Présentation de Paris-Brest-Paris Randonneurs 2019

lmvv a écrit:

En France métropolitaine, les BRM qualificatifs à PBP ne peuvent pas commencer avant le 23 février 2019. Peut-être la date est-elle avancée pour certains pays de l'hémisphère sud ?
La solution préconisée par Roland est sans doute plus simple, à savoir remplacer le 200 manqué par un BRM de distance supérieure (pourquoi pas le BRM 1000 d'Angers du 22 juin 2019 ?  )

C'existe quelques pays dans l'Europe (Belgique, Pays Bas, Grande Bretagne, Romanie) ou le saison de randonneur n'arrete pas. Dans ce pays tu peut faire des BRM's 200 aussie dans l'hiver, ils comptent pour le qualification.

A orchies on a résolu le probleme de l'hotel veille du départ
On va être une dizaine au depart et on fera aller retour le samedi j'explique
Nuit hotel 20€+repas du soir 20€+petit dej 5€+ repas du midi 20€+ casse croute le soir depart 15€ total 80€
On va prendre la remorque 10 velos et 2 voitures avec chacun participation aux frais de 20€ et dodo à la maison repas du midi jour depart pris à la maison et on prend le casee croute pour le soir
Calcul fait ça nous coutera par voiture AR 40€ carburant + 40€ peages soit 80€ divisés par 5 allez à la louche 20€ soit benef 60€ par personne et un bon sommeil à la maison plutôt que le bruit dans l'hotel et une looooongue attente le dimanche
pour le dimanche du depart chacun partira selon ses convenances

PBP est encore bien loin pour faire des prévisions, un grain de sable peut tout enrayer ( mon cas en 2015) c'est prévu si tout va bien 

veloblan a écrit:

PBP est encore bien loin pour faire des prévisions, un grain de sable peut tout enrayer ( mon cas en 2015) c'est prévu si tout va bien 

Tu as bien raison, moi cette année ça été le cas pour le TriRhéna...
Évidemment je prévois le PBP, peut-être en pignon fixe... : à quasi 71 ans ça devient un défi, parce qu'en plus j'ai de l'arthrose aux genoux (pour rigoler des psycho-rigides et autres pisse-froids qui savent à quel âge on est vieux et on doit s'abstenir de vivre). 

sccber a écrit:

…
en plus j'ai de l'arthrose aux genoux…

Ah bon ?

Roland a écrit:

sccber a écrit:

…
en plus j'ai de l'arthrose aux genoux…

Ah bon ?

Bonjour à tous,
juste au cas ou quelqu'un aurait un peu de temps pour m'expliquer pourquoi on voudrait hypothéquer les chances de réussite...
J'ai l'impression sans doute fausse, ben oui j'ai pas compris le concept, que c'est l'annonce d'un échec quasi certain.
Ce n'est plus un grain de sable, c'est la dune du Pilat.

Bonne route à tous

Paddy a écrit:

Roland a écrit:

sccber a écrit:

…
en plus j'ai de l'arthrose aux genoux…

Ah bon ?

Bonjour à tous,
juste au cas ou quelqu'un aurait un peu de temps pour m'expliquer pourquoi on voudrait hypothéquer les chances de réussite...
J'ai l'impression sans doute fausse, ben oui j'ai pas compris le concept, que c'est l'annonce d'un échec quasi certain.
Ce n'est plus un grain de sable, c'est la dune du Pilat.

