qui qu'a roulé aujourd'hui . 4

Sev a écrit:

Pas de vélo pour moi ce week-end Pourtant, tout partait bien avec l'idée d'escalader le Tourmalet pendant que Chéri et 24Heures roulaient sur Luchon-Bayonne... Sauf que le Tourmalet avait la tête (et les pieds aussi) dans les nuages... Je ne vous dis même pas le taux d'humidité, c'était impressionnant. Du coup, déjà plus ou moins morte de trouille, je n'ai pas voulu pédaler dans de mauvaises conditions. Le Tourmalet sera pour une autre fois. Un grand bravo aux garçons qui ont franchi tous les cols dans des conditions vraiment particulières...

Lors de ma Luchon-Bayonne il y a deux ans c'était le vent qui soufflait de folie sur le Tourmalet et puis les trombes d'eau... Je n'avais dans la plaine jamais reçu de l'eau avec une telle intensité ! Le téléphone sur lequel j'écris ces mots en a encore l'écran légèrement tâché (j'ai même un moment crû qu'il était définitivement HS)  
Je cite :
" Un régal dans les cols de Peyresourde et Aspin. C’est après que les choses se sont gâtées… Le vent violent dans le Tourmalet a déstabilisé de nombreux randonneurs, obligés de déchausser pour éviter la chute.
Des trombes d’eau…
Dans le Soulor, c’est le chapiteau des organisateurs qui s’est envolé, heureusement sans conséquences ! Ensuite la pluie s’est invitée dans le final de l’Aubisque. Le soir et toute la nuit, les randonneurs ont affronté les orages. "
Et ceux qui le faisaient en deux jours ont connu une deuxième journée toujours sous des trombes d'eau...
Je suis repassé quelques semaines plus tard à Bayonne pour pointage lors du 1 200 km des RAA : toujours sous des trombes d'eau Les bénévoles - les mêmes qu'à la Luchon-Bayonne m'ont dit que c'était le climat local
Moi le savoyard d'origine je sais que les Pyrénées ça se mérite...

papou a écrit:

sccber a écrit:

papou a écrit:

c'est pas mal Alain   très belle forme. Le 1200 du MC va être une formalité cette fois ci

Une formalité, , certainement pas... Et puis forme ou pas, quand on grimpe les 4 cols de plus de 2 000 m de l'Ubaye, on souffre suffisamment pour savoir rester humble...

pas de fausse modestie Alain, t'as la patate c'est clair (ou la frite c'est comme tu veux )

Sérieusement, pendant que je grimpais les 24 km de la Bonette puis plus tard les 29 de la Cayolle (depuis Barcelonette) ou même les 19 seulement   du col d'Allos, je me faisais la réflexion que la mémoire ne retient jamais la somme de ce que l'on ressent réellement en terme de pénibilité (pour ne pas parler de souffrance) et qu'à ce moment là je reconnaissais comme familière... Et ce lundi, de nouveau je ne me rappelle que vaguement ce vécu pour n'avoir plus - baigné d'endorphines - que le sentiment heureux d'avoir vécu une belle aventure...
Ce qui fait que je vais y retourner, encore et encore, c'est cette positivité...alors qu'un abandon pour soulager cette souffrance quand cela paraît trop dur n'engendre lui que du négatif qu'il faut savoir ensuite dépasser...

sccber a écrit:

Sev a écrit:

Pas de vélo pour moi ce week-end Pourtant, tout partait bien avec l'idée d'escalader le Tourmalet pendant que Chéri et 24Heures roulaient sur Luchon-Bayonne... Sauf que le Tourmalet avait la tête (et les pieds aussi) dans les nuages... Je ne vous dis même pas le taux d'humidité, c'était impressionnant. Du coup, déjà plus ou moins morte de trouille, je n'ai pas voulu pédaler dans de mauvaises conditions. Le Tourmalet sera pour une autre fois. Un grand bravo aux garçons qui ont franchi tous les cols dans des conditions vraiment particulières...

