qui qu'a roulé aujourd'hui . 3

sccber a écrit:

Citation :

29,3 km/h ! Tu comptes mettre combien sur le PBP, si  tout se passe au mieux ?

Par chez nous, le dénivelé n'est pas le meme que par chez toi, bien malheureusement, donc notre pire ennemi est le vent.
La moyenne est plutôt sympa, d'autant que j'ai pu remettre ça ce matin, plus cool, mais 80 bornes en 3h (et en cherchant les bosses cette fois ci).
Donc pas de conclusion pour PBP : objectif principal FINIR mon 1er PBP. Je pars dans les 90 heures par sécurité, pour apprendre
Ensuite si je peux faire dans les 60h je serai content, sinon... je serai content quand meme

ddesmetbob a écrit:

hbr78 a écrit:

Trés lâchement ...

Il n'y a rien de lâche à voir ses ambitions à la baisse surtout avec tes statistiques de retour! Moyenne !!!
David

J'ai surtout écouté les conseils de plus expérimentés, qui me disaient que doubler le 600 n'était pas forcément très utile.
J'ai dis lâchement, car j'étais bien parti dans mes "doubles BRM" et surtout que j'ai vraiment adore le parcours l'an passé !

Comme les prochains objectifs sont plus courts (Super BRA et Etape du Tour) l'idée de faire deux sorties dans le week end pour 250/300Km a du sens. Et fait moins puiser dans les reserves.

Hier je me suis pris au jeu avec les groupes qui roulaient derrière et qui ne revenaient quasiment pas sur moi.
Sur ce point je rejoindrai presque Sccber sur le fait que rouler en groupe n'est pas forcément un avantage.

bruno91 a écrit:

hbr78 a écrit:

T

Je suis partis un peu avant 6h20, d'autres venaient de partir ou s'apprêtaient à le faire. Je me suis dis qu'ils reviendraient par l'arrière ou que je les rejoindraient.

Au bout du compte personne dans mon rythme et personne à revenir par l'arrière.

Je vois que ma technique du tout seul entre 2 groupes fait des adeptes

Ta technique ? Je l'utilise également depuis longtemps ! J'ai même essayé une variante, attendre les copains qui sont derrière moi, puis en feignant de ne pas les voir passer, finir en solitaire. Mais bon, c'est compliqué à mettre en œuvre, il faut attendre longtemps et dans une zone où il n'y a pas de signal téléphonique...

Bonjour à tous;
60H ...
cela suppose d'être à Brest en  24/26 Heures, le retour sera bien souvent plus long que l'aller, sauf à avoir une stratégie "Négativ Split" (deuxième moitié plus rapide que la première)

Bonne route à tous

Pour ma part, comme je l'ai dis, l'objectif est clairement de finir, avec un délai de 90h ça parait plus que jouable.

Après on peut avoir des conditions favorables qui font qu'on gagne du temps : le vent qui tourne (dans le bon sens, pas comme sur le BRM de Montigny ce week end), pas de dette de sommeil et donc de gros besoins en sommeil (en espérant que les vacances fassent leur effet, c'est je pense mon plus gros point faible), ...

Donc pas de "plan de route", d'objectifs horaires à tenir contre vents (surtout le vent) et marées.
Pour la stratégie : rouler sans perdre de temps et sans forcer outre mesure
Un petit horaire "improbable" dans la tête peut quand meme motiver... en essayant de ne pas faire de co...ries pour le tenir

Stratégie payante - si l'on peut parler de stratégie quand justement il n'y en a pas - pour moi en 2011 : parti en 90 h sans autre ambition que de terminer, une chambre retenue à Brest à rejoindre sans dormir... Fini bien en un peu plus de 73 h. Avantage de finir longtemps avant le délai, pas le stress final que j'ai connu sur un autre 1 200 fini vingt minutes avant la fin