Bonne route à tous

Il n'y a pas corrélation entre tes impressions (sur quels critères ?) et ce qu'une autre personne se croit capable de faire. 
Et pourquoi parler dans ce cas de concept ? Paris-Brest-Paris est ouvert à tous les participants qui roulent sur des engins mus par la seule force musculaire : voili-voilà ce qu'on pourrait appeler le concept génial et général depuis des décennies. Il faudrait - je pousse le bouchon - pour ne pas hypothéquer ses chances partir avec le vélo le plus efficace du marché sur cette distance (si l'on pouvait d'ailleurs en trouver la recette) ? Et que dire des cyclistes qui tentent le 1 000 du Sud avec un vélo couché ? Que la plupart ont hypothéqué leurs chances ?
Je conclu : je n'ai pas l'esprit de compétition, cela ne fait pas parti de mes valeurs, et donc cela m'importe peu si je fini hors délai parce que ça été trop difficile pour moi avec cet engin (par contre, cela m'est plus difficile à vivre si c'est pour des raisons de mauvaise gestion ou d'erreur comme celle où je me suis infligé un lumbago (dormir au froid tordu sur un mini banc) lors de mon dernier 1 000 km, alors que j'avais une bonne douzaine d'heure d'avance sur les délais à 250 km de l'arrivée et que j'étais en pleine forme.
De toute façon, on devrait s'aligner sur des brevets (ou tout autre chose d'ailleurs) que si on est sûr de réussir ? 
Pour moi, finir en moins de 90 h le PBP avec mon fixie m'apporterait plus de satisfaction que de le finir avec mon carbone aux alentours de 73 h 30 comme mes deux derniers. 
Sans me comparer à eux, j'imagine que c'était un peu ce qui avait motivé Sophie Matter en 2011, quand elle l'avait fait en vélo de ville, jupe et panier de fleurs, ou encore plus difficile, Drew Buck avec son vélo de 1920.

+1 avec sccber
pour " finir en moins de 90 h le PBP" le vélo n'est pas l'élément déterminant

sccber a écrit:

Pour moi, finir en moins de 90 h le PBP avec mon fixie m'apporterait plus de satisfaction que de le finir avec mon carbone aux alentours de 73 h 30 comme mes deux derniers.

Bonjour à tous,
pas de problème et bien sur que je te souhaite de réussir, mais à combien évalues-tu la différence de temps entre les 73h30 "carbone" et le même parcours en fixie ?
Personnellement je perds quasiment 7km/h de moyenne, 5 étant un minimum.
En prenant mon temps de 2015 je peux évaluer à 15H de plus de temps de parcours en fixie ça commence à faire cher.

De toute façon et ce n'est pas de hier je n'arrive jamais à comprendre l'envie de certains de durcir une épreuve.
Mais j'ai une excuse pour ne pas comprendre, c'est ce que j'ai appris à l'école.

Bonne route à tous.

15 heures de bonheur en plus, il ne faut pas cracher dessus.

Tous les goûts sont dans la nature, on le sait bien ...
Les BRM, PBP et pleins d'épreuves anciennes ou nouvelles sont quand même déjà assez difficiles comme ça. D'ailleurs, sur ce forum et ailleurs, pas mal de gens se plaignent de la surenchère actuelle.
Maintenant, que certains soient masochistes et trouvent que ces épreuves ne sont pas assez dures, pourquoi pas ?
Personnellement, je préfère "jouer petit bras" et essayer de préserver ma petite santé pour les quelques vieux jours qui me restent à vivre ... Et si possible rentrer dans les délais impartis (c'est un peu dans ma "culture" ).
Maintenant, encore une fois, toutes les opinions et tous les modes de fonctionnement sont personnels et respectables.

Paddy a écrit:

Roland a écrit:

sccber a écrit:

…
en plus j'ai de l'arthrose aux genoux…

Ah bon ?

Bonjour à tous,
juste au cas ou quelqu'un aurait un peu de temps pour m'expliquer pourquoi on voudrait hypothéquer les chances de réussite...
J'ai l'impression sans doute fausse, ben oui j'ai pas compris le concept, que c'est l'annonce d'un échec quasi certain.
Ce n'est plus un grain de sable, c'est la dune du Pilat.

Bonne route à tous

A chaque édition des gens font PBP en pignon fixe et finissent, ça demande plus d'entrainement qu'avec un vélo à vitesses mais ça se fait. La limite pour beaucoup c'est d'avoir le temps de s'entrainer.

Paddy a écrit:

sccber a écrit:

Pour moi, finir en moins de 90 h le PBP avec mon fixie m'apporterait plus de satisfaction que de le finir avec mon carbone aux alentours de 73 h 30 comme mes deux derniers.

Bonjour à tous,
pas de problème et bien sur que je te souhaite de réussir, mais à combien évalues-tu la différence de temps entre les 73h30 "carbone" et le même parcours en fixie ?
Personnellement je perds quasiment 7km/h de moyenne, 5 étant un minimum.
En prenant mon temps de 2015 je peux évaluer à 15H de plus de temps de parcours en fixie ça commence à faire cher.

De toute façon et ce n'est pas de hier je n'arrive jamais à comprendre l'envie de certains de durcir une épreuve.
Mais j'ai une excuse pour ne pas comprendre, c'est ce que j'ai appris à l'école.

