Qui qu'a roulé aujourd'hui . 2

Je rentre de ma plus petite de l'année, onze (11 !) kilomètres, mais sortie pour tester mon VTT avec la deuxième chaîne que je viens de lui mettre (j'ai enlevé la Dura-Ace 10 v qui s'obstinait à tomber malgré les règlages quand je voulai passer sur le grand plateau). La chaîne (celle de mon mulet 8 v à 3 000 km) passe bien, par contre elle saute quand je force sur trois pignons au moins, voire quatre, et pas les mieux placés (évidemment)... Ça va être un peu galère dans le Ventoux, mais faute de mieux...
J'ai aussi mis un support compteur filaire pour utiliser sur les deux vélos de mon Galérien le même compteur (il faudra penser à changer le diamètre de roue, ce modèle avec dénivelé n'accepte par contre qu'un diamètre à la fois au contraire des mes compteurs sans fil de la même marque) ; et le compteur sans fil du VTT s'obstine pour une raison que j'ignore à déconner sans arrêt, affichant de manière aléatoire soit la bonne vitesse, soit le double de celle-ci  
Ça fait pas trop sérieux et bricolé cette préparation, mais baste l'essentiel est d'y aller : donc, en principe - cf météo - je pars demain pour une tentative lundi. Je dormirai dans ma voiture et je ne sais pas encore trop à quelle heure commencer, mais de toute façon cela sera avant le lever du jour.
Ah oui, je viens aussi d'envoyer à Sophie mon inscription pour le 1O00 du Sud : j'espère que faire le Galérien huit jours avant son départ n'est pas trop une folie... Ce ne sera pas pour moi en tous cas une excuse pour bâcher sur le parcours : sauf imprévu grave ou casse matérielle je compte finir, dans les délais ou hors délai... Suis-je présomptueux ? On verra.
11,09 km et 303 m de dénivelé (fallait bien tester en situation les petits développements et j'ai une montée infernale à 4 km de chez moi).

Bonjour à tous;
après 15 jours sans vélo, (c'est pas malin), 100 km ce matin.
Bon coté des choses l'allure et les jambes sont là.
Mauvais coté "que" 100 km.
Je vais mettre les compteurs à jour cette semaine  

Bonne route à tous.

Pas d'arrêt pour moi depuis quinze jours (fin de ma TriRhéna), et j'ai peut-être trop roulé : on verra demain, car moi je pars en voiture pour faire 180 km demain. Oui, mais un galérien du Ventoux  
J'espère ne pas trop souffrir, mais faut pas rêver ça ne se fera pas tout seul   

sccber a écrit:

Pas d'arrêt pour moi depuis quinze jours (fin de ma TriRhéna), et j'ai peut-être trop roulé : on verra demain, car moi je pars en voiture pour faire 180 km demain. Oui, mais un galérien du Ventoux  
J'espère ne pas trop souffrir, mais faut pas rêver ça ne se fera pas tout seul   

pas d'arrêt pour moi non plus... 6 sorties depuis la TriRhena... Mais bon j'ai roulé plutôt cool... Une seule sortie un peu dure en Chartreuse... Pas pour la boire mais pour la grimper  

J'ai réussi hier mon Galérien du Ventoux. Plus difficile que je l'avais prévu - comparé à ma bicinglette de l'an passé - notamment par la difficulté de la piste forestière pleine de caillasse, et donc par endroit relativement technique, et en tout cas bien fatigante à monter (pierres roulantes), plus naturellement les huit kilomètres de route côté Bédoin et les six côté Malaucène (où j'ai regretté mon vélo route). En bref, j'ai fini un peu cramé et les cuisses sans plus de jus, d'autant que le soleil tapait dur et que j'avais vidé mon camelback. Finalement 183 km avec 5 823 m de D+ (plus de 6 000 annoncées) m'ont fait plus souffrir que les 15 800 m de la TriRhéna répartis sur 1 000 km, à moins que tout cela ne soit dû à une récupération incomplète : dans ce cas je vais souffrir sur le 1 000 du Sud.
Je suis parti de Bédoin vers 4 h 30 et au sommet quel spectacle :

La route forestière, avec la vue sur le sommet : plus que sept ou huit kilomètres de caillasse puis les six kilomètres de route (Pff...).

sccber a écrit:

J'ai réussi hier mon Galérien du Ventoux. Plus difficile que je l'avais prévu - comparé à ma bicinglette de l'an passé - notamment par la difficulté de la piste forestière pleine de caillasse, et donc par endroit relativement technique, et en tout cas bien fatigante à monter (pierres roulantes), plus naturellement les huit kilomètres de route côté Bédoin et les six côté Malaucène (où j'ai regretté mon vélo route). En bref, j'ai fini un peu cramé et les cuisses sans plus de jus, d'autant que le soleil tapait dur et que j'avais vidé mon camelback. Finalement 183 km avec 5 823 m de D+ (plus de 6 000 annoncées) m'ont fait plus souffrir que les 15 800 m de la TriRhéna répartis sur 1 000 km, à moins que tout cela ne soit dû à une récupération incomplète : dans ce cas je vais souffrir sur le 1 000 du Sud.
Je suis parti de Bédoin vers 4 h 30 et au sommet quel spectacle :

La route forestière, avec la vue sur le sommet : plus que sept ou huit kilomètres de caillasse puis les six kilomètres de route (Pff...).

chapeau Alain

Merci cricri
Je ne fais pas parti du TMV mais le Mont je commence à le connaitre : 11 fois au sommet sur 12 tentatives (une tentative ancienne un jour de tempête, où il a fallu rebrousser chemin après le chalet Reynard).
Hier Lundi, c'était plein de cyclistes, notamment sur la montée venant de Sault, que vous n'avez pas eu la chance de prendre à cause d'un temps peu propice.
Hier j'ai eu un tout petit peu de vent sur les trois ou quatre derniers kilomètres après le chalet Reynard tôt le matin. Le vent avait disparu quand je suis arrivé de Sault.

Wouah sublime le levé du soleil. Lorsque j'ai fait la montée le 20/08, j'étais partie de Sault à 7h40. Le soleil était déjà levé mais pas les voitures... C'était top cette ascension avec l'impression d'être seule au monde. Très peu de vélo également, les costauds partis de bonne heure étaient du côté Bédoin. Je suis vraiment ravie de cette découverte de la montagne pendant nos 3 semaines de vacances. Entre la semaine fédérale, le col de Rousset et le Ventoux, je me suis régalée (surtout dans les descentes  quoique la descente par Sault n'est pas très intéressante...)

Le premier cycliste que j'ai rencontré, lui qui montait moi qui traçais en descente, trois ou quatre kilomètres au dessus de Malaucène, avait dû partir vers 6 h 30 ! Je l'ai ensuite rattrapé (il montait à sa main et avait largement plus de 70 ans) et j'ai discuté un petit instant avec lui : amateur de montagne il se partageait l'année avec sa copine entre le Vaucluse et l'Ardèche (heureux homme).  
Les descentes : celle de Malaucène est la meilleure pour celui qui veut aller très vite - je suis très raisonnable, surtout quand je pars pour la journée de grimpette - mais on peut approcher la vitesse que les journalistes attribuent aux coureurs du Tour de France, tant le revêtement est bon et les virages faciles. À ce propos, j'ai croisé au départ de la descente l'engin de nettoyage chargé de faire disparaître les cailloux de la route (et sur le Ventoux des cailloux il y en a). J'avais déjà remarqué l'année passée quand j'étais parti à minuit pour ma bicinglette que les nombreux cailloux présents à cette heure avaient disparus le jour venu. Les français sont connus à juste raison pour toujours se plaindre, mais sur ce coup les cyclistes - et les motards - ne peuvent qu'être satisfaits (le reste des français va râler c'est sûr).

Bonjour à tous;
Comme prévu une sortie de 200 km ce jour, un peu plus mais ne chipotons pas.
Constat sans appel : une coupure de 15 jours n'est vraiment pas une bonne idée.
Sinon vent et pluie au programme, plus de 3 heures nez au vent et goute au nez, ça peut lasser.
Pas grand monde non plus à vélo, un seul groupe de cyclistes qui étaient en mode cyclotouriste, d'ailleurs sur leur maillot c'était écrit "cyclotourisme".
Pour ma part j'étais en mode "tu vaux quoi sur 200 seul ?" pas le même registre et j'en étais qu'au km70, j'ai dit bonjour pas plus, poliment ils ont répondu normal quoi.

Sinon le parcours était :
pointe sud ouest, pointe nord ouest, pointe nord est, point sud est du Finistère nord.
"Pointes" pas tout à fait et sans suivre le trait de côte donc que des grands axes.

