Qui a roulé aujourd'hui 5

Nordiste a écrit:

@sccber Oui, tu as raison, je vais devoir investir dans un vrai équipement d'hiver parce que là c'est limite ce que j'ai.... Moi aussi j'ai un problème avec mes mains et mes pieds, dès qu'il fait un peu froid, ça s'engourdi et ça deviens très douloureux, les couches de gants n'y font rien malheureusement. Quant au vélo d'appartement, je ne connais rien de plus ennuyant que ce truc, il faudrait peut-être le coupler avec "Zwift", ça pourrais devenir intéressant.

Exact pour le vélo d'appartement : j'en ai un basique et je ne l'utilise pas, sauf il y a déjà longtemps lorsque le spécialiste qui s'était occupé de ma minuscule fracture à la rotule me conseilla son utilisation comme accélérateur de guérison (ça été  très efficace, j'ai pu tenter après quelques heures d'usage bi-journalier une étape dodécaudax le 31 du mois).
Je ne connais pas Zwift, mais j'ai vu sur Strava que pas mal de cyclistes l'utilisaient à la saison froide... Moi j'ai tenté le vélo d'appartement en regardant la télé, mais ça reste très ennuyeux.
Et puis le vélo en hiver ça peut être merveilleux : j'ai le souvenir d'avoir roulé dans le massif du Pilat, au soleil, paysage immaculé sous la neige (et route dégagée), c'est mieux encore qu'en été... 
De même à ma grande époque VTT j'adorais rouler sur les sentiers enneigés, le bruit de roulage est irrésistible : j'avais réussi un jour à rejoindre le village du Bessat à 1200 m d'altitude ; il faut de la neige fraîche, mais pas trop, et surtout pas de sous-couche gelée, car alors attention aux gamelles : ça j'ai connu, et avec la faible couche de neige, on touche tout de suite les cailloux, rien à voir avec une gamelle à ski, où sauf malchance conséquente on ne touche pas les rochers.
Vivement cet hiver, tiens, ces souvenirs m'ont donné l'envie de rouler de nouveau dans la neige (mais la neige devient une denrée rare à basse ou même à moyenne altitude). 

À 15 h 46 j'envoyais le post ci-dessus, pas trop motivé pour aller rouler un troisième jour d'affilé...et puis brusquement - après avoir vu que lundi des orages étaient prévus - je me suis préparé en quatrième vitesse, avec l'envie d'aller jeter un œil au col de la Croix Chaubouret.
J'ai décidé de passer par la petite route du gouffre d'enfer (départ d'une via Ferrara que je fréquente régulièrement) puis qui rejoint le village de Rochetaillée et les kilomètres pentus qui suivent...
Dont acte 
31,5 degrés au départ, du soleil, et à l'approche du plateau de la Barbanche vent sensible, puis de plus en plus fort : au col, la foule des grands jours (bagnoles et motos) vu passer deux cyclistes en une demi-heure, où je suis resté à profiter du soleil.
Retour en pédalant allègrement, parfois ralenti par des voitures (ah ces vieux retraités).
44 km avec 682 m de dénivelé à 20,40 km/h.
https://www.strava.com/activities/1767730380/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534094083

@sccber Je devrais peut-être plutôt me mettre au VTT plutôt que de m'obstiner avec le vélo de route pour l'hiver... Bravo pour ta sortie cet après-midi. 

R

Nordiste a écrit:

@sccber Je devrais peut-être plutôt me mettre au VTT plutôt que de m'obstiner avec le vélo de route pour l'hiver... Bravo pour ta sortie cet après-midi. 

