Qui a roulé aujourd'hui 5

Alain va falloir ouvrir un fil "qui qu'à roulé quand même" 

papou a écrit:

Alain va falloir ouvrir un fil "qui qu'à roulé quand même" 

        

Roland a écrit:

Je n'en suis pas au stade de sccber qui tourne à 8000 tr/mn en descente avec son fixie mais tout de même…

 Pour rappel : https://youtu.be/a5PcQJF5Jl0

bonjour
session de préparation pour notre BRM200 du 4/03 ; 270 km parcourus hier avec un froid ( bien supporté avec un équipement adapté ) et un vent mordants ( je n'ai rien pu faire contre le vent...juste subir ! )
un peu de Beauce, un peu de Sologne...

Bravo Eric! Moi j'ai juste fait 75 bornes car je ne pourrai pas rouler dimanche et cela m'a suffit avec ce p... de vent! En revanche, pas eu froid du tout...

Hier j'ai effectué ma 60 ème étape du dodécaudax continu.
Il était temps, pas trop le choix car samedi ski et ensuite au moins deux jours de froid que les spécialistes nomment polaire : enfin, d'origine car chez moi on prévoit au pire du - 10 degrés le matin très tôt (ce qui reste dur pour rouler 200 bornes minimum, d'autant que par chez moi c'est difficile de rester en plaine).
Bref, la météo prévoyait du froid (min - 3 degrés) et très couvert. Je me lève vers 8 h et déjeune tranquille (œuf à la coque, yaourt au chocolat bio, pains au chocolat industriels     café et jus de fruit), je me prépare tout aussi tranquillement car je préfère partir aux alentours de 10 h (moins froid, bien digéré). J'ai choisi d'aller jusqu'à Salt (par la D10) puis là grimper jusqu'à 8/900m, retour à la maison (environ 120 km), manger, prendre la lumière et repartir jusqu'à Salt... Du tranquille, sans emmener de nourriture, juste deux bidons sucrés (un suffirait) et à tout hasard une pâte de fruit...
Je vais partir, et machinalement je jette un coup d'œil par la fenêtre : les toits ont blanchis (je ne vois pas la rue) et il neige !!!
J'hésite dix secondes, mais je n'ai pas le choix, au pire si cela devient trop délicat (je pense au risque de chute) je ne ferai qu'une sortie normale et tenterais le 200 dimanche, même si les jambes aprés le ski du samedi sont lourdes...
En bas, un ouvrier s'exclame " et bien vous ne craigniez pas le froid ! "
Je lui confirme, mais je me suis équipé en conséquence (maladie de Reynaud faisant, je suis handicapé) : chaussettes anglaises d'alpinisme hivernal, chaussures pointure plus une, trois (3 !) surchausses empilées, moufles de ski avec deux paires de sous-gants, et bien sûr plusieurs couches (haut et bas). J'aurai vaguement froid aux mains et aux pieds, parfois, mais je n'ai eu que le regrêt de ne pas posséder un masque de ski à écran blanc, car les tout petits flocons qui tapent parfois dans l'œil font mal   J'aurai plusieurs fois des petites reprises neigeuses, et deux fois des bouts de routes blanches avec du 5 %, finalement bien négociées.
La route est blanche, mais la neige est très fine. Ça ne glisse pas, du moins tant que je ne bloque pas les freins  , puis plutôt mouillée : je pars au nord, mais l'altitude décroît. J'ai abandonné l'idée de grimper jusqu'à Longuessaigne (le coin est un vrai frigo, j'ai le souvenir d'y avoir eu très froid) et j'improvise en suivant le même chemin sur mes deux derniers dodécaudax, jusqu'à Montbrison (Km 98) et St-Rambert. J'ai pris entre ces deux villes une nouvelle route, mais à cause d'une absence de signalisation spécifique, après un rond-point ma route se transforme en voie à 110 km/h  J'aperçois une route minuscule à droite un peu en contre-bas, mais des barrières m'en interdisent l'accès : heureusement à peine plus loin elles s'interrompent à cause d'un ouvrage en pierre et j'entrevois la possibilté de passer, pas à la hauteur de l'ouvrage car il y a un départ de petit canal, mais juste avant : le plus dur fut de hisser le vélo et de le redéposer de l'autre côté ; après, une petite descente et une plus haute à remonter, tout en enjambant un minuscule ruisseau fut presque un jeu d'enfant. J'ai vu plus tard sur ma cartographie IGN que la mauvaise et minuscule route partait du rond-point (mais je n'ai pas remarqué sur site le moindre panneau). J'ai fini par retrouver St-Rambert
De là, histoire de ne pas reprendre la D10 j'ai choisi de grimper pour finir à St-Genest-Lerp, puis ma piste cyclable habituelle : aujourd'hui un peu délicate, car dans la pente elle était blanche, et moi en fixie il m'a fallu rester assis...
J'arrive chez moi, il est près de 17 h et je n'ai pas mangé. Pour monter sur le trottoir à hauteur du garage de ma voisine, je prend le plus possible à 90 pour ne pas risquer bêtement de chuter, et crac je tombe en plein sur un amas de verre cassé (grrr !) : je crève instantanément mais par miracle je ne chute pas.
Je discute un monent avec un voisin qui s'inquiète du montant global de la facture d'eau de ma petite copropriété (120 m3), je monte, mange un peu et décide de changer de vélo plutôt que de réparer la roue arrière du fixie (pas possibilité de lui mettre une autre roue). Il me faut quant même lui trouver une lampe arrière, mettre un autre compteur, passer celle du fixie sur l'autre, idem pour le sac de guidon, etc. 
J'ai déjà effectué 137 km. Je décide d'aller vers Aurec-sur-Loire, puis de continuer en direction de Bas-en-Basset (Haute-Loire) : j'aurai bien hésité avec le fixie, tant la route forçit à ce moment après 150 km, mais avec un 34/28 au plus court ça passe facile. En fait, mes premiers hectomètres avec ce vélo se révèlent presque chaotiques, car je ne l'ai pas enfourché depuis août dernier : il me faut me réhabituer - ne riez pas - à la roue libre, aux vitesses Shimano - et là mes moufles plus sous-gants sont bien peu pratiques, et même au passage en danseuse bien moins franc que sur un pignon fixe. Mais bon après, même si étonnamment il faut encore avoir du jus - ma pause m'a durçi les jambes - je roule avec plaisir, les vitesses passent bien même s'il me faut au début penser à y avoir recourt  et finalement je rejoints Bas-en-Basset (j'aurai du rab  ).
Cela n'a pas non plus été idyllique, car j'ai retrouvé la circulation des gens qui finissent la semaine de travail, et donc quelques abrutis furieux (le fait que je sois le seul à rouler aujourd'hui à vélo n'est pas une excuse : à Montbrison je me suis fait engueuler par un jeune con qui ignorait que le petit morceau minable de piste cyclable n'était pas obligatoire).
En résumé 212 km (137 + 75) avec 2 044 m de dénivelé (1 028 + 1 017). Première partie à 20,66 km/h de moyenne, la seconde plus pentue à 17,81, ces moyennes n'ayant pas grande valeur de comparaison, compte-tenu de l'état des routes, de la météo et de la nuit.

