qui qu'a roulé aujourd'hui . 4

lmvv a écrit:

Thierry78 a écrit:

un peu 100 hier avec VBCM (78).

Ça signifie quoi VBCM ?

http://vcmb.fr/cyclo/nos-organisations/rallye-du-parc-regional

christophelp a écrit:

Paddy a écrit:

L'idée de fédérer des cyclistes autour d'une sortie "longue" fait son chemin mais ce n'est pas facile et on ne parle même pas 'un Dodécaudax".
Une sortie de 250 km à allure régulée sera très probablement reconduite en 2017 et ce sera hors structure une sortie entre potes en quelque sorte, ouverte à tous bien sur, précision je ne suis pas l'organisateur.
Un gros club local FFCT n'a pas vu d'intérêt à organiser un BRM200 en 2017 c'est dire!
Un BRM avec pour accueil de fin une simple boite à lettre pourquoi pas, mais est-ce ce que qu'un randonneur attend ?
A l'inverse un BRM pour une douzaine de participants qui mobilise des bénévoles à attendre des heures durant les arrivants est-ce bien raisonnable?
Mais des BRM "à la journée" BRM 200 et 300 restent "légers" à organiser non ?

C'est assez bizarre pour une région ou les clubs et les participants au PBP sont nombreux.

Bonne route à tous.

hophophop, tu m'intéresse là...

Bonjour à tous,
le circuit de 250 km http://www.openrunner.com/index.php?id=6364562
Normalement
reconduit l'été prochain
pas de contrôle et rien d'officiel
chacun "emporte son manger"
le groupe reste soudé (mais moyenne ~> 25km/h)
Voilà l'idée générale

Question BRM 2017 région Brestoise rien de prévu, et de toute façon il me semble que c'est trop tard ou peu s'en faut pour déposer un dossier.
Un BRM au départ du garage de l'organisateur et pointage final à la boite à lettre, perso ça me convient parfaitement mais
d'une je ne serai pas celui qui organise il y a des gens bien plus expérimentés que moi, je ne me vois pas "marcher sur les platebandes des autres" mais je veux bien apporté mon concours (et je ne sais même pas quels sont les pré-requis pour faire ce genre de choses)
deux combien seraient intéressés ?
Donc pour l'instant "quelqu'un" étudie le marché comprendre en parle autour de lui, mais rien d'officiel ni même de formel.

Bonne route à tous

Sortie VTT lundi avec mon pote moteur assisté... Du vrai VTT pour monter à 1 200 m, pas trop technique sauf à deux ou trois occasions, mais en montée constante...
Mon bricolage de la roue-libre est un demi-échec (plus qu'un demi succès) : en voulant supprimer un jeu résiduel dans le moyeu j'ai abouti à un blocage de la roue libre  Donc, à la redescente par des chemins pentus et très caillouteux, j'ai choisi de remettre du jeu (un bon centimètre latéral à hauteur du pneu) : j'ai donc descendu relativement lentement par crainte paradoxale d'un blocage intempestif de la roue libre à vitesse relativement élevée et simultanément par crainte d'exploser le moyeu et peut-être de tout casser (mon dérailleur XTR fonctionne toujours comme une horloge, jamais déréglé...).
À part ça un peu mal aux genoux, surtout au départ, grosses douleurs dorsales à droite en forçant - au point de m'arrêter de temps en temps - ou même en descente et last but not the least douleurs dans les genoux en descente quand ça tabasse, debout sur les pédales en position arrière : la bête vieilli mal 
Bonne et agréable sortie malgré tout (il faut accepter ce qui ne peut être changé).
30 km et au moins 400 à 500 m de dénivelé.