Conclusion : faut aller rouler.

Bonne routa à tous.

Le vieux truc de la coupure des cyclos pro (et des autres) a deux raisons : la saturation limite sur-entraînement de ceux qui ont abusé d'heures de selle, de compétition (et de substances prohibées), et le climat hivernal peu propice au vélo. Mais le progrès de l'entraînement - notamment en course à pieds - à montré qu'aucune raison physiologique avec un entraînement intelligent ne le justifie, bien au contraire : le corps à peu de " mémoire " et perd rapidement et de façon exponentielle ses adaptations. On dit que trois semaines d'arrêt font perdre trois mois de préparation, et je dirai même que cela empire avec l'âge. D'où les problèmes de reprise si on s'est arrêté sur blessure ou maladie.
Alors pourquoi s'arrêter ? Saturation, fatigue (mais pourquoi devient-on fatigué ? Il y a nécessité de comprendre cela, ce n'est pas " normal " car un entraînement bien conduit fait dire aux spécialistes " plus on en fait, moins on se fatigue "), climat (là la réponse est Dodécaudax). Je préconiserais plutôt qu'un arrêt brutal éventuellement une baisse de l'activité et/ou un sport de substitution (course à pieds, ski de fond, etc. ).
En tous cas bravo pour cette sortie réservée à ceux qui en ont

sccber a écrit:

En tous cas bravo pour cette sortie réservée à ceux qui en ont

Des quoi ?
mdr... je crois que dans ces conditions... j'en ai pas...

J'ai choisi cette formule pour qu'on me pose la question. Gagné
Du courage et de la volonté ? Ça va ?

sccber a écrit:

Le vieux truc de la coupure des cyclos pro (et des autres) a deux raisons : la saturation limite sur-entraînement de ceux qui ont abusé d'heures de selle, de compétition (et de substances prohibées), et le climat hivernal peu propice au vélo. Mais le progrès de l'entraînement - notamment en course à pieds - à montré qu'aucune raison physiologique avec un entraînement intelligent ne le justifie, bien au contraire : le corps à peu de " mémoire " et perd rapidement et de façon exponentielle ses adaptations. On dit que trois semaines d'arrêt font perdre trois mois de préparation, et je dirai même que cela empire avec l'âge. D'où les problèmes de reprise si on s'est arrêté sur blessure ou maladie.
Alors pourquoi s'arrêter ? Saturation, fatigue (mais pourquoi devient-on fatigué ? Il y a nécessité de comprendre cela, ce n'est pas " normal " car un entraînement bien conduit fait dire aux spécialistes " plus on en fait, moins on se fatigue "), climat (là la réponse est Dodécaudax). Je préconiserais plutôt qu'un arrêt brutal éventuellement une baisse de l'activité et/ou un sport de substitution (course à pieds, ski de fond, etc. ).
En tous cas bravo pour cette sortie réservée à ceux qui en ont

Pour moi, t'es dans le vrai, jamais arrêté plus de 2 ou 3 jours depuis 30 ans, OK, j'ai de la chance d'être en bonne santé mais pas de fatigue particulière. Et que du vélo.

J'expérimente depuis quelques semaines le mix footing / vélo (je vous rappelle que je ne suis pas sportif du tout...) c'est pas mal : Depuis, je progresse franchement sur la vitesse en vélo (environ 28 km/h de moy. en ce moment sur des 40/50 km contre 26/27 avant), par contre j'appréhendais le fait d'avoir couru exclusivement pendant plus de 2 semaines (3 fois/semaine : en vacances, les running sont plus facile à trimbaler que le vélo !), ça se passe bien même si je me sentais "moins à l'aise", j'ai du mal à doser les deux pour progresser en course à pied sans perdre en vélo...