Stratégie payante - si l'on peut parler de stratégie quand justement il n'y en a pas - pour moi en 2011 : parti en 90 h sans autre ambition que de terminer, une chambre retenue à Brest à rejoindre sans dormir... Fini bien en un peu plus de 73 h. Avantage de finir longtemps avant le délai, pas le stress final que j'ai connu sur un autre 1 200 fini vingt minutes avant la fin

Hello,
Ce BRM a été difficile de part la météo..
Beau et doux au départ.
Chaud dans le Diois.
Orage à Villard-de-Lans
Puis pluie de Vif (sud Grenoble) à Gréoux les Bains.
Pointage pour ma part :
km 0 : Carcès à 6h00
km 100 : Reillanne à 9h25
km 210 : La Motte Chalancon à 13h30
km 327 : Lans en Vercors à 18h45
km 439 : Aspres sur Buech à 00h32
km 525 : Oraison à 06h25
km 604 : Carcès à 09h34

J'ai roulé avec Thomas et Thierry (seul PBP2015 de Corse) du début jusqu'à Aspres sur Buech ou j'ai laissé mes compagnons de route partir pour dormir un peu (25 min) après m'être fait quelques frayeur en m'endormant à 40km/h... puis re à Sisteron pour 45min de sommeil (il faut dire que la nuit précédente a été courte, couché 1h15 bruit extérieur à 2h30 et réveil à 5h00...)
Mes 2 compagnons sont arrivée vers 7h00 (Notre amis Corse ayant son bateau à 12h00 à Nice... ça motive pour rouler...)
Merci à eux pour les km parcourus ensembles.
Je ferais bientôt un compte rendu complet.

Par curiosité, le 600 de Carcès, combien de dénivelé ? Connaissant le goût de Sophie pour la grimpette, j'imagine que ça doit chiffrer un peu...
Aujourd'hui une sortie, après vérification rapide de la météo : les orages prévus reculent dans le temps, j'y vais.
Premier col de la République en 48 mn 48 s (j'ai pas traîné), descente sur Bourg Argental et remonté un moment par cette même route, puis à droite pour rejoindre le col de la Croix de Chaubourret : pendant la montée trois ou quatre gouttes de pluie malgré un zeste de soleil... et puis cela s'arrête. Au col j'hésite, j'avais prévu le col de l'œillon, mais le ciel est bien menaçant, et loin derrière ce col cela tonne... Tant pis je prend le risque, j'ai envie de rouler. À l'approche du col le tonnerre se rapproche, alors vite demi-tour dès qu'il est atteint : il n'y a pas un chat - et encore moins de cyclistes ! Je rejoins Chaubourret, je file tout de suite dans la descente, rejoint un petit kilomètre plus loin le premier village, et... la pluie se met à tomber, assez violemment.
J'ai en plus comme cela devient une habitude un bon petit vent de face.
Je me dis que je n'en mourrai pas - il n'y a pas d'éclairs - et je m'attends à finir les vingt kilomètres qui restent:D  sous la pluie... Et miraculeusement au bout de cinq minutes je sors des nuées... J'ai fini au sec, même pas mouillé
89 km avec 1 862 m de D+ à 21,88 km/h de moyenne.

Bonjour de Corse,

Est ce qu'il y a d'autres "Corse" (ou assimilés) que cet "ami Corse" qui a fait le BRM de Grenoble qui font PBP ?

Pour le D+, openrunner annonce 7300, mais mon Garmin était plutôt à 7800 m

Je ne sais pas grand chose de notre compagnon de route Corse, il se prénomme Thierry, est de Bastia (mais Breton d'origine). il m'a dit qu'il était le seul Corse à faire le PBP. Il faut dire que pour chaque brevet il doit prendre le bateau... avec une belle ile comme ils ont, c'est dommage que rien ne soit organisé.
Il a fait les 3 premiers BRM à la Garde (83) et le 4ème à Carcès.

