Qui n'a pas roulé aujourd'hui ?

Finalement, Loïc49 a trop "joué petit bras" car nous n'avons pratiquement pas eu de pluie.
Nicole a failli l'imiter, mais vu la météo prévue jusqu'à mercredi, elle a changé d'avis finalement et ne l'a pas regretté.
Par contre, les vélos sont encore revenus dégueulasses, comme trop souvent cette année

Salut Lmvv !
Qui est-ce qui va nettoyer les deux vélos ?

Après 3 journées bien corsées en D+, le crachin breton m'a permis d'avoir un excellent prétexte pour ne pas aller rouler et de vibrer après cette dernière balle ratée de Martin Fourcade.

Loïc49 a écrit:

Salut Lmvv !
Qui est-ce qui va nettoyer les deux vélos ?

Ben moi, évidemment ; enfin, la finition

lmvv a écrit:

Loïc49 a écrit:

Salut Lmvv !
Qui est-ce qui va nettoyer les deux vélos ?

Ben moi, évidemment ; enfin, la finition

Après une sortie tonique hier avec notre club (95km 29.7 de moy et le 1% syndical de D+), je profite du dimanche pour faire ma deuxième sortie de la semaine. Je ne peux pas rouler la semaine avec le boulot.

Mais las, aujourd'hui pluie. 

Ca fait deux ans que je suis abonné dans une grosse salle de sport de Périgueux. Je m'y suis bien fait et je me suis fait d'autres copains et copines. 
Je roule sur des vélos Technogym qui permettent de regarder youtube ou des vidéos d'entrainement. Mais ce que je préfère ce sont les vélos expresso bikes.  https://expresso.com/Home. Ce sont des vélos avec écran et parcours virtuels.
On se challenge entre gars de la salle et on se stimule (classement international et classement salle). Comme je ne suis pas trop puissant et plutôt léger (64kg) je ne fais pas le poids face aux costauds.

Aujourd'hui 22,3km à 196w de moyenne + 20' de récup et retour au calme.
Abdos.
Gainage 4x1'10'' avec 20'' de récup.

Bonne fin de week end.
David

Pour moi c'est banal, en hiver le ski me bouffe trois jours minimum par semaine : aujourd'hui donc pas de vélo malgré une météo très favorable, car d'abord j'ai dormi douze heures d'affilé ; et oui, quand je pars skier la journée du samedi dans les Alpes avec mon club, on part à 5 h du matin et soit je ne dors pas du tout la nuit d'avant, soit au maximum deux ou trois heures (étant couche-tard je n'arrive pas à m'endormir si je me couche tôt, cela devient d'ailleurs un avantage pour rouler sur longue distance la nuit). Et puis, musculairement et surtout au niveau des tendons d'Achille, bien sollicités au ski, je préfère la prudence et la récupération. 
Et naturellement je proscris une sortie vélo la veille : déjà hier j'ai vite ressenti que ma musculature n'avait pas récupéré de ma sortie du jeudi assez exigente sur ce point. Et j'ai skié dans des conditions météo presque exécrables - surtout de la visibilité réduite, brouillard, neige collante sur le masque et buée sur les lunettes - et skié avec trois gaillards plus jeunes, reposés, meilleure vue et légèrement meilleurs techniquement. Ils allaient un peu plus vite que moi, s'arrêtaient parfois vingt ou trente secondes pour m'attendre et repartaient après cinq secondes pour moi  Et oui, c'est l'inconvénient de s'être fait au ski la réputation d'être infatigable (ça, et mou du genou).
Non seulement j'ai eu régulièrement les quadris et les mollets qui brûlaient, mais surtout j'ai fait presque en fin de journée une faute à cause de jambes mortes, sur un petit hors piste scabreux (on profitait d'une petite éclaircie), et je me suis retrouvé les deux skis en croix plantés dans la pente fixations non déclenchées et les genoux bloqués en hyper extension : j'ai échappé à la blessure et réussi avec mon bâton à débloquer une de mes fixations, seule solution sans risque (sinon celui de perdre un ski) de me causer une entorse : j'étais seul (les copains invisibles en aval) et dans ces cas là il faut garder la tête froide et prendre son temps pour sortir du piège.
Bref, je n'ai pas roulé, bien que j'avais envisagé brièvement hier de le faire, la supposée sortie légère de récupération (auquelle je ne crois pas beaucoup).
J'envisage d'effectuer peut-être mon 200 dodécaudax demain, mais sans préparation aucune (je ne suis même pas sûr que mes gants chauds indispensables que j'utilise aussi au ski soient secs, tellement ils étaient trempés hier)... Si c'est le cas, ce sera la clôture de mon cinquième dodécaudax.

