Qui a roulé aujourd'hui 5

veloblan a écrit:

Roland a écrit:

En dehors du pouce et de la brosse, il y (eu) la chainette…

Une petite chaine qui relie les haubans et qui en « frottant » sur le pneu en arrache les bouts de silex ou de verre avant qu'ils ne pénètrent le pneu plus profondément au(x) tour(s) suivant(s)

J'ai connu la petite chaîne:D , mais sur un beau vélo ca fait tache  du temps des cyclosportives je m'entourais le pouce de sparadra pour enlever ce qui collait au pneu

AH ouais ! Tu mets le sparadra avant de te couper pas bête

@sccber: je lis dans ton CR du dernier Dodécaudax qu'il est question du pont sur le Rhone... Ya comme un blème, non? La fatigue vélocipédique nous fait tous dire des incongruités.

Le Rhône, la Loire, moi vous savez sans lunettes...

Jipe4 a écrit:

Le Rhône, la Loire, moi vous savez sans lunettes...

le pont de l'alma quoi

Jipe4 a écrit:

Le Rhône, la Loire, moi vous savez sans lunettes...

Bien vu
Non, j'avais bien mes lunettes !
C'est que je suis dans la Loire un migrant pas très bien intégré (faut croire).
Je suis né près du lac du Bourget, puis j'ai passé mon enfance à proximité de la Leysse, ma jeunesse au bord de l'Isère, ai travaillé un temps pas loin du Rhône et de la Saône et maintenant j'habite une ville où le Furan est enterré...
Alors forcément, l'âge venant...

bubu14 a écrit:

@sccber: je lis dans ton CR du dernier Dodécaudax qu'il est question du pont sur le Rhone... Ya comme un blème, non? La fatigue vélocipédique nous fait tous dire des incongruités.

Impitoyables ces critiques littéraires ! Et je n'ai pas l'excuse de la fatigue...  
En plus, vieux réflexe professionnel - j'ai travaillé un temps à la production d'articles encyclopédiques - je me relis toujours, même si en tant que feignant je n'ai plus les mêmes exigences... Ça doit-être un acte manqué (dont je n'ai pas la clef)

Bonjour à tous 
Première sortie qui se fini en nocturne hors agglomération.
Pas très longue, plutôt courte même mais correcte pour commencer à  reprendre les habitudes liées à la nuit.
Déjà les mauvaises surprises liées aux pierres et autres sur lesquelles on roule !
Ensuite la loupiote... 
Puis les autres usagers de la route qui sont plus ou moins surpris mais par ici on a rarement affaire à des exites donc c'est sans problème.
Donc exercice obligatoire pour qui prétend rouler "tout temps".
Bonne route à tous

Pas roulé depuis mon dodécaudax vendredi, repos et météo infecte...
Hier, flemme Du coup, je me suis un peu forcé, pour réenclencher la machine.
Plutôt froid, donc habillé en conséquence ce qui n'a pas empêché que j'ai eu peu à peu froid au pieds, mais avec la maladie de Reynaud ça ne coupe jamais, malgré les couches (sauf peut-être avec de vrais et onéreuses chaussures d'hiver, hihi).
Parcours classique avec trois montées de sept kilomètres chacune, un ou deux coup de cul, un peu de descente et du remplissage plus ou moins plat...
Bref, varié et néanmoins physique avec un pignon fixe.
À part quelques petits groupes échelonnés peu après le départ - en plaine donc - pas rencontré de vélos malgré quelques rayons de soleil : il semble que désormais il ne vas plus rester de cyclistes que les vrais mordus (mon pote vttiste me semble déjà démotivé et ne me propose qu'un peu de marche en attendant le ski).
54 km à 20,8 km/h avec 820 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1266700880/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1510159231