Le mixe course à pieds/vélo je l'ai pratiqué pendant 20 ans, avec selon les périodes plus de course à pieds (avec marathons) que de vélo (ou VTT), et actuellement l'inverse, avec d'ailleurs quasi plus de course à pieds du fait de mon investissement cycliste actuel assez intensif.
Le footing est un formidable outil pour progresser au niveau cardio-vasculaire (surtout si l'on travaille endurance et résistance de manière adéquate). J'ai aussi tenté différentes expériences, comme de partir gravir un petit col (1 h 30 de vélo et 700 m de dénivelé), rentrer pour me changer et repartir (avec un vélo de ville) jusqu'au stade pour une séance de course à pieds : au début, sur la course j'avais de drôles de sensations et curieusement mal au dos ; puis, avec l'habitude celait passait bien, et me servait de sortie longue moins traumatisante qu'un vrai sortie longue de course à pieds (deux à deux heures et demi - voire un peu plus - de course), sorties nécessaires pour préparer un marathon. J'ai aussi parfois fait les deux dans le sens contraire, ou mixé ski de fond puis course à pieds, et aussi du skateboard à la montée et de la course à pieds à la descente (en emportant un sac à dos)... Bref, pour progresser il ne faut pas toujours faire le même travail pour pousser le corps à produire des adaptations. Et puis c'est ludique
Le seul problème pour le néophyte en course à pieds mais bon cycliste (donc à priori plutôt bien adapté aux efforts cardio), c'est le risque de blessure s'il ne commence pas avec beaucoup de prudence et de progressivité (tendinites, claquages voir fractures de fatigue, ...) : la liste de blessures potentielles est longue, l'entraînement en course à pieds demande de l'intelligence et de la prudence. Il faut aussi choisir les bonnes chaussures (normal, pronateur, supinateur)...
C'est d'ailleurs pour cela qu'actuellement je ne courre pas, car ayant arrêté depuis six mois, la reprise - même 5/6 km - m’occasionnerai à tous les coups des courbatures m’empêchant de rouler pendant quelques jours... hors, actuellement ayant de gros rendez-vous, je ne peux pas me permettre cela. Mais je reprendrai au pire à la fin de l'automne.
Amuse-toi bien, et maitrise bien le truc.

Merci ! Je vais continuer dans ce sens en y allant molo

veloblan a écrit:

Pour moi, t'es dans le vrai, jamais arrêté plus de 2 ou 3 jours depuis 30 ans, OK, j'ai de la chance d'être en bonne santé mais pas de fatigue particulière. Et que du vélo.

Il y a corrélation théorique entre le fait d'être en bonne santé et le fait de faire du sport d'endurance. Une personne de constitution maladive fera rarement du sport, comme un sportif - du fait aussi de son hygiène de vie - sera plus rarement malade qu'un sédentaire. À part ça bien sûr la pratique sportive n'est pas l'assurance à 100 % de ne jamais être malade : on va dire de façon réaliste qu'on maximalise nos chances de bonne santé compte tenu de tout le reste (hérédité, environnement, etc. ).
Donc rien d'étonnant que tu sois comme moi en bonne santé et que comme moi tu n'ai jamais arrêté, ni connu de fatigue particulière.
Et puis il y a la retraite et nous les sportifs on ne s'y ennuie pas.

sccber a écrit:

veloblan a écrit:

Pour moi, t'es dans le vrai, jamais arrêté plus de 2 ou 3 jours depuis 30 ans, OK, j'ai de la chance d'être en bonne santé mais pas de fatigue particulière. Et que du vélo.

Il y a corrélation théorique entre le fait d'être en bonne santé et le fait de faire du sport d'endurance. Une personne de constitution maladive fera rarement du sport, comme un sportif - du fait aussi de son hygiène de vie - sera plus rarement malade qu'un sédentaire. À part ça bien sûr la pratique sportive n'est pas l'assurance à 100 % de ne jamais être malade : on va dire de façon réaliste qu'on maximalise nos chances de bonne santé compte tenu de tout le reste (hérédité, environnement, etc. ).
Donc rien d'étonnant que tu sois comme moi en bonne santé et que comme moi tu n'ai jamais arrêté, ni connu de fatigue particulière.
Et puis il y a la retraite et nous les sportifs on ne s'y ennuie pas.

Pourvu que ca dure, vive la retraite

Bonjour à tous;
Mixer les sports c'est très bien, c'est même ce qui devrait être fait pour la simple raison que le corps sera plus harmonieux et plus homogène à l'inverse des hypertrophiés.
Mais ce sera au détriment de la performance sur un sport ou un type de sport.
Vous voulez avoir des épaules de déménageur ?
pas de problème : musculation
sauf que 2 ou 5 kg de plus se paieront cash sur le vélo (encore plus en course à pied).

Sport et bonne santé ...
Mars :
vélo -> chute -> hôpital -> arrêt 2 mois
elle est ou la bonne santé ?