Lors de ma Luchon-Bayonne il y a deux ans c'était le vent qui soufflait de folie sur le Tourmalet et puis les trombes d'eau... Je n'avais dans la plaine jamais reçu de l'eau avec une telle intensité ! Le téléphone sur lequel j'écris ces mots en a encore l'écran légèrement tâché (j'ai même un moment crû qu'il était définitivement HS)  
Je cite :
" Un régal dans les cols de Peyresourde et Aspin. C’est après que les choses se sont gâtées… Le vent violent dans le Tourmalet a déstabilisé de nombreux randonneurs, obligés de déchausser pour éviter la chute.
Des trombes d’eau…
Dans le Soulor, c’est le chapiteau des organisateurs qui s’est envolé, heureusement sans conséquences ! Ensuite la pluie s’est invitée dans le final de l’Aubisque. Le soir et toute la nuit, les randonneurs ont affronté les orages. "
Et ceux qui le faisaient en deux jours ont connu une deuxième journée toujours sous des trombes d'eau...
Je suis repassé quelques semaines plus tard à Bayonne pour pointage lors du 1 200 km des RAA : toujours sous des trombes d'eau Les bénévoles - les mêmes qu'à la Luchon-Bayonne m'ont dit que c'était le climat local
Moi le savoyard d'origine je sais que les Pyrénées ça se mérite...

C'est carrément ça Alain !

C'était la 4ème participation de Didier à cette épreuve et il ne l'a faite qu'une fois dans de bonne conditions... Il y a 4 ans son téléphone a rendu l'âme tellement il avait plus après Osquich, il y a 2 an, l'eau l'avait pris à Oloron et cette année, ils ont eu la tête dans les nuages... C'est ce qu'un ancien m'a dit à la Mongie : "ma p'tite dame, le Tourmalet, ça se mérite... !"

Quatre participations pour Didier : magnifique !
C'est vrai que c'est une épreuve fantastique et tellement mythique quand on se souviens de l'édition 1910 du Tour de France et la victoire d'Octave Lapize...

Malheureusement pour moi qui aimerai bien la refaire, en plus d'être un peu lointaine, elle tombe en même temps que le Défi des Fondus de l'Ubaye, organisé par mon club.

sccber a écrit:

Sérieusement, pendant que je grimpais les 24 km de la Bonette puis plus tard les 29 de la Cayolle (depuis Barcelonette) ou même les 19 seulement   du col d'Allos, je me faisais la réflexion que la mémoire ne retient jamais la somme de ce que l'on ressent réellement en terme de pénibilité (pour ne pas parler de souffrance) et qu'à ce moment là je reconnaissais comme familière... Et ce lundi, de nouveau je ne me rappelle que vaguement ce vécu pour n'avoir plus - baigné d'endorphines - que le sentiment heureux d'avoir vécu une belle aventure...
Ce qui fait que je vais y retourner, encore et encore, c'est cette positivité...alors qu'un abandon pour soulager cette souffrance quand cela paraît trop dur n'engendre lui que du négatif qu'il faut savoir ensuite dépasser...

c'est carrément ça Alain

ce jour j'ai accompagné un Suisse Laurent D qui était en vélo couché et qui a terminé la super rando de Sophie le Dauphiné Gratiné soit plus de 600 km et 14000 m de +.........
et tout cela en moins de 52 h   délai 58h
comme quoi un vélo couché sa grimpe pas si mal 
on en parle ici http://velorizontal.bbfr.net/t21878-super-randonnee-dauphine-gratine

Sortie de reprise après mon DFU. Initialement je pensais m'accorder un jour de plus de récupération, mais finalement vers 16 h/16 h 15 comme il faisait beau je n'ai pas résisté et dix minutes plus tard j'étais sur le fixie pour rouler sur 40 à 50 km pas trop difficiles. Finalement j'ai allongé et durci un peu le rythme car je me sentais très bien...
78 km avec 507 m de dénivelé à 26,22 km/h.
Et une fois de plus, crevaison roue avant
6 400 km depuis janvier (8 500 en 2015 à pareille époque), mais 3 987 km en pignon fixe, et 81 446 m de dénivelé (110 000 en 2015).
Mon 1 000 et mon 1 200 approchent, j'espère avoir suffisamment préparé mon physique, car il n'est plus temps de trop en rajouter.