Après un été bien familial d'abord puis professionnel j'ai enfin eu le temps de faire quelques sorties.
Il m'était bien resté une petite condition de base quelque part que je pouvais emmener avec moi pour aller me balader (en vélo)

Une première sortie avec mon vélo de cyclo-cross passait par le jura. Depuis que j'ai ce vélo je prends mon pied à rouler sur les cailloux en montée et descente de col et des chemins tout simplement inimaginable en vélo-couché. C'était également l'occasion de tester mes nouveaux pneus car je suis passé en tubeless. Avoir l'esprit tranquille lors des descentes (plein de crevaisons avant quand j'avais encore les chambres) ça n'a pas de prix! Là où ça pêche encore c'est le développement. En 42 * 42 (il est équipé d'un mono-plateau rotor, donc 42 devant et 11-42 derrière) les cols en cailloux à plus de 10% sont franchement lourds. Surtout qu'il n'est pas possible de se mettre en danseuse parce que ça fait patiner la roue ... Il va falloir que je me renseigne pour voir si je ne peux pas monter un 36 dessus p.ex. Sinon l'idée du mono-plateau est toute à fait validé.
Au final donc 100 km / 2500 mètres de d+ en passant par quelques-uns des plus beaux coins des Monts Jura.
La balade est visible ici sur strava (je ne sais pas s'il faut un compte pour pouvoir voir, si c'est le cas je pourrais publier quelques photos ici sur le forum)

Deuxième sortie en vélo-couché qui se voulait peut-être un peu ambitieuse pour une sortie de reprise (rassurez-vous, j'avais quand-même fait du vélo avant mais quand-même ...)
La sortie prévue passait par le col de la Croisette, le col de l'arpettaz et ça 40-aine de laçets, le col des Aravis puis -si envie- le col des Glières depuis la vallée des Bornes avant de rentrer chez moi. Le tout pour 220 km et 4700 mètres de d+

Départ très tôt lundi-matin vers 11h ;-) et d'emblée j'ai trouvé la sortie dure. Puis vint le 2-ième km qui était heureusement sur le plat ;-) Bref, j'exagère à peine. Je prends le col de la Croisette depuis Collonges pour la je ne sais pas combientième fois et ça va pas trop mal mais je me trouve un peu sous-motivé pour faire une sortie pareille, descente de l'autre côté et traversée du plateau des Bornes pour arriver à Thorens-Glières. Si tout va bien je repasserai par là en rentrant après avoir descendu du plateau de Glières. Je tourne en direction d'Annecy. L'idée était de prendre la D5 en direction de Dingy-St-Clair et de redescendre vers le lac à Talloires afin d'éviter la traversée D'annecy (j'aime pas du tout en vélo) puis de prendre la voie verte presque juqu'à Ugine. Les routes étaient jolies, la circulation pas trop présente mais il fait quand-même assez chaud. Concrètement, la température n'avait plus que rarement descendu en-dessous des 30 degrées depuis que j'avais quitté Thorens-Glières. Arrivé à Rippes, je quitte la voie verte et commence la grimpette. Je n'avais plus d'eau et je m'arrête à côté de la fontaine du village. Il y avait littéralement des milliers d'abeilles à fleur d'eau sur le pourtour du bassin. Visiblement elles avaient chaud aussi.
Après une petite pause je continue ce col que je découvre et, une fois n'est pas coutume, je n'avais absolument rien préparé et je n'avais pas la moindre idée de sa longueur et de son dénivelé ...
Je monte, ça chauffe, je monte encore, ça chauffe plus encore, je suis limite mais ça passe et surtout, il ne servirais à rien de faire une pause car il n'y a aucun endroit pour s'abriter du soleil. Je bois tellement que j'entends l'eau faire 'cloutchcloutch' dans mon estomac et au premiers arbres venus, au bout d'une heure de grimpe à une vitesse lamentable, j'entends de l'eau couler. Je descends de mon vélo, suis un petit chemin et décide de m'arrêter une demi-heure à l'ombre ... et dans l'eau. En effet, je me suis couché de tout mon long dans ce ruisseau et vous ne vous rendez pas compte du bien que ça m'a fait! Une fois de retour à la maison je verrai sur l'enregistrement de ma sortie que la température est restée entre 35° et 40° durant cette première heure de grimpe. La deuxième partie du col se trouve heureusement entre les arbres ce qui rend la température beaucoup plus agréable, par contre la route était par moment très pourrie ce que je n'aime pas.
Arrivé en haut (1600 mètres) il y a le refuge et je refais une pause pour me désaltérer et manger quelque chose.
Ce qui m'inquiète c'est la vue de nuages noirs vers le nord, par dessus le col des Aravis et seulement quelques minutes plus tard ça commence à gronder et les premiers éclairs tombent du ciel.
Zut, je déteste l'orage en montagne quand je suis à vélo. Je décide de couper court à ma sortie et de rentrer par la vallée, c'est dommage mais il faut que je m'avoue aussi que cette canicule ne m'a pas fait tellement de bien. Du coup c'est sûrement mieux ainsi.
Je descend du col par l'autre côté, ça arrive à Ugine aussi mais on m'a assuré que la route était meilleure. Puis j'aime pas faire demi-tour, nà ;-)
Une fois en bas 35 km de voie verte m'attendent. Ce n'est pas la sortie d'aujourd'hui qui va me faire aimer le plat. Puis vint la traversée d'Annecy où l'orage me rattrapera. Puis trouver une route pour sortir de cette ville, ce qui me prends bien 45 minutes: toutes les routes de sorties indiquées, même les départementales, sont interdit aux vélos ... C'est le nez sur l'écran du GPS, sous la pluie, que je me tricote une chemin de sortie autour des axes interdits ...
Et pour terminer la traversée de l'Albanais, mais sur les grosses routes, il était suffisamment tard et il était temps de terminer cette sortie.
Finalement 217 km et 3380 mètres de d+, ce n'est pas la ballade que j'imaginais mais il faut savoir changer les plans dès fois.
Sur strava ici.