Bonjour
sortie club avec quelques insensibles au froid...85 km avec vent soutenu dans les bronches dès le départ ; retour tranquille avec - comme dirait ma femme - un vent qui est tombé 

Malgré un -5° j'ai roulé, et un automobiliste m'a insulté, j'explique, je roulais a droite seul, en face un tracteur et derrière lui une voiture, en me croisant l'automobiliste baisse la vitre et m'insulte, sur le coup surpris j'ai rien dit, en fait il était pas content parce que je devais l’empêcher de doubler, enfin je vois que ca!

veloblan a écrit:

Malgré un -5° j'ai roulé, et un automobiliste m'a insulté, j'explique, je roulais a droite seul, en face un tracteur et derrière lui une voiture, en me croisant l'automobiliste baisse la vitre et m'insulte, sur le coup surpris j'ai rien dit, en fait il était pas content parce que je devais l’empêcher de doubler, enfin je vois que ca!

Bravo michel, 
pour voir roulé et ... pour être resté calme face à la connerie 

papou a écrit:

veloblan a écrit:

Malgré un -5° j'ai roulé, et un automobiliste m'a insulté, j'explique, je roulais a droite seul, en face un tracteur et derrière lui une voiture, en me croisant l'automobiliste baisse la vitre et m'insulte, sur le coup surpris j'ai rien dit, en fait il était pas content parce que je devais l’empêcher de doubler, enfin je vois que ca!