Merci 
C'est vrai qu'on a souvent moins froid en VTT, tout au moins chez moi dans les chemins en forêt, notamment quand il y a du vent. Par contre, en cas de périodes humides, mes sentiers plutôt techniques et caillouteux deviennent trop glissants (et certains plus faciles sont devenus boueux).
Autre avantage, on fait facilement des sorties courte et intenses en VTT.
L'avantage principal reste la motricité : avec de gros pneus crantés on peut même rouler sur route enneigée sans trop de problèmes, si on trouve des coins sans trop de voitures. Mon pote vélotafeur roule dans la neige avec son vélo route, mais son principal problème vient des automobilistes qui ne s'attendent pas à trouver des vélos sur " leur " route et à minima sont peu respectueux des distances de sécurité...
Je dirai en conclusion qu'il n'y a pas plus de Vttistes qui roulent en hiver que de cyclistes sur route : ne restent que les Cinglés

Lors de ma dernière sortie avec le fixie, presque en fin de parcours j'avais entendu soudain un gros craquement métallique côté pignon ou chaîne : adrénaline, car sans roue libre un blocage de la chaîne peut vite vous envoyer au tapis... Mais non, tout continu à tourner normalement... 
Comme la chaîne a plus de 10 500 km et que ça fait quelque temps que je veux la changer, j'ai profité des orages pour m'y mettre. Surprise, en desserrant le boulon de roue une pièce métallique tombe par terre : c'est un petit écrou situé entre le pignon et le cadre qui est cassé en deux. Je ne me souvient pas trop, mais cette pièce doit être fournie avec la roue (une Miche x-press).
Naturellement je fais plus de 13 km avec le mulet et le seul bouclard resté ouvert, un des meilleurs , n'a pas de pièce équivalente, et ne me laisse pas trop d'espoir de trouver mon bonheur ailleurs : le vendeur me donne même des adresses de concurrents, manifestement le pignon fixe dans la région on ne représente rien.   Idem avec la quincaillerie près de chez moi, qui dessert tous les professionnels,  porte close. Je me rabas sur internet, mais inutilement, les boutiques spécialisées n'offrent quasiment pas de pièces détachées, et les sites spécialisés dans la boulonnerie n'offrent pas exactement ce que je cherche, et quand ils acceptent la vente par petite quantité, le port est hors de prix.   
Bref, aujourd'hui j'ai cherché dans mon foutoir de bricoleur et trouvé des rondelles qui passent dans l'axe de 10 mm et font juste 2 mm d'épaisseur, et comme mon écrou à remplacer fait 6 mm d'épaisseur...  
Remontage, réglage de la ligne de chaîne, et choix d'un circuit comportant pas trop de dénivelé, histoire de tester tranquillement le vélo : l'avantage du pignon fixe c'est, du fait de l'absence de changement de pignon ou plateau, que les dentures de ces derniers ne sont pas travaillées et restent bien épaisses et pointues ; ainsi, malgré 21000 km d'usage, une dernière chaîne utilisée le double de kilomètres qu'avec mes chaînes 10 v, il n'y a aucun saut avec une chaîne neuve, même en appuyant comme un malade en danseuse dans du 7 % avec 5,8 m de développement.
Aujourd'hui super forme, beaucoup de soleil et la température de 30/31 degrés très agréable car j'ai pédalé avec un vent plutôt fort (hihi, le fixie en montée contre le vent c'est pas pour les fainéants).
82 km avec 636 m de dénivelé à 23,74 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1774363512/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534353395

