bref, ne pas suivre l'adage de mon Général : "La logistique suivra"

Le repos sera très important avant d'attaquer ce brevet. Fait donc bien attention sur le BRM 1000, ce n'est pas l'objectif de l'année.

Popiette a écrit:

J'attache une grande importance à la carte. C'est du 1/100.000ème avec les distances, pointages, commerces, heure de pointage limite ... ... ...
Bref, ne pas suivre l'adage de mon Général : "La logistique suivra"

Effectivement la carte proposée par JP en 2012 était au top du possible (mais un peu limite pour moi sans GPS, à plusieurs reprises, surtout quand j'ai commencé à manquer de lucidité par manque de sommeil (dû à des erreurs tactiques de ma part).
Je compte bien emporter ces cartes et mon GPS, et naturellement le road-book.

Popiette a écrit:

Le repos sera très important avant d'attaquer ce brevet. Fait donc bien attention sur le BRM 1000, ce n'est pas l'objectif de l'année.

Bien sûr, mais pour un randonneur expérimenté la durée de récupération entre la fin du 1 000 fin juin et le départ le 25 juillet ne me paraît aucunement insuffisante : il faudra même à mon sens se concocter soigneusement un programme pendant cet intervalle pour ne pas tomber dans un début de désadaptation.
Il n'en sera pas tout à fait de même pour moi, je pense, si je participe au 1 000 du RAA plus tardif : je pense que je pourrai par exemple prendre quasiment une semaine de repos, puis une semaine très allégée en kilomètrage mais en conservant quelques petites ascensions (j'ai la chance de pouvoir en moins de deux heures monter un petit col de 700 m de dénivelé au départ de chez moi). Le maître mot sera quant même prudence... J'allais oublier : naturellement il faudra absolument veiller pendant cette période à beaucoup dormir et à avoir une hygiène de vie exemplaire (nourriture notamment). Pour éviter la fatigue du voyage et le manque de sommeil qui m'avait pénalisé en 2012 - covoiturage avec lever très matinal pour moi pour rejoindre les copains, arrivé en début d'après-midi et impossibilité de dormir pour moi pendant la sieste des copains - j'ai retenu un hôtel et j'arriverai la veille.

Popiette a écrit:

Citation :

Le repos sera très important avant d'attaquer ce brevet. Fait donc bien attention sur le BRM 1000, ce n'est pas l'objectif de l'année.

Citation :

Popiette a écrit:

Le repos sera très important avant d'attaquer ce brevet. Fait donc bien attention sur le BRM 1000, ce n'est pas l'objectif de l'année.

Bien sûr, mais pour un randonneur expérimenté la durée de récupération entre la fin du 1 000 fin juin et le départ le 25 juillet ne me paraît aucunement insuffisante : il faudra même à mon sens se concocter soigneusement un programme pendant cet intervalle pour ne pas tomber dans un début de désadaptation.
....j'ai retenu un hôtel et j'arriverai la veille.

Pour le 1200 du MC j'aurai 2 semaines de vacances juste avant, donc la récup ne devrait pas poser de probleme, sauf blessure.

Pour ce qui concerne l'activité entre les 2 je compte m'entrainer en montagne (je passe 2 semaines au pied de Meribel) et probablement faire le tour du mont blanc (si météo ok) avec 330 Km et 8000 de D+, la semaine avant ...

Et comme Scberr j'arriverai la veille et je si possible je ferai comme pour la fleche Vélocio : chambre gardée jusqu'à 14h ...

Merci à tous pour ces conseils

Popiette a écrit:

...

J'attache une grande importance à la carte. C'est du 1/100.000ème avec les distances, pointages, commerces, heure de pointage limite ...

Bonjour à tous,
1/100 000 c'est vraiment "gros" est-ce vraiment utile?
est-ce un choix très personnel, ou une manière de se rassurer au delà du nécessaire?
Aucune critique de ma part comme l'a évoqué Sccber plus haut : une fois moins lucide on lit moins bien!

Bonne route à tous

Ca y est: l'inscription est enregistrée. 70ième m'a dit JPM et donc départ à 20h40.

Concernant la navigation, pour moi c'est topo perso ultra détaillée (il est prêt: 760 lignes !!!) + carte au 200 millième (en cas d'erreur, de déviation ou... d'abandon)

Pour le couchage, c'est souvent hôtel (mais on perd vite 1 heure au 2 bout de la nuit).
J'ai goûté à la belle étoile lors du dernier Mille du Sud; c'est bien agréable, moins relaxant que la nuit d'hôtel mais moins pénalisant en temps.

Avez-vous pensé aux "Gîtes d'étape" (souvent prévus pour les randonneurs pédestres). Ils sont très nombreux dans le MC, y compris dans les petits bourgs.
Un site très exhaustif:

http://www.gites-refuges.com/v2/recherche_dep.htm

Sont-ils près à fournir une "nuitée" à toute heure du jour ???