Bonne route à tous.

Combien de personnes ne comprennent pas non plus l'idée de durcir un parcours de 1 230 km non stop, déjà fatiguant en voiture, en le faisant en bicyclette (j'ai lu hier cette réflexion sur Facebook de la part d'un cycliste commentant le parcours d'un ami).
Autre réponse possible : les mêmes (ou presque) ne comprennent l'idée de durcir le kilométrage en y rajoutant du dénivelé ! C'est vrai quoi, qu'est-ce qui leur a pris aux participants actuellement sur le 1 000 du Sud (particulièrement corsé cette année) ?
Etc. 
Réponse amicale, un peu capillotractée, mais si je fais du vélo c'est aussi (surtout ? au départ pour travailler après une opération du genoux, le plaisir est venu de surcroît) pour le travail physique (sinon, pour le seul plaisir de rouler sur deux roues, j'ai le permis moto, j'aurai pu m'en acheter une avec le prix de mes cinq vélos, route ou tout terrain).
Je n'ai pour ma part pas l'impression de perdre 7 km/h, ni même 5 : c'est déjà peut-être que je ne roule pas aussi vite que toi, et que la vitesse maximale ou sous-maximale et même l'allure au seuil n'est pas ma vitesse sur un 300 ou un 400 (où je me rapproche de celle que je tiens au-delà). Ainsi sur le BRM 1000 que j'ai tenté en pignon fixe en 2016, j'ai mis un peu plus de 64 h 30, soit à 21,94 km/h de moyenne roulée (46 h 44 pour 1 026 km) avec 7 700 m de dénivelé. À comparer avec mon PBP 2015 (1 248 km roulés en 56 h 33 soit 22,06 km/h moyenne roulée). Il est vrai que j'aurai presque pu mettre une ou deux heures de moins, comme je le raconte plus bas.
La moyenne est suffisamment proche malgré tout pour envisager - si, je dis bien si, le physique est au top - un PBP dans les délais (j'avais dormi 7 h sur PBP en une seule nuit). 
Après, je sais comme tout cycliste commençant à pouvoir parler d'expérience, que rien n'est jamais donné en l'espèce, mais aussi bien sur mon Fuji que sur le fixie : d'ailleurs en 2015 j'avais perdu beaucoup de temps vers le km 1 100 à cause d'une douleur subite au mollet droit. j'ai aussitôt pensé que c'était un claquage ou une élongation : j'étais catastrophé, et si certain auraient à ce moment bâché, ce que j'ai envisagé une minute, mon caractère m'a conduit à d'abord à m'étirer à minima tout doucement - sans aller à la douleur - puis à repartir, d'abord en pédalant sur une jambe, en m'arrêtant deux ou trois fois pour revérifier, puis peu à peu j'ai légèrement utilisé la jambe droite et j'ai fini normalement. D'après mon médecin du sport consulté au retour ça ne devait être plus certainement une crampe... Donc si je partais en fixie et qu'il m'arrivait un claquage suffisant pour que j'en soit réduit à l'abandon, bien sûr que certains penseraient et diraient (?) : il l'a bien cherché à vouloir durcir l'épreuve 

Tu sauras qu'un cycliste ne doit jamais se plaindre, quand je rentre frigorifié ou mouillé et si je me plains, voilà la réponse, c'est bien fait personne ne t'a forcé   

veloblan a écrit:

Tu sauras qu'un cycliste ne doit jamais se plaindre, quand je rentre frigorifié ou mouillé et si je me plains, voilà la réponse, c'est bien fait personne ne t'a forcé   

+1
quand je roule sur de longues distances - un peu usé , ou sous la pluie, dans le froid et que je croise des non cyclistes qui me disent " Bon courage !"...je leur réponds que le courage, j'en ai besoin quand je vais bosser le lundi matin ! ...le vélo , ce n'est que du loisir et du plaisir...personne ne me force à rouler dans des conditions pas toujours évidentes pour les non pratiquants

ERIC a écrit:

veloblan a écrit:

Tu sauras qu'un cycliste ne doit jamais se plaindre, quand je rentre frigorifié ou mouillé et si je me plains, voilà la réponse, c'est bien fait personne ne t'a forcé   