Sortie aujourd'hui en pignon fixe.
Au programme, du lourd - pour du fixie et pour mon niveau - mais pas du long : simplement monter au col de La Croix de Chaubouret (5 km de ville, début de montée et les 15 km de montée proprement dits), tirer à droite pour rejoindre la route du col de la République (environ 10 km dont 600 de montée finale), descendre en bas jusqu'à Bourg Argental (3,5 km à mouliner comme un taré), remonter (12 km), redescendre en ville (12 km, là aussi vers le bas c'est raide) et finir par la traversée en ville (dont un raidar). À défaut de TriRhéna on fait ce que l'on peut pour se faire mal 
34 degrés au départ et 26 degrés à Chaubouret (à 1 200 m), mais dès les 900 m d'altitude à l'approche du plateau précédent le col un vent assez fort m'a bien rafraîchi.
Le physique est bon, mais évidemment même comme cela les nombreux passages assez pentus font que la sortie reste dure, surtout que je ne voulais pas m'arrêter dans les montées. J'ai juste fait un arrêt aux deux cols, un à la jonction avec la route du deuxième et deux autres en final (moitié de la descente et arrivée en ville). Pourquoi ces arrêts ? Et bien une descente de col en pignon fixe à mouliner entre 45 et 53/55 km/h est extrêmement douloureux au niveau de l'assise : impossible d'empêcher totalement le sautillement sur la selle (même si l'on s'efforce de pédaler rond) et bien sûr il n'est pas possible de se soulever de la selle ou même d'alléger l'appui. Et puis, même sur route lisse - comme le bas de celle de la République, bien pentue - difficile aussi d'empêcher le sautillement de se répercuter dans le guidon, ce qui est bien stressant (en général celui-ci m'entraîne à ralentir un peu). 
On voit qu'on est loin avec un pignon fixe au confort que peut apporter un vélo couché. Par comparaison, je suis mille fois plus au confort avec mon VTT semi rigide en descente dans la grosse caillasse, parce que je peux me mettre debout sur les pédales (et aussi parce que le cadre titane filtre pas mal les vibrations).
65 km avec 1 331 m de dénivelé à 18,95 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1776510505/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534438625

Bonjour tout le monde.

Aujourd'hui j'avais prévu d'aller faire mon dodécaudax du mois d'aout mais en prenant la météo hier soir j'ai décidé de remettre à plus tard ! (Avis d'orages sur le secteur et comme je sais comment ça tombe en été j'ai préféré la jouer "dégonflé")
Du coup je suis resté à proximité (et j'ai bien fait les premières gouttes arrivent) pour engranger du D+. On a une petite côte de 4ème catégorie à 3 km de la maison et j'ai passé ma matinée dessus, 10 fois avec que de courtes interruptions pour éponger le moignon. 1550m pour 60 km en 3h40 (roulé) je grimpais 2 fois en force et 1 fois tout en douceur pour récupérer.
Je me suis arrêté à 10 parce que le thermomètre dépassait les 30° en haut et je m'étais dit que tant qu'il n'est pas à 30 je continue (avec la réverbération sur les rochers c'est infernal)
Ce n'est pas une grosse sortie à comparer de certains mais bon, jouer à grimper 10 fois la même montée il en avoir un bout en moins

Je pense réaliser mon dodé soit lundi soit jeudi (en allant à la rencontre d'un copain qui s'arrête dormir à la maison le soir)

Ma sortie du jour a été consacrée à ma troisième étape du dodécaudax. 214 km en 08h58. Le retour vent de face à été éprouvant.

Je suis parti à 03h30, un vrai plaisir de rouler la nuit.

Grand Pierre a écrit:

Bonjour tout le monde.

Aujourd'hui j'avais prévu d'aller faire mon dodécaudax du mois d'aout mais en prenant la météo hier soir j'ai décidé de remettre à plus tard ! (Avis d'orages sur le secteur et comme je sais comment ça tombe en été j'ai préféré la jouer "dégonflé")
Du coup je suis resté à proximité (et j'ai bien fait les premières gouttes arrivent) pour engranger du D+. On a une petite côte de 4ème catégorie à 3 km de la maison et j'ai passé ma matinée dessus, 10 fois avec que de courtes interruptions pour éponger le moignon. 1550m pour 60 km en 3h40 (roulé) je grimpais 2 fois en force et 1 fois tout en douceur pour récupérer.
Je me suis arrêté à 10 parce que le thermomètre dépassait les 30° en haut et je m'étais dit que tant qu'il n'est pas à 30 je continue (avec la réverbération sur les rochers c'est infernal)
Ce n'est pas une grosse sortie à comparer de certains mais bon, jouer à grimper 10 fois la même montée il en avoir un bout en moins