Paddy a écrit:

Popiette a écrit:

...

J'attache une grande importance à la carte. C'est du 1/100.000ème avec les distances, pointages, commerces, heure de pointage limite ...

Bonjour à tous,
1/100 000 c'est vraiment "gros" est-ce vraiment utile?
est-ce un choix très personnel, ou une manière de se rassurer au delà du nécessaire?
Aucune critique de ma part comme l'a évoqué Sccber plus haut : une fois moins lucide on lit moins bien!

Bonne route à tous

Je n'ai pas encore regardé le parcours 2016 (je sais juste qu'il est légèrement plus court qu'en 2012 car on ne part plus de Tours même), mais en 2012 on empruntais par endroits des routes vraiment minuscules (des chemins vicinaux de nuit entre-autres) : là une carte au deux cent millième n'était pas du luxe). Il y avait en plus parfois des explications supplémentaires pour sortir de certaines villes par exemple (qui n'ont pas empêché le petit groupe que j'avais rejoint à ce moment de pas mal hésiter)...
Et j'étais à la fin de ma deuxième nuit blanche (plus une nuit de trois heures avant départ) tellement perdu que j'ai dû mon salut qu'en suivant un participant allemand muni d'un GPS (alors que moi je tournais en rond depuis trois quarts d'heure)... Après j'ai commencé à avoir des hallucinations visuelles et il a bien fallu que je trouve un fossé accueillant pour dormir une heure (cela n'a pas suffit longtemps).

Bonjour à tous,
Sauf erreur de ma part la feuille de route 
http://ledouzecents.blogspot.fr/p/feuille-de-route-cue-sheet.html
mentionne les cartes MICHELIN 518 522 526 qui sont des cartes au 200.000
Donc toutes les routes empruntées sont marquées sur les cartes. J'ai raté un truc ?

Ce qui n'exclue bien évidemment pas les annotations personnelles, @André V, ou des précisions officielles.

Bonne route à tous

Bonjour mes amis.

je suis de retour après une balade de plus de 1000 km entre Rouen et Marseille.

je vois que cela cogite dans les chaumières.
La préparation c'est la moitié de la réussite.

Sur le site vous pouvez telecharger la feuille de route ainsi que le fond de carte au 200 000

C'est les feuillets 2012 mais c'est le même parcours à partir de Veigné.
ne tenez pas compte des horaires butoirs que je vais modifié un peu (délais plus larges).

Les routes sont toujours sur les cartes michelin 200 000. En fait c'est compliqué apres Aurillac car il y aura la fatigue et la nuit.

Pour le moment il y a 70 inscrits (la liste va paraitre sur le blog la semaine prochaine)

Ce brevet sera dédié à Richard Ellis ( qui a fait le Douze-Cents et 3 ou 4 1000 du sud) qui vient de subir un accident mortel  en randonnant en vélo.

Rich avait 58 ans.

Très touché de cette nouvelle
C'est effectivement un visage et surtout une joie de vivre que je retrouvais chaque année à CARCES.
En plus nous avions le même âge.
JP si tu as des précisions...........

Richard va nous manquer ....

Le mois de Juillet approche, j'ai réservé mes billets de train .... 

Je n'ai toujours pas succombé au GPS, il va donc falloir se replonger dans le road book pour tenter d'éviter les petites galères de 2012.

A bientôt

Poucet a écrit

Je n'ai toujours pas succombé au GPS, il va donc falloir se replonger dans le road book pour tenter d'éviter les petites galères de 2012.


Rien n’arrête le Poucet quand il est en forme, même quelques jardinages intempestifs...

diago41 a écrit:

Rien n’arrête le Poucet quand il est en forme, même quelques jardinages intempestifs...

Ça fait de bons souvenirs, et toujours des anecdotes à se raconter aux retrouvailles !!!!

Je crois qu'il y a eu pire que moi au rayon jardinage. Et même chez les jardiniers locaux si je ne m'abuse ....

t'as eu 4 années pour t'y mettre, et c'est pas encore fait !!!  
Bon tu connais le parcours   ça devrait aller cette fois ci 

papou a écrit:

t'as eu 4 années pour t'y mettre, et c'est pas encore fait !!!  
Bon tu connais le parcours   ça devrait aller cette fois ci 

Pfff .... Y a trop de modèles, ça m'embrouille .... 

Et rien que de lire les notices et les comparatifs ça me fatigue ....

poucet a écrit:

Pfff .... Y a trop de modèles, ça m'embrouille .... 

Et rien que de lire les notices et les comparatifs ça me fatigue ....