C'est déjà un beau parcours

Sortie en pignon fixe aujourd'hui avec un départ vers 16 h.
Le vent du sud dès le départ en ville souffle fort ce qui signifie que ça va être très très fort plus haut. Je décidé donc de me limiter au col de la Croix de Chaubouret.
Après trois ou quatre kilomètres un cycliste plutôt jeune me rejoint et engage la conversation : très vite on se trouve plusieurs points communs, malgré qu'il soit plutôt compétiteur - critériums et piste - avec notamment une pratique du fixie (course vire-vire et route) plus une préférence pour le montage de vélos de A à Z.
Bref, on a monté le col côte à côte et j'ai roulé assez vite pour me mettre un peu à son niveau (il a un double plateau 39/53). Et comme il désirait poursuivre par le col de l'œillon (pour redescendre sur Pélussin et reboucler Chaubouret), j'ai décidé de l'accompagner jusqu'à l'œillon.
Au total une petite sortie relativement intense - pfff le vent de face en montée dure en danseuse - et bien agréable.
66 km avec 1 207 m de D+ à 20,77 km/h de moyenne.
À propos, je me retrouve une fois de plus avec un soucis technique : je viens d'effectuer une grosse mise à jour de mon smartphone (iOS 10) et je ne bénéficie plus des outils de traitement de texte,sur ce Forum, gênant surtout pour l'impossibilité de rentrer des photos, des liens, etc. De même les smileys s'ils apparaissent ne sont plus actifs... Enfin je me retrouve avec une interface de deux lignes seulement et dans le cadre de " nouveau message "...
Je n'ai plus qu'à espérer que les gestionnaires du système de blog feront une petite mise en conformité avec mon nouveau système d'exploitation (hihi).

sccber a écrit:

À propos, je me retrouve une fois de plus avec un soucis technique : je viens d'effectuer une grosse mise à jour de mon smartphone (iOS 10) et je ne bénéficie plus des outils de traitement de texte,sur ce Forum, gênant surtout pour l'impossibilité de rentrer des photos, des liens, etc. De même les smileys s'ils apparaissent ne sont plus actifs... Enfin je me retrouve avec une interface de deux lignes seulement et dans le cadre de " nouveau message "...
Je n'ai plus qu'à espérer que les gestionnaires du système de blog feront une petite mise en conformité avec mon nouveau système d'exploitation (hihi).

j'ai eu ce soucis récemment avec Firefox avant de m'apercevoir que ça venait de mon antivirus kaspersky.
Pour retrouver toutes les fonctionnalités du forum, dans les paramètres de l'antivirus j'ai dû décocher, dans la navigation privée, le blocage du pistage des sites.
En fait les sites internet te pistent (enregistrent tes données, mouvements, etc)
Si tu bloques cette possibilité (mon kaspesky le permet) tu n'accède plus à certaines fonctions...