Je pense réaliser mon dodé soit lundi soit jeudi (en allant à la rencontre d'un copain qui s'arrête dormir à la maison le soir)

Grimper dix fois de suite, je l'ai déjà fait (hihi), mais c'était le col de la Croix Chaubouret à partir du barrage de la Rive (10 X 660 m de dénivelé) lors d'une épreuve organisé par un club cycliste stéphanois... Ça reste une histoire de mental.
1 550 m de D+ pour 60 km avec tes contraintes et ton type de vélo ça reste une belle sortie à thème.
Tu me fait aussi penser qu'il va me falloir moi aussi penser à mon étape du dodécaudax  : initialement je devais participer au TriRhéna, du coup j'ai presque oublié ! Je ne sais pas encore quel sera le programme (distance, vélo), le minimum ou un grand circuit...

hé hé, j'ai fait ca aussi ( quand j'étais jeune   )

http://www.veloblan.com/article-dix-fois-le-col-de-la-croix-morand-et-col-de-la-croix-st-robert-119560361.html

Jipe4 a écrit:

Ma sortie du jour a été consacrée à ma troisième étape du dodécaudax. 214 km en 08h58. Le retour vent de face à été éprouvant.

Je suis parti à 03h30, un vrai plaisir de rouler la nuit.

Heu, sans crevaison? 

Presque, ce matin en nettoyant le vélo j'ai remarqué des traces de projection du liquide préventif. 
Ne pas crever sur la route relève du miracle quand on voit le nombre de bouteilles cassées sur le bord de la route. Il y a du verre pilé partout, des bouteilles de bière, de vodka et de je ne sais quoi. Il y aussi des bouteilles en plastique. Je pense qu'il y en a une tous les trois mètres en moyenne, des bouteilles d'eau, de Coca-Cola, de jus de fruit, des emballages vides, des paquets de cigarettes vides ; c'est incroyable. 

Je crois qu'il serait temps de mettre en place des consignes pour ces bouteilles et ces emballages.

Jipe4 a écrit:

Presque, ce matin en nettoyant le vélo j'ai remarqué des traces de projection du liquide préventif. 
Ne pas crever sur la route relève du miracle quand on voit le nombre de bouteilles cassées sur le bord de la route. Il y a du verre pilé partout, des bouteilles de bière, de vodka et de je ne sais quoi. Il y aussi des bouteilles en plastique. Je pense qu'il y en a une tous les trois mètres en moyenne, des bouteilles d'eau, de Coca-Cola, de jus de fruit, des emballages vides, des paquets de cigarettes vides ; c'est incroyable. 

Je crois qu'il serait temps de mettre en place des consignes pour ces bouteilles et ces emballages.

Entièrement d'accord avec toi, c'est en roulant en vélo (ou en courant) que l'on voit le manque de civisme de la population, je dirais en particulier les jeunes, au vu du type de bouteilles ou canettes. 
Mais il ne faudrait pas non plus oublier que certaines municipalités - malgré des moyens financiers sans cesse en baisse - font l'effort de nettoyer : je me souviens avoir vu dans le massif du Pilat une équipe de ramassage ; je m'étais arrêté pour discuter, c'était un gros village qui payait !
Par contre, à Saint-Étienne la municipalité ne se préoccupe pas du nettoyage des pistes cyclables : près de chez moi, après l'ancienne gare du Clapier le boulevard urbain en très forte pente (6 à 7 %) est doublé à la montée par une piste obligatoire (panneau rond) isolé par une haie et cette catégorie de piste cyclable doit répondre à un cahier des charges strict, dont l'entretien. Cette piste n'est jamais nettoyée, encombrée par des déchets végétaux et surtout par des bouts de verre. Bien plus il y a quelque temps je me suis retrouvé face à des débris de bouteilles qui occupaient toute la largeur sur près de deux mètres de profondeur et j'ai dû mettre pieds à terre (naturellement je ne reprend plus cette piste et j'attend de voir si on osera me mettre un procès verbal, ce qui me donnerai l'occasion de contester l'obligation, puisque le cahier des charges n'est pas respecté).

