Dodécaudax en Lorraine

Eh oui, février aura eu raison de ma motivation, mais j'ai repris en avril et vais essayer d'aller au bout.

Bonne route.

Oui ce doit être compliqué quand tu bosses tu n'as pas forcément le choix de la bonne journée comme nous les pensionnés. Je pense que recommencer en avril c'est pas mal car quand l'hiver arrive tu es presque au bout et ça motive. Je te souhaite bonne route

Bonsoir.
Cette fois mon dodécaudax en Lorraine se passe en Bretagne.
Pour la 13ème j'enregistre la 1ère étape de ma BTR, avortée mais c'est une autre histoire.
Donc pour cette rando dodécaudax qui pour le coup devient continu, pourvu que ça dure, j'ai fait Paimpol Quimperlé via la pointe St Mathieu et Brest soit un peu plus de 300km.
La suite en juillet.
patrice

Ça fait une petite compensation de l'abandon de la BTR.
Tu nous en diras plus ?

Bonne route.

Oui mais pas trop le temps en ce moment

Bonjour.
Après presque 2 semaines passé à la SF d'Epinal comme bénévole plus d'autres soucis j'allais oublier de déclarer mon 200 de juillet.
Le 30/07 il était temps, j'ai profité d'une balade de quelques jours entre Vosges et Jura avec mon épouse pour m'y rendre à vélo soit une belle sortie de 210km pour me rendre à Clairvaux les Lacs et y prendre un bon bain dans leurs eaux turquoises.

Bonsoir
Ce mardi 29/08 15ème sortie de 200, c'est accompagné de mes 4 amis(es) dodécaudaxiens d'été, hihi, que j'ai réalisé cette rando de 214km. En fait c'est un peu grâce à eux que je l'ai faite car la motivation était en berne ce mois ci.
J'espère que ça ira mieux le mois prochain.

Bonsoir.
Jeudi dernier (13 septembre), c'est aux aurores que je prends un TER pour rejoindre les féminines du codep 54 et les accompagner quelques km sur leur we cyclo annuel . Rdv à Toul pour le départ à 8h30; elles sont environs 25 accompagnées de 2 cyclos de Toul ainsi que d'un chevalier servant ou plutôt suiveur avec matériel et ravitaillement.
Après quelques tours pour visiter Toul nous voici sur les petites routes de Lorraine, l'allure est correcte mais les arrêt fréquents, en effet il y a quelques visites de prévues, de fait à 16h00 après 8h00 de route seulement 80 bornes abattues, il est temps pour moi ainsi que mes 2 compères de Toul de penser au chemin du retour. J'ai entré une trace sur mon gps, il me faudra faire une vingtaine de km pour la rejoindre, les 2 toulois m'accompagnent et après 80 km je les abandonne à 5km de Toul, il me reste encore 70km. J'emprunte une voie cyclable le long de la Moselle. J'y allume mon 2ème phare, l'humidité m'oblige a retirer mes lunettes et je vois comme en plein jour. Un blaireau, quelques lapins et autres batraciens croisent mon chemin, les hérons n'ont pas l'air contents de me voir sur leur territoire en pleine nuit et donne de la voix sur mon passage, c'est génial et en même temps un peu flippant, (je me souviens d'un petit Poucet culbuté par un ragondin). A 30km de la maison une pluie diluvienne me surprend, je bâche, cela ne sert pas à grand chose si ce n'est à ne pas me les geler. Minuit j'arrive dégoulinant et je me dépoile derrière la maison tellement ça goutte.
Un peu long pour faire 230km mais sortie sympa avec des Nanas sympa qui ne se prennent pas la tête avec des moyennes ou autres tracas de cyclos coureurs  
Voilà c'était la 16ème, pourvu que ça dure...........

Bravo Patrice. Je vois que toi aussi t'aimes bien rouler avec des nanas ... Pas désagréable en effet ; enfin, en principe ...