Bon a moi, ben non je dis rien j'ai roulé 

  Ressenti, un mot devenu a la mode depuis peu 

Il y a un sacré écart entre le kilométrage parcouru et le réel chez toi veloblan 

J'avais lu un article dans une revue de vélo - que je n'ai pas retrouvé - que l'heure de pignon fixe comptait double en équivalent kilomètres par rapport au vélo à vitesses multiples (d'accord, cela dépend de pas mal de facteurs, surtout le relief) : je trouve cela exagéré mais cela va dans le sens du kilomètre ressenti 
Pour la température je considère que cette fameuse température ressentie est d'une rare débilité : sous prétexte de prendre en compte le vent qui amplifie les effets du froid sur la peau nue on fait comme si les humains n'étaient pas capable de s'habiller en conséquence : moi qui skie en haute montagne avec parfois des températures extrêmement froide (de - 10 à - 20 degrés voire une ou deux fois encore moins), avec du vent en plus de la vitesse de déplacement, j'utilise des matériaux techniques en multicouches, des membranes type goretex... je porte également un casque, un masque (et j'ai dans le sac à dos des protections pour le visage, mais je ne les met quasiment jamais, cela m'apporte de la buée sur les lunettes). Bref, très peu de peau en contact avec le vent, donc la température ressentie doit être proche de la température effective... Au Canada on donne la température en dessous de laquelle la peau gèle en quelques minutes, mais en France on ne les rencontrent jamais, sauf parfois en très haute montagne : j'ai le souvenir qu'à la Plagne, à plus de 3 000 m d'altitude à - 20 degrés minimum, on m'avais signalé que mon nez était devenu blanc, effectivement il était insensible (après massage léger et redescente puis protection je n'avais eu que de la peau pelée, comme après un petit coup de soleil). Température ressentie, langage utiles aux journalistes en mal de scoop (à l'usage des citadins)...

Bonjour à tous,
sortie en fin de journée annulée pour cause de froid.
Certes ce n'est pas le grand froid mais vu le programme prévu, j'aurai eu des phases de refroidissement trop longues.
J'ai pour habitude de dire qu'il y a 3 sortes de kilomètres
les utiles
les inutiles
les contre productifs

Il vaut mieux attendre de pouvoir sortir en journée, et donc ne pas faire de contre productif.

Bon canapé à tous.

Je n'irai pas rouler aujourd'hui : la météo locale qui annonçait de la grisaille et des températures très légèrement positives a changée ! Il fait encore -6 degrés et de la neige est même annoncée...