Hier :
vélo -> 200 km -> aujourd'hui nickel -> chgt de sport (muscu)
elle est ou la bonne santé ?

Bonne route à tous.

Paddy a écrit:

Bonjour à tous;
Mixer les sports c'est très bien, c'est même ce qui devrait être fait pour la simple raison que le corps sera plus harmonieux et plus homogène à l'inverse des hypertrophiés.
Mais ce sera au détriment de la performance sur un sport ou un type de sport.
Vous voulez avoir des épaules de déménageur ?
pas de problème : musculation
sauf que 2 ou 5 kg de plus se paieront cash sur le vélo (encore plus en course à pied).

Sport et bonne santé ...
Mars :
vélo -> chute -> hôpital -> arrêt 2 mois
elle est ou la bonne santé ?

Hier :
vélo -> 200 km -> aujourd'hui nickel -> chgt de sport (muscu)
elle est ou la bonne santé ?

Bonne route à tous.

 Bonjour 
 pas d'accord: 
-la course à pied incorporée dans dans une préparation hivernale peu faire progresser bien plus que des km accumulés sur la route à vélo 
c'est vrai que 2 ou 5 kg de plus c'est pénalisant ( surtout dans les bosses ) j'en ai 15 de trop 

mais honnêtement, même avec cet embonpoint j'ai réussi a faire quelques  belles sorties sur de très longues distances (ce qui constitue à mes yeux une belle performance ) 

Bonjour à tous;
d'accord pas d'accord...
la course à pied requiert de compétences similaires au vélo.
Donc faire l'un ou l'autre en complément de l'un ou l'autre est bien. Exemple une sortie longue à pied en vue d'un trail longue distance peut être remplacée par une sortie vélo.
L'avantage de la CAP en hiver étant de trouver une courte fenêtre météo favorable alors que le vélo demandera plus de temps et donc risque de pluie vent froid.
Ce n'était pas des sports "complémentaires" mon propos, mais les sports "opposés".

"c'est vrai que 2 ou 5 kg de plus c'est pénalisant ( surtout dans les bosses ) j'en ai 15 de trop"
3kg c'est ~ 0,5km/h de moins sur le plat.

Ensuite il reste à voir si les efforts pour perdre du poids sont acceptables au vu de la performance recherchée ou obtenue. Chacun est juge.

Bonne route à tous.

Hier, en guise de mise ne bouche avant levallois-honfleur, nous avons effectué une belle sortie en groupe de 233 kms. Une 1ère pour moi qui ai pour l'instant surtout roulée seule faute de pouvoir suivre les gars du club. Bien contente d'avoir réussi à tenir le rythme cette fois-ci et d'avoir pu partager cela avec Didier. Les kilomètres effectués tout au long de cette 1ère année de vélo commence tout doucement à payer

Bravo. Bien sûr que cela paye, surtout en endurance. On va dire pour faire simple que la vitesse tenue sur la distance est tributaire pour l'essentiel à la " cylindrée " (hérédité, âge, sexe, etc. ), alors que la faculté de pouvoir rouler longtemps tient pour beaucoup à " l'entraînement " : un Paris-Brest-Paris en 90 h est à la portée de toute personne motivée, en bonne santé, et qui roule suffisamment pour avoir habitué son corps à la distance. Cela n'a rien à voir avec le fait de grimper le Ventoux en 59 mn 00 s (Tour de France 2002, Amstrong) Continuons tous à rouler, chacun avec sa propre vision de la chose, heureux et tous égaux à y trouver du plaisir.

Hier sortie dominicale avec 2 potes de club. Le circuit était prévu pour 82 km mais c'est plus de 100 bornes qu'on a faits 
Du coup pour ne pas rester sur ces 80 km (pas assez mon fils...) j'étais parti tôt et avais déjà plus de 20 km en arrivant au point de RDV. Au final j'ai fait 125 km sur ma matinée. Conditions de roulage idéales, 2 bons rouleurs avec moi, parcours pas trop difficile, je suis rentré avec plus de 27 de moyenne au compteur. Je ne pense pas faire mieux cette année, avec l'automne, la moyenne générale des sorties va petit à petit diminuer et quand l'hiver je fais 22/23 j'suis pas mécontent. 
Pour l'an prochain, à partir du printemps, je serai sur un TD carbone de 8/9 kg, ça va devrait améliorer mes sorties et brevets. 
Ça tombe bien y a PBP en août