Sortie fixie aujourd'hui, col de la Croix de Chaubouret.
31 degrés au départ, la partie la plus raide à 28 mais au soleil... Tout va bien, je m'acclimate À partir du plateau vent de face, j'appuie derechef : les muscles sont efficaces, mais légèrement douloureux, donc arrivé au sommet j'abandonne l'idée de poursuivre sur l'œillon comme éventuellement prévu.
Un cycliste me hèle pour connaître les possibilités de poursuite : c'est un quasi-local mais il ne fréquente pas le Pilat Je l'incite à aller justement à l'œillon... On discute vélo, fixie, développement : il doit aller faire avec des copains le Ventoux - par Malaucène - qu'il ne connais pas, me demande si c'est faisable avec son 34/28, etc... Il me parle de mal de selle, je lui conseille les crèmes dont il ignorait l'existence... Bref, j'ai droit à des remerciements, c'est cool le vélo...
Le soleil a disparu au profit de nuages noirs, le vent a forçi... Je rentre, l'orage arrive (au moment où j'écris ces mots ça tonne et il tombe des trombes, hihi).
41 km avec 713 m de dénivelé à 21,38 km/h.
En arrivant en ville j'ai l'impression que mon pneu avant est légèrement dégonflé, je me traite de parano. Chez moi je constate que c'est bien le cas... Après un café et un petit en-cas je sors la pompe pour vérifier combien j'ai perdu : en fait maintenant il est à plat ! Il va falloir que je vérifie sérieusement ce qui se passe : depuis quelques semaines je n'arrête pas de réparer soit devant soit derrière. Si ça continue sur le 1 000 je vais avoir dix crevaisons
J'avais prévu de mettre deux pneus neufs de toute façon... Mais c'est clair que dès que j'arrive à mettre quelque argent de côté je me fais monter par un artisan une paire de roues pour fixie, légères, solides, adaptées à la route (sur piste on n'a pas les mêmes besoins d'étanchéité) et surtout compatibles tubeless. Je viens d'ailleurs de changer mes valves sur mes quatres roues tubeless (vélo carbone et mulet) pour des valves à obus démontable : je peux ainsi remettre régulièrement du liquide anti-crevaison sans avoir à tout démonter.

Je me répète Alain, mais es-tu sûr de ton fond de jante

papou a écrit:

Je me répète Alain, mais es-tu sûr de ton fond de jante

J'y ai pensé un moment j'ai des fonds de jante d'avance, et comme je roule en tubeless (ou avec des Rsys sans fond de jante), je vais le faire... (ça ne mange pas de pain).
Mais à chaque fois c'est un petit trou du côté opposé au fond de jante...

sccber a écrit:

Mais à chaque fois c'est un petit trou du côté opposé au fond de jante...

bon c'est le pneu qui est en cause alors, il laisserait trop facilement pénétrer les silex

papou a écrit:

sccber a écrit:

Mais à chaque fois c'est un petit trou du côté opposé au fond de jante...

bon c'est le pneu qui est en cause alors, il laisserait trop facilement pénétrer les silex

Et en mettant un fond de jante côté opposé à la jante

papou a écrit:

sccber a écrit:

Mais à chaque fois c'est un petit trou du côté opposé au fond de jante...

bon c'est le pneu qui est en cause alors, il laisserait trop facilement pénétrer les silex

En cherchant je n'ai trouvé qu'un minuscule silex et il n'avait pas percé...
De toute façon je viens de mettre un pneu neuf, l'autre suivra...

bruno91 a écrit:

papou a écrit:

sccber a écrit:

Mais à chaque fois c'est un petit trou du côté opposé au fond de jante...

bon c'est le pneu qui est en cause alors, il laisserait trop facilement pénétrer les silex

