qui qu'a roulé aujourd'hui . 4

veloblan a écrit:

J'ai étrenné les GB ce jour, impec + une bosse avec passage à 18%, posé le pied 2 fois et réussi a repartir, dur dur, je le ferais pas tous les jours

je sens qu'on va "rigoler" sur le 1200 du MC

veloblan a écrit:

papou a écrit:

Egareg a écrit:

C'est l'avantage du vélo couché : tu peux passer dans les flaques sans avoir les pieds mouillés... attention au low rider tout de même ! 

les pieds non, mais sans GB le service 3 pièces et les fesses ...

J'ai étrenné les GB ce jour, impec + une bosse avec passage à 18%, posé le pied 2 fois et réussi a repartir, dur dur, je le ferais pas tous les jours

La mère Denis

Finalement cette semaine de pluie m'a laissé les après-midi secs un jour sur deux, ce qui me permet d'y aller fort et de récupérer
Col de la Croix de Chaubouret en pignon fixe, ok. Je me suis arrêté 500 m avant le sommet au village du Bessat pour passer chez l'un des deux vélocistes (un copain ou presque : il râlait car il avait deux groupes d'une dizaine de jeunes qui lui rendaient les VTT de loc pleins de boue...il m'a dit qu'il avait même eu hier un autre groupe alors qu'il a plu sans désemparer toute la journée : chapeau la jeunesse ). Je me suis arrêté parce que dans la montée je ressentais un choc à chaque tour de roue et après vérification je me suis apperçu que le pneu arrière au niveau de la valve n'était pas suffisamment rentré dans la jante : avant-hier j'avais crevé et donc mal remonté ma roue, le gonflage avec la pompe à main ne m'avait pas permis de ressentir quoi que soit, alors qu'aujourd'hui avec une pression de 8 bar il en était tout autrement. N'empêche avant-hier, comme j'étais en single speed j'ai approché les 60 km/h en descente avec un pneu mal monté
J'ai donc dégonflé (en gardant un peu d'air pour ne pas risquer de coincer la chambre), renfoncé le pneu, regonflé, atteint le col et je suis parti à droite direction Bourg Argental, départ de l'ascension du Col de la République. Pendant la descente j'ai décidé de ne pas refaire cette montée - déjà réussie lundi 23 mai - mais de faire le tour du Massif en montant un petit col - Le Tracol - puis à ce niveau tirer à droite pour monter encore et traverser le massif, rejoindre Saint Genest Malifaux puis redescendre par la route qui monte à Chaubouret. Circuit classique que j'ai emprunté des paquets de fois depuis deux décennies, mais que je n'aurai pas envisagé de pouvoir faire en fixie il y a deux mois

J'ai pris la petite route à droite qui grimpe méchamment puis un peu moins (mais bon en fixie ça reste du costaud)...

Bonne sortie. 80 km avec 1 567 m de D+ à 20,03 km/h de moyenne.

Y-a un problème avec la deuxième photo : elle s'affiche pas à 90° !

Roland a écrit:

Y-a un problème avec la deuxième photo : elle s'affiche pas à 90° !

Qu'est-ce que tu veux que j'y fasse, c'est le logiciel du Forum qui parfois force sur l'alcool à 90 (ou son équivalent numérique).

sccber a écrit:

c'est le logiciel du Forum

Il a bon dos le forum

Salut Alain, il est fixie ou single speed ton vélo parce que 60km/h en descente en fixie, faut mouliner... Et quel est le braquet ? Même si tu l'as déjà dit...

rbourgogne a écrit:

Salut Alain, il est fixie ou single speed ton vélo parce que 60km/h en descente en fixie, faut mouliner... Et quel est le braquet ? Même si tu l'as déjà dit...