Encore une sacré sortie Bison couché, mais pas raisonnable par cette chaleur, comme toi je crains les orages surtout en montagne, j'ai encore le souvenir de l'orage au Pic de Nore, la foudre a du tomber a mes pieds, grosse trouille, j'étais aveuglé, du coup j'ai abandonné et je suis rentré a l’hôtel.

veloblan a écrit:

la foudre a du tomber a mes pieds, grosse trouille, j'étais aveuglé,

t'as les yeux mal placés Michel ( sauf pour regarder sous les jupes des filles  )

Oui je sais Michel, ce n'était pas raisonnable mais la température max annoncée avant le départ était 28 degrées.
Une température max de quelques degrées plus élevée ainsi que la configuration du col, plein sud, ont fait le reste. Sans oublié la position sur un vélo-couché bien sûr: en parfait panneau photothermique   

Il y a quelques temps, lors d'un 600 de Carcès, j'ai eu des heures et des heures d'orage en traversant le Vercors. En grimpant le col du Rousset il y a eu des dizaines d'impacts sur les crêts aux alentours. Là ça ne m'a pas fait tellement peur. Mais le lendemain en traversant les Baronnies c'était une autre histoire: des éclairs par dizaines tombant parfaitement synchrone avec le tonnerre. Et là y avait plus de crêtes, ou plutôt, la végétation était tellement basse que souvent la crête ... s'était moi 

Bonjour à tous,
Petite sortie cool ce matin. Je n'ai rien de vraiment prévu sauf peut être une virée de 400 km début octobre donc aucune raison de faire dans le dur.
Bref sortie sans relief.

Si ce n'est que j'ai assisté à un florilège de comportements cyclistes hallucinants.
A une centaine de mètres devant moi un groupe de cyclistes qui s'engage dans un rond point et lorsque j'arrive à ce même rond point un des cyclistes est tranquillement arrêté à la sortie 1 bon mètre sur route bloquant presque la circulation.
Incrédule je passe et rattrape deux autres cyclistes qui eux ont décidé de rouler dans le bas coté, je redoute le pire du style grand coup de guidon pour revenir sur la route, mais non en fait ils sont totalement crispés, on est en légère descente.
L'un d'entre eux à même les pieds qui trainent par terre sans doute pour plus d'équilibre, et les phalanges blanches de serrer les freins le tout à la vitesse folle de 20km/h.
Plus loin le groupe louvoie sur la route à tel point qu'un d'entre eux, lui aussi les pieds hors des cale pied , la tête penchée vers son dérailleur inquiet par je ne sais quoi se déporte complètement sur la gauche ...
Je suis complètement désorienté surtout que deux voitures sont derrière et cherchent elle aussi à dépasser le groupe.
Un grand signe à ces voitures pour signaler que je dépasse cette bande de dingues et j'ai repris sereinement ma route.

Bonne route à tous

bison couché a écrit:

Oui je sais Michel, ce n'était pas raisonnable mais la température max annoncée avant le départ était 28 degrées.
Une température max de quelques degrées plus élevée ainsi que la configuration du col, plein sud, ont fait le reste. Sans oublié la position sur un vélo-couché bien sûr: en parfait panneau photothermique   

Il y a quelques temps, lors d'un 600 de Carcès, j'ai eu des heures et des heures d'orage en traversant le Vercors. En grimpant le col du Rousset il y a eu des dizaines d'impacts sur les crêts aux alentours. Là ça ne m'a pas fait tellement peur. Mais le lendemain en traversant les Baronnies c'était une autre histoire: des éclairs par dizaines tombant parfaitement synchrone avec le tonnerre. Et là y avait plus de crêtes, ou plutôt, la végétation était tellement basse que souvent la crête ... s'était moi 