Sortie du jour en pignon fixe. Nouvel itinéraire (mais routes connues avec d'autres enchaînements).
Il fait chaud - normal on est en août - mais le vent souffle fort, donc température très agréable (vive l'été).
Je commence par la montée de Saint-Héand au kilomètre 9 et redescente par Saint-Bonnet-les-oules, retour du côté de l'autoroute pour rejoindre St-Just-St-Rambert par une route que je ne prend pas souvent. Là, un moment d'inattention me fait faire une boucle involontaire, puis je rejoins une route qui monte à Chambles...Je passe devant la petite route (un fameux coup de cul) qui vient du barrage, route que je prend en général pour rallier Chambles, et route que j'ai l'intention de prendre au retour : mais j'ai décidé d'aller jusqu'au sommet et je continu encore cinq kilomètres avant de faire demi tour. La suite, plonger au barrage et remonter de l'autre côté pour rejoindre le Chasseur, St-Genest-Lerp, puis ma petite piste cyclable toujours déserte qui longe la voie express : jusqu'il y a deux ans, avant la création de cette piste j'évitais le plus souvent le retour par ce côté de la ville, tant la voie express (limitée à 90 km/h), toute en montée, était désagréable : bien qu'accessible aux vélos, on s'y sentait tellement en insécurité qu'on roulait sur le bas côté remplit de bouts de verre et autres cochonneries lâchées par les bagnolards. 
Super forme : sur Strava j'ai vu que j'avais battu plusieurs de mes temps sur des segments, alors que j'ai eu l'impression de presque me promener.'
https://www.strava.com/activities/1781088299/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534613367

Sortie du dimanche en pignon fixe.
Je suis parti à 15 h - j'aime la chaleur  - avec l'intention d'aller vers Salt par la D10 (c'est la route vallonnée où j'ai débuté le fixie - puis grimper comme d'habitude par la route où passent les BRM de Feurs. Après, je tirais à droite, sur des petites routes à dénivelé, car on se retrouve à couper plein de vallées séparées par des collines : tout ça, histoire de ne pas rentrer par la D10... 
Arrivé à l'entrée de Salt - après avoir roulé vent debout - je décide aujourd'hui de plutôt emprunter la grande route tout de suite à droite (elle mène in fine à Lyon), route que je n'ai jamais prise : très vite je me rend compte que ça monte, assez longtemps, puis que ça redescend un peu pour ensuite remonter... La route n'est pas restée dans la plaine (il n'y en pas) et je viens de retrouver la partie que je prenais quand je prenais la route des BRM puis redescendais à droite : je me suis juste épargné une dizaine de kilomètres et environ 200 m de dénivelé (comparaison faite sur ma sortie du 14 mars dernier). 
Je sais maintenant à peu près quelles routes prendre, le seul problème sera le passage entre Ste-Foy-l'Argentière et Duerne, des kilomètres terribles en fixie (5,3 km à 6,7 % de moyenne, 353 m de D+) : ça monte donc sans répit, avec quasiment au départ un passage effrayant au dessus de 8 % puis ce sera majoritairement entre 6 et 8 %, au soleil le plus souvent... 
En mars j'avais beaucoup souffert, et mettais arrêté au moins quatre ou cinq fois (dans les rares passages entre 5 et 6 % (pour pouvoir repartir), et c'est pour cela que j'évitais le coin. En plus, aujourd'hui la température est moins propice aux efforts qu'en hiver ! 
Ça été dur, mais je ne me suis arrêté qu'une fois, et pour boire, parce que la quasi totalité de la distance j'étais en danseuse, ce qui vous en conviendrez ne permet pas de boire un bidon.
Et j'ai mis 37 mn (arrêt compris selon Strava, contre presque 54 mn l'autre fois, toujours arrêts compris) : ai-je progressé, je ne sais pas, l'autre fois j'avais plus grimpé après Salt, mais aujourd'hui il faisait très chaud... Aller, on va dire que oui 
Au sommet, à la première maison ça s'activait pour préparer un barbecue et j'en ai profité pour me faire remplir un bidon d'eau, car il me restait environ 50 km à faire (j'avais la gourmandise de déjà prévoir la montée du Chasseur en final).
Pas de grosses difficultés ensuite - enfin quand même des bosses - puis une bonne descente pour rejoindre St-Symphorien-sur Coise et retrouver la longue remontée par Gramond, Fontanès, puis en rallongeant plutôt que de descendre sur Sorbier puis St-Étienne (je n'aimes pas ce trajet qui passe par les zones péri-urbaines), remonter un peu et redescendre sur St-Héand puis la Fouillouse .
La montée se passe bien (du 3 à 5 % facile), et tout en bas je me sens tellement bien que j'enquille sans hésiter la montée du Chasseur, le passage à St-Genest-Lerp, la piste cyclable et la descente finale plein centre ville.
Très bonne sortie, toujours en forme (qu'en aurai-je fait sur le TriRhéna, c'est une autre histoire)... 
118 km avec 1 576 m de dénivelé à 21,31 km/h de moyenne.
https://www.strava.com/activities/1783882184/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534706703

