Dodécaudax en Anjou

Après les nuits de solstices, nous avons attaqué dans la nuit de vendredi 18 à samedi 19 septembre les nuits d'équinoxes, d'automne en l'occurrence.
En voici le récit humide (je ne vous en dis pas plus) :

https://drive.google.com/file/d/1SLAa9vEXr51pSpIrPSCvH2aUUklhgKUn/view?usp=sharing

Bonne lecture.
Jean-Claude

Encore une belle balade arrosée, faut toujours que ces gendarmes se la pêtent et fassent voir leur autorité, tu as bien fait de répondre, ca n'a pas du plaire, depuis le confinement je ne peux plus les blairer, on dirait qu'ils en veulent aux cyclistes encore dernièrement on roulait a 4 dans une descente en file indienne, un motard arrive à notre hauteur et nous dit, vous devez rouler en file indienne, ben c'est ce qu'on fait non! et lui de dire vous n'êtes pas roue dans roue vous ne devez pas rouler décaler   J'en ai rencontré des abrutis mais lui il a décroché le pompon.

Sinon je constate que ta dame a la ligne contrairement à toi 

Bravo aux Angevins,

j'ai voulu organiser un 200 de nuit durant la canicule, mais les Yonnais n'ont pas voulu participer !!

Daniel a écrit:

Bravo aux Angevins,

j'ai voulu organiser un 200 de nuit durant la canicule, mais les Yonnais n'ont pas voulu participer !!

Les randos nocturnes font souvent peur. Et pourtant, il y a parfois de fort belles nuits. Mais on ne gagne pas toujours à la loterie de la météo...
Si tu souhaites venir à la prochaine "NASH", tu seras le bienvenu, Daniel.

veloblan a écrit:

Encore une belle balade arrosée, faut toujours que ces gendarmes se la pêtent et fassent voir leur autorité, tu as bien fait de répondre, ca n'a pas du plaire, depuis le confinement je ne peux plus les blairer, on dirait qu'ils en veulent aux cyclistes encore dernièrement on roulait a 4 dans une descente en file indienne, un motard arrive à notre hauteur et nous dit, vous devez rouler en file indienne, ben c'est ce qu'on fait non! et lui de dire vous n'êtes pas roue dans roue vous ne devez pas rouler décaler   J'en ai rencontré des abrutis mais lui il a décroché le pompon.

Sinon je constate que ta dame a la ligne contrairement à toi 

Toujours des remarques gentilles, Michel , mais tu as un peu raison...
Les gendarmes, c'est comme dans toutes les professions et dans tous les domaines : il y en a beaucoup de bien et d'autres, nettement plus c... .
Certains veulent faire preuve de zèle et d'autoritarisme pas toujours à propos. Mais bon, ils n'ont pas toujours la vie facile surtout en ce moment. Alors...

En Anjou, nous avons repris hier nos sorties "Dodécaudax" en groupe, avec un mois d'avance par rapport aux autres années. En respectant évidemment les gestes barrières (masques et distanciation lors des arrêts).
Nous avons fait d'une "pierre deux coups" puisque dans notre sortie de 200 km, nous avons intégré un "Rayon Cyclotouriste Angevin", celui de Solesmes cette fois.
Les "Rayons Cyclotouristes Angevins", au nombre de 11, sont des randonnées permanentes centrées sur Angers et qui permettent de visiter l'Anjou. Le site dédié a pour adresse :  http://lesrayonscyclotouristesangevins.e-monsite.com (une rubrique a déjà été ouverte à leur sujet sur ce forum).

Voici le récit de notre sortie "Dodécaudax" d'hier :

https://drive.google.com/file/d/1-7oPNVtzx271zX05jYD1L7Oyiiilirf8/view?usp=sharing

Bonne lecture.
Jean-Claude

En Anjou, nous avions l'habitude d'effectuer nos sorties Dodécaudax en groupe pendant les mois d'hiver. Mais hier, ce fut un Dodécaudax en couple.
En voici le récit :

https://drive.google.com/file/d/1LuroNUtLN0PtQOP1D84gVnU6xqciuawr/view?usp=sharing

Bonne lecture et bonne année 2021 aux Dodécaudaxiens, malgré tout.
Jean-Claude

Salut l'ancien
Je vous trouve bien motivé par les temps qui courent.
Vraiment pas envie de faire 200 bornes en ce moment, je roule mais chez moi sur un HT connecté  qui donne les mêmes sensations que sur la route sans les inconvénients, sur Rouvy je vois défiler les paysages comme si j'y étais et les bosses à 15 % font bien mal.
En Auvergne pas de dégel depuis plusieurs jours, mon pote Sergio s'est retrouvé seul hier pour sa sortie club, il m'a demandé de venir, j'ai décliné.
Le dégel arrive, je vais enfin ressortir mais de là à faire 200 bornes 
Bravo les jeunes, vous êtes des costauds, mes hommages à Madame 