J'ai tellement peu roulé depuis quelque temps que je n'ai pas voulu le raconter, trop de boulot.
Par contre, je viens de m'apercevoir que je ne ferai certainement pas de BRM 200 cette année : pas fait celui de Grenoble (je réduis les frais d'essence) et celui à 30 km de chez moi à lieu ce samedi, et je préfère aller avec mon club au ski (la saison approche de sa fin)... Idem pour le 300 de Grenoble programmé ce dimanche, mais j'aurai celui de Feurs un peu plus tard... Par contre, je prévois un 400 à Grenoble et certainement aussi celui de Feurs plus tard. Et encore à Grenoble pour le 600. Après, j'aurai le choix entre trois 1 000 km (sans parler du TriRhéna qui pour moi est une épreuve à part et que je prévois également de faire, mais cette année plus modestement dans sa version light).
Finalement, dans cet espace consacré avec humour à nos renoncements temporaires, j'en arrive benoîtement à surtout parler de mes projets d'indécrotable amateur de BRM 

Je ne suis pas fiérot : aujourd'hui par flemme j'ai laissé passer une journée assez ensoleillée, la dernière presque douce (8 degrés à 15 h), alors que ma journée de ski samedi sous une météo presque exécrable - petite neige toute la journée et visibilité faible - a été relativement peu fatiguante (arrêt avant le butoir horaire, dû aussi qu'un de mes deux complices skiait avec une petite blessure antérieure et que l'autre avait par inadvertance et imprudence dans le brouillard fait un vol de quelques mètres en contrebas de la piste avec conséquemment, malgré une neige poudreuse, des douleurs costales de possibles félures). 
Bref, j'ai pas assuré  et je me suis contenté de lire un roman de passant dans l'arctique (brrr...).
Je vais essayer (hihi) de rouler demain (soleil et froid), et si possible effectuer jeudi ou vendredi ma 61ème étape de mon dodécaudax continu.

Samedi ski (sous la neige), dimanche repos. Lundi pas motivé, mardi beau mais vent de folie.
Aujourd'hui moins froid qu'annoncé (donc un peu trop habillé, hihi), beau soleil, mais vent toujours fort puis très très fort en montant, au point que dans ma première ascension j'ai l'impression de faire du sur-place, malgré un gros effort : la route La Fouillouse-St Héand en plus à un revêtement récent bien pourrie (et déjà dégradé) qui ne rend pas et pour me dépanner j'ai mis un pneu premier prix à l'avant, lourd et rigide qui n'améliore certainement pas le truc... Je renonce à la deuxième montée qui suit vers le col du Pilon, redescend sur la Fouillouse, mais par St-Bonnet-les-Oules pour rallonger, décide quant même de monter de l'autre côté vers le Chasseur, pensant bénéficier peut-être d'un vent favorable : bof, pas vraiment, même s'il a moins été gênant. 
On verra demain s'il y a du changement : on peut penser que fixie plus dénivelé plus vent plus gonarthrose ça fait beaucoup... mais franchement j'ai quant même aimé la bagarre car le format choisi restait digeste.
46 km avec 667 m de dénivelé à 18,2 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1464238277/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1521648667

Samedi dernier, c'était la dernière sortie de ski du club dont je m'occupe : soleil, neige dure puis lourde car grosse chaleur - isotherme 0° à 3 000 m - et j'ai fini les genoux explosés (c'est une image, hein).
Résultat, si j'avais antérieurement envisagé de rouler le dimanche, mes jambes lourdes m'en ont dissuadé. 
Je pensais dans l'immédiat en avoir fini avec ces grosses sollicitations musculaires (à moins d'une sortie ski départ en voiture), mais trois de mes potes m'ont relancé pour une journée supplémentaire samedi prochain à Courchevel, un club ami ayant rajouté une ultime sortie au vu de l'état neigeux inhabituel en cette fin de saison : donc comme il va pleuvoir chez moi encore cette semaine je risque de connaître une semaine de plus où j'aurai relativement peu roulé : déjà aujourd'hui début d'averse vers 14 h et comme j'avais des mini courbatures aux mollets et les tendons d'Achille sensibles, je me suis plongé dans un polar...
Je roule demain.
J'ai lu récemment que des compétiteurs essaient une nouvelle méthode, qui serait celle de l'équipe Sky : la méthode classique - petit à petit commencer après la coupure par des sorties en endurance, en allongeant progressivement les distances, puis enchaîner par de plus en plus d'intensité des premières compétitions aux gros rendez-vous - méthode qui aurait l'inconvénient de risquer d'arriver fatigué sur ces dernières. 
Il serait intéressant de faire chronologiquement le contraire (à condition d'être expérimenté et d'avoir peu coupé) : commencer par des séances courtes et intenses, puis une fois les résultats acquis augmenter les distances à intensité faible à moyenne...
Je me suis rendu compte que c'était presque ce que je faisais cette année (hormis trois fois 200 km), des séances courtes et intenses (pignon fixe avec dénivelé) pour compenser le fait que j'avais fait en moyenne deux sorties seulement par semaine, sauf deux à une sortie et deux à trois sorties, auxquelles ce rajoutait une sortie intensive de ski (travail de force avec un tout petit peu de cardio)... Je commencerai ensuite la longue distance par un premier 300 km le 21 avril.
L'année passée j'avais une sortie de 800 km en pignon fixe à la même période...
On verra si cette année je me sens bien en juin...prêt à aborder 1 000 et 1 200 km...