Salut Laurent
J'ai bien en mémoire ton 600 sous les orages dans le Vercors. Je n'ai fait qu'un 600 facile en couché, j'avais les cuisses qui me brûlait à cause du soleil, jamais eu ca en vélo droit du coup j'ai investi dans un cuissard un peu plus long et sans peau! 
Mes potes ne veulent plus que je prenne le couché ( il va trop vite ) je le prends quand je suis seul.
J'ai traversé des orages en VD mais vu la position ( tête baissée) on a moins la trouille qu'allongé face au ciel, pourtant j'avais baisser la visière de la casquette un max.

Sortie du jour à VTT avec mon pote. Celui-ci craint l'eau (hihi) et comme la pluie était annoncée pour les 18/19 h il ne voulait pas trop s'éloigner... Pas grave, à proximité existe une colline aménagée avec plein de sentiers et même avec des passages raides bien exigeants, et même avec la possibilité de quelques montées impossibles (ou dans l'autre sens à descendre fesses sur la roue arrière)..
On a roulé une petite heure comme ça : j'ai déraillé une fois - sur ce vélo cela ne m'arrive jamais - puis les pignons passaient un peu moins bien. À un moment j'ai bloqué la chaîne en étant tout à droite (?) m'obligeant à monter un pignon...
On décide ensuite d'aller un peu plus loin : quelques rues en forte pente, un faux plat montant puis descendant : reblocage de la chaîne, là je m'arrête pour comprendre ce qui se passe (qui a dit il était temps) : et bien un maillon est en train de se casser et s'est coincé dans le dérailleur avant ! Donc, fin de partie, je rentre, par chance je dois être-là à deux kilomètres maximum de chez moi, route en pente.
J'ai deux très légères montées : j'appuie délicatement sur la pédale...et la chaîne s'étale par terre ! Et naturellement si j'ai pensé à récupérer démonte-pneus et rustines, j'ai laissé le dérivé-chaîne dans le sac de guidon du fixie...
Bon j'ai à peine marché au début et roulé en mode draisienne, en ville profitant d'une circulation très faible j'ai brûlé deux/trois feux et stop, pris un trottoir et je suis arrivé à ma montée d'immeuble à 10 km/h.
15 km avec environ 300 à 400 m de dénivelé.
Rentré chez moi - il n'est que 16 h - je transfère le liquide restant du Camelbak dans un bidon, complète le niveau, récupère les rustines/démonte-pneus et c'est reparti pour une montée du col de La Croix de Chaubouret en pignon fixe, à bonne allure, d'autant que le vent a bien faibli par rapport à hier. RAS, tout baigne, et je rentre au sec (le ciel n'est pas encore trop menaçant d'ailleurs).
41 km avec 728 m de D+ à 22,01 km/h de moyenne. Col en 50 mn 44 s (certainement mon meilleur temps en pignon fixe).

Après trois mois difficiles j'essaye de reprendre. A deux jours d'intervalle j'ai fait deux sorties identiques de quatre vingt dix kilomètres à exactement la même moyenne, 24.36 km/h et 24.38 km/h.
Je ne roule ni plus vite ni moins vite qu'avant mes ennuis de santé ; la fréquence cardiaque est plus élevée mais bon côté des choses j'ai perdu quelques kilos.

Les températures ont chûté mais maintenant on va avoir droit aux chasseurs. Dans mon coin je n'apprécie pas trop de les voir juchés sur des quads, fusil à la main, debout sur leur machine, roulant vite et n'importe comment avec le regard dirigé vers un potentiel gibier !!

Jipe4 a écrit:

quatre vingt dix kilomètres à exactement la même moyenne, 24.36 km/h et 24.38 km/h.

Non, non, on sent bien la progression sur la 2e sortie

Jipe4 a écrit:

...A deux jours d'intervalle j'ai fait deux sorties identiques de quatre vingt dix kilomètres à exactement la même moyenne, 24.36 km/h et 24.38 km/h...