Vu les risques de confinement, jamais certains mais toujours possibles, Nicole et moi avions programmé notre Dodécaudax de février dès les premiers jours. Problème : la météo n'était vraiment pas annoncée favorable pour cette semaine. Alors tant pis, nous nous sommes lancés dès hier lundi 1er février.
Les vents forts étant prévus d'Ouest, j'avais choisi d'aller faire un tour en Loire-Atlantique de façon à revenir vent dans le dos, ce qui est quand même très préférable, surtout quand la forme est assez précaire. Nous avons donc effectué un beau circuit déjà fait en gros groupe (une bonne douzaine) en novembre 2019.
Nous avons été accompagnés par 2 copains du club, Jean-Noël et Claude, habitués de nos sorties dodécaudaxiennes.
Nous sommes partis à 7 h du Vélodrome d'Angers, à la lumière bien sûr. Température douce (11 °C), pas de pluie, assez peu de vent. Que demander de mieux ?
Nous sommes assez vite sortis de l'agglomération, mais dans un rond-point, j'ai bien failli me faire percuter par une voiture qui venait plein pot alors que je lui avais envoyé un coup de frontale pour bien le prévenir. Heureusement que j'ai freiné ! Les automobilistes semblent vraiment pressés de reprendre le boulot le lundi matin ou bien c'est plutôt qu'ils partent de chez eux "à la bourre" ?
Pour rejoindre le premier arrêt prévu à Châteaubriant (km 82,5), il était bien sûr évident que nous allions souffrir un peu face au vent généralement défavorable et sous quelques bonnes averses. Heureusement, notre parcours empruntait souvent des petites routes assez bien abritées. Mais hier, nous n'avions pas les jambes. Peut-être en raison d'une semaine précédente consacrée à des travaux d'extérieur inhabituels ? ou bien à cause de la sortie club de dimanche trop proche ? Heureusement que nos 2 compagnons nous ont attendus car ce n'était pas la gloire, surtout dans les bosses bien sûr.
Nous sommes arrivés à Châteaubriant à 10 h 45, juste après averse. Nous avons trouvé un grand porche pour nous abriter et casser la croûte car bien sûr, les bars étaient fermés. Et puis, juste avant de repartir, nous avons dû changer la chambre à air bien molle de la roue avant de Nicole. Il nous restait alors une dizaine de km à faire face au vent et notre moral remontait en flèche. En effet, après le point de rebroussement de St-Aubin-des-Châteaux, quel changement ! Et sur un magnifique revêtement en plus !
À Grand-Auverné, Claude a réussi à négocier 4 cafés dans une "vente à emporter" pour fêter son anniversaire. Et nous en avons profité pour grignoter encore un petit peu. Après Riaillé, nous avons bien apprécié le vent plein dos qui est devenu un peu de travers avant Varades alors qu'une nouvelle averse nous arrosait. Mais une superbe pâtisserie nous y tendait les bras et j'ai proposé que nous nous y arrêtions pour déguster d'excellents pains au chocolat aux amandes.
Le retour le long de la Loire, alors que les champs alentour étaient transformés en lacs presque sur le point de déborder sur notre route, ne fut qu'une formalité, à part les 2 ou 3 dernières bosses à passer, gravies à notre main, c'est-à-dire pas bien vite.
202 km effectués en 9 h 14 de vélo à 21,9 km/h. 1238 m de dénivelée. Une belle balade sur des routes sympa. Un peu difficile à cause du vent et de la pluie, mais nous nous attendions à pire au niveau des conditions météo. Et une très bonne ambiance entre nous 4. Merci Jean-Noël et Claude d'avoir été patients.

Merci Jean-Claude,

Profitons autant que possible.

Bravo a toi Jean claude et a ta femme également

Bravo les Angevins! Hormis le contexte sanitaire, cette période hivernale très pluvieuse impose (quand on le peut!) de saisir les créneaux météos disponibles, et ceux-ci sont chiches!
       J'ai pu rouler 106 bornes hier sous un ciel nuageux mais température très douce. J'essuie régulièrement un grain ces temps-ci, et même parfois plus qu'un grain. Ce matin, je pars plutôt confiant et au bout de 20mn,le ciel se couvre soudainement. Direction la maison en vitesse pour arriver tout dégoulinant avec 18,6km au GPS! Heureusement que je roule l'hiver avec le mulet car la mécanique dérouille... ou rouille!