J'ai fait une sortie VTT hier, mais pour une raison inconnue je ne suis pas arrivé à me connecter au Forum.
Mon pote au VTTAE c'est fait il y a 18 jours déjà une élongation à la cuisse en marchant en montagne, et ça ne revient pas vite à la normale : son kinésithérapeute a beau lui dire qu'à 80 ans on ne récupère pas aussi vite qu'à 20, mon pote enrage (il est du type râleur impatient).
Sur mes conseils, il a repris tout doucement, en VTTAE sur route pour commencer. Hier, il voulait revenir aux sentiers, en mode cool.
Aussi sommes-nous monté au col de la Croix Chaubouret pour faire le plus gros de la piste noire de ski de fond, pas trop difficile en VTT : il y a quant même deux ou trois coups de cul, dont l'un difficile car très caillouteux, idem en pire dans certaines descentes... D'ailleurs on a légèrement rallongé et pris des passages qu'on ne prend plus en ski de fond depuis de nombreux hivers, car la neige plus rare ne permet pas le damage dans les petits rochers...
Bonne sortie.
Toutefois, depuis quelques sorties en VTT j'avais des à-coups à l'arrière en freinant : je me disais qu'il fallait bien que j'y jette un œil, mais bon je suis champion de la procrastination  Et hier, comme c'était pire, j'ai profité d'un arrêt technique pour regarder : j'ai alors vu que la jante commençait à se fendre sur la piste de freinage  Faut dire, que j'avais remplacé ma Mavic Crossmax (roue libre cassée irréparable faute de pièces) par une très vieille roue montée par mon vélociste - comme on le faisait à l'époque avant la généralisation des roues complètes - en choisissant le top : jante Mavic Céramic, moyen Shimano XT et rayons DT, roue tellement utilisée que le revêtement céramique n'y subsistait qu'à l'état de trace.
J'ai donc roulé " en dedans " pour éviter de devoir faire dix kilomètres à pieds pour rentrer.
18 km avec 358 m de dénivelé.
Demain je fais mon étape dodécaudax (pas encore choisi de parcours ).
https://www.strava.com/activities/1787716291/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1534882276