+1
quand je roule sur de longues distances - un peu usé , ou sous la pluie, dans le froid et que je croise des non cyclistes qui me disent " Bon courage !"...je leur réponds que le courage, j'en ai besoin quand je vais bosser le lundi matin ! ...le vélo , ce n'est que du loisir et du plaisir...personne ne me force à rouler dans des conditions pas toujours évidentes pour les non pratiquants

Un dimanche, vers 7h00 du mat' j'ai vu un joggeur…
Mon premier reflex de pensée fut de me dire « P. ! Faut être c. Un dimanche à cette heure il serait pas mieux dans son lit ? »
Puis j'ai réalisé que cela faisait 3 heures que je pédalais (c'était au cours d'une Diagonale) !!!

sccber a écrit:

d'ailleurs en 2015 j'avais perdu beaucoup de temps vers le km 1 100 à cause d'une douleur subite au mollet droit. j'ai aussitôt pensé que c'était un claquage ou une élongation : j'étais catastrophé, et si certain auraient à ce moment bâché, ce que j'ai envisagé une minute, mon caractère m'a conduit à d'abord à m'étirer à minima tout doucement - sans aller à la douleur - puis à repartir, d'abord en pédalant sur une jambe, en m'arrêtant deux ou trois fois pour revérifier, puis peu à peu j'ai légèrement utilisé la jambe droite et j'ai fini normalement.

Peut-être une piqûre de moustique ???

Roland a écrit:

ERIC a écrit:

veloblan a écrit:

Tu sauras qu'un cycliste ne doit jamais se plaindre, quand je rentre frigorifié ou mouillé et si je me plains, voilà la réponse, c'est bien fait personne ne t'a forcé   

+1
quand je roule sur de longues distances - un peu usé , ou sous la pluie, dans le froid et que je croise des non cyclistes qui me disent " Bon courage !"...je leur réponds que le courage, j'en ai besoin quand je vais bosser le lundi matin ! ...le vélo , ce n'est que du loisir et du plaisir...personne ne me force à rouler dans des conditions pas toujours évidentes pour les non pratiquants

Un dimanche, vers 7h00 du mat' j'ai vu un joggeur…
Mon premier reflex de pensée fut de me dire « P. ! Faut être c. Un dimanche à cette heure il serait pas mieux dans son lit ? »
Puis j'ai réalisé que cela faisait 3 heures que je pédalais (c'était au cours d'une Diagonale) !!!

comme toi quand je croise en voiture des cyclistes sous la pluie, je me dis l'espace d'un instant qui leur manque une case.... et puis ensuite je me dis que ça m'arrive aussi

acollongues a écrit:

sccber a écrit:

d'ailleurs en 2015 j'avais perdu beaucoup de temps vers le km 1 100 à cause d'une douleur subite au mollet droit. j'ai aussitôt pensé que c'était un claquage ou une élongation : j'étais catastrophé, et si certain auraient à ce moment bâché, ce que j'ai envisagé une minute, mon caractère m'a conduit à d'abord à m'étirer à minima tout doucement - sans aller à la douleur - puis à repartir, d'abord en pédalant sur une jambe, en m'arrêtant deux ou trois fois pour revérifier, puis peu à peu j'ai légèrement utilisé la jambe droite et j'ai fini normalement.

Peut-être une piqûre de moustique ???

Certains ont remarqué que je n'écris pas toujours court 
En réalité, j'abrège pas mal : je n'ai pas raconté tous les symptômes qui allaient dans le sens d'un problème musculaire : outre la douleur (vive et brutale), le muscle s'était légèrement rigidifié. En outre, des années de course à pieds et de tennis m'avaient déjà occasionné plusieurs claquages validés par des échographies et les docteurs... Donc, cela ressemblait foutrement à un claquage (terme générique, de la presque déchirure - l'élongation - à l'arrachement, il y a une gamme continue du véniel au très ennuyeux) et pas du tout à une crampe (j'ai connu sur marathon).
Mon médecin du sport m'a parlé de crampe, puisque je n'avais pas de séquelles douloureuses cinq jours après (je n'avais pas pris rendez-vous pour cela c'était une simple visite programmée pour renouvèlement d'ordonnance, placée astucieusement - je trouve  - juste après le PBP, des fois que...).
Les moustiques je ne connais plus depuis que j'ai quitté mon appartement en bordure de l'Isère à Grenoble pour celui de Saint-Étienne (ville à plus de 500 m d'altitude).
J'ai déjà été piqué par une guêpe (par exemple sur mon premier 1 000 km en 2010) et bien sûr je n'avait pas pensé - quelle inconséquence - à un claquage...

