Qui a roulé aujourd'hui 5

admin a écrit:

cyclodelacote305 a écrit:

sccber a écrit:

Départ en plein canard avec le pignon fixe, Quand on aime  

Bonjour.
J'espère pour toi que le magret était bon

Pour une fois que je ne me relis pas 
Cela m'a permis de faire une petite recherche : cagnard, grosse chaleur, mais terme utilisé dans le sud-est de la France, je le pensais plus courant : c'est vrai déjà que dans certaines régions on connaît plus facilement crachin que cagnard : enfant j'habitais Chambéry, ville située dans une cluse (cluse morte, issue d'un ancien glacier) , une vraie Cocotte-Minute en été ! Voili, voilà, il ne vous reste plus qu'à consulter Wikipédia pour tout savoir sur les cluses.

sccber a écrit:

Pour une fois que je ne me relis pas 
Cela m'a permis de faire une petite recherche : cagnard, grosse chaleur, mais terme utilisé dans le sud-est de la France, je le pensais plus courant : c'est vrai déjà que dans certaines régions on connaît plus facilement crachin que cagnard : enfant j'habitais Chambéry, ville située dans une cluse (cluse morte, issue d'un ancien glacier) , une vraie Cocotte-Minute en été ! Voili, voilà, il ne vous reste plus qu'à consulter Wikipédia pour tout savoir sur les cluses.

Bonjour à tous,
Cagnard est connu ailleurs que dans le sud pour peu qu'il y ait des bateaux!

Le cagnard est une toile de protection sur un bateau.
Ca sert de protection contre tout y compris le soleil.
Donc "sous le cagnard" c'est sous la toile de protection sous le parasol donc! ou le parapluie.


Bonne route à tous

Paddy a écrit:

sccber a écrit:

Pour une fois que je ne me relis pas 
Cela m'a permis de faire une petite recherche : cagnard, grosse chaleur, mais terme utilisé dans le sud-est de la France, je le pensais plus courant : c'est vrai déjà que dans certaines régions on connaît plus facilement crachin que cagnard : enfant j'habitais Chambéry, ville située dans une cluse (cluse morte, issue d'un ancien glacier) , une vraie Cocotte-Minute en été ! Voili, voilà, il ne vous reste plus qu'à consulter Wikipédia pour tout savoir sur les cluses.

Bonjour à tous,
Cagnard est connu ailleurs que dans le sud pour peu qu'il y ait des bateaux!

Le cagnard est une toile de protection sur un bateau.
Ca sert de protection contre tout y compris le soleil.
Donc "sous le cagnard" c'est sous la toile de protection sous le parasol donc! ou le parapluie.


Bonne route à tous

Je ne parlais pas des homonymies. 
Pour revenir au sens que j'ai utilisé (grosse chaleur), le dictionnaire dit " utilisé dans le sud-est " (et non pas dans le sud car les linguistes parlent pour le sud-est d'un parlé franco-provençal spécifique, certains vocables subsistants étant partagés par exemple entre savoyards et lyonnais, et pas par d'autres régions). 
Et naturellement quand, gamins, on utilisaient certains mots, on ne pouvaient en connaître la spécificité ni naturellement se poser la question sur leur territoire d'utilisation : même aujourd'hui, je dois faire confiance à ce que je lis dans une encyclopédie pour savoir si le terme cagnard est utilisé ailleurs que dans ma région d'origine. J'ai eu une amie spécialiste universitaire en lexicologie qui m'avait expliqué qu'en l'espèce la majorité des dictionnaires généralistes pèchent quant il s'agit de donner des étymologies scientifiquement avérées surtout quand l'origine est dialectale.   
 Il y a une quarantaine d'année j'avais un ami d'origine stéphanoise (il vient de mourrir d'un cancer) qui préparait un doctorat sur le gaga (idiome ligérien stéphanois) et je lui servais de témoin : si je connaissais le mot, ce n'était pas du gaga, mais du franco-provençal à utilisation géographique moins limitée. Il avait lors de sa thèse - il interviewait des vieux pour agrandir son lexique du gaga - vite remarqué que la plupart des ouvrages lexicographiques déjà consacré à ce dialecte étaient truffés d'erreurs en incorporant beaucoup de termes d'autres régions linguistiques (les plus mauvais y mettaient même parfois des mots argotiques).