Bonjour à tous,
déjà tu élimines tous ceux qui font plus que GPS à savoir :
Cardio machin chose
Cadence de ceci et cela
Lampe torche et télé...
Ensuite un GPS c'est quoi ?
Çà donne la position pas plus pas moins, normal ce n'est qu'un récepteur.
Je suppose que ce qui t'intéresserait serai un appareil qui te donnerait ta position sur une carte et pas plus ... alors là c'est très simple :
Le cahier des charges est : un GPS avec une cartographie POINT FINAL.
Le prix : je serai tenté de dire "le moins cher" mais suite à ce raisonnement malheureux au final, je dirai "le plus fiable"
J'ai un GPS à 250 euros avec carto complète

Par contre autonomie insuffisante donc il faut trouver une solution pour aller au delà des 10 heures.

Bonne route à tous

Pour moi, le GPS vélo c'est uniquement pouvoir rentrer l'itinéraire d'un BRM (ou autre), c'est â dire avoir la trace exacte du brevet. Pour éviter de se perdre, de perdre du temps dans les coins pas évidents (par exemple la traversée d'une grande ville). Et le défaut de mon GPS c'est que du fait de sa mémoire un peu juste, il n'accepte de rentrer un grand parcours qu'au tiers ou au quart (ou un moyen un peu compliqué avec beaucoup de points)... Je suis donc obligé à pas mal de bidouillages pour tronçonner le parcours. Évidemment cette trace il faut la suivre des yeux régulièrement car si vous loupez un changement de route le GPS ne réagit pas... Donc rien à voir avec un GPS voiture ou mon application de téléphone Google Maps : avec cette dernière pour rentrer chez moi au retour de Provence par une route nouvelle (pour éviter un col difficilement franchissable avec un vélo chargé et un câble de dérailleur cassé) je me suis laissé guider deux heures à la voix, téléphone écran éteint - pour économiser la batterie - et téléphone dans la poche de poitrine de mon coupe-vent. Ça peut servir en cas d'erreur d'orientation grave : mais pas longtemps (ça vide très vite la batterie si on ne peut pas brancher sur quelque chose) et bien sûr à condition d'avoir du signal.
Enfin, j'ai en mémoire sur mon IPhone les carte IGN au 200 000 de la France (et d'autres pays) : cela s'appelle iPhiGéNie. La version payante permet d'avoir jusqu'au 25 000ème. Le GPS du téléphone permet de vous positionner sur cette carte ponctuellement, ce qui permet de vérifier de temps en temps que l'on a bien pris les bonnes décisions. Je trouve cela assez sécurisant et viens si nécessaire en complément d'une carte papier plus grande. La carte papier (ou sa photocopie) sur lequel on a tracé le parcours est plus lisible, mais ne permet pas facilement de savoir où l'on est (j'ai connu des galères de nuit sur de très petites routes sans panneaux).
Pour l'autonomie du GPS : avec un moyeu Dynamo aucun problème. Avec des batteries externes ça peut suffire (mais c'est relativement lourd), et j'ai eu des soucis de faux contacts, puis de prise désoudée sur le GPS (changé par GARMIN à titre de garantie). En plus tout ce qui est externe peut poser problème en cas de grosses intempéries... Les piles internes : prendre des lithium et prévoir suffisamment de piles de rechanges. J'ai choisi une troisième voie : des batteries lithium format AA : en réalité des batteries 3,7 v avec un petit transfo interne pour les ramener à 1,5 v ; elles nécessitent un chargeur spécifique (recharge en 3,7 v par contact périphérique). Assez chères, à l'usage fiabilité incertaine, certaines (2 sur 12) ne tiennent plus la charge que deux ou trois heures après deux saisons... Donc je ne conseille pas vraiment. À éviter sur longue distance tous le appareils à batteries incorporées (rechargeables comme des téléphones) sauf si moyeu dynamo. Souvent on peut prévoir d'avoir une (ou deux ?) batterie supplémentaire, mais en général c'est assez onéreux

Merci pour les conseils GPS ...

L'an passé, pour PBP, mon pote Manala m'a orienté vers une nouvelle loupiote avec une prise spécifique qui permet de recharger un téléphone ou un GPS ... Il a même eu la gentillesse de me monter le bousin. Trop compliqué pour moi ...  

Et je n'ai toujours pas acheté de GPS ... même pas essayé de recharger mon téléphone

Ce qui intéresserait c'est effectivement la trace sur une cartographie claire, genre IGN. Et éventuellement l'altitude et le profil .... En fait j'aurais bien aimé trouver un truc qui convient aussi bien en trail. Mais les trucs de trails ce sont des montres toujours très compliquées, connectées machin bidule, avec une cartographie pas top. Ma réflexion en était resté là ....

moi j'en suis toujours au garmin vista HCX et il me fait tout  trace et routage j'en parle ICI
A priori sur le 1200 j'aurai toute la trace et le routage
Mieux, depuis quelques semaines il est branché en permanence sur la dynamo via la prise du phare luxos IQ2, les 2 piles AA internes ne servent plus qu'aux arrêts et quand il pleut fort.
Et même la nuit tout va bien (testé toute une nuit le dernier WE) phare et GPS allumés (le GPS reste allumé sous dynamo)