Bravo michel, 
pour voir roulé et ... pour être resté calme face à la connerie 

              Voici quelques années, un zozo arrive à ma hauteur, baisse la vitre et me lance que j'avais bien de la chance de pouvoir rouler en pleine journée! En clair, il fallait que j'ai vraiment que çà à f...tre! Je n'ai pas eu le temps de lui préciser que j'avais bossé 2 fois 10h les 2 nuits précédentes. Y a vraiment des cons sur terre!
              A part çà, j'ai roulé 3h aujourd'hui. Le froid, passe encore! Mais ce p...in de vent d'est m'a essoré sur le retour.

bubu14 a écrit:

              Voici quelques années, un zozo arrive à ma hauteur, baisse la vitre et me lance que j'avais bien de la chance de pouvoir rouler en pleine journée! En clair, il fallait que j'ai vraiment que çà à f...tre! Je n'ai pas eu le temps de lui préciser que j'avais bossé 2 fois 10h les 2 nuits précédentes. Y a vraiment des cons sur terre!
              A part çà, j'ai roulé 3h aujourd'hui. Le froid, passe encore! Mais ce p...in de vent d'est m'a essoré sur le retour.

Je trouve que c'est normal, t'aurais du t'excuser de pédaler pendant que d'autres bossent 

véloblan a écrit:

Malgré un -5° j'ai roulé, et un automobiliste m'a insulté, j'explique, je roulais a droite seul, en face un tracteur et derrière lui une voiture, en me croisant l'automobiliste baisse la vitre et m'insulte, sur le coup surpris j'ai rien dit, en fait il était pas content parce que je devais l’empêcher de doubler, enfin je vois que ca! 

Oui c'est extrêmement désagréable ce type de situation, moi un type m'a doublé un matin avec une espèce de fourgonnette qui puait le GO. IL faisait nuit et comme toi en me doublant il m'a lâché quelques réflexions désagréables, l'air de dire que je n'avais rien à foutre là à cette heure. J'avais mon baudrier de nuit; mon éclairage avant sur dynamo; mon éclairage arrière (deux lampes); je roulais à 1 m du bord!!! M--de! qu'est ce qui leur faut de plus? Je roulais à vélo, il roulait en voiture, a priori nous avons les mêmes droits et les mêmes devoir entre autres de nous respecter mutuellement. Bon j'arrête là, ça m'énerve.

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

Jipe4 a écrit:

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

À une époque je me contentais d'un affût de mitrailleuse de 30 mm, mais devant la recrudescence d'incivilités et d'agressions j'ai opté pour un bazooka 

Jipe4 a écrit:

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

c'est vraiment dommage d'en arriver là...certains utilisent des caméras sur le casque - factices ou non - afin de montrer aux automobilistes récalcitrants que tout sera enregistré...ça peut être dissuasif et rester non violent

Jipe4 a écrit:

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

Bonjour à tous,
Évidemment que je sors armé 
J'emporte avec moi
Un tube de bonne humeur
Une boîte de sourires 
Quelques bonjour merci
Bien entendu le physique est mis à contribution 
Des gestes amicaux
Des bras tendus pour signaler mes intentions 
Des pouces levés 
...
Bref un vrai arsenal 

Sinon quand je vois le comportement de certains, tous véhicules confondus je refuse d'en rajouter.

Bonne route à tous

Bon, j'ai enfin fait une sortie avec mon pignon fixe : jeudi dernier mon 200 et des brouettes et samedi ski intensif dans les Alpes (douceur et soleil  ), repos puis le froid. Avant-hier - 12/-13 degrés, hier - 7 et aujourd'hui 10 puis 13 degrés vers 15 h 30 (et encore 7,5 degrés vers 19 h) ! Et certains ne veulent pas entendre parler de dérèglement climatique  
Par contre, vent très violent, je ne dis pas l'effet du vent de face dans la montée de St-Héand (pas celle qui part de la Fouillouse où va se dérouler un contre la montre dans le Paris-Nice d'ici quelques jours, mais celle plus difficile passant par St-Bonnet-les-Oules), arquebouté en danseuse dans des passages à 6, 7 et même 8 % . Heureusement, sur la montée finale dite du Chasseur le vent n'était sensible que dans le dernier kilomètre, parce que de ce côté il y des arbres plutôt que des prairies.
62 km avec 967 m de dénivelé à 18,22 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1431586289/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1519927818