Sortie pignon fixe ce vendredi.
Pluie annoncée à partir possiblement de 17 h : fini vers 17 h 45 je crois, petite pluie vers 18 h 30  
Circuit en partie nouveau dans sa continuité (en particulier j'ai incorporé la nouvelle montée à St-Héand et j'ai terminé par Rochetaillée côté Pilat, histoire de ne pas trop m'éloigner en cas de pluie : je ne crains pas trop la pluie mais vu les températures inutile de rentrer trempé, déjà que je commence à avoir des douleurs aux doigts de pieds, précurseurs de mes habituelles engelures hivernales.
Bon petit circuit bien dénivelé : bien vêtu, sans jamais ressentir un excès de froidure ou de chaleur j'ai simplement en conséquence de l'effort soutenu bien mouillé le maillot.
67 km avec 1 108 m de dénivelé à 19,5 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1269395258/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1510334091
 

Bonjour à  tous 
Sortie club comme tous les dimanches. Normalement ça passe sans problème, aujourd'hui ça n'a pas été le cas.
La seconde côte est montée rapidement et je me trouve bizarre, à  la seconde la bizarerrie se confirme et le cardio s'affole.
Sur le plat c'est pas mieux toujours haut dans les tours.
Pour les férus d'expression : avoir le coeur dans la boîte à gants 
La troisième bosse sans surprise je ne peux pas suivre.
Sur le plat c'est dur mais je suis.
Puis tout s'arrête sauf le coeur qui est toujours dans la zone résistance, il faut savoir dire stop, je préviens les autres et et je rentre tranquille. 
Vent de dos sur le plat je rentre l'oeil colle au cardio et je ne dépasse pas les 20 à l'heure!

Que retenir de de genre de situation?
Tout d'abord qu'il faut rester raisonnable 
Ensuite qu'un cardio qu'on lit et qu'on en tient compte peut certainement éviter de grosses erreurs.
Les chiffres sont à comparer à  une cyclo sportive  avec 50 km de plus et 7 km/h de moyenne en plus !

Bonne route à tous

Ça doit être un peu flippant comme situation.
J'espère que tout est rentré dans l'ordre, ou plutôt le bon rythme, rapidement.

Sur un autre forum, un gros rouleur, cycloHC, parle aussi de ce genre de mésaventure, à ne pas prendre à la légère visiblement.

https://www.cyclos-cyclotes.org/forum/viewtopic.php?f=8&t=5825

Bonne continuation à toi.

erwin68 a écrit:

Ça doit être un peu flippant comme situation.
J'espère que tout est rentré dans l'ordre, ou plutôt le bon rythme, rapidement.

Sur un autre forum, un gros rouleur, cycloHC, parle aussi de ce genre de mésaventure, à ne pas prendre à la légère visiblement.

https://www.cyclos-cyclotes.org/forum/viewtopic.php?f=8&t=5825

Bonne continuation à toi.

Je viens de lire ton lien, intéressant, mais un problème débutant par de la fatigue inexpliquée conduisant au final à une embolie pulmonaire, effectivement c'est craignos, et il ne faut pas négliger de consulter si un problème s'installe...

je roule systématiquement avec un cardio-fréquencemètre et ce depuis tout le temps, pas dans un but d'entrainement et d'amélioration de mes performances mais pour déceler une anomalie, agir à temps, du moins le pensais-je 
Encore faut-il être suffisamment raisonnable pour que, quand les dites indications sont anormales, soit lever le pied voire  carrément stopper et ... consulter si cela persiste 
je dis cela par "expérience" 
Et oui, rouler au cardio ne m'a pas empêché de ne pas me rendre compte que je faisais de la fibrillation, car bien sûr quand ce dernier m'indiquait 200 ou plus bpm, je mettais cela sur le compte d'une cause extérieure (transfo ou ligne HT à proximité) ou d'une défectuosité de l'appareil. Et dans ce cas là soit j'enlevais la ceinture thoracique ou j'arrêtais le cardio 
A ma décharge j'ignorais ce que c'était que la fibrillation ou le Flutter (désorganisation électrique des impulsions cardiaques) et m'a fallu être admis aux urgences de St Brieux lors du dernier PBP (j'avais enlevé la ceinture thoracique dès Fougères ) pour découvrir la pathologie dont je souffrais (dont les manifestations, au fil du temps, deviennent de plus en plus fréquentes)