sccber a écrit:

Je ne parlais pas des homonymies je dois faire confiance à ce que je lis dans une encyclopédie

Bonjour à tous,
il ne s’agit pas d'homonymie le terme est aussi utilisé dans la légion il me semble et dans les deux sens, chaleur et toile.
Ensuite, si tu mets Wikipédia dans la case encyclopédie effectivement nous allons avoir du mal à nous entendre, car sauf si ça a changé Wikipédia n'est qu'une somme de ce que pense savoir les gens sans (vraiment de) contrôle scientifique ou autre, un peu comme les "tuto" sur Youtube.
Mais je pense que si l'on cherche dans un dictionnaire "métier" un terme donné on y trouvera un autre signification que dans un autre dictionnaire "métier".
Bon y a pas non plus de quoi se pouiller.
C'est pas une encyclopédie, la" Redoute" ou "Vert baudet" du nautique mais il y a même une photo
http://www.accastillage-diffusion.com/resultat-de-recherche.html?ecomextendedParam%5Bterms%5D=cagnard&submit=ok
Rien a voir avec le sud.

Bonne route à tous.

Si, il s'agit d'homonymie dès lors qu'un mot a deux sens différents (par exemple canard l'animal et canard le journal).
Je ne vais pas rentrer sur le débat Wikipédia source sérieuse ou non : on va dire que je connais des spécialistes universitaires qui ont rédigé des articles, ou apporté des précisions sur des articles de leur spécialité (avec source vérifiable).
J'ai aussi participé (contrats et droits d'auteur) à la rédaction (ou au rewriting) d'articles d'encyclopédies (groupe Larousse) papier et internet : je connais un peu la musique. Et ma copine universitaire travaillais sur des thèses assez pointues qui globalement remettait en question la méthodologie habituelle des dictionnaires de langue (en gros, les synonymes n'existent pas et un mot prend son sens dans le contexte pas dans l'absolu). Pour donner une idée, une de ses publication donnée au hasard : " théorie des schémas conceptuels intégrés : un prolongement de la théorie guillaumienne "  Du chinois pour moi...
 Bref, on n'est pas sortie de l'auberge si on essaie de discuter là dessus, d'autant plus que je n'ai absolument pas les compétences nécessaires.
Pour les éthymologies, le classique des classiques pour les étudiants en Lettres est le Dictionnaire étymologique de la langue française (le Bloch et Wartburg) au Puf.

Eh!! Tout doux les gars y doit faire une sacrée chaleur sous le chapeau par ce temps avec vos disques durs en ébullition. ....hihi.....

cyclodelacote305 a écrit:

Eh!! Tout doux les gars y doit faire une sacrée chaleur sous le chapeau par ce temps avec vos disques durs en ébullition. ....hihi.....

cyclodelacote305 a écrit:

Eh!! Tout doux les gars y doit faire une sacrée chaleur sous le chapeau par ce temps avec vos disques durs en ébullition. ....hihi.....

Disque dur ? Tu ne sais pas que je fais tout avec l'iPhone (un vieux 5S)...

sccber a écrit:

Tu ne sais pas que je fais tout avec l'iPhone (un vieux 5S)...

Ah! bon    

Sortie du jour en pignon fixe, départ vers 15 h (fait pas assez chaud avant). Grosse sortie même, bien négociée malgré chaleur, dénivelé et vent. Des routes plutôt désertes, et pas un cycliste (peur de l'été ?) alors que la température était légèrement minorée par le vent et quelques petits nuages, ou bien encore par des passages dans les forêts de sapins. J'ai moins souffert que mardi, bu deux grands bidons sucrés et un d'eau fraîche aimablement rempli dans un bistrot.
Bref, très satisfaisant et agréable.
Ma chaîne faisait avant-hier un peu de bruit - claquement épisodique - je l'ai huilée, mais il va falloir me décider à la changer, car elle a 10 300 km : je sais bien qu'une chaîne large (1/2" x 1/8") et surtout les pignons et pédalier aux dents épaisses et non travaillées (pas de changement de vitesse, donc profondeur maximum) risquent moins l'usure, mais j'ai peut-être exagéré. J'ai encore deux chaînes d'avance (quand je trouve de super soldes je n'hésite pas à stocker les pièces d'usure, encore plus quand c'est du matériel que je ne suis même pas sûr de trouver dans un bouclard (et encore moins chez D4 ) : et pour cause, j'ai beau habiter l'ancienne capitale du cycle, je n'ai vu qu'un autre fixie chez moi, à une époque garé devant une boutique, et jamais sur rue ou route (hihi).
81 km avec 1 324 m de dénivelé à 19,45 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1745210977/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1533245912