Les deux, roue flip-flop : pignon de 16 d'un côté et roue-libre de 17 de l'autre, avec un pédalier de 44.
Je n'ai essayé qu'une fois la roue-libre, et c'est bien sûr avec que je suis descendu à presque 60 km/h. Par contre, quand la pente n'est que de 2 ou 3 % ça n'avançait pas, car impossible de pédaler efficacement. Et sur le plat j'ai été surpris de la différence, c'est très ennuyeux même en moulinant j'avais l'impression d'être bridé. Pour moi je suis sûr d'une chose, c'est que les cyclistes ambitieux des débuts du cyclisme devaient avoir de gros développements de costauds et tout passer en force, car la force musculaire peut se développer à force de travail.
Avec le pignon de 16 j'ai 5,8 m de développement et j'arrive maintenant à tenir longtemps en descente de col entre 42 et 47 km/h en pédalant. Mon record sur quelques secondes doit être de 50,6 km/h (146 tr/mn). Le col le plus difficile pour le moment à été monté avec le 44/17 (5,44 m de développement) soit 5,9 % moins long que l'autre : je ne sais pas encore si la différence sur un ou deux kilomètres entre 7,5 et 8 % est insurmontable ou pas
Ce qu'il y a de sûr c'est que sur montée courte à un moment ou un autre on bloque - en excluant le mental - par manque de force pure, mais la force on peut l'améliorer - cf la musculation - alors que sur une montée longue et à fortiori une série de montées c'est la fatigue globale qui prend le relais. L'avantage de travailler la force c'est qu'ensuite avec des développements plus raisonnables on peut tirer plus longtemps car on mobilise moins de fibres musculaires qu'avant... Pour la fatigue globale j'ai le souvenir de ma 6ème montée du jour au Ventoux (Bicinglette du Ventoux) côté Malaucène où je n'arrivais plus à tenir le kilomètre sans devoir m'arrêter et où je ne pouvais plus me mettre en danseuse (j'étais en 34/28). Par contre je suis arrivé à grimper sur le vélo chargé des pentes de 23 % (col du Grand Colombier) toujours en 34/28. Bref, je verrais comment ça se passe au prochain Défi des Fondus de l'Ubaye...

100km hier, 85km ce matin, j'ai fait mes dernières sorties avant mon opération de réduction du flutter et de la fibrillation. Maintenant c'est au moins 2 semaines sans vélo, du moins je l'espère, pourvu que la reprise se fasse sans effets secondaires 
Pas top en vue du 1200 du MC bien sûr, mais, si je retrouve un fonctionnement cardiaque normal je devrait avoir le temps d'être prêt. Wait and see ...

papou a écrit:

100km hier, 85km ce matin, j'ai fait mes dernières sorties avant mon opération de réduction du flutter et de la fibrillation. Maintenant c'est au moins 2 semaines sans vélo, du moins je l'espère, pourvu que la reprise se fasse sans effets secondaires   
Pas top en vue du 1200 du MC bien sûr, mais, si je retrouve un fonctionnement cardiaque normal je devrait avoir le temps d'être prêt. Wait and see ...

Veinard, tu vas voir disparaître ton flutter pendant que nous on fait continuer à subir la flotte - beaucoup d'orages annoncés.
Bon, le jeu de mot est navrant mais le cœur y est. Désolé

Hier, au vu de la pluie annoncée tout l'après-midi je ne pensais pas rouler. Et puis, la prédiction est devenue pluie et orages, et finalement orages...
Le temps passant sans précipitation, vers 15 h 30 j'ai trouvé trop bête de ne pas aller rouler, et je me suis préparé en vitesse.
D'abord un p'tit col de la Croix de Chaubouret (je n'en dis plus grand chose, mais ça reste par endroits très difficile en PF), puis de nouveau direction Bourg Argental, par une petite route sympa, aujourd'hui assez glissante car recouverte ici ou là d'aiguilles de pin trempées...
À Bourg je décide de remonter par une troisième route, qui mène d'abord au col du Banchet,
puis après Saint-Julien-Molin-Molette ( ) monte assez durement à Colombier. Après la pente durçit encore pendant quelques kilomètres, puis vers 950 m d'altitude la pente faiblit et enfin la route redescend de 40 m de dénivelé avant de les récupérer sur 500 m. On arrive à Graix : ça monte encore régulièrement mais la route toute droite devient dégagée et je me tape un vent assez fort pleine face, et comme la pente reste un peu dure en fixie je suis en danseuse... Arrivée de nouveau au col de la Croix de Chaubouret à 1 204 m (c'est un croisement de deux routes), et descente finale... Après Rochetaillée la pente est entre 3 et 3,5 % et je force à bloc en moulinette (vitesse maximale 45 km/h avec le 44/16 contre d'habitude 50/52 km/h avec mon 50/11, je progresse).
J'ai bien fait de tenter l'aventure, car malgré les orages annoncés j'ai eu de plus en plus de soleil (malgré des nuages parfois assez menaçants).
3 131 km de pignon fixe en 39 sorties.
76 km avec 1 533 m de D+ (5 733 sur la semaine), à 19,47 km/h de moyenne.

