Qui a roulé aujourd'hui 5

Moi non plus je ne ressens pas la soif, mais je bois environ 1 l aux 100   et beaucoup plus s'il fait chaud.
Si tu bois qu'un bidon aux 200 bornes, je doute fortement que tu finisses PBP, ce n'est que mon avis 

Jipe4 a écrit:

Je ne ressens pas la soif. Aujourd’hui je n’ai bu que la moitié.

Lorsqu'on ressent la soif il est déjà trop tard, il faut que tu te force à boire ( personnellement sur 200 bornes je bois 3ou 4 grands bidons et c'est loin d'être trop )

francis16 a écrit:

Jipe4 a écrit:

... personnellement sur 200 bornes je bois 3ou 4 grands bidons et c'est loin d'être trop 

Bonjour à tous 
Un grand bidon ... c'est quoi cette unité de volume ?
En litre voire en dcm2 je comprends mais grand ... grand comment ?


Bonne route à tous.

Tu dois bien savoir   dans la majorité des cas les grands bidons font 70 ou 75 cl, les miens c'est 70

veloblan a écrit:

Tu dois bien savoir   dans la majorité des cas les grands bidons font 70 ou 75 cl, les miens c'est 70

Bonjour à tous 
J'ai des 600 ml des 800 et des 1 litre
Un truc de course à pied de 500 ml 
2 poches de 1500ml 
Par contre grand j'ai pas... 
J'ai pas de chance 
Bonne route à tous

Tu tiens un magasin? 

veloblan a écrit:

Bien sauf 1 seul bidon pour 200, ca va te jouer des tours un de ces 4 

Je confirme...et ça m'a joué un mauvais tour, il y a une dizaine d'année . Je ne ressentais pas non plus le besoin de boire régulièrement

Brm 600 chaud, puis humide et caillouteux  --> Retour voiture --> Malaise et sortie de route --> Hôpital (heureusement rien de grave) --> Diag des médecins: Très forte déshydratation ayant entraîné le malaise

Depuis qu'il pleuve, vente ou fasse canicule, je m'astreints à boire régulièrement quelques gorgées (en moyenne toute les 10-15mn)...et je ne prend plus le volant après un 600 !!

Alain.Q a écrit:

veloblan a écrit:

Bien sauf 1 seul bidon pour 200, ca va te jouer des tours un de ces 4 

Je confirme...et ça m'a joué un mauvais tour, il y a une dizaine d'année . Je ne ressentais pas non plus le besoin de boire régulièrement

Brm 600 chaud, puis humide et caillouteux  --> Retour voiture --> Malaise et sortie de route --> Hôpital (heureusement rien de grave) --> Diag des médecins: Très forte déshydratation ayant entraîné le malaise

Depuis qu'il pleuve, vente ou fasse canicule, je m'astreints à boire régulièrement quelques gorgées (en moyenne toute les 10-15mn)...et je ne prend plus le volant après un 600 !!

Je ne vais pas détailler mais ne pas boire m'a coûté le PBP 2015    aussi soif ou pas depuis je bois 

veloblan a écrit:

Je ne vais pas détailler mais ne pas boire m'a coûté le PBP 2015    aussi soif ou pas depuis je bois 

Bonjour à tous,
tout d'abord un article simple (un peu de pub en citant les sources, mais c'est aussi le partenaire du PBP)
https://www.overstims.com/Comment-bien-s-hydrater

Ensuite sans entrer dans le détail relater brièvement les erreurs pour éviter à d'autres de les faire peut être utile...

Bonne route à tous.

Paddy a écrit:

francis16 a écrit:

Jipe4 a écrit:

... personnellement sur 200 bornes je bois 3ou 4 grands bidons et c'est loin d'être trop 

Bonjour à tous 
Un grand bidon ... c'est quoi cette unité de volume ?
En litre voire en dcm2 je comprends mais grand ... grand comment ?


Bonne route à tous.