Tu sais pas que c'est la canicule? les vieux doivent rester à l'ombre 

veloblan a écrit:

Tu sais pas que c'est la canicule? les vieux doivent rester à l'ombre 

En 2003 pendant la canicule je préparais un marathon et je courrais 5 fois par semaine l'après-midi, en partie au dessus de 1 000 m dans le Pilat, mais aussi en ville au stade : seule précaution, surtout quand je travaillais par blocs au seuil, je m'arrosais et buvais à chaque tour de 1,2 km. Je n'ai jamais eu le moindre problème. J'ai ainsi couru correctement le marathon à Lyon : ils avaient doublé le nombre de points d'eau, prévenu d'être raisonnable, malgré tout il y avait eu - de mémoire - quelques rares personnes hospitalisées dont au moins une qui avait failli y rester. Je suis presque sûr qu'aujourd'hui ils auraient annulé ou reporté l'épreuve.
En tous cas, même si dans mon appartement il fait actuellement plus de trente degrés, je n'ai pas vraiment l'impression d'une trop grosse température, je ne transpire quasiment pas : l'acclimatation du sportif conséquent, personne ne connaît ? 
Pourtant, l'élite des sportifs d'endurance travaille sa résistance à la chaleur - il y a des protocoles bien faits en fonction des capacités héréditaires (un africain sera plus à l'aise qu'un sibérien) et bien sûr personnelles. Mais éviter de rouler quand il fait chaud ne peut qu'entériner son inadaptation à la chaleur : pour le cycliste lampda ok, mais comment peut-on faire quand on est adepte de la longue distance, et donc amené à rouler aux heures les plus chaudes ? Personnellement cela fait des décennies que je fais du sport par grosse chaleur, je supporte donc plutôt bien et je n'ai pas - encore ? - l'impression que l'âge y ai changé quoi que ce soit.

Je suis de ton avis, faut juste boire un peu plus que d'habitude et rouler cool, la preuve y a des vieux sur le 1000 qui roulent en ce moment 

Je me suis reposé hier, après la grosse sortie de la veille. En effet, par temps chaud il faut être un peu plus prudent en ce qui concerne la récupération.
Aujourd'hui je savais que j'irai rouler, mais je n'étais pas pressé, ayant décidé d'une petite sortie. Le temps a passé plus vite que prévu - j'ai un bon bouquin - et puis mon pote (celui que j'accompagne en VTT) qui est actuellement en Auvergne avec son camping-car) m'a téléphoné pour m'annoncer qu'il venais de se faire certainement une déchirure musculaire au retour de son ascension à pieds de je ne sais plus quel sommet ! Je lui ai donné les conseils d'usage - à mon époque tennis plus course à pieds j'avais pas mal subi ce genre d'accidents - dont le principal : repos, repos ! Du coup, je suis parti en fin d'après-midi. 
Et un col de la Croix de Chaubouret, un ! 
Au col, une pause d'un quart d'heure assis au pied de la croix, puis retour (ne pas oublier qu'en pignon fixe une descente de col est physique, et douloureuse pour les ischions).
La ville était quasiment déserte (passé 19 h un samedi du mois d'août) et j'ai brûlé quasiment tous les feux rouge (évidemment sans prendre le moindre risque, il n'y avait pas de voiture).
Je me rend compte que j'aime bien les pays déserts  J'adore que les gens partent en vacances tous aux mêmes endroits de la planète : même au col, où pourtant un peu plus de monde vient pour fuir les températures de la plaine, et où il y a toujours du courant d'air, cela reste loin de la foule ; et puis, si l'on prend son VTT pour aller sur les sentiers, ou à pieds, passé quelques centaines de mètres il n'y a déjà plus personne. Avant hier, de même sur les petites routes du massif c'est pareil, une voiture ou un tracteur de loin en loin, et pis c'est tout. La " canicule " à du bon aussi pour cela, les gens restent dans les cafés des deux ou trois villages les plus importants ou les plus touristiques du massif (si ça se trouve il y avait peut-être aussi des gens dans les grandes surfaces, mais comme je n'y met jamais les pieds je n'en sais rien).
41 km avec 692 m de dénivelé à 20,05 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1749611795/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1533404780

