Qui a roulé aujourd'hui 5

Sortie ce lundi avec le mulet, ce sera mon avant-dernière avant le 1 200 RAA (départ pour moi dimanche à 20 h). J'ai choisi un circuit hyper simple - un aller- retour - avec du dénivelé : le col de La Croix Chaubouret dont la route commence en sortie de ville (mais ça monte déjà depuis un moment), puis après un petit arrêt à 1 200 m je continu sur le col de l'œillon (également à peu près à 1 200) soit deux fois 12 km (l'aller et le retour) et environ 450 ou 500 de dénivelé. À noter, que quelques centaines de mètres avant l'oeillon on passe au col du Grateau (en fait, un col pour des chemins de randonnée (ou du VTT technique), parce que la route goudronnée reste en pente...
Par ce côté, l'oeillon est facile (il y a plusieurs variantes), rien à voir avec la montée côté Pélussin (que je n'ai pas encore osé tenter en pignon fixe).
Il faisait chaud (35 degrés minimum au départ), mais la présence de nuages a rendu plus facile la grimpette. À noter que préparant des longues distances (et donc roulant souvent 24h/24) il vaut mieux apprendre à subir les grosses chaleurs (on appelle ça l'acclimatation) : c'est pourquoi je roule aux heures les plus chaudes, sur des distances et des vitesses raisonnables, et je veille à bien m'hydrater : aujourd'hui deux gros bidons, plus un rajout au retour au Bessat avec de l'eau fraîche.
66 km avec 1 182 m de dénivelé à 20,20 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1676282872/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1530548845

Hier mercredi j'ai fait ma dernière sortie ante 1 200, avec mon pote en VTTAE.
VTT donc, un quasi aller-retour jusqu'au port de plaisance de Saint-Victor (lac de retenue sur la Loire), en grande partie sur un sentier plutôt technique et physique. 
Je n'ai eu qu'un problème, ayant remis de la pression d'air dans ma vieille fourche mag 21 sans me souvenir de la préconisation constructeur, j'ai vite constaté un rebond excessif rendant les passages cassants encore plus difficiles - y compris en montée ... Après avoir subi j'ai constaté que ça passait mieux en augmentant la vitesse  Pas trop rassuré quant même l'animal, c'était pas le moment de me blesser...
Mais comme j'ai dit au collègue - lui il passé mieux avec un tout suspendu moderne en roues de 27,5 pouces que moi avec un semi-rigide en 26 pouces, et ma fourche est plutôt rustique - c'est en faisant ce type de parcours qu'on s'oblige à progresser (ou du moins à récupérer une partie de son savoir faire ancien amoindri par une pratique devenue épisodique du Tout Terrain, en zone plus facile).
37 km avec 708 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1679966373/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1530700832

Bon courage et bonne route pour ton 1200 Sccber. En espérant que le beau temps t'accompagne. 

Nordiste a écrit:

Bon courage et bonne route pour ton 1200 Sccber. En espérant que le beau temps t'accompagne. 

Merci 
J'ai le souvenir lors de la première édition d'avoir de plusieurs gros orages (notamment en descente de col) et d'avoir dormi une heure pendant un autre grâce à un arrêt de bus miraculeusement trouvé avant le plus gros...  
Mais bon, j'ai pas souvent roulé dans le sud-ouest, mais j'ai pris la saucée deux fois sur trois 

Bonjour à tous,
Il y a quelques temps quelqu'un écrivait que dire X km ou denivelle ou moyenne n'apportait rien de plus que des chiffres...
Personnellement je suis adepte des grandes routes sur la LD, mon "pet de chevre" me suffit  et  je me suis rendu compte que je delaisais la carte et que sa lecture devenait moins rapide.
Donc conscient de la baisse je me suis astreint à une sortie "carte sur petites routes".
Une petite zone un peu plus de 2 heures, peu de km beaucoup d'arrêts et observations avec pour but de se repérer au plus juste sur la carte.
Et beaucoup de changements de direction et obligation de faire le point à chaque carrefour, un vrai travail de base.
Une seule grosse erreur. 
SUPER ! Pas tant que ça  à vrai dire certes ça m'a coûté que 600 mètres mais sur de la LD ....
Donc exercice basique à refaire, ce n'est pas du cyclotourisme mais de la technique ce qui introduit la suite de mon propos.
Dans un  autre sujet je refutais la notion d'opposition de hiérarchisation pour prôner la complémentarité des choses pour réussir.
La lecture de la carte en est une, et j'ai vu quelques vidéos de rallye moto qui donnaient des astuces pour les 'pets de chevre' j'ai pas resiste au jeu de mot pourri 
Pet de chevre = rot de bouc = roadbook
De même ces vidéos pronaient le cheminement en groupe pour s économiser, le premier trace la route lit la carte les autres moutonnent
La fatigue, la route de nuit, l'assistance etc