Cyssousport a écrit:

Pour le D+, openrunner annonce 7300, mais mon Garmin était plutôt à 7800 m

Merci. Openrunner ayant tendance a sous-estimer le dénivelé, ton Garmin doit être proche de dénivelé réel.

Sortie de la semaine pour moi :

Petit tour de Finlande (mais plutôt descente du pays en ligne plus ou moins droite 635 km - 3500 D+ 25h. Avec mon Bianchi (<10 kg, avec porte bagage de selle, et le prolongateur et 18 kg bidon remplis et tout le matos. J'en avais un peu trop, j'ai pas pu faire autrement…)

J'ai fais en 4 jours (=4 étapes: 185 / 185 / 175 / 85). Dormi chez des amis ou de la famille . J'ai eu droit à toute les conditions météo. Plutôt fraiche pour la saisons : 13°C en moyenne les 2 premiers jours, 15° le 3ème et YouHou 19° le dernier…

Quelques points négatifs obscurcissent un peu le tableau : 

- J'ai comme des fourmis dans le petit doigt et l'auriculaire gauche. Je me demande si c'est du à la qualité des gants utilisé. J'ai fini en utilisant beaucoup le prolongateur, et sans gants…

- La peau de mon précieux séant entamée, mais j'imagine que c'est plutôt normal…

Quelques points à améliorer :

- Trouver des chaussures avec lesquelles je peux marcher normalement car avec les cales shimano sur le gravier, ça va pas long… (Des suggestions ? - Merci d'avance)

- Prendre des pauses plus souvent. Sur le 1er jour, j'ai eu 1h - le 2nd, 30' - le 3ème 1h - le dernier 10'. J'imagine que ça aide à reposer les mains aussi..

- Emporter moins de matériel afin de voyager plus léger, surtout au niveau des chaussures, j'ai utilisé les par-dessus en GoreTex tous les jours… Peut-être qu'il existe un modèle pluie, et prévu pour des températures de 0-15°C…

- Le porte bagage ainsi que le sac Bonntrager, ne sont pas vraiment top. Il faut que je trouve une combine afin d'améliorer l'ensemble (1.5kg et -> 16 l de capacité)

Pas mal d'interrogation aussi, mais l'expérience devrait aider...

Pour les chaussures j'utilise un modèle cyclo-touriste Shimano (RT 82 de mémoire) qui est adapté aux cales bronze intégrées dans la semelle (même principe que les modèles chaussures VTT, seule la semelle est plus fine et dépourvue de crampons (on peut aussi bien sûr utiliser des chaussures VTT).
Pour les pédales j'ai choisi un modèle cyclo-touriste Time - même principe que leurs modèles VTT, sauf qu'elles ne sont pas réversibles, un côté peut être utilisé sans cale éventuellement. Shimano fabrique aussi deux modèles spécifiques cyclo-touristes. J'ai choisi les pédales Time pour mes trois vélos route, parce que je peux aussi utiliser mon VTT (équipé Time) avec mes chaussures route (et inversement) - ce qui a été bien pratique pour mon Galérien du Ventoux - et aussi parce que j'apprécie la liberté angulaire et latérale des pédales Time.
Ces chaussures sont si pratiques que quand je me déplace de plusieurs centaines de kilomètres en voiture pour me rendre sur un brevet je pars qu'avec ces seules chaussures aux pieds (et les cales durent très longtemps).

Grosse sortie aujourd'hui. Refait un circuit fait il y a peu en lui rajoutant un col : col de la Croix de Chaubourret, col de l'Oeillon par Pelussin, col du Gratteau (en descente), col de la Croix de Chaubourret, col de la République (sauf les trois premiers kilomètres depuis Bourg Argental). Du vent, très fort pleine face par exemple pour rejoindre Pelussin et deux kilomètres tout juste refaits et recouverts d'une épaisse couche de graviers sur la montée de l'Oeillon ont encore durci le trajet.
Malgré tout de bonnes sensations (sauf les genoux évidemment).
112 km avec 2 289 m de D+
à 21,39 km/h de moyenne.