papou a écrit:

100km hier, 85km ce matin, j'ai fait mes dernières sorties avant mon opération de réduction du flutter et de la fibrillation. Maintenant c'est au moins 2 semaines sans vélo, du moins je l'espère, pourvu que la reprise se fasse sans effets secondaires   
Pas top en vue du 1200 du MC bien sûr, mais, si je retrouve un fonctionnement cardiaque normal je devrait avoir le temps d'être prêt. Wait and see ...

Bon courage Gervais pour cette révision des ???????? km...

D'une certaine façon, j'ai pensé à toi ce dernier samedi. Après mon redémarrage de Quillebeuf, qqs palpitations... qui disparaitront en montant une côte... après la douche, le repas... rebelote ! mais bien plus longtemps. Je passe par la case urgences pour vérifier (veto de Madame)...

Tout semble normal... que des extrasystoles. Un EC d'effort est quand même à prévoir...

Mon pote m'a invité à une petite sortie (il devait initialement partir sur le Ventoux et sur mes conseils monter entre-autre par la route forestière (en VTT), mais il a eu un problème de compteur électrique chez lui, bref tout de suite il veut rouler et partira dans le sud à la prochaine fenêtre météo) : alors OK, je comptais justement faire une petite sortie de décrassage !
J'ai les jambes un peu lourdes et je me dis que ce sera relax... Au bout d'une douzaine de kilomètres on arrive aux sept kilomètres de la montée de Saint Héand : je pars normalement et au bout de 300 m je double un cycliste sur un Specialised, je sens qu'il veut s'accrocher et comme un gamin j'accélère et je monte presque à bloc malgré les jambes qui protestent   : haha, je lui ai mis 500 m dans la vue, pas mal le vieux avec son pignon fixe ! 
Résultat, en haut en 21 mn 54 s, soit une moyenne de 19 km/h (FC 151/158) !
Je redescend récupérer mon pote que j'accompagne jusqu'au village. La suite, nouvelle montée en solitaire et encore assez vivement, jusqu'à l'intersection qui mène à un autre village, demi-tour et on finit la montée à deux. Après une belle descente, mais bien sûr c'est le copain qui passe devant car il est excellent descendeur, bien que j'arrive aujourd'hui à pédaler jusqu'à 51,04 km/h (147 tr/mn !). Enfin dernière montée bien raide sur une petite route, où je grimpe pas mal. Les derniers kilomètres se font en descente, puis c'est assez plat et je reste derrière mon pote, en mode relax pour récupérer...
J'ai bien progressé au niveau musculaire (force et vélocité), le cœur va bien, mais pour le reste je reste d'une cylindrée relativement modeste (qui ne risque pas de s'améliorer en prenant des années). Mais le fixie m'a permis de bien me motiver, les parcours archi-connus deviennent de nouveaux défis : en un mot, je m'amuse bien (comme doivent se régaler les cyclistes qui s'essaient au vélo couché).
53,5 km avec 819 m de dénivelé à un peu plus de 22 de moyenne.