Au terme de cette sortie courte en km je me rend suis compte (à vrai dire ce nest pas une découverte ) revenir aux fondamentaux est une bonne chose, et que les autres disciplines peuvent aider (ce n'est pas non plus une découverte).

Bonne route à tous

Pour le Trirhena, je vais privilégier le road book élaboré avec beaucoup de soin par l'organisation qui a aussi fourni les parties de carte Michelin concernées. Je pars pour une grande balade, donc je ne suis pas particulièrement pressé.
        Cette priorité donnée aux bons vieux fondamentaux est l'attitude que je considère la plus rassurante.

Bonjour à tous,
toujours dans le discours pas de "hiérarchisation ni d'opposition dans la pratique" sortie ce matin avec une "bande" de filles.
Elles sont 13, et elles font les étapes du tour de France la veille de l'épreuve.
ce matin Brest-Mur de Bretagne soit un peu plus de 180 km, c'est de la longue distance ... 
Départ groupé à Gouesnou le  lieu de départ réel de l'étape, on part en retard, c'est des stars photos selfies bref no stress.
Certains ont prévu de faire la totalité de l'étape, pas moi.
Un peloton de 150 cyclistes, estimation personnelle, il faut faire attention car il y a beaucoup de différence de niveau technique entre les personnes, des coups de frein "limite" et une super ambiance.

Bref si vous avez l'occasion allez-y
www.donnonsdeselles.net/accueil

En plus elles sont sympas les filles.

Bonne route à tous

Je reprends ...
je viens de suivre le lien vers Facebook et je repense à ce que j'écrivais (en réponse un peu plus personnelle à Popiette) c'est une autre époque.
le départ filmé déjà en ligne ... bref de la comm
et en filigrane le manque de communication de la fédération ...

J'ai enfin réussi aujourd'hui à me motiver pour aller rouler, sans grande difficulté d'ailleurs. 
Je décide de continuer pour le moment à utiliser un vélo " non fixie ", déjà pour éviter de solliciter à outrance mon poignet gauche bien enkilosé (syndrome du canal carpien fort). Mais aussi je choisi un parcours plutôt long et difficile, histoire de me tester physiquement.
Ce sera col de La Croix de Chaubouret, puis descente (globalement, mais avec quelques bosses) à Pélussin, col de l'Œillon (ce versant est difficile quoique que pas très long, 10 km pour moi après 2 km faciles pour quitter le village), retour à Chaubouret (4 km de descente puis 8 km avec 350 ou 400 m de dénivelé) en passant tout de suit après l'Œillon le col du Gratteau en descente.
Il a fait très chaud, mais sur bien des passages vent de face très violent.
Je n'ai pas cherché bien sûr à forcer exagérément mais je ne me suis pas promené non plus : résultat positif, voire très positif, avec de bonnes jambes et un cœur bas (FC moyenne 131 bts/mn, max 157). Mes douleurs de fin 1 200 RAA (dos, nuque) se sont vaguement réactivées sur un mode mineur, et mes genoux arthrosés et bien le sont toujours (sans anti-inflammatoire)  Ah oui, idem le fessier 
95 km avec 1 814 m de dénivelé à 19,45 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1722778729/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1532369136

Ce matin j'ai pu concrétiser une envie qui me tortillait le neurone depuis quelques temps, monter au Ventoux de nuit pour assister au lever du soleil (en espérant que la brume ne vienne pas tout gâcher ...)