Bonjour à tous
mort de rire!
Pour la majorité 90 bornes c'est déjà le bout du monde,
deux fois c'est du masochisme pur
Quant aux moyennes beaucoup seraient contents d'en faire de même ... en groupe !
Comme quoi les repères sont variables
Une sortie de moins de 100 km  = "aller chercher le pain"

bonne route à tous.

Ma sortie du jour, en pignon fixe, de nouveau le col de La Croix de Chaubouret (je ne m'en lasse pas, l'ayant grimpé de centaines de fois depuis vingt ans).
La pluie annoncée hier était presque un canular. Aujourd'hui elle devait commencer vers vingt heure et durer plus ou moins trois jours. Malgré tout je n'étais pas trop motivé aujourd'hui : ciel plombé, un peu de vent, grosse chute des températures, et les jambes un peu lourdes avec un léger mal de dos (et naturellement les genoux douloureux)... Et puis, subitement vers 16 h 30 j'ai lâché mon bouquin - pas très passionnant, mal écrit et un peu bête - pour me préparer...
16 h 55 départ, 5 km en ville - en montée - 2 kilomètres dans la route du col, et la route devient humide, puis c'est du crachin et très vite une pluie légère. Tans pis, je suis en court et je mets sans hésiter mon coupe-vent imperméable et je repars. La pluie s'installe jusqu'à ressembler à de la vrai pluie qui mouille... Les voitures ont allumé leurs feux et les essuie-glace travaillent énergiquement, et moi je monte, cycliste solitaire... Et non, un vététiste attardé descend (j'en verrai un autre au col arrivant de la piste de ski de fond et repartant de même dans la foulée, bravo ! ).
Au col il ne fait plus que 7 degrés (hier 14 et trois jours plus tôt 23 !), je ne m'attarde pas et je repars très prudemment dans la descente : j'ai froid aux bras et surtout aux mains - maladie de Reynaud - et je freine des trois freins (les jambes en plus), car la pluie a encore forci et les freins manquent un peu d'efficacité... Les quinze kilomètres avant la ville me semblent bien long, et sur le cours d'entrée vers l'hyper centre où j'habite (le cours ou jadis finissaient les étapes du Tour de France) je commence à grelotter à l'arrêt des feux... Et je reste tendu au milieu de la circulation et à proximité des piétons qui chez moi sont particulièrement stupides (ils traversent sans regarder n'importe où, à l'oreille : alors en plus ils imaginent encore moins un vélo sous la pluie)...
Arrivé chez moi, je vais mettre un moment avant de retrouver des sensations normales...
41 km (dénivelé idem hier, vitesse moyenne faible, de toute façon mon compteur s'est arrêté), col en 54 mn 40.

ce matin, sortie en vélo droit  (y reprendrai-je goût  )
parti vers 7h30 de la maison pour rallier Segré (49) distant d'une trentaine de km et participer à la randonnée organisée par le club voisin et ami.
Les potes de club étant un peu "éparpillés" je pars seul vers 9h pour le circuit de 52km.
Pas de surprises sur ce parcours qui emprunte des routes que je connais bien et qui évite nombres côtes dont le secteur est pourtant truffé ce qui l'aurait pimenté.
Retour vers 11h, j'y croise quelques têtes connues (du club et d'ailleurs) et dégustes les excellentes fouées fourrées de rillettes ou d'un mélange d'oignons et lardons frits avant de reprendre la route pour rentrer.
106km au total à 24,5 de moyenne et 710m de dénivelé.

veloblan a écrit:

Excellent !