Oui Didier, en ce moment, c'est le régime de la douche écossaise (sauf qu'il fait doux). À chaque retour de sortie, les vélos reviennent dans des états pas possibles même quand il ne pleut pas trop car les chaussées sont rarement sèches. Alors en effet, il y a du temps à passer à tout nettoyer et la mécanique souffre un peu elle aussi.

Hier mercredi 3 mars, nous avons été quelques Angevins à valider notre Dodécaudax de mars en effectuant un nouveau "Rayon Cyclotouriste Angevin" (celui de Fontevraud) assorti d'une rallonge pour atteindre les 200 km.
Tout s'est bien passé.
En voici le récit :

https://drive.google.com/file/d/1CTWBxCpNpaZuc_aZDLTnhsh0ZtwedQ24/view?usp=sharing

Bonne lecture.
Jean-Claude

Kes kil écrit bien le Jean Claude 
Encore un beau 200 sans forcer   le seul truc chiant c'est le covid 

Avant d'être à nouveau confinés autour de notre domicile, nous avons profité de notre dernier jour de liberté non surveillée (hier samedi 3) pour valider notre Dodécaudax d'avril.
En voici le récit :

https://drive.google.com/file/d/164ePale5wqcDuWQSMUvAll9XPePqeXMD/view?usp=sharing

Bonne lecture.
L'angevin de service.

Encore de la belle ouvrage!
              Magnifique façon de donner de la vie aux années!

Mardi dernier 23 mai, nous avons repris nos sorties Dodécaudax en groupe. Nous étions 13 pour ces retrouvailles fort agréables.
Notre sortie s'est bien passée malgré le fort vent d'Ouest à Nord-Ouest. Mais il nous a bien poussés au retour ; alors de quoi se plaindre. Surtout que la pluie a été absente, contrairement à la veille et au lendemain.
Samedi midi 19 mai, j'avais trébuché dans mes marches extérieures en allant relever mon courrier dans ma boîte à lettres (un comble ! )   . Bilan : abrasions multiples au visage plus ou moins profondes et 4 points de suture à l'intérieur de ma lèvre inférieure (c'est d'ailleurs ce qui m'embête le plus). Mais cela ne m'a pas empêché de participer à la sortie de mardi, sans trop de problèmes même si ma forme était assez moyenne. Mon état de santé s'améliore doucement de jour en jour.

Voici le lien vers le récit illustré que j'ai écrit de notre belle sortie :

https://drive.google.com/file/d/1cZKhOiNNQ0fn7SG3p2VZ0pEGPscm_aiS/view?usp=sharing

Bonne lecture.
Jean-Claude

Bonjour Jean-Claude!
                   Ces vélodromes de province sont chargés d'histoire et ont été écrits de très belles pages d'une autre ère du cyclisme. En Normandie, existent ceux de Caen, Lisieux, Le Neubourg, Deauville. Les 3 premiers cités sont encore des lieux de compétition pour quelques jeunes, malheureusement trop peu nombreux. Et l'organisation des épreuves est souvent soumise aux aléas du climat normand.
                   J'ai vu quelques photos des années 50 et 60 où l'on voit des champions normands (Jacques Anquetil, Gérard Saint) qui rassemblaient un très nombreux public lorsqu'ils se produisaient.
                   Le vent a imposé sa volonté lors de votre dernière sortie dodécaudax. Nous avons tous subi ses affres chacun où nous roulons lors de ces dernières semaines. Mais parfois, nous étions aussi drôlement costauds.
                   A bientôt pour le CR de juin.

Salut Didier,
Oui, la Normandie a toujours été une terre de vélo, sans doute un peu moins que la Bretagne, mais pas très loin derrière. Elle a vu éclore de très beaux champions. Sans doute les vélodromes que tu cites ont-ils un peu contribué à leur formation ?
Hélas maintenant, la piste est assez tombée en désuétude et les réunions sur vélodrome se font très rares, à part sur les grands et encore... Désormais, le VTT a pris une grande place dans le cyclisme et il faut reconnaître que c'est aussi une très bonne école puisque beaucoup de grands champions actuels en sont issus. Mes petits-fils adorent cette discipline ainsi que le cyclo-cross, mais ils n'aiment pas la route (jumeaux de 14 ans bientôt, donc minimes 2ème année). Ils font de la "compète" ; enfin depuis un an et demi, ils n'ont pas pu courir beaucoup avec la pandémie. Ils se débrouillent bien.
Bonnes randonnées et bons futurs BRM puisqu'ils commencent à reprendre timidement.
Jean-Claude