Avec un copain on se retrouve à Bédoin vers 1h15 pour un départ à 1h30 compte tenu de ma faible vitesse ascensionnelle il s'agissait de ne pas arriver trop tard ! En fin de compte on aura mis 4h (arrêts entretiens des moignons compris, il est amputé lui aussi) le jour venait mais l'astre resplendissant n'était pas encore levé, ouf !

Du coup on aura le temps de bien se refroidir malgré les vêtements emportés, le vent s'était invité là haut... Nous étions les seuls cyclistes, beaucoup de voitures, camping cars et plusieurs petits groupes de marcheurs.

En tout cas nous n'avons pas regretté nos efforts car le spectacle vaut le coup d'autant plus que mis à part quelques petits nuages lointains le ciel était pur. Le seul point négatif a été la rupture d'un rayon sur une roue av pendant la descente (à mi pente) ce qui fait que les derniers km ont été parcourus à vitesse modérée pour ne pas pas tout plier.

Quelques photos de qualité moyenne qui sont loin de reproduire la réalité.

On arrive :



Et lui aussi :

Grand Pierre a écrit:

Ce matin j'ai pu concrétiser une envie qui me tortillait le neurone depuis quelques temps, monter au Ventoux de nuit pour assister au lever du soleil (en espérant que la brume ne vienne pas tout gâcher ...)

Avec un copain on se retrouve à Bédoin vers 1h15 pour un départ à 1h30 compte tenu de ma faible vitesse ascensionnelle il s'agissait de ne pas arriver trop tard ! En fin de compte on aura mis 4h (arrêts entretiens des moignons compris, il est amputé lui aussi) le jour venait mais l'astre resplendissant n'était pas encore levé, ouf !

Du coup on aura le temps de bien se refroidir malgré les vêtements emportés, le vent s'était invité là haut... Nous étions les seuls cyclistes, beaucoup de voitures, camping cars et plusieurs petits groupes de marcheurs.

En tout cas nous n'avons pas regretté nos efforts car le spectacle vaut le coup d'autant plus que mis à part quelques petits nuages lointains le ciel était pur. Le seul point négatif a été la rupture d'un rayon sur une roue av pendant la descente (à mi pente) ce qui fait que les derniers km ont été parcourus à vitesse modérée pour ne pas pas tout plier.

Quelques photos de qualité moyenne qui sont loin de reproduire la réalité.

On arrive :



Et lui aussi :

Bravo ! Très belle idée. La dernière fois que je suis parti sur un col pour assister au lever du soleil c'était à l'occasion de mon défi bugiste, départ de Culoz vers le sommet du Grand Colombier (et j'étais tout seul au col).

Deuxième sortie d'affilée. J'avais diverses choses à faire, je suis parti vers 15 h, et donc au plus fort de la chaleur (mais je ne crains pas la chaleur, considérant que si l'on veut ne pas trop souffrir en LD il faut s'acclimater le plus possible, et donc ne pas refuser de rouler sous le cagnard à l'entraînement). Je suis parti avec deux grands bidons, après avoir pas mal bu avant de partir (il ne faut pas rigoler avec la déshydratation surtout en montée de cols). Et au village, j'ai encore rempli mon bidon d'eau fraîche avant la descente de retour.
Col de la Croix Chaubouret (comme hier), puis descente au barrage de la Rive (côté St-Chamond) pour remonter : ce côté est le plus difficile (il y a 4 routes qui aboutissent au col), c'est même un gros morceau en fixie. Avec le mulet, c'est juste un col où la plupart des kilomètres sont entre 6 et 8,1 % sur une dizaine de kilomètres. 
Comme hier, j'ai mesuré l'intensité de mes efforts, on va dire montées sportives sans plus.
La forme est très correcte, je n'ai pas l'impression d'avoir des résidus de fatigue de mes deux dernières longues distances, puisque j'avais récupéré du gros pourcentage de dénivelé de la sortie faite hier.
Je ne vais pas jouer les matamores, demain repos.
https://www.strava.com/activities/1724868157/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1532452107

Ce matin je suis sorti. Dans un rond point un véhicule utilitaire m'a littéralement foncé dessus. Je suis passé entre un muret et le véhicule avec quelques petits centimètres.... Rien touché mais une belle peur rétrospective.
Cela devient difficile de rouler.