Sortie du jour en pignon fixe.
Je ne pensais pas rouler mais finalement la météo annoncée - pluie - a changée au bénéfice de nuageux. Malgré un ciel un peu plombé au départ et une crainte de pluie en approchant de mon premier col (col de la République), peu à peu il s'est un peu dégagé pour même laisser passer quelques rayons de soleil.
Je suis parti un peu plus couvert - maillot long et collant - au point au début de l'ascension d'avoir trop chaud (18 degrés en ville)... Mais au col il ne faisait plus que 11/12 degrés : je suis descendu de l'autre côté jusqu'à Bourg Argental. J'ai fait ensuite demi-tours pour grimper les 3,8 premiers kilomètres raides avant de prendre avec droite pour rejoindre le col de la Croix de Chaubouret. Redescente en ville à vitesse mesurée, la route étant encore humide des dernières pluies.
Sortie assez dure en pignon fixe à cause de pas mal de kilomètres à 7 % de moyenne, avec de courts passages au dessus qui demandent d'appuyer fort.
65 km avec 1 380 m de dénivelé à 19,66 km/h de moyenne (FC max 150, parfait).

dimanche, 1er 100 km pour mon fils de 9 ans...partis à 8h et retour à 16h avec pause au resto d'une heure et demie...il était content mais un peu fatigué tout de même...puis après une bonne douche et un gouter XXL, il sautait sur le canapé !

ERIC a écrit:

dimanche, 1er 100 km pour mon fils de 9 ans...partis à 8h et retour à 16h avec pause au resto d'une heure et demie...il était content mais un peu fatigué tout de même...puis après une bonne douche et un gouter XXL, il sautait sur le canapé !

Pas mal, mais j'ai le souvenir d'avoir lu que les jeunes enfants n'étaient pas à ce stade de leur développement adaptés physiologiquement au travail de résistance, vite atteinte à cet âge.
Personnellement je ne pousserais pas, si j'avais un gosse de cet âge, à de telles distances, et à cette intensité...
Comme je viens de le lire, attention aux excès : " Mieux vaut limiter la durée de la pratique sportive, éducation physique scolaire comprise, à 4-6 h par semaine pour l'enfant de 8 ans, 6-8 h pour le jeune de 12 ans, 8-10 h pour l'adolescent de 14 ans. A bannir, tout entraînement exclusif du type endurance pure, vitesse, technique, séries interminables de gestes répétés. L'entraînement doit être varié. " (doctissimo)
Quoique je ne sois pas médecin, cela fait réfléchir...

Sortie du jour VTT avec mon pote motorisé.
J'ai supprimé deux maillons de ma chaîne cassée : elle était déjà volontairement assez courte pour limiter le battement de la chaîne en descente (et parce qu'en VTT j'utilise systématiquement que les quatre plus petits ou plus grands pignons avec les deux plateaux extérieurs de mon triple). Du coup le dérailleur arrive avec cette chaîne encore racourcie à des positions extrêmes, et interdiction absolue de croiser faute de quoi risque de blocage - difficile à défaire - voire de casse...
Je me suis bien régalé. Roue arrière foutue pour foutue faute de pièces disponibles j'ai réglé - sans d'ailleurs comprendre ce qui se passe au niveau mécanique - en laissant du jeu latéral à la roue (plusieurs centimètres au niveau du pneu) car c'est ainsi seulement que la roue libre fonctionne. Tous les dix kilomètres je resserre légèrement le moyeu, pas trop sinon la roue libre se bloque... J'avoue que néanmoins j'ai du mal à oser me lâcher totalement en descente (hihi).
Mon pote était déchaîné et j'ai forcé pour le suivre dans les gros coups de cul : jamais je crois je n'ai eu autant de force dans les jambes, à tel point que je suis passé souvent sur le plateau du milieu et le sixième ou le septième plus gros pignon - sur huit - à des passages où auparavant j'utilisais le petit plateau !
36 km avec au moins 4 à 500 m de dénivelé (sur le VTT mon compteur n'a pas d'altimètre).

bonjour
oui je suis au courant des dangers d'un entrainement intensif...mais c'est loin d'être le cas ! il déborde d'énergie ( avec parfois beaucoup de mal à se canaliser ) et réclame ce genre de sortie...et cette virée de 100 km a été ponctuée de x pauses réparatrices ( manger un pain aux raisins, regarder un paysage, ...)
Mais merci pour l'avertissement...on n'est jamais trop averti