Et en mettant un fond de jante côté opposé à la jante

1 000 km en fixie, vélo lourd, je vais quant même continuer à utiliser mes pneus course, en attendant le jour où j'aurai des roues plus légères si possible en tubeless... Parce qu'en plus des pneus Schwalbe marathon plus n'apporteraient sans doute une garantie côté crevaison, mais au prix d'efforts de forçat dès que ça monte, voire obligation de marcher : et moi, marcher j'aime bien, mais pas en tirant un vélo

Fixie : col de la Croix de Chaubouret, col du Grateau et col de l'œillon.
RAS, chaud en bas, mais ensuite vent de face et quelques nuages m'ont rafraîchi. J'ai changé la chaîne sur le vélo parce que j'avais du mal à conserver une tension suffisante... Et puis au démontage j'ai constaté qu'un des tendeurs de chaîne (dont je trouvais déjà le prix excessif et dont j'espérais de la qualité) et déjà un peu foiré : c'était cela le problème. J'ai vaguement essayé de sauver le machin avec du frein filet, mais bon...je serai condamné à racheter un bouzin... En attendant j'ai surtout serré les boulons d'axe à bloc : j'espère ne pas avoir de problème sur mon 1 000.
66 km avec 1 207 m de dénivelé à 20,66 km/h de moyenne.

marcel a écrit:

ce jour j'ai accompagné un Suisse Laurent D qui était en vélo couché et qui a terminé la super rando de Sophie le Dauphiné Gratiné soit plus de 600 km et 14000 m de +.........
et tout cela en moins de 52 h   délai 58h
comme quoi un vélo couché sa grimpe pas si mal 
on en parle ici http://velorizontal.bbfr.net/t21878-super-randonnee-dauphine-gratine

Et il était en Schlitter   mais c'est surtout un bon Laurent

veloblan a écrit:

marcel a écrit:

ce jour j'ai accompagné un Suisse Laurent D qui était en vélo couché et qui a terminé la super rando de Sophie le Dauphiné Gratiné soit plus de 600 km et 14000 m de +.........
et tout cela en moins de 52 h   délai 58h
comme quoi un vélo couché sa grimpe pas si mal 
on en parle ici http://velorizontal.bbfr.net/t21878-super-randonnee-dauphine-gratine

Et il était en Schlitter   mais c'est surtout un bon Laurent

Je viens de lire son compte-rendu, passionnant ! Et un peu stressant par empathie car mon 1 000 en fixie approche et je commence tout doucement la préparation matérielle... Je n'ai d'ailleurs pas encore sorti le parcours GPS, bien travail bien stressant avec mon ordi qui n'en fait qu'à sa tête (faux contact éteignant l'écran sans arrêt)...
Cela fait deux bonnes années que j'hésite à tenter cette SR (à l'origine le délai de 50 h me semblait inatteignable) ; j'ai d'ailleurs préféré refaire la SRHP pour valider mon deuxième R 10 000. Je vais y penser en 2017 ou 2018 car en 2017 avec la TriRhéna et peut-être un Douze Cents j'aurai déjà bien du mal...
N'empêche le défi me tente... La solution de facilité - relative - serait peut-être de trouver un complice à peu près de mon niveau...