Aujourd'hui VTT, avec mon pote qui dispose maintenant d'un VTT à assistance électrique. Ne croyez pas qu'il a passé son temps à m'attendre, au contraire c'est moi qui parfois était loin devant : d'un, comme il me l'a expliqué, parfois il ne mettait pas l'assistance, pour travailler quant même, et le reste du temps au minimum. Et puis, il faut maîtriser à la fois les développements sur trois plateaux avec le moteur en plus - de ce côté il n'est pas très fort - pour tenir compte des brutales et nombreuses ruptures de pentes sur nos terrains très techniques. De plus, dans les raidars style montées impossibles, en plus de l'art de choisir les bonnes trajectoires, il faut oser... De ce point de vue, par rapport à mon niveau technique d'il y a dix ans, j'ai pas mal perdu, que ce soit à la montée ou à la descente, si au contraire j'aurai plutôt gagné sur le plan physique (force et endurance) Les rares moments où j'avais du mal à suivre c'était dans les descentes moyennes bien caillouteuses, n'ayant qu'un demi suspendu - avec une vieille Mag 21 oléo-pneumatique - contre un tout suspendu motorisé c'est dur de rivaliser.
Enfin, je me suis bien amusé et j'ai appuyé comme un malade malgré un genoux droit douloureux (et pas dû à l'arthrose en plus ). Petite finale de cinq kilomètres sur une petite route en pente : c'est fou comme les virages sont pris, bien plus sécurisants qu'avec un vélo de route...
46 km et certainement bien plus de 700 m de D + (je n'ai pas d'altimètre sur mon compteur VTT) étant partis de l'altitude 500 jusqu'à 1 150.

J'étais un peu inquiet avant-hier, conséquence d'une douleur inédite au genoux gauche. Par ailleurs j'ai le mollet gauche douloureux le matin, style courbature, depuis quelques jours... Ce matin, genoux normal mais toujours ce mollet douloureux, malgré que je me suis imposé hier une journée de repos total... Alors je me propose dans un premier temps de ne pas aller rouler, puis en cinq minutes décide au contraire d'aller faire du dénivelé, mais piano piano...
Premier col assez cool, d'autant que ce putain de vent souffle toujours. En haut je me laisse tenter par de nouveau une montée de l'Oeillon par Pélussin...
Cette deuxième montée de col se passe plutôt bien - le passage gravillonné est un peu plus roulant que mercredi (51 mn 35 s les 640 m de dénivelé depuis le dernier tourne à gauche à deux trois kilomètres de Pelussin). Retour une fois de plus contre le vent.
95 km avec 1 843 m de D+ à 21,74 de moyenne.
En principe demain je fais une via-ferrata avec un pote, puis mardi je l'accompagne sur une petite sortie de vélo relax. Après je tâcherai de placer une petite sortie tonique avant de partir à Barcelonnette où je me suis inscrit pour les sept cols du DFU (Défi des Fondus de l'Ubaye), 308 km, dénivelé positif 6 850 m.

Hier, petite sortie assez cool avec les copains de club

Un petit 120Km à 26.7 Km/h mais seulement 1100m de D+ (j'envie vraiment Sccber et ses montagnes)

Super bonnes sensations et obligé d'attendre bien souvent.
J'arrive meme à suivre les "gros" rouleurs du club sur le plat à 45/50Km/h, ce qui est souvent ma limite.

Même si le manque d'entrainement m'empéchera clairement de viser de très bons chromos, la forme est plutôt bonne

Le super BRA, le CLM de Courchevel et l'Etape du Tour, seront intéressants pour ajouter des points de repères sur les sorties avec dénivelé.