cricri69 a écrit:

comme toi quand je croise en voiture des cyclistes sous la pluie, je me dis l'espace d'un instant qui leur manque une case.... et puis ensuite je me dis que ça m'arrive aussi

Tu es sur qu'il ne te manque qu'une case

sccber a écrit:

Certains ont remarqué que je n'écris pas toujours court 
En réalité, j'abrège pas mal…

Tu ne devrais pas !

sccber a écrit:

… je n'ai pas raconté tous les symptômes…

Comment peut-on faire un diagnostic convenable alors ?…

sccber a écrit:

…
J'ai déjà été piqué par une guêpe…

J'avais cru que c'était une mouche !
As-tu survécu ?
La guêpe a-t-elle porté plainte ?

Roland a écrit:

sccber a écrit:

Certains ont remarqué que je n'écris pas toujours court 
En réalité, j'abrège pas mal…

Tu ne devrais pas !

sccber a écrit:

… je n'ai pas raconté tous les symptômes…

Comment peut-on faire un diagnostic convenable alors ?…

sccber a écrit:

…
J'ai déjà été piqué par une guêpe…

J'avais cru que c'était une mouche !
As-tu survécu ?
La guêpe a-t-elle porté plainte ?

En abrégé : 
Tu voulais remettre en question la conclusion, en l'espèce le diagnostique médical de ma toubib référent  (médecin du sport par ailleurs), c'est pas très sérieux (tu fais peut-être partie d'une secte qui ne croit qu'aux " médecines " alternatives, où l'on guérit un claquage avec du venin de moustique)  
Pour la guêpe, j'avais priorité et il y a eu délit de fuite, je n'ai pas pu faire de constat (non, pas une claque dans la gueule, je ne tue pas les insectes).

bruno91 a écrit:

cricri69 a écrit:

comme toi quand je croise en voiture des cyclistes sous la pluie, je me dis l'espace d'un instant qui leur manque une case.... et puis ensuite je me dis que ça m'arrive aussi

Tu es sur qu'il ne te manque qu'une case

t'inquiète je sais au moins ça

sccber a écrit:

Roland a écrit:

sccber a écrit:

Certains ont remarqué que je n'écris pas toujours court 
En réalité, j'abrège pas mal…

Tu ne devrais pas !

sccber a écrit:

… je n'ai pas raconté tous les symptômes…

Comment peut-on faire un diagnostic convenable alors ?…

sccber a écrit:

…
J'ai déjà été piqué par une guêpe…

J'avais cru que c'était une mouche !
As-tu survécu ?
La guêpe a-t-elle porté plainte ?

En abrégé : 
Tu voulais remettre en question la conclusion, en l'espèce le diagnostique médical de ma toubib référent  (médecin du sport par ailleurs), c'est pas très sérieux (tu fais peut-être partie d'une secte qui ne croit qu'aux " médecines " alternatives, où l'on guérit un claquage avec du venin de moustique)  
Pour la guêpe, j'avais priorité et il y a eu délit de fuite, je n'ai pas pu faire de constat (non, pas une claque dans la gueule, je ne tue pas les insectes).

euh pour le coup moi si... A Bochum cette semaine, j'en ai tué 5 (guêpes) le main... parce qu'elles infestaient ma chambre d'hôtel..... et que j'y suis allergique... aux guêpes pas à l'hôtel

J'ai appris à attendre que la bestiole veuille bien partir : une fois, une guêpe ou une abeille s'était posée sur ma paupière et y est restée un long moment. Une fois partie, je me suis aperçu qu'elle m'y avait laissé une petite fiante 
Les spécialistes disent aussi que vouloir tuer une guêpe lui fait expulser des phéromones et qu'ensuite les autres reviennent plus agressives. Ils préconisent, plutôt que de faire de grands gestes perçus comme des agressions, de leur souffler dessus.   
J'avoue que des guêpes dans une chambre posent d'avantage de problèmes. Qu'est-ce qui les attiraient, tu avais des produits sucrés ?
Ceci dit, je ne suis pas allergique, c'est facile d'être zen.