Qui a roulé aujourd'hui 5

C'était prévu pour fin octobre, mais j'ai un peu paressé... Donc, c'est ce matin que j'ai passé les 15000km annuels. Je sais que pour certains, ici, c'est petit joueur. Pour d'autres, ce sera un peu bien. Pour moi, c'est un record perso que je m'appliquerai à tomber dès 2018. C'est bien le seul record perso que je peux encore battre.

15 000 pour les uns, 20 000 pour les autres, je suis admiratif. Je n'ai fait que 7500 cette année et en ce moment je suis arrêté au stand ! Ce ne va pas être une grande année.

Jipe4 a écrit:

15 000 pour les uns, 20 000 pour les autres, je suis admiratif. Je n'ai fait que 7500 cette année et en ce moment je suis arrêté au stand ! Ce ne va pas être une grande année.

Que 7500? je connais des cyclistes réguliers qui en ont pas autant

Jipe4 a écrit:

15 000 pour les uns, 20 000 pour les autres, je suis admiratif. Je n'ai fait que 7500 cette année et en ce moment je suis arrêté au stand ! Ce ne va pas être une grande année.

Allons allons... que dois-je dire ? Moi qui encore une fois ne va pas atteindre les 5000...


Mon record est de 2011 avec 6300 km...   dois-je me suicider ?

Rouler 15 à 20000 km/an... c'est un choix de vie. C'est que le vélo... rien que le vélo... tout pour le vélo. C'est donc une passion. Choix que je respecte bien entendu. Mais j'assume d'autres choix...

J'ai une épouse, un jardin, des petits enfants, d'autres activités (natation, tango, gym pour les vieux), j'habite une ville où les possibilités culturelles sont grandes... je découvre donc une autre façon de vivre qui me réjouit pleinement. Je voyage beaucoup (pas en vélo). Et la passion photo pour couvrir tout çà... 

J'arrive à tout concilier sans trop me recentrer une pratique égocentrique. Ainsi, je passe ce week-end dans le Cotentin avec mon épouse mais le vélo reste à  la maison.
            Les petits-enfants de temps en temps, le jardin régulièrement, lecture, écriture également sont inclus dans mon emploi du temps.
            Le vélo se pratique essentiellement le matin et quasi quotidiennement, ce qui ne veut pas dire non plus tous les jours, loin s'en faut.
            C'est surtout la retraite qui me permet d'être polyvalent. Mais c'est vrai que le vélo reste ma grande passion. Quand j'étais jeune coursier, je ne suis jamais arrivé à 10000 bornes annuels.

Je suis au alentours de 12 000 (légèrement moins que l'année passée à pareille époque). C'est moins que les cinq années précédentes, mais depuis mars 2016 je me suis mis au pignon fixe et les anciens disaient que ça comptait double : peut-être légèrement exagéré, mais on ne peut pas comparer la dépense physique entre une sortie (surtout à dénivelé) avec cet engin - en plus le mien n'est pas léger - ou avec mon carbone 2X10 vitesses. J'ai fait à ce jour 122 sorties dont 7 542 km et 79 sorties en fixie et 627 km pour 20 sorties en VTT, pour au total tous vélos confondus environ 150 000 m de dénivelé.
Et non, le sport n'est pas ma seule activité (vélo et ski - je suis d'ailleurs dirigeant de club de ski), loin s'en faut. J'ai un ami qui comme moi est un sportif (moins de vélo et plus de ski) : il dit toujours qu'il a choisit à dessein d'acheter un appartement plutôt qu'une maison, pour ne pas perdre son temps à tondre des pelouses et tailler des haies. Moi, mon vieil appartement c'est au départ plutôt pour vivre en centre-ville, tout en économisant (je me fout du confort et j'aurai à tout prendre préférer encore d'avantage une thébaïde en pierre en montagne)

Sortie jeudi en VTT : initialement je devais faire mon étape du dodécaudax mais mon pote roulant aujourd'hui, j'ai préféré décaler les 200 km au vendredi.
Il a voulu refaire le même circuit que la semaine dernière : ma fois, je ne suis pas emmerdant, peu me chaud de faire un circuit plutôt qu'un autre, l'essentiel étant de rouler sur sentiers variés en bonne compagnie, à allure pas trop débile (je suis - du verbe suivre, pas du verbe être - un VTTAE, enfin il lui arrive de devoir m'attendre, hihi).
Circuit facile - sauf deux ou trois coups de cul - globalement plus gravel que VTT (encore qu'une longue et belle descente, rapide pierreuse, passe plus agréablement avec un VTT titane semi-rigide comme le mien). Sortie très agréable...
https://www.strava.com/activities/1258098158/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1509642340

veloblan a écrit:

Jipe4 a écrit:

15 000 pour les uns, 20 000 pour les autres, je suis admiratif. Je n'ai fait que 7500 cette année et en ce moment je suis arrêté au stand ! Ce ne va pas être une grande année.