Encore un beau récit de Jean Claude, je vois que Nicole pète toujours la forme
Sur ce, je file passer une semaine en Lozère, terre de cyclisme 

Nicole ? Ça va mieux car il y a un bon mois, elle a souffert du genou droit après le Dodécaudax d'avril. Elle a vu un médecin du sport ; diagnostic : arthrose. Bon elle s'en doutait un peu... Le toubib lui a préconisé de la kiné pour remuscler les cuisses et les mollets (???) ; finalement, elle n'a toujours pas commencé les séances car le kiné était surbooké ; elle s'est fait sa propre kiné sur le vélo et ça marche peut-être mieux ? Mardi, elle a bien roulé et n'a même pas eu mal après ; alors...

bubu24 a écrit:

Bonjour Jean-Claude!
                   Ces vélodromes de province sont chargés d'histoire et ont été écrits de très belles pages d'une autre ère du cyclisme. En Normandie, existent ceux de Caen, Lisieux, Le Neubourg, Deauville. Les 3 premiers cités sont encore des lieux de compétition pour quelques jeunes, malheureusement trop peu nombreux. Et l'organisation des épreuves est souvent soumise aux aléas du climat normand.
                   J'ai vu quelques photos des années 50 et 60 où l'on voit des champions normands (Jacques Anquetil, Gérard Saint) qui rassemblaient un très nombreux public lorsqu'ils se produisaient.
                  

 Oh bubu l'oubli ! Le Havre a toujours son vélodrome... mais inutilisé. Il a certainement connu ses heures de gloire à l'époque de Yavé Cahard, un sprinteur pur jus du Havre (quartier Sanvic).
Aujourd'hui, la ville ne sait pas trop quoi en faire. Aucun club ne semble envisager de reprendre cette activité... pas sûr d'ailleurs que les gamins d'aujourd'hui soient attirés par la piste... à l'opposé,  sur la plage, le skatepark, en libre service, fait le plein tous les jours.

Tu as oublié Jean Jourden... coureur hyper doué, mais fragile mentalement et physiquement. Formé aussi par André Boucher l'entraineur d'Anquetil au sein du   club de Sotteville les Rouen...
Gamin, mon père m'emmenait voir la finale du Maillot des Jeunes (à Pont-Audemer) et la finale du maillot des As sur le circuit des Essarts à Rouen...une finale sous forme de course contre la montre. 80 km pour les jeunes et 120 pour les As !
On savait que son protégé était en tête quand on entendait la Peugeot de Boucher au loin, avec le klaxon à fond ! histoire de dire au jeunot qu'il ne fallait pas mollir... . Jean Jourden a ouvert un magasin de cycles à Pont-Audemer. Vite fermé pour faillite je crois.

lmvv a écrit:

Salut Didier,
Oui, la Normandie a toujours été une terre de vélo, sans doute un peu moins que la Bretagne, mais pas très loin derrière. Elle a vu éclore de très beaux champions. Sans doute les vélodromes que tu cites ont-ils un peu contribué à leur formation ?
Hélas maintenant, la piste est assez tombée en désuétude et les réunions sur vélodrome se font très rares, à part sur les grands et encore... Désormais, le VTT a pris une grande place dans le cyclisme et il faut reconnaître que c'est aussi une très bonne école puisque beaucoup de grands champions actuels en sont issus. Mes petits-fils adorent cette discipline ainsi que le cyclo-cross, mais ils n'aiment pas la route (jumeaux de 14 ans bientôt, donc minimes 2ème année). Ils font de la "compète" ; enfin depuis un an et demi, ils n'ont pas pu courir beaucoup avec la pandémie. Ils se débrouillent bien.
Bonnes randonnées et bons futurs BRM puisqu'ils commencent à reprendre timidement.
Jean-Claude

Oui, j'imagine bien tes petits fils prendre du plaisir au VTT...
Il faut être le grand-père pour s'éclater sur les longues distances !

Ah oui... Désolé pour avoir oublié Jean Jourden, coureur pétri de classe mais qui connut une triste fin.
           La piste a connu ses heures de gloire et est maintenant délaissée à la fois par les pratiquants et le public.
           Faut-il s'en attrister? D'une part, comment ne pas être nostalgique de l'ambiance qui régnait autour des anneaux de bois ou de ciment, mais d'autre part, il faut savoir accepter que les goûts et les attractivités évoluent au fil des époques car nous-mêmes ne voyions déjà pas les choses comme nos parents ou grand parents.