Reste plus qu'à garder ces bonnes sensations jusqu'au PBP, ce sera peut être le plus dur

hbr78 a écrit:

Le super BRA, le CLM de Courchevel et l'Etape du Tour, seront intéressants pour ajouter des points de repères sur les sorties avec dénivelé.
Reste plus qu'à garder ces bonnes sensations jusqu'au PBP, ce sera peut être le plus dur

C'est le problème pour tout le monde, arriver reposé au PBP mais sans avoir perdu le bénéfice du " travail " précédent - je met des guillemets parce qu'ici il est de bon ton de ne parler que de vélo plaisir
Mais ton programme Super-BRA (que je veux faire aussi), Étape du Tour et CLM me semble interessant et suffisant, couplé à des sorties moyennes et toniques (pas compétitives). Il est aussi toujours possible de rajouter une ou deux sorties longues (150 km par exemple, 200 au maximum) mais faites en endurance : elles permettent de conforter notre aptitude à utiliser les graisses corporelles, qui ne l'oublions pas sont le carburant majoritaire sur un 1 200 (à nos allures). Et puis on fini les quinze derniers jours en réduisant le kilométrage progressivement et drastiquement le kilométrage la dernière semaine tout en conservant des parties avec de l'intensité : recette éprouvée par tous les sportifs de sports d'endurance. On évite bien naturellement à chercher à se " rassurer " par des sorties longues à proximité de l'échéance finale. De très rares costauds réussissent parfois à enchaîner deux gros rendez-vous à échéance rapprochées, mais si on peut l'éviter c'est mieux : après le PBP je compte faire le 1 000 du Sud (je ne suis pas le seul), les deux épreuves intercalant treize jours de récupération : si je ne suis pas blessé à l'issue du PBP - petite tendinite par exemple - c'est jouable pour moi, enfin je crois mais ce n'est certainement pas l'idéal.
Pour revenir au PBP je trouve qu'un départ à la mi-août est idéal comparé par exemple au départ l'année dernière de la RAA 1 200 programmé en juillet : on bénéficie d'un mois supplémentaire pour arriver au top de sa forme. Les organisateurs de la RAA s'étaient demandés pourquoi il y avait eu un nombre relativement important d'abandons (supérieur en pourcentage à celui du PBP) : alors évidemment la réponse est multifactorielle, mais j'avais de mon côté remarqué que ne serait-ce que du point de vue - un peu simpliste - kilométrage, j'étais en déficit par rapport à d'autres 1 200 faits plus tardivement. Donc on profite du délai pour rouler.

sccber a écrit:

Citation :

il est de bon ton de ne parler que de vélo plaisir

....
Il est aussi toujours possible de rajouter une ou deux sorties longues (150 km par exemple, 200 au maximum) mais faites en endurance : elles permettent de conforter notre aptitude à utiliser les graisses corporelles, qui ne l'oublions pas sont le carburant majoritaire sur un 1 200 (à nos allures). Et puis on fini les quinze derniers jours en réduisant le kilométrage progressivement et drastiquement le kilométrage la dernière semaine tout en conservant des parties avec de l'intensité : recette éprouvée par tous les sportifs de sports d'endurance.

j'étais en déficit par rapport à d'autres 1 200 faits plus tardivement. Donc on profite du délai pour rouler.

Pour moi la montagne restera toujours un plaisir (ma première victoire, il y a 25 ans fut une course de côte...)

Je continuerai les sorties 120/160Km jusqu'au 6 ou 8 Août. Par contre pas de 200 en vue si ce n'est en juillet le super BRA

Comme toi, je ne me verrai pas en Juillet faire le PBP : les 1500Km que je vais pouvoir ajouter d'ici mi août, en profitant surtout de 3 semaines de vacances, vont être je pense très bénéfiques.