Bonsoir.
Hier, jeudi 4, nous sommes partis, mes amis ¨dodécaudaxiens¨ d’été et votre serviteur pour ma 17^ème rando de + de 200.
Il a pourtant fallu que je me botte le ¨c..¨ pour démarrer ce matin surtout par ce temps digne d’un mois de décembre.
Départ de Lunéville à 7h30 sous un épais brouillard et seulement 2° au Th°, direction St Dié des Vosges via Raon l’Etape ou une pause café sera bénéfique puisque entre temps le soleil fait son apparition et c’est sous un grand ciel bleu que cette rando continuera.
Casse croute de midi dans un petit bistro sympa à Corcieux avant d’attaquer le petit col des Arrentes pour rejoindre la vallée de la Vologne. Ensuite plutôt que suivre la vallée nous coupons cours, façon de parler, car la région est bien bosselée. Donc c’est par monts et par vaux que nous atteignons la vallée de la Moselle, vite traversée, pour nous diriger vers la voie Charles le Téméraire, vélo route n°50, de façon à contourner la ville d’Epinal.
De retour vallée de la Moselle nous décidons de suivre la voie cyclable le long du canal de l’Est pour rentrer facile après 170 bornes bien vallonnées et bien ventilée aussi.
C’est à la nuit tombée que nous rentrons à Lunéville.
Avec mes 12km d’aller et retour maison cela fait 234km et 1700m de dénivelé.
Pour l'anecdote: au départ je m'arrête à un stop, une file de voitures, les deux premières, clignotant à droite tournent lentement ce qui me laisse le temps de passer, que nenni la 3ème, énervé sans doute le chauffeur double en trombe et a le réflexe de s'arrêter à 1m de mon beau vélo.
Dans l'aprem à un stop sur la voie cyclable un cyclo électrifié est arrêté au milieu et bouche la visibilité, une voiture déboule, je décale en cata et boum par terre, mon beau vélo n'a rien.
A l'approche de Lunéville sur un petite route bordée d'arbres le compteur affiche 30km/h et v'la t'y pas qu'une biche me passe devant le pif à 3 4m, j'ai encore eu chaud et mon beau vélo n'a rien.   

Hello voisin,

Bravo pour ce 17ème dodécaudax, c'est vrai que dans les vallées vosgiennes il ne doit pas faire bien chaud le matin. Par contre j'ai l'impression que vous êtes bien pourvu en pistes cyclables.
Bonne route et bon courage pour les numéros de 18 à 21...

Bonjour.
Hier matin au levé du jour départ pour la 18ème étape dodécaudax, accompagné de mon pote Gilbert.
Direction les étangs de Moselle pour ensuite bifurquer plein sud vers le massif vosgien.
Repas de midi au resto à Dabo et son fameux rocher de grès rouge. Le redémarrage est un peu difficile, en effet Dabo est situé au beau milieu du col de Valsberg de plus c'est la première de l'année engoncé dans les vêtements d'hiver.
Direction Saverne par de belles routes en sous bois; sur le retour nous longeons le canal puis l'ancien canal de la Marne au Rhin pendant quelques km.
Nous étions à la recherche d'un bistrot quand dans la traversée de Lorquin (57) une charmante jeune femme ouvrait le sien, donc arrêt pour quelques minutes de repos et s'équiper pour la nuit qui ne va pas tardée.
La dernière partie fut un peu pénible pour nous deux mais voilà à l'arrivée la satisfaction du devoir accompli, hihi, est toujours là.
Comme dit Papou: ne pas attendre la fin du mois pour se lancer mais c'est ma devise, sauf problème, depuis que je me suis lancé ce défi.
Maintenant qu'il fait froid j'applique le minimum syndical: 201km, 2500m de dénivelé.

Bien   
Plus que Nov 😟, déc 😬, janv 😵, fév 😱 et le plus dur froid sera passé 

papou a écrit:

Bien   
Plus que Nov 😟, déc 😬, janv 😵, fév 😱 et le plus dur froid sera passé 

Merci         mais n'en rajoutes pas nov et fait

Beau vélo, belle rando !