Jipe4 a écrit:

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

J'ai acheté une petite bombe qui pique mais je l'oublie souvent 

veloblan a écrit:

Jipe4 a écrit:

Au vu de ces dangers certains d'entre vous sortent ils équipés d'un moyen de défense ?

J'ai acheté une petite bombe qui pique mais je l'oublie souvent 

Vachement utile contre un camion de 10 tonnes, un autocar ou une voiture lancée à 100 km/h !
Après, si l'on fait comme un de mes potes ayant craché sur la vitre d'un sauvage, on se fait courser par le bagnolard et balancer dans le fossé (et il a refusé de porter plainte cet andouille quand un gendarme lui a proposé après avoir contrôlé les traces du vélo sur la voiture)... La même aventure est arrivée à un copain - j'étais derrière - et lui s'est contenté de gueuler parce que le conducteur d'un 4/4 l'avait frôlé : lui a réussi à éviter le choc en quittant volontairement la route quand le furieux a stoppé pour ensuite le viser...
Conclusion, la plupart des agresseurs se servent de leur bagnole comme arme, alors l'auto-défense, hein... Et il existe des gens dangereux : je connais un gars qui garde dans sa voiture une baïonnette de la guerre de 14-18, et je sais qu'il a déjà été condamné avec sursis pour coups et blessures : du coup, ne m'appelant pas Bruce Lee - et même - je ne suis pas partisan de la bombe au poivre ou lacrimo...
Et puis, en longue distance je me cache pour dormir, non pas parce que je crains les mal intentionnés, mais au contraire les bonnes âmes qui croient à un malaise ou une chute : la bagnole révèle le pire chez certains (mais ne le crée pas), reste qu'il y a encore pas mal de personnes fraternelles.
Et je fais aussi comme Paddy (de façon moins ostensible ou systématique), comme par exemple laisser passer un camion en montée - quand celui-ci me respecte - en lui faisant signe que je vais me garer...

Sortie du jour, en pignon fixe,
Exceptionnellement nous n'avons pas programmé de sortie de ski au club cette semaine et je peux donc profiter d'une météo quasi printannière (aux alentours de 15 degrés en ville - 515 m d'altitude - à mon départ à 15 h, un assez beau soleil et plus de vent !
Je décide donc de renouer avec le col de Chaubouret, mais en prenant une petite route dite " du barrage " jusqu'à Rochetaillée, puis les trois kilomètres les plus durs de la route normale : là, je vais beaucoup souffrir, au point de préférer faire trois arrêts d'une trentaine de secondes. Une des explications à ce relatif manque de peps que j'espère la bonne est que deux sorties en moyenne par semaine depuis le début de l'année (celle-ci n'est que la dix-septième pour environ 1 400 km et 18 000 m de dénivelé) ne permettent pas d'être au niveau physique que j'avais au plus haut de la saison dernière, même si j'ai constaté par ailleurs un excellent rendu musculaire (je tiens plus facilement la position assise à 4 % de pente avec mes 5,8 m de développement et j'ai constaté cela aussi en ski alpin). Une autre explication, à rajouter, pourrait être naturellement un effet de l'obsolescence génétique programmée  puisque le calendrier, à ma grande surprise    dit que j'approche de la  septantaine d'année (hihi).
Au col, il faisait vers 17 h six degrés. Les deux derniers kilomètres d'ascension la route était trempée par les coulées de fonte de la neige... Curieusement, cette année je n'ai pas eu l'envie de pratiquer le ski de fond (en skating) alors qu'il y a eu de la neige, au contraire des deux années précédentes. Au col, j'ai vu un ou deux skieurs terminer leur journée et cela ne m'a pas fait envie plus que ça ; il faut dire que le peu de neige restante dans la pente finale n'était pas très belle... Et puis, la météo continu à prévoir une semaine très arrosée et beaucoup de douceur, je gage que cela va être la fin pour les fondeurs sur ce site (aujourd'hui c'était gratuit, pistes partiellement  " entretenues " avec une moto-neige - la dameuse ferait trop de dégâts - sur et " skis cailloux " conseillés).
44 km avec 702 m de dénivelé à 17,97 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1434300250/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1520096876