Bonjour 
Bien vu Paddy, grand ça ne veut rien dire 😀
Mes grands bidons font 800 ml ou 80 cl ou 0,8 l , c'est comme tu préfères ( par contre les dm2 c'est pour la surface, pas pour le volume, hein Paddy) 
Pour conclure : peu importe le flacon pourvu qu'il y ait une bonne hydratation

bonjour
on le sait tous qu'il faut boire beaucoup...mais on se fait toujours avoir !
j'ai fait un 400 en solo jeudi et je suis rentré complètement déshydraté ( avec les nausées qui vont avec ) . pourtant j'ai eu l'impression d'avoir bien bu !
je vais troquer mes sempiternels sandwichs par de la soupe en briquettes pour compléter les bidons ; le solide est plus facile à trouver en boulangerie.
je vais tester sur ma prochaine sortie de 24h

bonjour à tous,
Tro Bro Léon : le truc local atypique difficile et encore aujourd'hui il faisait beau avec du vent, question de durcir le tout!
Donc 112 km avec des chemins de terre le tout en mode cyclo sportif qui se cache derrière le nom de cyclo randonnée.
Et ça file et ça crève et ça fait mal et ça casse de partout et c'est une excellente sortie de préparation à la longue distance.
4 heures d'efforts soutenus, de relances, 112km bien plus efficaces que 200 km au train.

Je rebondi sur l'hydratation.
Seul il n'y a aucune raison de se faire piéger, il suffit de regarder sa montre et toutes les 10-15' une gorgée.
En groupe dans le dur, il faut y penser pendant les moments de répit et boire systématiquement lorsque l'occasion se présente.

Mais même les meilleurs (pas moi  les pros!) se font avoir quelque fois.

Bonne route à tous.

Un message ici pour, surtout, remercier les organisateurs du BRM 300 à Argeles-sur-Mer (66).

Départ nocturne, à la lumière des phares, en solo à 6 heures pile par une voie verte d'une vingtaine de kilomètres (j'apprendrai plus tard que le gros des troupes a pris un raccourci par une route plus rapide hors parcours officiel... ).

Croisé un sanglier   juste avant le col du Perthus, puis rattrapé un groupe sympa avec lequel nous roulerons 60 kilomètres (les 240 autres, ce sera tout seul) et pointerons dans une agence immobilière à Roses en Catalogne-Sud (on ne dit pas trop "en Espagne" dans ce coin-là).

Vers Biure (toujours en Catalogne-Sud), c'est parti pour environ 40 km de montée irrégulière , pour passer du niveau de la mer à plus de 800 m d'altitude au Col de Coustouges! Environ 2600 mètres de dénivelé sur l'ensemble du brevet, concentrés dans les 140 premiers km.

Ensuite c'est la tournée des bistrots pour les contrôles suivants (Arles-sur-Tech, Bouleternère). Le vent fait son apparition, la fameuse tramontane, et souffle plutôt fort du côté de Rivesaltes (rafales enregistrées au-dessus de 60 km/h ).

Les chiffres traditionnels: 22 partants, 18 arrivants. Pour ma part c'était ma deuxième expérience sur un BRM 300, arrivé à 19h40 au local où nous attendent les bénévoles levés depuis 4 heures du matin, donc 13h40 de temps total (pour 12h40 de roulage selon mon compteur). 

J'insiste: merci encore aux organisateurs du Vélo Club des Albères , tout était parfait (mise à disposition du parcours sur le web à l'avance, accueil au départ et à l'arrivée, choix des lieux de contrôle...)

Plus personne ne poste sur ce sujet?

Alors je relance: hier, 177 km dont une centaine à plus de 1000 mètres d'altitude sur le plateau de l'Aubrac.

Si vous ne savez pas où rouler cet été...

Je vous raconterai un peu plus tard, enfin suivant si je réussis ou pas ! Cette nuit (demain matin très tôt) je me lance dans une tentative pour devenir un "cinglé du Ventoux". J'ai axé tout mon entrainement en vue de cet objectif, maintenant je suis au pied du mur, yapluka ! (c'est pas ma première ascension, on se connait bien avec le géant )

Super tentative, tu es motivé donc tu réussiras, vivement le compte rendu 

Bonjour alors le verdict de cette tentative est : check (faire plus court ça risque d'être difficile !)