Je suis parti pour faire la 66 ème étape mensuelle de mon dodécaudax continu, toujours en pignon fixe.
Un premier circuit de 132 km sans trop de dénivelé (907 m et 24,11 km/h de moyenne), assez grosse chaleur (38 degrés vers 12/13 h) et du soleil. J'ai eu la surprise d'une petite averse peu après Boen, qui n'a pas durée plus d'un quart d'heure.
Arrêt chez moi de 15 h 30 à 16 h pour manger un peu et refaire un bidon.
J'ai eu la surprise de retrouver une fois dans la rue un ciel noir extrêmement menaçant et un vent de folie : ça n'a pas loupé, après deux kilomètres il s'est mis à tomber des trombes d'eau ; je me suis arrêté dix minutes à l'abri et suis reparti quand l'intensité a baissé, en espérant que l'averse ne dure pas. C'est ça la magie du dodécaudax : une sortie normale, j'aurai sans doute choisi de rentrer, car ça ressemblait un peu à l'apocalypse, alors que là j'étais prêt à aller jusqu'au bout (d'autant que ce n'était pas un orage, pas de risque de prendre la foudre), en quelque sorte un exercice pour conforter le mental longue distance (et si on rencontrait sur le PBP. 2019 les conditions météo du PBP 2007 hein !).
J'ai choisi, vu la baisse de température (14 degrés), un deuxième circuit avec du dénivelé, car c'est intéressant à faire sur un début de légère fatigue... 
En fait, la pluie a duré deux heures, avec des petits grêlons par moment, même si elle a persistée avec peu à peu un retour du soleil, façon giboulée de printemps. Comme je grimpais vers le col du Pilon, la vue de la plaine était splendide...
Puis un peu plus tard n'a subsisté que le soleil : pour ma deuxième remontée de Saint-Héand j'ai pu enlever le coupe-vent imperméable et dans la descente suivante je n'ai pas eu froid car la température était remontée à 28 degrés...
Très bonnes sensations sur les montées de ce deuxième circuit, 67,5 km avec 926 m de dénivelé à 20,73 km/h de moyenne (descentes lentes sous la pluie, dont une récemment gravillonnée n'était pas sécurisante du tout, même au ralenti).
Total 199,91 m (c'est bon pour valider, Strava m'en donne 201 ) à 22,85 km/h de moyenne avec 1 833 m de D+.
https://www.strava.com/activities/1792617023/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1535047592

@sccber Bravo pour ton étape du Dodécaudax, surtout avec un temps pareil sur la fin....


Pour moi, tour matinal avec 90km au compteur. Beaucoup de vent dans le Nord avec un peu de soleil et 15 petits degrés, ça change de la canicule. Tour de 90 kilomètres en 3h27, soit une moyenne de 25,7 km/h. L'une de mes plus grosses moyennes, je suis content,je vois que je progresse.

Bonne journée à tous et bonne route. 

U
J'ai changée ma roue arrière de VTT (la jante de l'ancienne est morte), ce qui me fait un bon prétexte pour faire une sortie de VTT pour contrôle : il me semble que les vitesses passent un poil moins bien et je vais devoir vérifier le frein arrière. 
Le temps est à la grisaille et la température a beaucoup fraîchi, avec un zeste de vent. Je suis parti en court (short de jogging et maillot cycliste sans manche), je crains un moment d'avoir froid, et puis non, je suis bien : le plus extravagant à mon sens, c'est que j'ai rencontré des marcheurs en manteau, les mêmes j'imagine à se plaindre de la " canicule " il y a huit jours   
Assez grosse sortie, direction les pistes de ski de fond dans le massif du Pilat. 
Départ de chez moi, quelques kilomètres de montée sur une petite route, puis du sentier jusqu'aux barrages (avec pas mal de raidars) puis du sentier jusqu'à 1 200 m d'altitude et arrivée au BESSAT, au lieu dit " le tremplin " car il y a des décennies il y avait suffisamment de neige pour installer un tremplin de saut à ski    
Je ne suis pas encore rassasié, aussi je décide de prendre la piste noire, treize kilomètres sur les pistes de fond, en partie le GR7, la plus facile : là on pourrait prendre un Gravel, ailleurs non (des passages caillouteux à très caillouteux en pagaille, souvent avec de la pente (de 7 à 15/16 %) et une fois au début un long passage goudronné à 20 % qui s'adouci à 15 dans les cailloux (hihi)...
J'ai une suspension assez frustre, et j'ai terminé avec des douleurs aux poignets...
. Dans la première descente sur le GR 7 la température - 11 petits degrés - m'incite à mettre mon coupe-vent (j'aurai trop chaud en montant).
Fin au col à 19 h 45 (il ne fait plus que 9,9 degrés) et redescente à fond par la route. Bien.
61 km avec 1 061 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1796994965/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1535222781