Bon ma sortie du jour, toujours en pignon fixe.
Avant toute chose, j'ai moi aussi, lors de la montée du col, eu un moment difficile, au point de faire une halte d'une ou deux minutes pour laisser le cœur revenir à 130 bts/mn, après qu'il soit monté à 169, soit près de dix battements de plus qu'habituellement. Alors certes, ce n'est pas énorme (mon cœur monte encore facilement à près de 190 bts/mn si je cherche à approcher du maximum).
J'ai surtout stoppé l'effort pour rester dans ma zone de confort.
Alors, problème de méforme ou effort trop important eu égard aux conditions météorologiques ? Car après les premiers kilomètres relativement faciles, mais du coup montés avec peut-être un brin trop d'enthousiasme, alors que la brise forçissait insensiblement au fur et à mesure de la prise d'altitude, arrivé aux trois kilomètres à près de 7 % - ce qui n'est somme toute pas grand chose quand on peut changer de développement et avec un vélo léger devient différent quand on n'a qu'un développement de 5,8 m et un vélo relativement lourd - je me suis retrouvé à ressentir une certaine difficilté à maintenir ma vitesse.
Après l'arrêt, je suis revenu peu à peu de nouveau à souffrir un peu, mais le vent était devenu très violent, et en fixie en grimpée on reste le plus souvent en danseuse, donc on offre au vent le maximum de surface frontale (déjà qu'un sac de guidon n'a pas un CX remarquable).
Revenons au début : hier au soir mon application météo ne prévoyais qu'une journée grise et douce, avant les deux jours suivants une grosse chute des températures, avec possibilité de neige à basse altitude. J'avais donc décidé d'aller rouler.
Vers treize heures, en consultant de nouveau la météo je me suis aperçu que la pluie risquait de tomber dès 16 h. Je me suis demandé : rouler ou pas rouler ? Je me suis décidé vers 13 h 30, pour une montée de col : sortie en altitude rendue facile par la douceur relative (13/14 degrés en ville) et courte pour minimiser le risque d'être mouillé et en tous cas d'avoir froid.
Je me prépare en vitesse, je descend mes quatre étages, ouvre la porte, et...le sol commence à être constellé de taches de pluie
Tant pis, je ne renonce pas. Cinq minutes plus tard je m'arrête pour mettre mon vêtement imperméable et protéger mon téléphone.
Je monte, et rapidement la pluie cesse (la route est luisante de pluie) mais j'ai trop chaud, j'enlève donc mon vêtement de pluie. La suite un peu plus tard, classique, je vais devoir remettre celui-ci car cette fois-ci la pluie s'installe, sous forme d'averse à intensité variable et de bourrasques de vent, dont l'amplitude pour ce dernier ira crescendo à la montée (et décrescendo à la descente, hihi).
Avantage du temps, quasiment pas de voitures comparé à un dimanche ensoleillé.
Passé le moment difficile je suis monté au train sans soucis particulier (FC moyenne 134). Je ne me suis pas attardé au col, retour ultra prudent, voire allure de trouillard (je n'ai jamais eu envie de tester l'accroche de mes pneus sur route mouillée en descente de col), d'autant que le vent du fait de quelques virages est parfois par le travers.
J'ai eu le temps de mouiller les gants et d'avoir légèrement froid aux doigts dans la descente, sinon rien à signaler, hormis la flotte dans les yeux (ça aussi, ça aide pas en descente).
En résumé, je ne regrette pas d'avoir roulé, j'y ai quant même trouvé du plaisir
41 km à 18,1 km/h de moyenne avec 769 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1272361020/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1510502705

Eh bien, tu es motivé. Je me demandais ce que tu as comme vélo, il me semble que tu avais écrit quelque part qu'il a des freins mais tout de même une transmission sans roue libre.
Visiblement tu trouves de l'intérêt à rouler avec cette monture, lequel et as-tu vu tes performances s'améliorer en roulant en pignon fixe ?

erwin68 a écrit:

Eh bien, tu es motivé. Je me demandais ce que tu as comme vélo, il me semble que tu avais écrit quelque part qu'il a des freins mais tout de même une transmission sans roue libre.
Visiblement tu trouves de l'intérêt à rouler avec cette monture, lequel et as-tu vu tes performances s'améliorer en roulant en pignon fixe ?