Bon...je m'étais dit que je ne m'embarquerais plus dans ce genre d'aventure mais j'ai succombé à la tentation. Je veux dire me retrouver au départ d'une cyclosportive. Mais c'était trop tentant de prendre le départ en ce samedi 4 juin à Villars les Dombes (01) de "l'envolée du Grand Colombier". 146 km jusqu'à l'arrivée à Culoz en empruntant le tracé de l'une des étape-reine du Tour (Bourg en Bresse- Culoz le 17 Juillet). 3100m D+ avec l'ascension du col du Grand Colombier par Lochieu, puis une montée partielle par les lacets de Culoz.
      Au final, çà s'est bien passé. Dès les premières pentes, j'ai su trouver mon rythme afin de ne pas faire chauffer les durites, ce qui m'a permis de remonter régulièrement quelques places sans jamais en perdre une. 146km et 3121m D+ (concentrés en fait sur une centaine de km, les 45 premiers étant en plaine), 25,570km/h, 27ème au scratch pour 100 partants et agréablement surpris d'être 1er des plus de 60 ans (mais il devait y avoir des absents!)
    Ce n'est pas possible qu'il ne se passe rien sur une telle étape où plusieurs passages affichent les 14%.

C'est sur ce genre d'épreuve qu'on voit que les cyclos sont plus costauds que les kékés  
Bravo bubu

Finalement les risques d'orages ne se sont pas concrétisés et je suis parti au soleil, toujours en pignon fixe, sur le col de la République : ça grimpe sur ce col surtout au début (les six premiers kilomètres à environ 6,4 % de moyenne). Bien grimpé, malgré une collation un peu trop rapprochée et une chaleur à laquelle je ne me suis pas encore trop acclimatée, en ? mn (mon cardio a buggé et j'ai dû faire un reset ).
Descente de l'autre côté à Bourg Argental et deuxième grimpette, d'abord la route du col pendant près de 4 km, bien pentue (max 7,9 %), puis la D29, petite route qui ramène au col de la croix de Chaubouret (1 204 m).

La route passe dans le bois sous la ligne de crête au premier plan à gauche...
Redescente en ville, les jambes bien " contentes " : kilomètrage relativement restreint (encore qu'en fixie - surtout avec du dénivelé - on considère que cela compte pour bien plus)...
Je suis persuadé que l'impact de ce type de sortie est beaucoup plus favorable qu'une sortie plus longue à faible intensité (je ne parle pas du plaisir, qui doit exister sous de multiples formes, encore que ma tasse de thé ne soit ni le tourisme à vélo, ni à l'inverse la sortie des compétiteurs, en peloton nez dans le guidon). Comparé à 2015 mon kilomètrage est plus faible de 1 500 km (j'avais collectionné les BRM de 4 et 600), mais je fais le pari que cela me préparera au mieux pour le Douze Cents du MC qui reste mon objectif principal cette année. Je compte également rajouter un 400 perso et un BRM 1 000 (en PF) pour la distance.

66,7 km avec 1 383 m de D+ à 18,94 km/h de moyenne.

Je ne suis pas de tout temps sur le forum (vraie volonté pour éviter l'addiction internet)...mais je lis presque tout...
J'ai donc des séances de rattrapage...  

Et en lisant les comptes rendus très détaillés de scbber... j'ai réouvert mon Atlas routier Michelin page 115 (et 129)... pour vérifier si tout ce qu'il dit est exact.... Et il dit vrai le bougre !   

Il y a vraiment autour de St Etienne une densité de routes au-dessus de la moyenne. Et que des routes vertes ! symbole que Michelin a abandonné je crois... dommage.
Je connais un peu la région du Forez (D'Ambert à Thiers) mais le massif du Pilat... pas du tout. Peut-être qu'un jour...

Tu as de la chance...

Portocéan a écrit:

Je ne suis pas de tout temps sur le forum (vraie volonté pour éviter l'addiction internet)...mais je lis presque tout...
J'ai donc des séances de rattrapage...  

Et en lisant les comptes rendus très détaillés de scbber... j'ai réouvert mon Atlas routier Michelin page 115 (et 129)... pour vérifier si tout ce qu'il dit est exact.... Et il dit vrai le bougre !   