Sortie en pignon fixe aujourd'hui dimanche.
J'ai voulu tenter un effort un peu plus important par forte chaleur.
Départ vers 15 h (36/37 degrés en ville), col de la République : les trois premiers kilomètres sont à 7 % environ, ensuite quelques kilomètres un peu moins raides : le soleil tape et il n'y a pas d'ombre, je gère en montant en danseuse à une allure tranquille et je choisi de m'arrêter une fois deux minutes sous un bout d'ombre. 
La suite, après Planfoy est plus facile, puis il y a deux ou trois kilomètres en plat montant - c'est un plateau - puis ça remonte un peu plus, mais avec l'ombre de la forêt. Je m'arrête de nouveau trois minutes, ça va, ça été un peu dur, mais je n'ai pas vraiment souffert de la chaleur. Je fini mon premier bidon sucré, je sais qu'en bas de l'autre côté, à Bourg-Argental, il y a un robinet d'eau potable à l'extérieur de la mairie.
Je descend, 12 km et la pente est forte en approchant du Bourg : malgré que je contrôle un peu la vitesse, j'ai mal aux muscles du quadriceps (c'est la grande différence avec le pignon fixe on souffre plus à la descente d'un col (et on va moins vite qu'avec un vélo possédant une roue libre) qu'à la montée... 
J'ai bu un bon 1/2 l d'eau et rempli mon bidon, je repars...
J'ai décidé de rejoindre le col de la Croix Chaubouret en passant par le petit col du Banchet, la route redescend ensuite au village de Saint-Julien-Molin-Molette (j'adore ce nom). Ensuite remontée vers Colombier (du 5 et 6 % pour l'essentiel), puis Graix, montée régulière de 4 à 5 % puis un peu de descente et remontée sèche au village. Après, ça grimpe encore, mais on aperçoit le col, en général ça motive.
Le col du Banchet n'a pas posé de problème, mais après S-J-M-M la pente est rude, la chaleur intense (il n'y a pas d'ombre, on longe aussi une carrière), bref c'est dur : je gère en m'arrêtant une fois, tranquille. Après, même si théoriquement le gros du dénivelé a été effectué, c'est dans cette partie que je souffre le plus : j'ai toujours mal aux mains, séquelles de mon 1 000 et de mon 1 200, aussi j'arrive à alterner montée en danseuse mains aux cocottes), peu confortables sur ce vélo, et montée assis (j'arrive maintenant à tenir un peu sur du 4 et même 5 %). 
Là aussi, je m'arrête une fois : après, pour repartir dans la pente avec du 44/16 faut pas craindre d'appuyer à fond, et reclaquer rapidos la pédale automatique... Jamais facile, mieux vaux choisir un endroit pas excessivement pentu, et éviter de le faire dans la circulation (mais aujourd'hui il n'y avait personne sur cette route).
J'arrive au dernier col, je fini le peu d'eau qui me reste et passe un petit quart d'heure tranquille à regarder comme hier les automobilistes repartir dans leurs pénates (l'heure de la télé est sacrée j'imagine, parce que sinon pourquoi se dépêcher, à cette heure (7 h  le coin est beau et il ne fait que 27 degrés). 
Je repars pour aller remplir un bidon un km plus bas au Bessat (j'ai soif) : pas de bol, l'eau ne coule plus. Baste, il ne me reste que 15 km de descente et 5 km en ville, je ne suis pas déshydraté, j'ai juste soif. Je n'ai pas cherché non plus à battre des records de vitesse, mais j'ai quant même assuré le minimum sportif (et je le répète, en fixie une descente de col c'est du travail).
En résumé sortie plutôt difficile, mais je ne fini pas trop fatigué, je suis juste sorti de ma zone de confort. Et je suis très satisfait de mon acclimatation à la chaleur : aucun symptôme pré-coup de chaud évidemment, je transpire sans plus (j'ai bu 3,5 grand bidons sans jamais ressentir le besoin d'en boire plus, j'avais d'ailleurs dû boire 3 ou 4 grands verres d'eau dans la demi-heure précédant le départ, et deux à l'arrivée ont suffi pour me sentir correctement hydraté).
71 km avec 1 380 m de dénivelé, à 17,91 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1752212944/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1533493118

Ben moi, je suis parti hier à 5h jusqu'au col de la Croix Morand 1401m pas eu chaud   135 bornes et 2000 et des poussières!