Bon, c'était hier mais ça compte 
Inscrit sur le 300 d'Ernée,
jusqu'à vendredi tout semblait aller, j'étais prêt, le vélo aussi après changement de la roulette du brin tendu et du dérailleur AR Ultegra route pour un XT ( modèle VTT dernière génération et son shifter) Côté matériel tout était top!
Côté "envie" les premiers signes inquiétants sont apparus vendredi, un je ne sais quoi comme qui dirait que "je ne le sentais pas", 
Ça ne me disait rien! mais j'étais inscrit et les repas (petit dej et dejeuner) prévus par le club organisateur réservés (juste le petit dej payé d'avance)
Samedi lever 1h et départ de la maison vers 2h15 pour rejoindre Ernée en voiture, le départ du brevet est donné à 4h.
Sur la route, la gamberge reprend de plus belle, je m'explique mal ce qui me prend mais plus j'approche d'Ernée et moins j'ai envie de rouler. Ces 300km a faire me semblent trop, pourtant j'en ai déjà une belle collection à mon actif, alors... Et puis le suivant c'est 400 (à Angers) en mai, le 600 RBR en juin et pour dernier objectif de la saison le 1200 Raa en juillet. 
Je tente bien de me raisonner, mais décidément, non je ne le sens pas. Failli même faire demi-tour a l'entrée d'Ernée. Je prend sur moi, rejoints le départ. Sur le parking, plein de cyclos se préparent, j'en fait de même mais tourne en rond autour de la voiture. Qu'est-ce que je fait, j'y vais, j'y vais pas ... je m'interroge en permanence sans décider néanmoins de renoncer...
Je vais chercher ma carte de route. 
Le local des cyclos Ernéens est plein, un petit café, je discute avec l'un et l'autre en attendant qu'on nous libère. Malgré les apparences, je ne me sent toujours pas prêt pour faire 300bornes.
Je me dit qu'une fois parti ... je ne penserai plus à tout ça et essaye de donner le change mais on ne se raconte pas d'histoire hein!
Car en fait, à peine parti, mes démons reprennent la main "ne va pas trop loin si tu ne pense pas aller au bout" "arrête maintenant" 
On n'a pas fait 5km je pose pied à terre et regarde s'éloigner la file de feux rouge. Je reste là 1 minute, comme suspendu et définitivement repars dans l'autre sens. 
Après avoir prévenu les organisateurs (en donnant une excuse bidon bien sûr) c'est retour à la maison. Le pire c'est que, loin de me soulager, cet abandon m'a culpabilisé. Je n'ai cessé toute la route de me questionner sur ses véritables raisons: peut-être que j'ai fait le tour de cette pratique cycliste, faire "l'andouille " sur un vélo de nuit ce n'est plus pour moi, comment vais-je faire pour le 600 et le 1200, je suis inscrit et c'est même payé, je manque de solidité mentale peut-être, même ma pratique du vélo couché faut que je la remette en question. Ça part dans tous les sens, je me sent mal!
A 6h je suis de retour à la maison, m'allonge dans le canapé et dors une bonne heure. La journée n'a pas été terrible
Du coup ce matin c'était sortie club, 80km en partie sous la pluie bien fait!  