Que 7500? je connais des cyclistes réguliers qui en ont pas autant

... et j'en fais partie !
7200 pour l'instant et cela ne me donne aucun remord.
Bien au contraire. J'ai le sentiment de faire une belle année cyclotouriste.

Moi aussi, je ne suis pas au niveau kilométrique annuel de bubu14 que je félicite, même si certains ont davantage de km que lui, mais peut-être pas tant que ça ? J'ai plusieurs copains qui font régulièrement environ 20000 km par an et un camarade de club qui a fait 37000 km en 2016 (et 100000 km sur 3 ans : 2014, 2015 et 2016 ! ).
Cette année, malgré tous les brevets et randonnées divers que j'ai effectués, je n'affiche pour l'instant que 12500 km. Ce qui étonne toujours les gens qui me connaissent bien et qui croient que j'ai beaucoup plus de bornes que ça. Mais je roule très peu en semaine (en général, une seule sortie de 70 à 75 km, quelquefois moins, à part le dimanche).
Pour moi, le kilométrage annuel n'a jamais été une obsession. Je participe à ce dont j'ai envie et puis le kilométrage suit plus ou moins. Mon "record" annuel : un peu plus de 16000 km en 2014, je crois. Mais sans le vouloir, je suis "régulier" à 14000 km environ depuis quelques lustres ...

J'ai passé les 9.000 ce week-end... Je vise les 10.000 mais si la météo fait des siennes, ce ne sera pas possible et je n'en ferais pas une maladie. Nous ne roulons que le dimanche... Chacun fait comme il peut...

Globalement, je suis super contente de notre année avec des BRM divers et variés, de la montagne comme jamais je ne m'en serais cru capable et une diagonale Brest-Perpignan sur laquelle j'ai pris énormément de plaisir... Les projets pour 2018 ne cessent d'affluer mais il va falloir faire des choix car il paraît que j'ai un boulot et des enfants

Étape 57 de mon dédocaudax continu. J'ai prévu 200 km en pignon fixe. Pour l'itinéraire j'avais le choix entre partir vers le sud (en passant par le massif du Pilat) ou par le nord.
C'est cette deuxième option sur laquelle mon choix c'est porté, décidé juste au moment du départ, car tracer un itinéraire ne fait pas parti des choses qui m'intéressent dans le vélo...
À huit heures il ne faisait que six petits degrés, aussi j'ai décidé de partir plutôt vers les dix heures.
En fait, comme j'étais plongé dans un bouquin je n'ai pas vu le temps passé, et j'ai décollé à 10 h 25 mn, ce qui en principe me ferai rentrer entre 20 h et 21 h, avec du roulage de nuit, ce qui me va très bien, d'autant qu'avec une température qui ne chute pas beaucoup et des muscles chauffés l'expérience me dit que je n'aurai cette fois-çi  pas à craindre d'avoir froid (le matin, par contre brr...).
Donc destination Salt-en-Donzy par la D 10... Et puis, un peu après le km 9 et La Fouillouse, j'improvise en tirant à droite (par le haut de St-Bonnet-les-Oules), sur une route que je ne connaît pas... Et ça monte, et bien : je constate que ça mène à St-Héand (par une route plus difficile que la traditionnelle " montée de St-Héand " ). J'y retournerai, c'est sûr.
À partir de là, c'est souvent l'inconnu, je vais passer la journée à improviser, entrecouper les routes ou les villages connus en passant dans des coins - c'est incroyable - que je n'avais jamais visité. Donc, je quitte St-Héand pour rejoindre Chazelle (je connais), et Salt (ma boucle m'a rallongé de 30 km et pas mal de dénivelé. À Salt j'improvise de nouveau en prenant une route inconnue (je vais regarder en vitesse deux fois mon application de l'IGN pour vérifier que je ne vais pas me retrouver par mégarde à Lyon, hihi), et sinon, toujours le pifomètre, et toujours beaucoup de dénivelé et rarement du profil facile pour mon développement, mais ça passe bien...
À Chazelles-sur-Lyon que j'ai réussi à rejoindre, je retrouve une route archi-connue, qui va me ramener à La Fouillouse après une très longue montée puis de la descente.
Je sais maintenant qu'il va me falloir trouver du chemin de rallonge si je veux atteindre les fatidiques 200 km...
Je prend donc la montée du Chasseur : là, soit je choisirai ensuite soit la montée de Chambles (avec un raidar pour sortir du barrage) et après la redescente (7 km), soit la plaine passé Firminy (pas terrible à l'heure du retour du boulot qui rend les bagnolards agressifs), soit une nouvelle montée en tirant à gauche après le pont sur le Rhône... Autre possibilité, rejoindre St-Genest-Lerp puis une petite piste cyclable isolée : c'est cette dernière option que je choisis, en décidant en outre de retraverser St-Étienne et monter à Rochetaillée dans le Pilat (avant les 3 km à 7 %) et redescendre en final en ville ; si, comme je le crains cela reste un peu court, je ferai le reliquat en tournant autour du centre-ville, avec encore du dénivelé car les autochtones disent qu'il y a sept collines, comme à Rome (je n'ai jamais vérifié).
La première parti de la montée sur Rochetaillée à été un peu lente, pas par fatigue car au contraire je me sens bien, mais parce que ma lampe n'éclaire plus trop (décidément mes vieilles batteries ne tiennent plus la charge) et je garde par prudence la frontale pour la descente finale.
Effectivement il m'a manqué 16 km ! Et j'ai tourné : beaucoup de bagnoles, et qui roulent comme des tarés (le travail ça les travaille les conducteurs), des feux qui durent (ça aussi ça les énerve)... Mais finalement je rentre tranquillou aux alentours de 21 h (je ne suis pas pressé)...
202 km à 20,5 km/h de moyenne, avec 2 996 m de dénivelé (Strava 3 201 m).
Un peu moins d'une heure d'arrêt total (deux mini pauses repas, changement habillement et consultation des panneaux ou de la cartographie).
https://www.strava.com/activities/1259711374/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1509740020