Sortie en pignon fixe vendredi. Je n'avais pas roulé depuis la sortie difficile de dimanche : lundi repos programmé, d'autant que j'avais une petite courbature au mollet droit (rarissime chez moi en vélo), courbature confirmée le mardi (c'est souvent plus fort 48 h après) ; donc mardi, après avoir hésité, j'ai préféré le repos, toujours utile, malgré les orages annoncés pour les deux jours suivants.
Aujourd'hui il faisait un peu plus chaud que prévu (30 degrés maximum et du soleil).
Bonne sortie, avec au minimum trois montées - Saint-Héand par Saint-Bonnet-les-Oules (pas facile), suivie immédiatement par celle du col du Pilon, et en final la montée du chasseur. Bien sûr je ne compte pas les raidars courts ou une montée de 4 ou 5 kilomètres, dont seuls la première moitié compte, etc. 
Bonnes sensations.
Il faisait moins chaud, j'ai donc vu deux ou trois cyclistes
61 km avec 899 m de dénivelé à 21,26 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1763014341/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1533921752

Bonjour à tous, je suis parti de chez moi vers 8h ce matin avec 10 petits degrés, je me lance avec l'idée de faire mon Centmois. Beau ciel bleu et pas de vent, j'en ai donc bien profité. La sortie s'est bien déroulée et je termine avec 104 kilomètres au compteur en 4h30. 23km/h de moyenne, ce qui est pour moi satisfaisant sur une telle distance.

Bonne fin de journée à tous et bonne route ! 

C'est bien, tu sembles à l'aise sur des distances fort correctes. Bientôt, tu vas pouvoir envisager un "Dodécaudax" encore que dans le Pas-de-Calais, les conditions hivernales (dans quelques mois) risquent de ne pas être très favorables.

Cette année je vais essayer de rouler un minimum cet hiver car j'ai vraiment du mal... L'hiver dernier je n'ai même pas fait 100km entre décembre et mars. Le vélo en hiver c'est douloureux 

Nordiste a écrit:

Cette année je vais essayer de rouler un minimum cet hiver car j'ai vraiment du mal... L'hiver dernier je n'ai même pas fait 100km entre décembre et mars. Le vélo en hiver c'est douloureux 

Dans la Loire où j'habite l'hiver est plutôt plus rigoureux que dans bien des régions, d'autant que rouler exclusivement en plaine c'est se confronter à la circulation rarement débonnaire des motorisés. Et puis d'un, j'aime mieux grimper, et de deux on produit plus de chaleur dans cet exercice (en descente, par contre...).
Bref, cela ne m'empêche pas de rouler l'hiver, y compris à l'occasion monter un col ou deux lors d'une étape du dodécaudax.
Alors, la recette ?
- d'abord bien s'équiper contre le froid ! Pour ma part, j'utilise volontiers une partie de mes équipements de skieur (vêtements techniques pour le haut, et collants). J'y rajoute, chaussettes de ski (et chaussures d'une taille supérieure pour ne pas bloquer le sang), voire en plus sous-chaussette, j'y rajoute des empilements de sur-chausses s'il le faut. Pour les mains je vais jusqu'à utiliser sous-gants fins plus moyens, sous des mouffles de ski ou de surf. Il est vrai que je souffre de la maladie de Reynaud et que je suis particulièrement handicapé : donc, au delà de deux heures sur le vélo, j'ai mal aux doigts aux alentours de -5 degrés alors que je ne ressens pas cela au ski par -10/-15 avec le même matériel.
- Ensuite, limiter la durée des sorties s'avère éventuellement une bonne idée : j'ai un pote qui pratique le vélotaf (15 km aller) et qui fait poste de nuit : il supporte des températures minimales quand il quitte l'usine au petit matin après huit heures de travail ; pour cela il n'hésite pas à utiliser des gants en cuir fourrés, un blouson de ski et son casque de ski (c'est moi qui lui ai suggéré l'idée), une grosse écharpe ou un passe-montagne ; sur cette distance courte, il n'a pas de problème de transpiration et reste bien sec. Je suis aussi lecteur régulier d'un site de cyclistes québécois, ils donnent plein de conseils pour rouler à des températures autrement plus rigoureuses (ils utilisent aussi des pneus à clous).
En tous cas, le changement climatique fait que les derniers hivers n'ont pas été si rigoureux que celà. 
Dernière chose, le froid j'y suis habitué, en tant qu'amateur de sports d'hiver : à titre d'exemple j'ai d'avantage souffert du froid en faisant du ski de fond, notamment aux pieds, car ce sport ne permet pas vraiment d'être engoncé, les chaussures sont légères, etc. Mais j'ai connu de tels conditions de froid certaines années en haute montagne que l'on apprend à vivre avec et à se protéger (le nez qui devient blanc, vous connaissez ? Entre potes on se surveillait pour rétablir la circulation quand il faisait -15/-20 et qu'on descendait contre le vent, hihi).
Enfin mon appartement est glacial en hiver (nécessité fait loi), mais c'est sûr que vivre dans des lieux surchauffés ne prépare pas à la maîtrise du froid dehors : toujours l'acclimatation  
Et pour les frileux, il y a la piscine chauffée, le vélo d'appartement et bien sûr la course à pieds (un collant, un bonnet et une paire légère de gants et c'est bon, et on n'a jamais froid aux pieds en courant).