Je pense que cela est déjà arrivé à bon nombre d'entre nous , pour des raisons diverses et variées et même sans raison précise ...

Je te souhaite de retrouver L'ENVIE  !

Bien amicalement  ctc86

CTC86 a écrit:

Je pense que cela est déjà arrivé à bon nombre d'entre nous , pour des raisons diverses et variées et même sans raison précise ...

Je te souhaite de retrouver L'ENVIE  !

Bien amicalement  ctc86

Merci Bernard

Je trouve ton attitude...NORMALE !!

Surtout ne culpabilise pas. Ce qu'il faut se demander c'est plutôt comment on fait pour prendre la route à 4h du mat' pour une douzaine d'heure le fessier compressé, les cuisses contractées, les mains engourdies et j'en passe...
Cette pratique de la longue distance est atypique (y'a qu'à voir les fabriquant de textile vélo tous fiers d'annoncer qu'on peut rouler "jusqu'à 5 heures" avec leur cuissard...!!)

Alors des fois le corps et l'esprit se rebellent et on a envie de rentrer dans le rang des cyclos "normaux" (sortie de 80 bornes le dimanche en peloton le nez sur la moyenne...)

Sauf que ça reviendra, c'est sûr ! Repose toi, fais du vélo pour le plaisir quand tu en as envie et ça reviendra !!

O
Bin moi, je ne s'est pas ce qui est normal ou pas normal, en l'espèce...
Cette " confession " par empathie me fait aussi un effet un peu tristounet...
On va espérer que tu retrouvera une motivation et pas un pis-aller, de quelqu'en soit la nature...
Et moi, après un samedi intense à Courchevel (beaucoup de hors-piste en neige de printemps), 




je n'ai pas roulé aujourd'hui, et pourtant j'en avais envie, mais en me levant de mon canapé pour préparer le vélo, j'ai senti l'état musculaire de mes jambes, associé à des douleurs aux genoux et en plus léger également aux dorsaux : je me suis rassis et me disant, ce n'est pas raisonnable... Pour me donner malgré tout bonne conscience j'ai vérifié immédiatement la météo à venir : plutôt bonne en début de semaine, ce sera suffisant (je fais mon BRM 300 samedi)

Ce matin 6h j'ai failli faire demi-tour vu la pluie je me suis même arrêté sur aire de repos. Pareil"qu'est ce que tu fous là. ???" Et une voix douce à la radio me dit de ne pas m'inquiéter que le soleil arrivera vite. Bon ok j'y vais... La dame a menti d'ailleurs !

Demain je n'ai pas envie d'aller bosser et pourtant je suis payé pour... La motivation devrait être là pourtant.

Ce qu'il faut vérifier c'est si tu perds l'envie uniquement pour la longue distance ou pour les autres activités également. Là ça peut devenir un symptôme d'une petite déprime passagère.

Courage à toi et change toi les idées en coupant un peu avec le vélo et en variant tes activités

Je comprends parfaitement ton état d'esprit, je suis un peu comme toi la motivation n'est plus là cette année peut être de la lassitude: je me pose également la question des routes de nuit et pourtant j'ai passé de nombreuses nuits sur mon vélo depuis 1982 sans problème. Je rejoins Querex pour dire que dans l'immédiat il suffit peut être de prendre son plaisir et de rentrer dans le rang des cyclos "normaux" ... et puis PBP n'est que l'année prochaine ce qui laisse encore le temps de retrouver l'envie   pour se remotiver pour un nouveau challenge ! Ne culpabilise pas pour ton abandon ça arrive à d'autres aussi expérimentés que toi