Bonjour à tous !
Petit tour ce matin départ avec le soleil et retour juste avant la pluie (d'où le petit tour), température assez fraîche (6°C).
Tour de 25 kilomètres en 1h06 (23,3 km/h de moyenne) et 235 de D+.

Strava : https://www.strava.com/activities/1260216482

Bonne route à tous et j'espère à demain avec le beau temps ! 

@sccber Bravo pour ce 57ème Dodécaudax !

Nordiste a écrit:

@sccber Bravo pour ce 57ème Dodécaudax !

Merci
Vu la météo j'ai eu bien raison de profiter du beau temps : aujourd'hui il pleut, pluie annoncée demain et les jours suivants aussi (pour le moment), les températures vont chuter (neige annoncée, hihi)...
Ça va être dur de coincer ne serai-ce que des sorties courtes... Peut-être le prétexte à me remettre à la course à pieds (je dis ça depuis trop longtemps).

Bonjour à tous !

Départ 8h15 temps très nuageux et seulement 5°C, ça commence à cailler. Au bout de 3 kilomètres sans faire attention je roule sur des débris de verre, aie. Je m'arrête plus loin mais R.A.S, quelle chance ! Seulement voilà,17 kilomètres plus tard, le pneu s'affaisse soudainement, me voilà crevé sans en connaître la raison. Impossible de réparer sur place les doigts sont gelés, heureusement la maison n'est pas loin. 
Tour du jour malheureusement écourté, 20 kilomètres en 57 minutes (21 km/h de moyenne) et 150 de D+.

Bonne route à tous ! 

Nordiste a écrit:

Bonjour à tous !

Départ 8h15 temps très nuageux et seulement 5°C, ça commence à cailler. Au bout de 3 kilomètres sans faire attention je roule sur des débris de verre, aie. Je m'arrête plus loin mais R.A.S, quelle chance ! Seulement voilà,17 kilomètres plus tard, le pneu s'affaisse soudainement, me voilà crevé sans en connaître la raison. Impossible de réparer sur place les doigts sont gelés, heureusement la maison n'est pas loin. 
Tour du jour malheureusement écourté, 20 kilomètres en 57 minutes (21 km/h de moyenne) et 150 de D+.

Bonne route à tous ! 

Te voilà voué aux sorties ultra courtes En fait, une heure de vélo ça peut être une heure plaisante et c'est bien l'essentiel.
Regarde bien ton pneu avant de remettre ta chambre, il y a une forte probabilité qu'un éclat de verre se soit infiltré dedans...
Quand je suis libre de mes horaires je préfère toujours à la saison froide rouler l'après-midi, les températures y sont plus favorables... Remarque, c'est aussi que je ne suis pas trop du matin, car de la même façon en période de canicule je fais pareil   (comme quoi on rationalise ses comportements : en été je n'hésite pas à dire que c'est pour travailler l'acclimatation - ce qui n'est pas faux    ).