Hier, je n'ai pas roulé mais marché jusqu'au sommet du Puy de Dôme avec ma fille, j'ai croisé des personnes emmitouflés comme en plein hiver, bonnets et écharpes, ma fille en T shirt et moi short, bon, il ne faisait pas très chaud mais de là à s'habiller comme en plein hiver, il est vrai que toutes ces fainéasses étaient montés par le train 

veloblan a écrit:

Hier, je n'ai pas roulé mais marché jusqu'au sommet du Puy de Dôme avec ma fille, j'ai croisé des personnes emmitouflés comme en plein hiver, bonnets et écharpes, ma fille en T shirt et moi short, bon, il ne faisait pas très chaud mais de là à s'habiller comme en plein hiver, il est vrai que toutes ces fainéasses étaient montés par le train 

La jeune génération, avec le dérèglement climatique généralisé en route (vous avez vu les Alpes s'écroulent), le désastre écologique programmé, etc. va bien souffrir si elle continue à s'amollir physiquement (et mentalement ?)    
Moi, à la limite je m'en fout, je suis presque en fin de vie... Je dis à la limite, parce que mourir c'est con, comme quand on lit un polar et qu'il manque les dernières pages, j'aurai aimé voir la fin, pour vérifier la pauvreté du scénario (c'était bien la peine de se faire ch... pour finir aussi connement).

sccber a écrit:

La jeune génération, ...

 Bonjour à tous 
Guidre 
grand mère 

Cherche sur YouTube 
...
Ensuite je te prie de prendre mon intervention au second degré 
Je suis en cours de baphème... Je vais prendre cher 

Bonne route à tous 

J'ai honte

Mon pote m'a invité à une petite sortie VTT cool (surtout pour lui motorisé), car il souffre toujours un peu le lendemain d'une sortie (malgré que médecin et kinésithérapeute lui assurent que tout va bien, en d'autres termes les vieux c'est normal de souffrir).
J'ai pris la peine de vérifier mon frein arrière, effectivement un des patins portait trop bas.
Sortie très agréable, au soleil : nous avons pris le temps de nous attarder à chaque arrêt, de discuter avec des marcheurs ou des autochtones.
J'ai bien aimé de nombreux passages bien ludiques - mono traces en forêt, petit passages à négocier en jouant du dérailleur - ou bien physique : j'ai actuellement une super forme et des jambes comme jamais   Hier, en ville à un feu rouge, quatre jeunes m'ont dit être impressionné par la taille de mes muscles  et demandé : " sans indiscrétion vous avez quel âge ? " ; moi, un peu faraud je l'avoue " 70 ans " et eux de me complimenter. Une première, haha, vive la vieillesse. Pour une fois que des automobilistes apprécient un sportif sur son vélo faut en profiter.
27 km avec 543 m de dénivelé.
https://www.strava.com/activities/1796994965/shareable_images/map_based?hl=fr-FR&v=1535222781

Paddy a écrit:

sccber a écrit:

La jeune génération, ...

 Bonjour à tous 
Guidre 
grand mère 

Cherche sur YouTube 
...
Ensuite je te prie de prendre mon intervention au second degré 
Je suis en cours de baphème... Je vais prendre cher 

Bonne route à tous 

J'ai honte

Baphème ???