R

Jipe4 a écrit:

Ce matin je suis sorti. Dans un rond point un véhicule utilitaire m'a littéralement foncé dessus. Je suis passé entre un muret et le véhicule avec quelques petits centimètres.... Rien touché mais une belle peur rétrospective.
Cela devient difficile de rouler.

Oui, ça fait peur, parce que seule la chance prévaut dans ces cas là, on ne peut y échapper en permanence avec la seule prudence.
Et malheureusement le code de la route ne suffit pas à nous protéger, déjà parce qu'il est ignoré trop souvent de tout ce qui concerne les vélos : je me suis évertué pendant quelque temps à utiliser les doubles sens cyclistes chez moi (en dessous du sens interdit il y a un petit panneau " sauf cyclistes ") et le plus souvent dans ces zones 30 une matérialisation au sol ; je voulais naïvement " éduquer par l'exemple " : j'ai arrêté, car les motorisés me foncent dessus, ou au mieux m'engueulent, et jamais ne respecte ma priorité (le code dit ralentir et si passage trop étroit ils doivent s'arrêter). Et puis, moi bien à droite arrivant sur une rue perpendiculaire j'ai failli me faire rentrer dedans de face par un abruti qui virait à fond en pleine gauche, et m'a agoni d'injures...  Bref, c'est perdu d'avance, l'à-priori automobilitique - encouragé par la pseudo campagne d'un assureur - c'est : les cyclistes ne respectent pas le code, de vrais irresponsables...
Il en est de même pour plein d'autres articles. Dernier constat avant hier, une des rares pistes cyclables obligatoires, séparée du boulevard et en très forte pente (6 % minimum) : en plus des débris végétaux, des trous et des bosses, quelques débris de verre ici ou là, et puis sur toute la largeur et sur 1,5 m de profondeur des gros débris de bouteilles cassées ! Obligé de passer à pieds ! Le code est pourtant formel, ces pistes obligatoires ont un cahier des charges, dont l'entretien (Gr...) ; le plus drôle, un peu avant un grand panneau publicitaire municipal sur la place du vélo en ville, quel foutage de gueule ces communiquants.
Enfin, vous connaissez la musique.

Je suis devenu extrêmement vigilant dans les rond-points faussement sécurisants. Ils ont remplacé nombre d'intersections, dont certaines accidentogènes, c'est vrai. Mais un bon vieux "stop" bien respecté est plus sécurisant (dans la mesure où c'est "stop" pour le cycliste). Faut-il encore aussi beaucoup se méfier quand on est prioritaire! C'est vrai que notre stade est souvent miné!

Bonjour à tous,
petite sortie aujourd'hui un peu plus de 100 km question de commencer les congés sur une note positive, en ai-je besoin ?
Mais je passe la barre des 10000 km depuis le 1 janvier...
Pas de quoi pavoiser il y en a qui font plus MAIS il y en a qui font moins.
Beau début d'année un BRM600 validé en vue du PBP 2019, une diagonale, la BTR soit 3000 km en 6 semaines, là encore rien d'extraordinaire.
Juste pour dire qu'avec une préparation réaliste, une bonne gestion du repos entre les épreuves (CBC Chaussons, Bière(s), Canapé) et ça passe.
Toujours mon discours : allez-y cool, la LD ce n'est pas anodin.

Prochaine grosse épreuve : cyclo camping... pas sur d'être au top question rythme

Bonne route à tous.