Motivé, oh oui, mais pas plus qu'une bonne partie des rubans blancs ! Quand je vois le kilomètrage de certains, je suis loin du compte, même en tenant compte qu'en fixie le kilomètre n'est pas équivalent sur terrains pentus.
Et puis, en vieillissant on sait d'avantage qu'il faut profiter du temps présent, et de plus un arrêt d'entraînement se paie d'avantage qu'à trente ou quarante ans.
Des freins, bien sûr : je ne vois pas pourquoi sous prétexte que le vélo n'a pas de roue libre, il faudrait croire que le blocage par le pédalier est aussi performant que des freins modernes.
Alors que des acrobates urbains le fasse, libre à eux, bien que le code de la route l'interdise.
Au minimum il faut en mettre un à l'avant. Cela me fait rire, le monde des cyclistes débat sur le frein à disque qui serait, affirment certains, le seul capable d'efficacité (ok, je caricature un peu), et dans le même temps on freinerai efficacement sans freins ! Avec le gros développement que j'ai adopté (enfin pas comme ceux des pistards), freiner en bloquant le pédalier nécessite de lutter contre une inertie terrible : je me suis amusé d'essayer juste de ralentir en descente de cols, c'est terriblement difficile, fatiguant et très peu efficace (et je ne parle même pas du risque délétère sur les genoux). Bref, un fixie sur route, plus encore chargé longue distance se doit d'avoir des freins efficaces.
L'absence de roue libre, en soi, apporte beaucoup de contraintes (j'ai fait une chute au démarrage la semaine qui a suivi mon 1 000 km en vélo à roue libre, une seconde d'inattention, et hop par terre). De même, surtout en ville, il faut faire attention en s'arrêtant.
L'avantage par contre est évident : on travaille plus et en permanence, la force à la montée et la vélocité en descente. Ce n'est pas pour rien que les anciens professionnels commençaient chaque saison par 1 000 ou 1 500 km de pignon fixe ! Autre intérêt, on apprend à être plus efficace en roulant plus rond, en travaillant d'avantage en tirant (à très haute vélocité comme dans une descente de col on s'aperçoit comme il est quasiment impossible de ne pas sautiller sur la selle)...  
Les gains : j'ai déjà constaté que je suis plus fort - et oui, même à 69 ans on peut gagner musculairement - car, je le remarquais encore tout à l'heure, j'arrive à tenir efficacement en position assise de plus en plus longtemps des pentes de plus en plus raides. Et ça me servira aussi quand je skierai cet hiver dans la grosse poudre. Idem, j'ai repris le VTT en suivant un pote en VTTAE, là aussi je m'aperçois que je passe sur mon plus petit développement des montées impossibles à passer il y a dix ans...
Après, un gain musculaire est une chose, un gain de VO2max à mon âge (ou même un ralentissement de la perte), c'est autre chose...et je ne pense pas qu'un pignon fixe à lui tout seul soit capable d'inverser la déchéance inéluctable due à l'âge.
Enfin, et c'est peut-être essentiel, si je roule la plupart du temps avec cet engin, c'est que c'est très ludique, et aussi que ça permet de transformer mes petits cols de proximité en grands cols alpins, le moindre nouvel itinéraire en aventure nouvelle (fais-je passer ?).
Et ça fait causer

Merci pour ta réponse.
Ah une dernière question, tu as quoi comme développement, 42 par 17 ?

erwin68 a écrit:

Merci pour ta réponse.
Ah une dernière question, tu as quoi comme développement, 42 par 17 ?