Première sortie cette semaine, en manque de motivation quand il fait beau, et pourtant les sorties sont toujours agréables. Aujourd'hui il fait beau et doux, alors...
Bref, pignon fixe : je décide une sortie facile d'une quatre-vingtaine de kilomètres...
Km 5, je crève à l'avant. Réparation puis je m'arrête au km 9 chez un vélociste pour redonner un peu plus de pression. C'est un nouveau gérant, sympa, on commence à discuter vélo : au total je reste une heure chez lui. Du coup je décide d'alléger le kilométrage au profit d'un peu plus de dénivelé.
Je commence par la montée de St-Héand où hier partait le contre-la-montre du Paris-Nice (je verrais pas mal de parcours sur Strava). Mais moi, arrivée en haut, je ne redescend pas par la droite, je tire à gauche et au premier rond-point je prend à droite la montée vers le col du Pilon (départ façon col alpin en virages et bien raide, après ça s'adouçit progressivement). Bref, chemin connu, pour arriver après deux routes à un carrefour : à droite ça remonte sur 3,5 km à St-Héand, route refaite, celle-là même que les coureurs hier ont prises en descente (sur Strava la vitesse maximum du plus rapide à la montée est de 77,4 km/h). À St-Héand je décide de redescendre par St-Bonnet-les-Oules pour ne pas reprendre la route de montée : ça rajoute un peu de kilométrage, et j'en profite pour rejoindre la Fouillouse par une route que je prend rarement (car il y a de la circulation et elle longe l'autoroute). Ensuite, histoire d'en rajouter je monte au Chasseur, St-Genest-Lerp etc.
Bonnes jambes (bien reposées, genoux moyens).
66 km avec 929 m de dénivelé à 19,09 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1442794722/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1520541401

sccber sur Strava la vitesse maximum du plus rapide à la montée est de 77,4 km/h a écrit:

Bonjour,
Je ne sais pas qui est le coureur (à vélo ?) qui est monté à cette vitesse mais il faut le féliciter. Bon je sais ... la préparation ... ! !

Loïc49 a écrit:

sccber sur Strava la vitesse maximum du plus rapide à la montée est de 77,4 km/h a écrit:

Bonjour,
Je ne sais pas qui est le coureur (à vélo ?) qui est monté à cette vitesse mais il faut le féliciter. Bon je sais ... la préparation ... ! !

Si tu connais Strava tu verra que je n'ai écris rien qui puisse être mal compris   C'est comme sur un compteur de vélo, ta vitesse enregistrée maximum sur une sortie tu sais très bien où elle se situe, il n'y a pas besoin de préciser... Tu prends un Qom Strava sur un segment (le plus rapide) et sur l'ensemble de son parcours il y a vitesse moyenne et vitesse maximum. Voilà, voili...

cet aprèm petite partie de jambes à l'air 
j'ai voulu profiter des températures douces annoncées et suis parti juste avant 14h en cuissard court et maillot léger. 
Déjà un vent de sud/est souffle pas mal mais je l'ai porteur pour les 15 premiers km, pas forcément la meilleure idée mais bon, je vais faire avec...
Il n'y a pas très longtemps que je suis sorti de table et comme toujours dans ces cas là, il me faut au moins 2/3 pauses pipi la première heure de vélo (surtout en couché) Je m'exécute (vent dans le dos) dès que le besoin s'en fait sentir ce qui n'arrange pas la moyenne. 
Passé les 15km, je cumule vent défavorable et coups de cul, là aussi la moyenne s'en ressentira   Je roule tranquille mais en pression compte tenu des conditions précédemment évoquées. 
Après une trentaine de km à lutter contre le vent , je bifurque à nouveau et profite du vent plus favorable pour rentrer après 56km d'autant que le ciel s'obscurcit, la température descend et que la pluie approche.
Pour la première sortie en court de 2018, ça m'a suffit 

Ben moi pas de court, me suis même pelé à 1400m