Depuis mon dernier post j'ai eu une nuit blanche et une grosse journée de fatigue mais au final j'ai atteint mon objectif. Reprenons la chronologie, lundi soir on mange, on regarde le match à la télé, je repasse à table vers 23h (torti + jambon + yaourt) 0h départ de la maison pour Bédoin où on arrive vers 01h15. Le temps de remonter le vélo, installer les feux, me changer je décolle à 01h40  


Première montée en mode grosse gestion de l'énergie et j'arrive au sommet à 6h20. Le temps de faire quelques photos, de changer de maillot et me couvrir pour la descente et je file vers Malaucène. Là bas je retrouve toute une équipe de potes qui font eux aussi une "cinglée" (une "galérien" pour l'un d'eux), on prends un déjeuner ensemble et c'est parti pour le second round.
Deuxième arrivée en haut à 12h40 après avoir pendant la montée essayer de "tirer" un mec encore plus fêlé que moi car lui tentait une "cinglée" en handbike (il est paraplégique) malheureusement le faux rythme que je devais prendre pour qu'il suive me coutait trop en énergie alors je l'ai laissé en lui souhaitant bonne chance (j'ignore si il a réussi son défi). Vu ma grande vitesse ascensionnelle je retrouve les copains au sommet sauf qu'eux il se sont fait Bédoin entre temps (c'est beau d'être jeune et vaillant)

Descente cool sur Sault, pointage, photos et c'est reparti pour la dernière (déjà bien entamé....) Forcément les copains filent devant et je me retrouve seul enfin pas tout à fait car j'ai mon "ange gardien" toujours à proximité (au max à 5 km) je veux parler bien entendu de ma chère et patiente épouse, merci Martine. Pendant une de mes nombreuses petites haltes à l'ombre (plus de 30° sur la route) on vois arriver Deb, la compagne d'un des copains qui en repartant de Sault s'est trompée de route.... Comme elle aussi est bien entamée physiquement on va rouler ensemble pour se tenir compagnie.


Je dois bien avouer que cette montée fut dure, surtout les 2 derniers km où là plus rien ne tournait rond, les muscles me brulaient, le moignon qui commence à faire des siennes à tel point qu'au col des tempêtes j'ai du faire un dernier arrêt de 7 ou 8 minutes pour le masser tellement il était douloureux. 18h45 je me pose sous le panneau complètement cuit au sens propre comme au figuré, plus que la descente pour rentrer à Bédoin et mettre le dernier tampon. C'est chose faite à 19h20



Ce que je retire de cette expérience c'est la satisfaction d'avoir plus loin qu'au bout de moi-même, ma zone de confort est restée loin loin loin ! Tous mes proches savaient que ça allait le faire, il n'y en avait qu'un qui doutait encore (j'avais surtout peur d'une blessure qui m'aurait contraint à l'abandon) je savais que ça allait être dur physiquement et mentalement. La forte chaleur sur Sault a été très dure à supporter, je n'arrivais plus à avaler rien de solide et sans carburant c'est plus compliqué (je ne vous apprends rien)

Ce qui m'a poussé le plus dans le final c'est de penser à certaines personnes de ma connaissance ou qui sont parties, qui relèvent des défis encore plus fous ou qui depuis les étoiles me donnent de l'énergie. Je vais finir avec une petite phrase qu'on entend souvent : "Tu ne t'arrêtes pas quand tu as mal, tu t'arrêtes quand tu as fini"

Maintenant un peu de repos et préparation du prochain objectif (théoriquement moins hard, à voir ...)

Bravo à toi !

Vous méritez bien ce titre de "cinglés"...
Moi qui suis un cycliste de plaine (ou de collinettes au mieux), les compte-rendus de sortie en montagne me font alterner entre admiration/envie de tenter l'expérience et la frayeur devant ces montées interminables aux pourcentages déraisonnables.

Chapeau bas !
Titre de "cinglé" (du Ventoux) bien mérité !! 

Si tu veux cumuler les titres, tu peux maintenant tenter de devenir un fêlé du Grand Colombier ou baron du Soulor 
(peut-être l'es-tu déjà ?)

Je débute là aussi avec les titres, le prochain en vue est nettement plus modeste, c'est celui des Toqués du col de Porte (moins haut, moins raide mais plus de routes différentes) mon but n'est pas de cumuler mais d'utiliser au mieux mes capacités actuelles et de prendre du plaisir (même si des fois c'est dans la souffrance)

Tu as vraiment était au bout, faut une sacré force mental car par moment on doute surtout seul.
A ce Ventoux, j'ai fait les cinglés, galériens et bicinglés   mais j'ai la chance d'avoir mes 2 jambes. monté 24 fois là haut par canicule et grand froid, la dernière il faisait -2° et pas vêtu en mode hiver, belle galère.