Sortie du jour, pour changer VTT dans le massif du Pilat.
Grosse chaleur au départ (37 degrés), un peu de route pour rejoindre les sentiers qui me mèneront au BESSAT à 1 200 m. J'ai beaucoup roulé par là il y a une vingtaine d'années, il y a des passages très pentus (un 19 % sur 600 m notamment) et un passage dans les cailloux type montée impossible (qu'à ma meilleure époque je réussissais à passer deux fois sur trois) : bon, je coince un peu avant la fin du plus raide (et je dois pousser un peu le vélo pour pouvoir ensuite réussir à repartir). À la fin de ce passage technique, on abouti à un barrage et l'on continu ensuite par l'une des deux rives, puis une longue route caillouteuse en plat montant permet normalement de reprendre d'autres sentiers plus techniques.
Problème, déjà rencontré en fin d'année dernière, de gros travaux que je pensais finis bloquent totalement le passage. Je suis donc obligé de monter au village de Planfoy (sur la route du col de la République), pour retrouver plus loin une route qui redescend assez sec pour retrouver mes sentiers. J'essaie bien un sentier qui part un peu plus loin, puis soit ça plonge vers la retenue du barrage (l'année passée ça dégringolait tellement dans la caillasse que je m'étais dégonflé et avait fini vélo sur l'épaule), soit ça rejoins quelque chose de plus roulable : las, au bout de quelques centaines de mètres, avec des passages mono trace dans les fougères, je rejoins de nouveau la route...
Bref, je fini par monter un peu, puis descendre beaucoup sur l'asphalte et je continue sur les sentiers : je prendrais le plus long à la montée, ça grimpe et c'est caillouteux, puis ça devrait aller plus vite (peu de cailloux et presque plat), mais des travaux de bûcheronnage et le passage de gros engins a totalement dévasté le sentier, ça passe tout juste sur le petit développement.
Arrivée au Bessat, beaucoup de monde profite de la fraîcheur à l'ombre des arbres : des retraités pour la plupart, avec parfois les petits-enfants, tous montés naturellement en voiture... Je n'aurais au total que rencontré au total que quelques rares vrais marcheurs - et des promeneurs à 500 m maximum du village  - plus un seul VTTiste (qui m'a d'ailleurs doublé à vitesse météorique). Canicule disait la télé, alors on ne bouge pas, c'est trop dangereux.
Au village, je comptais refaire le plein d'eau au bâcha (terme local pour désigner un lavoir/abreuvoir/point d'eau), car j'ai épuisé mes 1,6 l : ça coulait encore il y a deux jours, mais aujourd'hui le filet à tari. Tant pis, je redescend par un sentier assez pentu et plein de petits rochers et de pierres. En bas, après deux ou trois arrêts car ça tabasse et m'a réveillé le mal de dos, je rejoins la route : je ne prend pas le risque de continuer par sentier, car le barrage étant totalement hermétique je devrai remonter - à pieds - le sentier déjà trop pentu pour la descente...
Donc, de nouveau la route, en montée (5 et 6 %), le soleil tape toujours, c'est dur.
Une fois sur la route du col, plat descendant, puis descente...
Tiens, une puis deux gouttes sur le bras, puis un début de cataracte... j'arrive au village de Planfoy, je m'abrite sous un auvent et une entrée de garage : ça tombe d'enfer, avec même quelques grêlons, puis ça cesse au bout de dix minutes. Je repars avec le coupe-vent, la route est très vite sèche, et puis je me retrouve sans cesse rattrapé par l'averse, cette fois au soleil...
Arrivé presque en ville, tout est sec, le ciel est bleu et j'étouffe dans mon imperméable, qu'il me faut enlever. C'était vraiment une douche localisée, et je doute que les citadins aient remarqué qu'il avait plu un peu plus haut.
J'ai fini un peu marqué musculairement et légèrement déshydraté.
53 km à 14,76 km/h avec 955 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1729440669/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1532626990

Bonjour
Je ne vais pas rouler aujourd'hui ( faut bien travailler!) mais j'ai bien occupé ma RTT d'hier! Après mon interruption post traumatique printanière, j'essaie de revenir en forme.
Donc sortie alpestre avec boucle beaufortinne!
Cormet de Roselend depuis Bourg St Maurice, col du Pré, route du col des Saisies, Hauteluce, col du Joly, col du Méraillet et retour par le Cormet...ouf!
Un peu chaud mais paysages somptueux!