Effectivement, pour le Dodécaudax il vaut mieux programmer ses sorties en début de mois pour ne pas se faire surprendre par un problème soudain de calendrier (un épisode grippal survenant le 20 du mois peut foutre en l'air un Dodécaudax…).

Cela est d'autant plus vrai pour les sorties de fin d'année.
Mieux vaut tenter le 1er novembre que le 30.
Mieux vaut tenter le 1er décembre que le 31.
(Et en décembre, gare aux fêtes de fin d'année !)

Seules les sorties de janvier et février peuvent avoir intérêt à être décalées vers la fin du mois, selon la météo, pour tenter de se rapprocher des jours plus chauds…

Bonne continuation !

Bonsoir.
Merci pour lui.... le vélo.
L’analyse est juste de plus pour moi la saison forestière va bientôt commencer et même si je ne vais pas faire beaucoup de bois cette année il me faut jongler car merlin et vélo= pas très compatible.
Pour les fêtes de fin d'année pas de soucis chez moi c'est calme juste quelques bouteilles de champe, quelques kg de foie gras et basta on en parle plus, tout ça sans modération y'en a mare de la modération à toute les sauces 

Le plus dur dans l'histoire c'est souvent février qui depuis quelques années est plus froid que janvier.
Comme on dit aléa jacta est

Je vois les photos de notre ami cyclodelacôte et je vois qu’il roule relativement chargé lors de son étape du dodécaudax. Cela m’interpelle et je me demande ce que je n’emporte pas lors de mes étapes. En effet je n’emporte quasiment rien hormis ce qui rentre dans les poches ( deux chambres à air, un jeu de démonte pneu, des cartouches CO2, un multi outils, un imperméable plié dans un porte bidon ).

Je pars "léger" moi aussi mais en plus de ta liste j'ai une pince, 2 attaches rapides + un maillon et un morceau de savon de Marseille (toujours utile pour les pneus récalcitrants et se laver les mains !) c'est une vieille habitude que j'ai depuis mes débuts avec des mobylettes improbables (très souvent en panne ...)

Pas étonnant...

Il me semble avoir lu sur ce forum qu'un cyclo longue distance se devait, quand il roule, d'être en configuration "grands brevets"... pour s'habituer au surpoids nécessaire à une certaine autonomie...

Mais les pros t'en diront plus...

Notre ami "cyclodelacote305" emporte son merlin pour faire du bois si j'ai bien compris son message...

Plaisanterie mise à part, bravo pour ce numéro 18 et peut-on en savoir plus sur le vélo ? Il m'a l'air bien sympa, peut-il prendre des pneus plus gros que 28 pour rouler sur les chemins?

Bonne route.

Bonsoir
Jipe4, sur mon dodécaudax mon vélo reste toujours en configuration LD, si ce que tu emportes te suffis c'est que c'est bien. J'ai pas mal de choses inutiles, ex je roule en durano + et ne crève jamais ou presque mais j'ai quand même 2 ou 3 chambre à air. Comme je ne cherche pas à péter un temps que je sois chargé ou pas ne change pas grand chose et quand tu pars le matin par 0,5° et qu'il fait 15° l'aprem y'a des fringues à stocker la journée.

En fait les observations de Portocéan sont exactes mais en plus moi je ne suis pas léger, hihi.

Erwin 68, mon vélo est tout carbone alors j'ai peur de prendre le merlin avec. c'est un felt vr5 de chez probikeshop, il accepte des pneus de 30 sûr et n'est pas fait pour faire du vtt par contre j'emprunte des chemins gravillonnés sans problème d'ailleurs c'est bien sa dénomination ¨gravier¨. Il est équipé de petit inserts taraudés M5 pour y fixer gardes boue, Phares et même petit portes bagages. Freins à disque shimano 105 hydrauliques et roues avec axes de 12mm pour 142mm d'entraxe à l'arrière. Je me suis rayonné une roue av mavic open pro 32 rayons sur un moyeu shutter précision PD.