La semaine dernière je suis monté le mardi sous la pluie avec le vent et du brouillard, à 11h30 au sommet il faisait 3° pour un ressenti de -3 je me suis changé rapidement et la descente s'est faite en voiture (j'aime trop descendre pour prendre des risques inutiles) il me manque quelques montées hivernales, va falloir que je remédie à ça

Bonjour,
quand vous aurez fini par descendre de votre nuage "PBP 2019" on pourra revenir à une routine normale parce-qu’au cas ou vous auriez chopper la grosse tête ou les grosses cuisses en 2023 va falloir remettre le couvert. Non mais.

En plus aucune compassion pour ceux qui sont restés sur le bas coté voire dans le fossé : bande de sans cœur !
Bref la rubrique se meurt. Heureusement que certains sortent du fossé et reprennent tant bien que mal le chemin de la gloire.

Donc après presque 6 semaines de canapé, bière chips chausson à crampons, (10 kg) puis deux mois de petit plateau, un truc de 39 dents jamais mis ou presque qui a servi sur 1500 km question de remettre les jambes en place j'ai remis le gros plateau...
Même s'il manque 1 ou 2 dents à l'arrière et question kilométrage faut pas non plus crier victoire ça revient!

Plus sérieusement pour ceux qui seraient déçus de leur PBP.
Si vous n'avez aucune blessure autre que la déception (moral:j'aurai pu mieux faire, j'aurai du mieux faire si ceci ci cela) prenez le temps de prendre le temps et vous verrez que le PBP n'est pas si important si 2023 est possible.

Alors Bonne route à tous.

Bonjour à tous,

Sortie sérieuse ce vendredi 7 février.
Sérieuse  parce qu'elle va ou devrait conditionner le reste...
Mais revenons quelques mois en arrière.
Mai 2019 BRM 600 qualificatif pour le PBP et le mur. Rien ne va plus abandon.
Abandon des qualifications, PBP aux oubliettes, et sans doute plus difficile pour moi abandon de diagonale.
Le PBP devant être la cerise sur le gâteau.
Vélo au râtelier pour 5 semaines, aucune envie d'y toucher.
Passage coté médecin, confirmation d'un gros problème jamais identifié.

Puis 1500 km de reprise, suivis de 3 mois et 3000 km de sorties normales... ce qui soit dit en passant font plus en distance que beaucoup font en une année.

Début 2020 la question se pose: est-il envisageable de repartir sereinement sur du long ?
Mois de janvier "normal" sans forcer puis la sortie sérieuse de ce vendredi.
Le but est simple : seul, 200 km mini soit 2/3 d'une journée de diagonale, à mon allure lors d'une diagonale, sans dommage ni fatigue.

J'avais déjà fait 170 en janvier, 200 n'ont pas posé de problème, sauf le vent fort et défavorable sur les derniers km.
Le lendemain aucune douleur, sauf celles liées à la position elle même, douleurs liées incontestablement au manque d'endurance.
8 heures de vélo il n'y a pas que les jambes qui travaillent! Et surtout un rythme cardiaque bas tout au long de la sortie et le lendemain matin rythme normal signe d'une récupération complète.


Le but n'est pas de narrer des exploits mais plutôt de dire qu'il faut savoir être raisonnable, savoir faire un arrêt significatif de prendre le temps de se refaire une santé ...
Et le but est aussi l'importance de s’écouter, ce que j'ai fait mais j'ai tardé à faire, ou d'écouter ceux qui "savent".

La conclusion de cette sortie est l'optimisme, mais pas béat. 200 c'est court! voire très court.

Je vais programmer une sortie de 300 pour le mois prochain, à bien y réfléchir cela ressemble aux qualifs PBP, comme quoi on en revient toujours aux bonnes "vieilles" méthodes.

Bonne route à tous.

C'est vrai que nous avons parfois tendance à prendre pour une coupable faiblesse le manque d'envie qui est souvent un signal que nous envoie notre organisme.
         Bonne route vers ce 300 qui devrait évidemment te donner de précieux enseignements.