Au final 135 km et 3900 de deniv.
marc

A oui, belle sortie Marc, quelle chance d'habiter une si belle région mais bon, ca grimpe et des sorties comme celle là, pas tous les jours hein 

Salut Michel
Oui content de bosser aujourd’hui 😊!!
Quand la forme arrive, il y a effectivement de beaux enchaînements dans le coin.
Dimanche dernier j’ai été faire un tour en Val d’Aoste au col du San Carlo en passant par le Petit Saint Bernard a l’aller et au retour
Le San Carlo est un joli morceau, 1000 m pour 10 km je crois...
J’espère que tu peux rouler maintenant 
Marc

Oui je roule et j'aimerai rouler dans ton coin, ca fait envie    Je ne connais pas le San Carlo

J'hésitais à rouler aujourd'hui, mais un pote a installé son camping-car à la Croix de Chaubouret pour fuir la chaleur. Il m'invite à le rejoindre pour marcher un peu au col.
Une seule montée, ok ça ne mange pas de pain, même si quand je suis parti il faisait 41,5 degrés 
Bon, ça va, la chaleur ne me dérange pas trop et je suis monté avec le mulet, sans souffrir plus que ça. Une seule anecdote, dans une longue ligne droite pentue et déserte j'ai été doublé à vive allure par un conducteur qui m'a frôlé en passant à 50 cm de moi : assez incompréhensible, envie homicide ou bêtise absolue ?
Après avoir bu deux grands verres d'eau on a marché environ une heure sur le GR7 (j'avais emporté des jogging dans un sac à dos).
Il m'a invité ensuite à partager un repas et je suis reparti vers 20 h 30, pour me prendre la pluie à 10 km de la maison  Plus de pluie en ville, mais plein de grosses flaques d'eau un peu partout. Et sous la flotte j'ai pesté tout le long derrière une bagnole qui roulait à 40 km/h et freinait dans tous les virages...

41 km avec 684 m de dénivelé vélo, à 20,42 km/h de moyenne.

Dimanche j'ai enfin ressorti le pignon fixe : parcours vallonné de mes débuts auquel j'ai rajouté la montée (puis descente par la deuxième route) de St-Héand au km 9 puis en final la montée du Chasseur.
Grosse chaleur, mais un peu rafraîchie par un vent moyen.
Je n'ai pas perdu les réflexes du roulage sans roue libre, j'ai juste une fois cherché à descendre un pignon pour accélérer (haha). Et c'est dur le fixie (hihi).
87 km avec 821 m de dénivelé à 22,45 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1736281708/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1532887263

Superbe sortie (162 km) aujourd'hui sur le thème "Chemin de Saint-Jacques". Même fait une pause devant le château de M. Giscard d'Estaing! 

Départ en plein canard avec le pignon fixe, destination le massif du Pilat : premiers kilomètres de montée, route du col de la République, grosse chaleur et de la pente soutenue...très dur (quasiment tout en danseuse). Je tourne à Planfoy pour La Croix de Trèves, là je m'arrête : j'abandonne mon idée initiale de passer par St-Bonnet le froid, ce sera trop dur. J'hésite à rentrer en descendant par la route à droite... 
Finalement 10 mn de pause en discutant avec un couple de retraités venus là pour fuir la chaleur de la plaine, suffisent à me redonner l'envie de continuer vers St-Genest-Malifaux pour de là monter au col de la République. Pendant la montée, sur du 5/6 % je suis doublé par un cycliste, je le redouble sur le faux-plat qui suit (en fixie j'accélère toujours pour aborder la montée suivante). Quand la pente remonte, le cycliste qui m'a rejoint engage la conversation à propos de mon vélo (il pense - à tord - que la difficulté est au niveau cardiaque, alors qu'elle ne réside quand on est bien entraîné pratiquement qu'au niveau musculaire. On devise comme cela cinq minutes puis il taille la route 
Après le col, sur le faux plat avant la redescente je décide soudain d'en rajouter et de tourner à droite, pour rejoindre le col de la Croix Chaubouret (descente au Pré Souvignet et remontée par Tarentaise)... Quand on aime  
Finalement j'ai quant même fait une sortie bien physique, compte-tenu du vélo, du dénivelé, de la chaleur. J'avais aussi des sortes de mini pincements  au mollet droits - qui ont cessé assez vite - puis une petite gène à la cheville droite : à surveiller quand même, avant la petite blessure toujours possible. Par contre, je n'ai plus mal du tout au dos.
https://www.strava.com/activities/1740378534/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1533058532