@sccber en effet un bel éclat de verre était logé dedans... A force de rouler il a dû s'enfoncer et finir par perforer la chambre à air.
Mon pneu est désormais abîmé (petit trou de qlq mm), est ce nécessaire de le changer ?
Oui tu as raison, moi qui crains le froid je vais peut-être me mettre à rouler l'après-midi même si je préfère le matin.

Nordiste a écrit:

Bonjour à tous !

Départ 8h15 temps très nuageux et seulement 5°C, ça commence à cailler. Au bout de 3 kilomètres sans faire attention je roule sur des débris de verre, aie. Je m'arrête plus loin mais R.A.S, quelle chance ! Seulement voilà,17 kilomètres plus tard, le pneu s'affaisse soudainement, me voilà crevé sans en connaître la raison. Impossible de réparer sur place les doigts sont gelés, heureusement la maison n'est pas loin. 
Tour du jour malheureusement écourté, 20 kilomètres en 57 minutes (21 km/h de moyenne) et 150 de D+.

Bonne route à tous ! 

Un truc a faire absolument dans une zone avec éclats de verre, passer ton pouce ou ton gant sur le pneu en roulant

@veloblan Ok merci je m'en souviendrai ! 

Nordiste a écrit:

@sccber en effet un bel éclat de verre était logé dedans... A force de rouler il a dû s'enfoncer et finir par perforer la chambre à air.
Mon pneu est désormais abîmé (petit trou de qlq mm), est ce nécessaire de le changer ?
Oui tu as raison, moi qui crains le froid je vais peut-être me mettre à rouler l'après-midi même si je préfère le matin.

Pour le pneu, risque minime. Tu peux aussi faire comme les mécanos des cyclistes professionnels, ce que je fais à l'occasion : bien écarter les lèvres de là coupures et y glisser une petite goutte de colle cyanolite (évidemment le pneu ne doit pas être gonflé), resserrer et regonfler ensuite. Normalement le pneu est comme neuf.

veloblan a écrit:

Nordiste a écrit:

Bonjour à tous !

Départ 8h15 temps très nuageux et seulement 5°C, ça commence à cailler. Au bout de 3 kilomètres sans faire attention je roule sur des débris de verre, aie. Je m'arrête plus loin mais R.A.S, quelle chance ! Seulement voilà,17 kilomètres plus tard, le pneu s'affaisse soudainement, me voilà crevé sans en connaître la raison. Impossible de réparer sur place les doigts sont gelés, heureusement la maison n'est pas loin. 
Tour du jour malheureusement écourté, 20 kilomètres en 57 minutes (21 km/h de moyenne) et 150 de D+.

Bonne route à tous ! 

Un truc a faire absolument dans une zone avec éclats de verre, passer ton pouce ou ton gant sur le pneu en roulant

À tout prendre, quand il s'agit d'éclats de verre, le gant est préférable au pouce Et puis, c'est peut-être moins risqué pour le doigt et moins casse-gueule de carrément s'arrêter (surtout si l'on roule seul) et de faire la même chose à l'arrêt. C'est même carrément obligatoire si l'on a des garde-boue !
Et pour le fixie, arrêt obligatoire : un gars s'est déjà coupé un doigt en deux en le coinçant entre la chaîne et le pédalier alors qu'il faisait tourner la roue sur un pied d'atelier (pas de roue-libre et grosse inertie)...

veloblan a écrit:

Un truc a faire absolument dans une zone avec éclats de verre, passer ton pouce ou ton gant sur le pneu en roulant

Bonjour à tous, 
Un truc de vieux...
Que je fais systématiquement et dont certains s'étonnent.
Fut une époque où il existait une espèce de brosse qui 'brossait' (normal pour une brosse) le pneu...
Sinon le pouce sur le pneu c'est un impératif ! 

Bonne route à tous

En dehors du pouce et de la brosse, il y (eu) la chainette…

Une petite chaine qui relie les haubans et qui en « frottant » sur le pneu en arrache les bouts de silex ou de verre avant qu'ils ne pénètrent le pneu plus profondément au(x) tour(s) suivant(s)

Les accessoires nommés ci-dessus "brosse" ou "chaînette" sont des arrache-clous comme ceux-ci, mais quasiment impossible à trouver maintenant : 
https://i.servimg.com/u/f62/18/99/99/35/arrach10.jpg

Roland a écrit:

En dehors du pouce et de la brosse, il y (eu) la chainette…

Une petite chaine qui relie les haubans et qui en « frottant » sur le pneu en arrache les bouts de silex ou de verre avant qu'ils ne pénètrent le pneu plus profondément au(x) tour(s) suivant(s)

J'ai connu la petite chaîne:D , mais sur un beau vélo ca fait tache du temps des cyclosportives je m'entourais le pouce de sparadra pour enlever ce qui collait au pneu