Fais moi signe pour le super BRA, je pense prendre le depart à 3h, pour ne pas rentrer trop tard (je serai en vacances avec ma famille, dans la Tarentaise). La seule chose qui pourra me faire reculer sera le temps trop mauvais : je suis tellement mauvais descendeur que je ne prendrai pas de plaisir sous des trombes d'eau ... dans les descentes.
(Actuellement je m'entraine à descendre, un peu moins mal)

D'accord pour le BRA... Pour la trombe d'eau j'ai connu ça dès le début de la montée Télégraphe/Galibier en 2011 : descendu sur la Maurienne au sec, arrêt à St-Michel pour le repas, en sortant j'ai trouvé une grosse pluie (sans surprise elle était programmée). Il pleuvait vraiment à la montée... Arrivé près du sommet un gendarme m'a fait signe de prendre le tunnel... Le plus dur fut l'attente au point de ravitaillement sous la tente, les pieds dans l'eau : l'organisation avait mis au point un système de navette pour nous éviter de descendre le Lautaret sous les trombes de flotte, il a fallu attendre longtemps, et j'ai commencé à grelotter. J'aurai bien fait fis des consignes et descendu prudemment, mais j'espérais partir avec un petit groupe, en vain, et seul, je me suis dégonflé. Un pote arrivé bien après moi, alors que la pluie virait à la neige plus ou moins fondue, est descendu en vélo (gros descendeur limite cinglé, mais il assure en descente, il n'a pas trop freiné). J'ai bu un café et un Génépi offert par les pompiers (à La Chambre je crois) et je suis reparti sur le vélo pour finir (beaucoup ont abandonné et sont rentrés dans les cars affrêtés par l'organisation qui a assuré grave). Mon brevet a été validé, après tout il n'y a eu qu'une descente non faite, contraint et forcé. Au final j'avoue que j'ai apprécié l'aventure, même si en 2013 mon super BRA fut plus agréable, encore qu'il fallait ne pas craindre la chaleur sur la montée du plateau final (le goudron collait aux roues).

sccber a écrit:

D'accord pour le BRA... Pour la trombe d'eau j'ai connu ça dès le début de la montée Télégraphe/Galibier en 2011 : descendu sur la Maurienne au sec, arrêt à St-Michel pour le repas, en sortant j'ai trouvé une grosse pluie (sans surprise elle était programmée). Il pleuvait vraiment à la montée... Arrivé près du sommet un gendarme m'a fait signe de prendre le tunnel... Le plus dur fut l'attente au point de ravitaillement sous la tente, les pieds dans l'eau : l'organisation avait mis au point un système de navette pour nous éviter de descendre le Lautaret sous les trombes de flotte, il a fallu attendre longtemps, et j'ai commencé à grelotter. J'aurai bien fait fis des consignes et descendu prudemment, mais j'espérais partir avec un petit groupe, en vain, et seul, je me suis dégonflé. Un pote arrivé bien après moi, alors que la pluie virait à la neige plus ou moins fondue, est descendu en vélo (gros descendeur limite cinglé, mais il assure en descente, il n'a pas trop freiné). J'ai bu un café et un Génépi offert par les pompiers (à La Chambre je crois) et je suis reparti sur le vélo pour finir (beaucoup ont abandonné et sont rentrés dans les cars affrêtés par l'organisation qui a assuré grave). Mon brevet a été validé, après tout il n'y a eu qu'une descente non faite, contraint et forcé. Au final j'avoue que j'ai apprécié l'aventure, même si en 2013 mon super BRA fut plus agréable, encore qu'il fallait ne pas craindre la chaleur sur la montée du plateau final (le goudron collait aux roues).

En 2011, le meme jour je crois, nous étions à l'Etape du Tour en Auvergne (Issoire - St Flour), dans les meme conditions (meme mes lunettes ont gelé dans la descente du Pas de Peyrol !)
Plus de 50% d'abandon, mais j'ai fini.
Par contre les descentes (comme le Tourmalet en 2014, 40 minutes de perdues sur mes copains... à qui j'ai collé entre 40 minutes et 1h30 dans les montées) sous la flotte me font perdre tellement de temps, que le plaisir n'est pas là.