Au sujet des roues: l'arrière (une jante felt), fendillait autour des trous vis de rayons et probike m'a envoyé en garantie une paire de roue DT Swiss, un peu de pub pour une fois que c'est bien faut le dire aussi.

Jipe4 a écrit:

Je vois les photos de notre ami cyclodelacôte et je vois qu’il roule relativement chargé lors de son étape du dodécaudax. Cela m’interpelle et je me demande ce que je n’emporte pas lors de mes étapes. En effet je n’emporte quasiment rien hormis ce qui rentre dans les poches ( deux chambres à air, un jeu de démonte pneu, des cartouches CO2, un multi outils, un imperméable plié dans un porte bidon ).

Si je comprend bien, tu n'emportes qu'un bidon d'eau ! Et si je ne me trompe pas, tu déclarais très peu boire... Je reviens de lire un article sur l'hydratation (Sport et Vie n• 80 de 2003) qui parle de " deux dogmes imbéciles " pour le sportif mais pas que, le vieux qui disait que boire coupe les jambes, et le moderne qui incite sans preuves scientifique à boire, au risque parfois mortel (chaleur et très longue distance) par déficit minéral. Et cite le docteur Menuet de l'équipe Cofidis : " Être victime de déshydratation pour un cycliste, c'est une faute professionnelle. "  
À part ça, même sur un petit 200 tu n'emportes rien à manger ? Si tu fais des va-et-vient avec ton domicile, pas de problème... Sinon, beaucoup de temps perdu dans les magasins. Moi, j'ai toujours une pâte de fruit (je n'y touche pas la plupart du temps) et sur un 200 en boucle je rajoute un petit sandwich (mangé en deux fois) et un grand Yop (au chocolat j'adore) en plus de mes deux grands bidons.
C'est là où pour moi apparaît l'intérêt des distances de préparation à un PBP par exemple, c'est aussi tester le type de boisson - l'eau pure est insuffisante - et de nourriture que l'on va ingérer sur du long... Idem aussi, pour tout le reste (gestion des arrêts, pour ne pas perdre inutilement du temps sur du long, etc. 
C'est aussi pourquoi jamais sur une étape dodécaudax je mangerai au restaurant, puisque je ne le fais pas en longue distance. Et je ne roule pas à l'allure d'un cyclosportif, puisque que cela ne sera pas ma vitesse sur du long (je réserve l'intensité sur une partie de mes sorties courtes.
Alors à moins de faire partie des extraterrestres qui font 1 200 km sans dormir, sans quasiment s'arrêter pour finir dans le groupe de tête, j'ai peine à imaginer que l'on puisse se satisfaire de ses poches de maillot pour rouler de 60 à 90 heures arrêts compris (sauf peut-être avec assistance, et encore).
Je profite aussi du racourcissement des jours pour rouler de nuit (de façon que cela soit aussi naturel que possible) : ainsi aujourd'hui même pour une sortie assez courte (de presque quatre heures) j'ai choisi de partir à 16 h.
Et mon prochain 200 je ne partirai pas spécialement tôt pour la même raison.
Effectivement aussi, je ne cherche pas spécialement à rouler léger (quel intérêt, puisque je cherche sur le vélo une contrainte physique appelée activité sportive). Sinon, pour le seul plaisir de rouler sur deux roues je vendrais mes cinq vélos pour acheter une moto (j'ai le permis depuis 50 ans) ou un VAE (haha).
Pour finir un BRM dans les délais et ne pas souffrir inutilement avec un mauvais vélo je conçois que l'on choisisse un bel engin, mais en préparation je préfère sortir mon mulet ou mon pignon fixe. Et sur les BRM, j'alourdis volontairement mon vélo, progressivement en fonction de la distance, d'autant plus que je suis un adepte de l'auto-suffisance.