44/16

Je suis remonté sur un vélo
Fixie dimanche, froid et pluie deux jours, mercredi hésitation et...lecture : grisaille et froid, et puis je devais rouler en VTT le lendemain avec mon pote : au dernier moment celui-ci se dégonfle à cause du froid, malgré le soleil, et m'invite à plutôt venir marcher. J'hésite et finalement je me dis que je pourrai rouler le vendredi, journée théoriquement plus chaude et plus ensoleillée.
Résultat on a marché, et ce crétin à regretté le vélo. Alors j'ai réussi a le convaincre, et aujourd'hui vendredi on a enfin pu rouler, moi  à VTT et lui toujours avec son VTTAE : problème, il a oublié de recharger sa batterie ! Ce sera donc court... Il me demande, tu veux du raide ? Moi: oui ! J'ai été servi, hihi., notamment un bout de route minuscule d'un kilomètre en sortie de ville (un ancien village haut perché devenu quartier fin XIXème, dont le nom " côte chaude " est tout un programme), route dont je me servais naguère en vélo 2X10 vitesses pour travailler la pente extrême en danseuse (au moins 10 % de moyenne avec un ou deux passage supérieur sans doute à 20 %), et que j'ai passé dans le plus hard assis sur mon plus petit développement en forçant un maximum (merci l'entraînement en fixie).
Et une autre route, aussi raide que ce peut, goudronnée sur 500 m, puis transformée en chemin toujours aussi raide, mais avec boue, pierres roulantes et dalles humides, pendant quelques centaines de mètres : j'ai réussi à ne pas bloquer, sauf sur la fin, dans un virage raide, serré et boueux où mon pneu arrière plutôt typée chemin sec s'est mis à patiner...
Donc, du ciel bleu, du froid, des chevaux et des vaches dans les prés, un peu de boue, des pierres et des roches mouillées, beaucoup d'efforts : le cocktail réussi pour une belle sortie.
25 km et 549 m de dénivelé.
http s://www.strava.com/activities/1279037529/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1510931093

sccber a écrit:

...
tu veux du raide ?
...

Question à laquelle je réponds par la négative désormais ...
À plus de 20 % (et même avant), je descends ...
Pas étonnant que la côte soit appelée "côte chaude" !

sccber a écrit:

au dernier moment celui-ci se dégonfle à cause du froid, malgré le soleil, et m'invite à plutôt venir marcher. J'hésite et finalement je me dis que je pourrai rouler le vendredi, journée théoriquement plus chaude et plus ensoleillée.
Résultat on a marché, et ce crétin à regretté le vélo.

Je roule souvent avec 2 potes et j'ai crisé, un a fait demi tour a cause du froid, il faisait soleil et 5°, il avait pourtant une bonne tenue hiver et l'autre a voulu faire le Ventoux il y a peu, il a abandonné a 1 km du sommet
Des sacrés guerriers, bien entendu ils ne feront jamais 200km
A leur décharge, ils sont super sympas  

veloblan a écrit:

… l'autre a voulu faire le Ventoux il y a peu, il a abandonné a 1 km du sommet

lmvv a écrit:

sccber a écrit:

...
tu veux du raide ?
...

Question à laquelle je réponds par la négative désormais ...
À plus de 20 % (et même avant), je descends ...
Pas étonnant que la côte soit appelée "côte chaude" !

Ah! Les méfaits de l'âge    
Paraît que la vertu se raidit quand le reste ne l'est plus ... 

Je dois reconnaître que nous ne semblons pas tous égaux devant les méfaits de l'âge 

veloblan a écrit:

sccber a écrit:

au dernier moment celui-ci se dégonfle à cause du froid, malgré le soleil, et m'invite à plutôt venir marcher. J'hésite et finalement je me dis que je pourrai rouler le vendredi, journée théoriquement plus chaude et plus ensoleillée.
Résultat on a marché, et ce crétin à regretté le vélo.

Je roule souvent avec 2 potes et j'ai crisé, un a fait demi tour a cause du froid, il faisait soleil et 5°, il avait pourtant une bonne tenue hiver et l'autre a voulu faire le Ventoux il y a peu, il a abandonné a 1 km du sommet
Des sacrés guerriers, bien entendu ils ne feront jamais 200km
A leur décharge, ils sont super sympas  

Et oui, c'est ça la complexité chère à Edgar Morin : les gars sympa ne roulent pas toujours comme nous Gageons que l'inverse ne soit vrai que dans une infime quantité de cas