Il y a vraiment autour de St Etienne une densité de routes au-dessus de la moyenne. Et que des routes vertes ! symbole que Michelin a abandonné je crois... dommage.
Je connais un peu la région du Forez (D'Ambert à Thiers) mais le massif du Pilat... pas du tout. Peut-être qu'un jour...

Tu as de la chance...

Oui, mais il y a énormément de coins fantastiques un peu partout pour les cyclistes, notamment dans le sud-est... N'oublions pas non plus que j'habite la patrie de Vélocio  Mais je suis d'origine savoyarde - né à Aix-les-Bains, enfance à Chambéry - puis ayant vécu quinze ans à Grenoble : forcément on en devient blasé devant tant de paysages sublimes...
Mais oui, j'adore malgré tout le Pilat, à portée de roues de chez moi (les premiers cols démarrent à cinq kilomètres compteur de mon domicile) : j'y ai énormément couru et roulé à VTT (600 km de sentiers au minimum), fait du ski de fond, grimpé sur une via ferrata ou simplement marché.. Et bien sûr il y a les routes qui y montent, et les routes vallonnées qui parcourent le massif : je considère plutôt ce massif comme une sorte d'île en forme de haut plateau (entre 800 et 1 000 m) avec quelques petits sommets entre 1 200 et 1 400 m. Ce n'est certes pas de la haute montagne, mais un massif varié (forêts, chaumes, éboulis, alpages, arbres fruitiers et vigne), à cheval sur plusieurs départements et un des premiers parc naturel régional au climat d'un côté assez rude, mais presque Méditerranéen au sud...

https://www.facebook.com/alain.berrux/posts/597989210376472
Où comment j'ai encore réussi à bloquer mon pédalier en grimpant dans le dur
Trop fort je suis
Et donc, mon blocage précédent - le 23 mai - n'étais pas dû à une erreur de ma part en montant mon premier boîtier de pédalier. Donc, quand j'appuie vraiment sur les pédales, le pas de vis à gauche du boîtier (sens normal) se dévisse, le boîtier prend du jeu et fini par serrer...
Étonnant, les boîtiers de ce type (BSC ou pas anglais en 68 mm) j'en ai utilisé pendant des années - toujours montés par mes soins - que ce soit en VTT ou sur la route, sans jamais avoir le moindre début de desserrage : il faut croire que les contraintes mécaniques en pignon fixe sont bien différentes. En tous cas, je n'ai pas entendu parler de ce type de problème nulle part dans les écrits spécialisés fixie ou piste (encore que les pros doivent j'imagine actuellement utiliser des montages différents). Quelqu'un a déjà entendu parler de ce problème ?
Je ne vois pour l'instant que deux solutions : partir avec un clé alen pour la manivelle, un arrache manivelle et un outil de serrage du boîtier ou plus simplement remonter le boîtier au frein-filet.

Tu as un tendeur de chaine ou la chaine est tendue via les pattes
Normalement le sens de serrage des cages de boitier de pédalier est dans le sens du pédalage (comme pour les pédales) pour éviter le desserrage justement  
curieux ce problème!

papou a écrit:

Tu as un tendeur de chaine ou la chaine est tendue via les pattes
Normalement le sens de serrage des cages de boitier de pédalier est dans le sens du pédalage (comme pour les pédales) pour éviter le desserrage justement  
curieux ce problème!

J'ai un tendeur de chaîne.
Le boîtier
est un BSA, donc il se serre côté droit en sens anti-horaire (contraire) - ça ne bouge pas de ce côté - et en sens horaire (normal) du côté gauche : c'est là que ça se desserre.