J'ai réussi sans trop de mal à rentrer mon 1 000 km sur le GPS. Après, mon ordi ne voulait plus s'éteindre : sale bête    
J'ai aussi voulu mettre un pneu neuf à l'arrière de mon fixie, après celui de l'avant...et surprise, je n'avais que des pneus plus ou moins usés en stock ! Bon, plutôt que de redémonter celui de l'avant, j'ai quant même trouvé un pneu un peu moins usé que celui monté et fait l'échange : j'ai l'impression qu'avec le fixie j'use un peu plus vite le pneu à l'arrière, malgré que bien sûr je ne freine pas en dérapant..
Aujourd'hui dernière journée en PF avant mon 1 000 km mercredi.
J'ai choisit de la grimpette et une distance raisonnable (pour du pignon fixe en montagne) : col de la République, bascule direction Bourg Argentan jusqu'à l'altitude 730 m et route à gauche pour rejoindre le col de la Croix de Chaubouret (ce col est à la croisée de quatre routes, d'où son nom à l'origine, j'imagine).
Chaud dans la plaine - mais sans plus : les gens parlent de plus en plus de canicule de façon indue car pour Météo France les valeurs permettant de parler de chaleur caniculaire doivent durer un minimum de trois jours, et celles-ci dépendent des valeurs habituelles dans chaque région ; ainsi à Lille, on parle de chaleur caniculaire lorsqu'il fait au moins 33 °C le jour et 18 °C la nuit, à Toulouse, la canicule correspond à un maximum dépassant 36 °C le jour et un minimum de 21 °C la nuit (et plus de 30 degrés au Canada ).
De toute façon, il y avait du vent, et à 1 200 m il ne faisait plus que 18 degrés vers 17 h...
J'ai eu un moment une légère gène au mollet gauche - comme samedi dernier un moment sur mon quatrième col - qui a disparu, et une petite douleur hors arthrose au genou gauche... J'espère bien que la mécanique humaine ne va pas me jouer des tours sur mes prochains brevets... Pour le reste, je suis plutôt en très bonne forme. J'ai également pas mal progressé en vélocité, car j'arrive à tenir en descente pendant de longues minutes entre 45 et 51 km/h (je suis sux alentours de 145/150 tr/mn).    Et je m'amuse bien  
57 km avec 1 121 m de dénivelé à 20,54 km/h

Tu pourrais nous mettre ton parcours ? qu'on pédale un peu avec toi au moins par la pensée

veloblan a écrit:

Tu pourrais nous mettre ton parcours ? qu'on pédale un peu avec toi au moins par la pensée

Si tout se passe bien en terme d'horaire, je pourrai - peut-être - essayer d'envoyer des nouvelles
Mais je pars dans l'inconnu, n'ayant aucune idée de la façon dont mes jambes vont réagir à pédaler en continu pendant 1 000 km (ni mes genoux)...
Je serai incapable de faire comme Roland et ses milliers de photos
Je vais faire l'effort de prendre une deuxième batterie externe supplémentaire pour recharger le téléphone (il commence à se faire vieux et sa batterie se décharge assez vite).
D'un autre côté, ça peut être un plaisir supplémentaire (pour la motivation pas de problème, j'ai même tendance à être trop motivé quand arrivent les galères , à ne pas savoir être raisonnable).
Départ mercredi à 9 h du Haillant (Bordeaux). Voici une vue googlemap du point de départ (le trajet est celui de mon arrivée en voiture, le parcours vélo lui débute par 6 km de piste cyclable jusqu'au pont d'Aquitaine) :

Merci, tu pourrais envoyer des nouvelles via facedebouc, c'est vite fait et si tu veux je ferais un copié collé sur le forum


http://www.openrunner.com/index.php?id=5493911

veloblan a écrit:

Merci, tu pourrais envoyer des nouvelles via facedebouc, c'est vite fait et si tu veux je ferais un copié collé sur le forum


http://www.openrunner.com/index.php?id=5493911

Ok je vais essayer d'y penser (hihi)

De retour d'Auvergne après avoir participé dimanche à la cyclo des Copains à Ambert. Organisation phénoménale! Route coupée, intersections protégées, et ce, sur un circuit de 155km avec 3200m D+ passant par les cols du Béal, de Chansert, des Supeyres et de Chagourand. Cyclo sportivo-touristique à mon niveau terminée à la 135ème place (12ème dans ma catégorie d'age) en 5h58, soit 26km/h. Vraiment, un excellent souvenir!
          Et en touche finale, j'ai pu faire mes courses en profitant d'une liquidation de textiles sur un stand: veste thermique+ maillot manches longues+maillot manches courtes pour 40 roros!

bonjour à tous,
première sortie après la diagonale.
Rien à dire sauf que j'ai roulé avec mon autre vélo, sans bagages ni autre...
Il n'y a pas photo ! c'est plus facile !

Bonne route à tous