Sortie samedi en pignon fixe. J'ai failli rester à la maison : bon bouquin et douleur au genou droit (hors gonarthrose). Et puis je me suis décidé à 17 h 20.
J'ai choisi un parcours difficile, mais en remplaçant le début (avec montée du Chasseur) par 20 km de rues menant à Firminy le long ininterrompu de la frange urbaine laborieuse (une partie des ateliers et usines a été remplacée par des temples de la marchandise) : pas le plus agréable, et plutôt dangereux aux heures de travail, car certaines municipalités ont eu l'idée imbécile pour nous les cyclistes de séparer les deux voies par un large espace arboré (du coup, nous sommes à la merci des voitures qui font le forcing pour doubler). Heureusement aujourd'hui vers 17 h pas de voitures sur cette zone, je me ferai juste raser un peu plus loin par deux voitures pour jeunes  excités crétins (das auto).
J'arrive au pont sur la Loire, et c'est 7 km de montée (route prise par le dernier BRM 600 de Grenoble), jusqu'à Saint-Maurice-en-Gourgois : assez drôle, en regardant Strava j'ai vu que sur ce tronçon j'avais mis 11 secondes de plus que J-P Battu (l'organisateur du BRM) avec la différence que je montais quasiment tout en danseuse (de 5 à plus de 7 % quasiment tout le long sauf le dernier kilomètre) avec mon fixie et que lui était parti de Grenoble pour faire 600 kilomètres !
Au village je tourne à droite : ça descend, ça remonte, ça redescend, ça remonte un peu plus...et au final ça plonge en bas pour repasser la Loire sur un barrage EDF. Après, devinez ? Ça remonte...
Bref, je n'ai pas choisi le massif du Pilat et ses cols, mais les gorges de la Loire offre aussi de belles pentes 
La sortie a été agréable, très ensoleillée, et j'étais plutôt en forme.
Je n'ai pas senti la douleur au genoux droit en roulant, mais deux heures après le retour le genoux est bien douloureux à la marche...
66 km avec 957 m de dénivelé à 20,57 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1765403316/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534013354

Belle sortie en Pelso hier et pas dans des zones mais à la campagne 
120 km, 1004 de dénivelé à 27,3 de moyenne 

https://www.strava.com/activities/1764996139

@sccber Oui, tu as raison, je vais devoir investir dans un vrai équipement d'hiver parce que là c'est limite ce que j'ai.... Moi aussi j'ai un problème avec mes mains et mes pieds, dès qu'il fait un peu froid, ça s'engourdi et ça deviens très douloureux, les couches de gants n'y font rien malheureusement. Quant au vélo d'appartement, je ne connais rien de plus ennuyant que ce truc, il faudrait peut-être le coupler avec "Zwift", ça pourrais devenir intéressant.