Bon, aujourd'hui j'ai décidé d'effectuer le parcours écourté avant-hier à cause du blocage de mon pédalier : hier j'ai démonté la partie gauche du boîtier, l'ai dégraissée ainsi que la boîte sur le vélo, et j'ai tout remonté avec du frein-filet (bleu)...
Donc test aujourd'hui. Il fait presque frais mais il n'y a pas de vent...
Col de la Croix de Chaubouret, RAS, en 54 mn (plus rapide que la dernière fois), descente au barrage de la Rive...

et c'est parti pour presque une heure (les 10,4 km et 660 m de dénivelé en 58 mn 25 s), très dur musculairement mais finalement relativement facile sur le plan général : en d'autres termes, je suis dans une forme rarement atteinte... Dommage que ma gonarthrose me rappelle que la prise d'âge est inéluctable  
Le boîtier de pédalier n'a pas bougé, je continue en direction du col de l'Oeillon,

(Vu sur le Pic des Trois Dents et le Rhône depuis l'Oeillon)
24 km aller-retour : la route est déserte...y aurait-il un match de foot à la télé
Les jambes sont très vaguement fatiguées, pour le reste tout va bien.
Retour à Chaubouret, descente... Après le village de Rochetaillée où la pente faibli (3 à 3,5 %) j'appuie et accélère au maximum, 46 km/h atteint (plus haut j'ai dépassé le 50 km/h, mais là il me faut quant même freiner un peu tant la vélocité du pédalage est difficile à tenir).
88 km à 20,00 km/h de moyenne (haha), avec 1 915 m de dénivelé.

Sortie avec moins de dénivelé que mes sorties précédentes, car en compagnie de mon pote relativement âgé (77 ans ) : je le suis peinard - mais pas dans sa roue, faut pas exagérer, je suis là pour travailler - j'essaie de le suivre dans les descentes - de mieux en mieux, max aujourd'hui 51,08 km/h soit 147 tr/mn - et dans les montées je pars devant, puis arrivé au sommet je redescend pour lui faire un brin de conduite...
Des montées il y en a eu, dont celle de Chambles au départ du Pertuiset (près du pont sur la Loire), 7 km quasiment à bloc en 18 mn 50 s, je ne suis pas sûr d'être jamais monté si vite, même avec des dérailleurs (j'ai doublé à allure météorique un club de cyclos, des vieux, des retraités quoi) Je viens de voir les résultats d'un CLM FSGT sur ce parcours : le premier à mis 12 mn 41 s, mais avec mon temps je ne suis pas ridicule car je n'aurai été que 71ème avec du monde derrière (hihi), et je n'étais que quasi à bloc et pas sur une montée sèche : vais-je me mettre à la compèt  
Un peu plus tard sur le retour, toujours dans la pente sur plusieurs kilomètres je suis parti tellement fort en danseuse que j'ai dû ralentir pour ne pas exploser (hihi)...

Je me suis amusé comme un petit fou... Je n'en revient pas, j'arrive à passer assis sur le vélo à 70 tr/mn sans trop forcer là où j'étais il y a quelques mois en danseuse pour passer à la même vitesse... Par contre, les genoux...aie, aie, aie... mais j' assume, je suis trop vieux pour être raisonnable.
65 km à 24,43 km/h avec 935 m de dénivelé.
Vendredi, si la météo reste favorable, je tente un 400 km toujours avec le fixie gear : j'envisage de laisser la voiture à Bourg Argental (de l'autre côté du col de la République) pour éviter deux ascension (et 1 300 m de D+) et descendre dans le sud le long du Rhône : je ne vais pas m'embêter à tracer un itinéraire, je descend et au bout de 200 km je rebrousse chemin, quitte éventuellement à improviser un tout petit peu.
Si je loupe ce créneau météo je repousserai le 400 après le DFU, je ne vais pas prendre le risque d'arriver à Barcelonnette avec les jambes plombées.

Si tu veux faire le douze cents fais gaffe à tes genoux

veloblan a écrit:

Si tu veux faire le douze cents fais gaffe à tes genoux

Cela fait bien quinze ans que j'ai mal aux genoux, ce qui ne m'a pas empêché de faire des saisons intensives de sports d'hiver (jusqu'à 55 jours de surf une année), courir une douzaine de marathons, quatre SaintéLyon, finir cinq 1 200 et quatre 1 000, etc.
Ils dureront bien quelques années encore... Et après il y a les prothèses