Le risque lui est important car mauvais descendeur.
Je trouve que pour une "année de PBP" j'ai pas envie de prendre de risque dans les descentes.

J'ai ton numéro, s'il n'a pas changé, donc je te confirmerai quelques jours avant, suivant la météo annoncée.

Ok, numéro inchangé ! Mais tu dois monter plus vite que moi...

sccber a écrit:

D'accord pour le BRA... Pour la trombe d'eau j'ai connu ça dès le début de la montée Télégraphe/Galibier en 2011 : descendu sur la Maurienne au sec, arrêt à St-Michel pour le repas, en sortant j'ai trouvé une grosse pluie (sans surprise elle était programmée). Il pleuvait vraiment à la montée... Arrivé près du sommet un gendarme m'a fait signe de prendre le tunnel... Le plus dur fut l'attente au point de ravitaillement sous la tente, les pieds dans l'eau : l'organisation avait mis au point un système de navette pour nous éviter de descendre le Lautaret sous les trombes de flotte, il a fallu attendre longtemps, et j'ai commencé à grelotter. J'aurai bien fait fis des consignes et descendu prudemment, mais j'espérais partir avec un petit groupe, en vain, et seul, je me suis dégonflé. Un pote arrivé bien après moi, alors que la pluie virait à la neige plus ou moins fondue, est descendu en vélo (gros descendeur limite cinglé, mais il assure en descente, il n'a pas trop freiné). J'ai bu un café et un Génépi offert par les pompiers (à La Chambre je crois) et je suis reparti sur le vélo pour finir (beaucoup ont abandonné et sont rentrés dans les cars affrêtés par l'organisation qui a assuré grave). Mon brevet a été validé, après tout il n'y a eu qu'une descente non faite, contraint et forcé. Au final j'avoue que j'ai apprécié l'aventure, même si en 2013 mon super BRA fut plus agréable, encore qu'il fallait ne pas craindre la chaleur sur la montée du plateau final (le goudron collait aux roues).

Ce n'est pas cette année que vous aurez froid ou chaud dans le Télégraphe/Galibier...vu que le BRA n'y passera pas  pour cause éboulement au tunnel du Chambon! Plan B actionné 
http://cyclotourisme-grenoble-ctg.org/CTG/les-parcours-du-brevet-des-randonneurs-des-alpes-bra-edition-2015/

Alain.Q a écrit:

Citation :

Ce n'est pas cette année que vous aurez froid ou chaud dans le Télégraphe/Galibier...vu que le BRA n'y passera pas  pour cause éboulement au tunnel du Chambon! Plan B actionné 
http://cyclotourisme-grenoble-ctg.org/CTG/les-parcours-du-brevet-des-randonneurs-des-alpes-bra-edition-2015/

Effectivement, c'est ce qu'ils ont annoncé, belle réactivité des organisateurs.
La Marmotte et le Tour de France sont aussi touchés.

On passera quand meme le Glandon au petit matin, ça peut être frais voire froid...
Et on y repasse par la Croix de Fer au retour

Le froid n'est pas gênant, tant qu'il n'y a pas de neige. Le probleme pour moi est la descente sur route mouillée, j'ai coutume de dire que je vais moins vite qu'à la montée

J'ai connu sur un BCMF une route blanche de grêle en fin de montée de col - beaucoup d'abandons - mais aussi une descente où il pleuvait tellement fort que je n'avais plus de freins... Très stressant ! J'ai aussi le souvenir de la montée du Mont Gerbier de Jonc sous un orage démentiel : j'avais l'impression de monter dans le lit d'un torrent : heureusement arrivé au col la pluie a cessé, et le soleil m'avait séché quand le copain que j'attendais est arrivé.
Bref, la flotte je connais (j'ai des dizaines d'anecdotes à ce sujet, je vous en raconterai d'autres à l'occasion ).